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Martine (6ème et dernière partie)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 31/05/2023

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Après quelques minutes de récupération, Martine passe par-dessus Jeanne et vient à côté de moi. Elle pose alors sa main sur ma queue et commence à la caresser tout en me murmurant à l’oreille :
-Il faut que Jeanne goûte à ta grosse queue, Luc !
-Tu crois qu’elle a envie ?
-Je suis certaine qu’elle en meurt d’envie, n’est-ce pas Jeanne ?
-Vu comment tu en parles, elle doit être délicieuse ! Bien sûr que je veux essayer !
-Alors viens lui redonner un peu de rigueur !
Aussitôt, Jeanne se penche et prend ma bite pas complètement dure entièrement dans sa bouche, pendant que Martine continue de caresser mes couilles. Je ne tarde pas à bander de nouveau et une fois la tension désirée obtenue, Jeanne se relève et vient se positionner au-dessus de mon sexe.
Elle prend le gland entre ses doigts et vient le placer sur ses grandes lèvres, toutes humides, puis elle descend tout doucement, faisant pénétrer ma queue dans son vagin. Je ressens chaque centimètre des parois de sa vulve délicieusement serrée, jusqu’à ce que le col de l’utérus vienne buter contre le sommet de mon pieu, dans un soupir profond lâché par une Jeanne presque hypnotisée. Je prends alors ses deux fesses à pleines mains et les pétris pour bien en ressentir la fermeté. Jeanne commence alors à se relever un peu, puis redescend pour faire aller et venir ma queue dans sa chatte qui continue de s’humidifier intensément. Martine, qui nous observait depuis que Jeanne était montée sur moi, embrasse sa chérie sur la bouche et prend ses seins dans ses mains.
Puis, alors que Jeanne continue de se baiser toute seule sur ma queue, Martine passe dans son dos. Je sens alors son souffle puis sa langue sur mes couilles et je devine qu’elle alterne ses coups de langue entre mes bijoux de famille et l’anus de ma baiseuse. Jeanne pousse alors un petit cri à chaque fois que la langue de Martine quitte mes couilles et qu’elle lèche certainement son trou du cul. Je sens son vagin se serrer à chaque passage de langue entre ses fesses et elle ne tarde pas à crier son plaisir et à jouir intensément. Elle a alors un orgasme fulgurant, qui la fait trembler de la tête aux pieds. Sans même attendre que je jouisse à mon tour, elle se couche sur le côté, comme épuisé.
Je la retourne alors, la positionne sur le dos et continue de la besogner, mais assez fort cette fois-ci. Je veux la baiser vraiment, qu’elle se souvienne de ma queue. Martine, qui n’avait pas bougé depuis tout à l’heure, pose ses deux mains sur mes fesses. Je me calme alors et refais des petits mouvements de va-et-vient dans la chatte de ma partenaire, qui est complètement amorphe, mais bien vivante, puisqu’elle attrape ma tête entre ses deux mains et m’attire pour m’embrasser. A ce moment, Martine m’écarte les fesses et je sens sa langue passer dans ma raie et venir titiller mon anus.
Quel plaisir de sentir sa langue essayer de m’enculer. Je ne bouge plus dans la chatte de Jeanne et la laisse m’embrasser pendant que Martine ramone mon anus.
Au bout de quelques minutes, je sens quelque chose de plus dur que sa langue et je me rends compte qu’il s’agit d’un doigt. J’adore que ma partenaire joue avec ma prostate et sentir ainsi un doigt venir titiller cette glande pendant que je baise une autre femme me rend dingue. Je reprends mes mouvements dans la chatte de Jeanne et l’excitation de la pénétration que je subis décuple mon plaisir et mon envie. Je baise de nouveau sauvagement le con de Jeanne, pendant que Martine et en train de m’enculer tout aussi sauvagement avec un ou peut-être même deux doigts. A ce rythme, je ne tarde pas à jouir et je ressens l’orgasme monter puissamment en moi, du plus profond de mes couilles, et la sensation du sperme qui remonte dans ma queue exacerbe mon plaisir. J’explose alors en enfonçant ma queue tout au fond du vagin de Jeanne, des jets puissants de sperme se répandant dans le ventre de ma partenaire et pénétrant certainement dans le nid douillet de son utérus.
Repus, nous nous allongeons tous les trois sur le lit de cette chambre d’hôtel que nous allons quitter le lendemain.
Jeanne est la première à s’endormir, épuisée par cet orgasme fulgurant qu’elle a ressenti pour la première fois qu’elle recevait ma queue dans son intimité.
Martine a résisté un moment, en prenant ma verge dans sa main et en la caressant longtemps, comme elle aurait caressé un petit chaton trouvé dans la rue, tout en douceur, avec délicatesse, puis elle finit par arrêter tout mouvement et se mettre à ronfler légèrement, montrant ainsi qu’elle entrait dans un sommeil profond et réparateur.
Entre ces deux bombes endormies, je n’avais d’autre choix que de me laisser aller à tomber moi aussi dans les bras de Morphée.
