ACCUEIL > Hétéro > Récit : Essayage chaussures et mini-jupe

Essayage chaussures et mini-jupe

+54

Lue : 4463 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/03/2016

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Daniel et moi étions des amis inséparables. Nous nous connaissions depuis le collège et sa famille était comme la mienne, et vice-versa. Un week-end chez les parents de l'un, un coup chez les parents de l'autre, nous nous étions organisés pour pouvoir passer un maximum de temps ensemble, et partager tout un tas d'activités. Du sport la journée, nous passions aux jeux vidéos la nuit, comme un bon nombre d’amis de longue date. Cela ne posait de problème ni à ses parents, ni aux miens, tant nous étions considérés par les uns et les autres comme deux frangins.
Alors que j'étais fils unique, Dan avait la chance d'avoir une soeur répondant au prénom de Lucie. Celle-ci était de cinq ans plus jeune que nous. C’était une jolie blondinette pleine de vie que j’avais vue grandir au fil des ans, jusqu’à ces moments où son corps devenait chaque jour un peu plus celui d’une jeune femme. De ce fait, je devais avouer que mon regard sur elle avait quelque peu changé. Nos rapports étaient toujours aussi amicaux en remplis de camaraderie, mais Lucie ne devait pas être sans remarquer que le regard des hommes porté sur elle avait irrémédiablement changé. Lucie avait cette beauté et ce charme naturel des filles de son âge. Du haut de ses dix huit ans, la jolie blondinette n’avait pas grand effort à faire pour que les formes de son corps n’emportent le regard lubrique de la gente masculine.

Malgré cela, tout allait donc pour le mieux au sein de cette seconde famille, jusqu'à ce fameux jour que je vais vous narrer. Dan et moi avions joué aux jeux vidéos jusqu'à assez tard la veille, et au matin, je me retrouvais seul car il était déjà parti à sa sortie vtt. Ses parents étaient quant à eux partis faire les courses au marché. C'était souvent comme cela et ça me convenait bien, car je pouvais ainsi prendre le temps de me réveiller et ainsi m'extirper de ma léthargie dominicale.
Il devait être sous les coups de dix heures et demi quand j’aperçus Lucie pour la première fois de la journée. J’étais en train de prendre mon petit-déjeuner simplement vêtu de mon caleçon tant il faisait déjà chaud. Lucie avait déjà pris le sien et était à la recherche d’une paire de chaussures. Les chaussures et Lucie ne faisaient qu’un. Elle adorait en porter toujours des différentes. En ce milieu de matinée fort ensoleillé, je me rendit compte que malgré ma demi-somnolence, mes yeux coquins s’attardaient lourdement sur le corps de la petite dernière de la famille. Son top moulant blanc et sa mini-jupe avaient en effet attiré mon attention, surtout quand la belle blondinette, se penchant en avant à la recherche de sa paire de godasses perdue, avait manqué de me présenter sa petite culotte malgré elle. Une vision vile et maladroite qui pourtant avait créé un sursaut dans ma poitrine… et dans mon caleçon. Mes matins étaient souvent sujets à de belles érections incontrôlées, et il ne fallait pas tant d’une midinette en jupe très courte pour m’éveiller de ce point de vue là. Une attention rapidement transformée en attirance, et ce malgré moi. Une attirance sans doute malsaine, vus les rapports entretenus avec la jolie Lucie et notre différence d’âge. Pour autant, et malgré ce rappel à la raison, une force obscure me poussa à vouloir en voir plus. C’est ainsi que je montai à l’étage où se situaient les chambres pour me diriger vers celle de Lucie et espérer ainsi la surprendre dans une posture dévoilant ses charmes secrets. Blotti derrière sa porte de chambre, j’entendis que la blondinette y était bien. Que pouvait-elle bien y faire ? Pour répondre à ma curiosité mal placée, je poussai lentement sa porte de chambre, restée entrouverte. Lucie était assise sur son lit et me faisait dos.
J’entrai dans sa chambre, le cœur battant étrangement fort.

- Ah tu es là ? me demanda-t-elle, surprise de ma présence.
Ses yeux rieurs se posèrent instantanément sur la bosse naissante dessinée au niveau de mon entrejambe.

