Esclave d'une journée 3

Je me suis réveillé après un petit somme réparateur d'où j'ai émergé tout endolori par les éreintants exercices sexuels auxquels a été confronté mon corps.
Mes deux amants étaient déjà réveillés et semblaient planifier un nouveau coup.
Ils m'invitèrent à boire une coupe de champagne au salon et je ne me suis pas fait prier.
On s'était installé et on avait commencé à papoter en dégustant le délicieux nectar.
Tout en parlant la femme a commencé à me caresser la bite et les couilles et son mari s'était glissé derrière elle et avait commencé à lui administrer un cunnilingus tout en lui fouillant son fion avec un doigt ce qui la fit taire et elle se pencha sur mon entrejambe pour s'emparer de ma bite et la goba d'un coup pour la têter voracement.
Nous jouions notre sublime partition avec application et amour et étions dans un état second tellement c'était magique.
Mon amante lâcha sa proie et vint s'empaler dessus, c'est rentré facilement puisqu'elle avait été préparée par son mari, elle me chevauchait bien et moi je malaxais ses deux obus qui bougeaient devant mon visage comme pour me narguer.
J'ai lâché les seins et l'ai enlacé pour l'attirer contre moi offrant ainsi ses fesses rebondies à son mari qui n'attendait que ce geste pour se placer derrière elle et l'enfourcher comme la pouliche sauvage qu'elle était; il pointa son sexe à l'orifice distendu rosâtre et d'un coup,il la pénétra de toute la longueur de sa bite lui arrachant un râle qu'on ne saurait qualifier de joie ou de douleur.
On était tous les deux en elle et on avait l'impression de se toucher tellement on se sentait l'un l'autre.
Quant à elle, elle ne savait plus où donner de la tête sous les coups de boutoir qu'on lui assenait de part et d'autre.
Nous sommes restés longtemps dans cette position à communiquer par sexes interposés et nous sentions le désir monter en nous doucement mais sûrement puis on s'arrêta à la demande générale pour changer de positions; la femme s'est extirpée de notre tenaille et alla chercher son gode ceinture qu'elle mit et ordonna à son homme de se mettre en position pour qu'elle puisse le baiser,ce qu'il fit sans se faire prier alors elle se plaça devant ses fesses, lui crachant en plein trou et pointa son énorme gode à l'entrée de son antre à plaisir et en poussant elle le pénètre non sans lui arracher un cri rauque de douleur; elle continua à s'avancer par à coup et faisait sauter les verrous de cette forteresse inviolable l'un après l'autre jusqu'à ce qu'elle soit entièrement en lui et commença à le limer, puis elle me fit signe de venir la prendre par derrière pour compléter le tableau.
Je ne me fis pas prier et me mis derrière ce beau fessier que j'appréciais et sans crier gare je la pénètre lui faisant faire une grimace de douleur.
Nous étions comme enchaînés les uns aux autres et les coups étaient saccadés et rythmés comme les rameurs des galères; je donnais le tempo et cela se répercutait sur les deux autres corps.
On ahannait et on criait ensemble à chaque mouvement collectif comme si on était branché à la même prise d'électricité.
Cela avait duré un long moment et on aurait cru une éternité tellement c'était divin; je baisais ce cul splendide tout en caressant les deux obus en prime tandis que mon amante forçait celui de son mari tout en le saisissant par les hanches pour le fixer et pendant ce temps lui il se masturbait en râlant des mots incompréhensibles.
Je sentis le plaisir monter en moi et mon sexe se raidit annonçant une proche délivrance et au même moment ma pouliche me sentant aux portes de la jouissance,me comprima la bite entre ses fesses, se mit à secouer son clitoris avec les doigts et accéléra la cadence de ses intrusions dans le cul de son homme ce qui poussa ce dernier à donner de la vigueur à sa masturbation pour jouir ensemble au même moment.
Ce manège continu dura quelques minutes encore avant qu'on n'explose tous les trois d'un seul coup; je partis en longues saccades de sperme au fond de ma jument qui commença à dégouliner de son suc vaginal sur les fesses de sa monture qui, de son côté parvint à extirper son nectar crémeux de son sexe gonflé à bloc.
Nous nous affalâmes tous les trois exténués et extasiés après tant d'efforts.
Nous étions vidés et aphones; nous ne pouvions émettre aucun son et nos yeux étaient pleins de gratitude les uns envers les autres et dormimes dans cette position jusqu'au matin.