Alors qu’il fait encore nuit quand j’ouvre les yeux, ce sont des petits clapotis qui me réveillent. Sans bouger, je me tourne du côté d’où viennent ces petits bruits et je devine dans la pénombre les deux corps de Jeanne et Martine, l’une au-dessus de l’autre, mais tête-bêche. Ces dames se font un 69 matinal, alors que je suis endormi à côté d’elles.
Sachant comment il est dommage de prendre du plaisir en voulant rester silencieux, je me relève doucement et indique à mes invitées que je suis bien réveillé.
-Salut mesdames, je vous souhaite une aussi belle journée que celle que votre spectacle me laisse présager. Ne vous arrêtez surtout pas pour moi, bien au contraire !
Elles ne prennent même pas la peine de répondre, mais laissent enfin entendre leurs gémissements qui étaient retenus jusque-là, tant elles ne voulaient pas me réveiller.
Sans que je ne fasse rien, la vue, les bruits et même l’odeur de ces deux sexes féminins débordants de cyprine, font que je me mets rapidement à bander. Le plaisir de cette vue, la sensualité de la situation et ma libido matinale font que ma queue est dure à me faire mal. J’ai l’impression qu’elle va exploser. Mais je ne sais pas ce que je dois et peux faire. Dois-je me débrouiller tout seul et laisser ces dames prendre leur pied entre elles ou est-ce que je dois en faire profiter l’une d’elle ?
Je les regarde et je me dis que j’ai eu Martine par tous les trous, contrairement à Jeanne qui ne m’a pas donné son anus. Mais vu comment elle était serrée du vagin, j’ai bien peur de ne pas pouvoir profiter de son entrée arrière. Oserais-je ?
En cinq minutes, le jour s’est levé un peu plus et je peux maintenant voir que c’est Jeanne qui est sur Martine. La vue me donne encore plus envie du cul de Jeanne. Je me relève alors et passe derrière elle. Sans perdre de temps en badinage, je me penche sur bel arrière train et embrasse chacune de ses belles fesses. Martine me remarque alors et me fait un clin d’œil en signe d’approbation. Aussitôt, je passe ma langue entre les deux monts de la petite brune qui frémit de plaisir. J’active alors ma langue sur son anus, encore goûteux de son plaisir d’hier soir et visiblement, ça ne lui déplaît pas. Martine, qui continue de lui prodiguer un cunnilingus qui a l’air délicieux, pose ses mains sur les fesses de sa partenaire du moment et les écarte bien, me donnant un accès autoroutier au cul de la belle, où je dépose une langue inquisitrice. Plus ma langue passe et repasse, plus son trou du cul s’ouvre avec des petits spasmes dévoilant une chair rose très souple. Je me relève alors et viens poser mon gland juste devant ces chairs roses offertes. Je crache dans ma main droite et enduis ma queue de salive, avant de faire entrer ma queue tout doucement dans les entrailles de la petite chienne qui s’offre à moi. Les fesses toujours écartées par les mains de ma complice, je vois ma queue pénétrer ce cul que je pensais impossible à avoir. A mi-chemin, alors que mon gland a complètement disparu dans le colon de Jeanne, je recrache sur ma queue pour l’aider à entrer en entier, et au bout de quelques instants, mon ventre vient s’écraser contre les fesses de ma soumise. Ma queue est toute serrée dans ce conduit qui n’a pas l’air très habitué à être ainsi visité, mais la propriétaire ne semble pas éprouver une quelconque douleur. Elle semble même plutôt éprouver du plaisir à en croire ses mots :
-Oh oui, encule-moi, grosse queue ! Martine a raison, tu es trop bon ! Défonce-moi le cul, j’en veux encore !
Ces paroles durent tout le temps que je m’active en elle et je sens son orgasme monter très rapidement, bien avant moi. Pris d’un subit spasme, elle s’avance un coup sec, faisant ainsi ressortir ma queue et s’écroule sur le ventre de Martine, alors même que ses jambes sont secouées comme si elle était électrocutée. Martine, en reste, saisit alors ma queue et la met dans sa bouche et elle attrape mes fesses, pour me faire comprendre de la baiser ainsi. Sans hésiter, je me mets alors à baiser sa bouche, par des mouvements réguliers, en faisant attention de ne pas aller trop loin. Mais, au moment ou je sens mon orgasme monter, Martine doit me sentir me contracter. elle repose alors ses mains sur mes fesses et me fait la pénétrer complètement. Je fais alors entrer ma queue tout au fond de sa bouche et au moment où le sperme est prêt à jaillir de mon gland, je vois la gorge de ma belle déformée par ma queue qui vient jusqu’au milieu de son cou. La vision est incroyable, elle décuple mon plaisir et je déverse une fois de plus une quantité importante de sperme directement dans l’œsophage de Martine qui s’avère une sacrée avaleuse de sperme.
Après cette débauche de plaisir matinal, nous nous préparons pour notre dernière matinée de stage. A midi, après que tout le monde se soit dit au revoir, Martine, Jeanne et moi restons un peu à la terrasse du restaurant. Ces deux dames me demandent si elles peuvent espérer venir chez moi un jour et rencontrer ma femme. Elles veulent absolument rencontrer la bienheureuse qui a la chance d’avoir un mari comme moi !
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