- Alors, tu as retrouvé ta paire de groles ?
- Oui ! Elles étaient sous mon lit ! Tiens regarde, j’en ai acheté plusieurs paires durant les soldes que j’ai faites hier. Du coup, je ne sais pas lesquelles mettre m’expliqua la belle blondinette de dix huit ans, visiblement toute gênée d’avoir un homme plus âgé qu’elle ainsi en caleçon dans sa chambre et qu’elle devinait en érection.
- Ça te dirait que je te les montre ? me demanda-t-elle soudain, toute enjouée.
- Ok, mais à condition que tu les mettes pour me montrer !
- D’accord, répondit-elle en se levant de son lit.
Sa jupette noire était si courte qu’il me sembla apercevoir sa petite culotte rien qu’en se mettant debout. La petite tira aussitôt sur sa jupe, se rendant compte que celle-ci dénudait très généreusement ses jolies cuisses. Je pris place pour ma part dans son fauteuil de bureau, prenant ainsi mes aises pour ce défilé très privé.
Les chaussures de la belle Lucie étaient disposées sur un meuble spécifiquement dédié, situé juste à côté de son lit. La jolie blonde s’étant mise debout, je la vis soudain se pencher en avant pour chercher par quelle paire de chaussure elle allait pouvoir commencer.

- Alors alors… fit-elle alors que son buste était à l’horizontale.
Lucie sélectionna une paire et se pencha plus encore en avant pour les mettre, jambes fléchies. Sa jupe se retroussa ainsi généreusement devant mes yeux ébahis. Je n’en revenais pas : la belle me présentait malgré elle sa petite culotte. Une petite culotte en nylon blanc parfaitement transparent, dont seul le fond était doublé. Ses jolies fesses rebondies m’apparurent ainsi comme si la belle blondinette ne portait rien dessus. Penchée en avant pour enfiler ses chaussures, la belle ne pouvait me voir. Je sentis mon chibre de mettre à gonfler et durcir avec force dans mon caleçon de nuit. Lucie prenait tout son temps pour lacer ses chaussures. Ne se rendait-elle donc pas compte qu’elle me présentait son cul ? Les secondes s’écoulant, je bandais de plus en plus fort. L’envie de me caresser me prit. J’osai simplement passer mes doigts sur mon membre en rut, par-dessus mon caleçon duquel il menaçait à tout moment de s’échapper. Lucie se redressa soudain et se tourna vers moi, s’éloignant de son lit un instant pour me montrer ses chaussures.

- Alors, elles te plaisent ? me demanda-t-elle en me regardant.
- Oh oui ! elles sont jolies ! répondis-je alors que la petite sœur de mon meilleur ami avait les yeux rivés sur mon entrejambes.
- Ok, on continue ?
- Avec plaisir !
Lucie reprit aussitôt position entre son meuble à chaussures et le bord de son lit sur lequel elle aurait pu s’assoir. Elle se pencha de nouveau en avant, très généreusement, la tête à la hauteur de ses genoux. Mais cette fois-ci, au lieu de se tenir de trois-quarts, je vis la belle me présenter ses charmes bien de face. En plus de ses jolies fesses rebondies, je pus ainsi admirer les formes de sa belle chatte aux lèvres charnues et moulées par sa petite culotte. Cette vision de ses parties intimes, mêmes voilées, me mit le feu. Lucie peina à retirer ses chaussures et une fois cela réalisé, je la vis s’assoir sur son lit, en appui sur ses tibias. La belle se pencha alors en avant, la tête en bas, se retrouvant le cul et la chatte parfaitement offerts à mon regard ébahi. Le cul en l’air, la tête en bas, Lucie me présentait son entrecuisses on ne put plus généreusement, si bien que la partie non-doublée de sa petite culotte m’apparut. Je pus ainsi constater que la petite coquine avait le pubis taillé en ticket de métro. Les lèvres de sa belle chatte semblaient gonflées d’excitation, il ne pouvait en être autrement. La voir se présenter à moi de la sorte me fit battre le cœur à la chamade, éveilla une pulsion de folie en moi. Je sentis mon gland puis mon sexe sortir de mon caleçon tant je bandais avec force. Lucie me tendait son cul bien cambré en arrière, sa minette bien en évidence. Le feu des enfers me brûlait le cerveau. Je cédai. Retroussant la jambe droite de mon caleçon devenu trop petit pour contenir mon membre en érection totale, je me mis à me le pétrir en silence. Lucie pouvait se retourner à tout moment, mais le besoin de me caresser le sexe l’emportait sur la raison et tout le reste. Et cela ne manqua pas : Lucie finit par se redresser et se retourner pour me présenter une nouvelle paire :
- Tu veux que j’essaye celles-là ? me demanda-t-elle, les joues toutes rouges.
J’avais tout juste eu le temps de lâcher mon étreinte sur mon membre en rut et de serrer les cuisses pour le blottir entre, mais je vis les yeux de la belle adolescente découvrir que j’avais le chibre à l’air, tout du moins en partie.
Comment diable pouvait-elle oser se tenir de la sorte en ma présence ? Etait-ce de ma faute si je bandais comme un âne ?
N’ayant pas eu la présence d’esprit de lui répondre, Lucie se tourna, installée de profil devant moi. J’étais grillé. La belle se mit à me parler des soldes en cherchant à reluquer ce que je cachais. Mais masquer un membre en rut de vingt centimètres n’est pas chose aisée. Ses yeux se posaient sur mes parties intimes de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps. Lucie en perdait ses mots et le fil de sa pensée. J’étais à la fois honteux de me présenter de la sorte devant la petite sœur – très bandante ! – de mon meilleur ami et excité d’une certaine façon à la voir chercher à reluquer mon membre en rut. Lucie ne cessait de me parler comme pour justifier le fait qu’elle pouvait rester là à reluquer mon intimité partiellement apparente tout en même temps. La torture mentale s’acheva en même temps que la belle se décida à sélectionner une autre paire de chaussures. Je la vis se mettre à quatre pattes sur son lit, les fesses outrageusement cambrées. Et alors que j’anticipai sur le fait que Lucie me tourne la tête, la belle continuait de regarder en ma direction avec insistance tout en me parlant. Elle n’attendait qu’à voir mon membre en érection me dis-je. La belle finit par me tourner la tête, celle-ci plongée à quarante centimètre du sol alors que ses fesses et sa chatte m’étaient offertes bien en l’air. Si bien d’ailleurs que sa jupette se retroussa dans l’autre sens. La petite culotte de Lucie semblait humide en son centre et moulait une chatte de plus en plus gonflée, chargée de désir. Je ne pus résister : je pris à nouveau mon membre dur et épais en main, et ouvrant les cuisses, je me mis à le pétrir. Lucie était à quatre pattes sur son lit, jambes fléchies et fesses bien cambrées et offertes en arrière. J’étais à deux doigt de voir sa rondelle tant elle écartait les fesses et ce malgré la doublure de sa petite culotte qui finissait juste à son niveau. Tout gland dehors, je caressais mon membre d’homme en rut dans le dos de cette adolescente. Mon bonbon d’amour était tellement trempé de mouille que ma queue chuintait bruyamment désormais au moindre des mouvements de ma main sur mon dard. J’avais les yeux rivés sur les fesses et la chatte de Lucie quand soudain la belle tourna la tête vers moi pour me présenter une autre paire de chaussures. J’étais si concentré sur ses charmes que je n’eus le temps de cacher mon chibre à temps. La belle le découvrit et s’apprêtant à me commenter sa dernière paire de chaussures, elle se contenta d’un « il y a celles-ci aussi », visiblement bouleversée par ce qu’elle venait de voir. Mais au lieu de s’en courroucer, la belle les reposa sur son meuble en cambrant ses fesses. La situation était claire : la petite coquine cherchait visiblement à m’exciter.
Lucie finit par se remettre debout en se pliant en deux, toujours ses fesses bien offertes pour chercher et choisir ses chaussures. Sa petite culotte lui rentrait désormais à moitié dans le cul. Alors qu’elle me faisait dos, la coquine se désaxa soudain légèrement sur le côté et me prit une nouvelle fois en flagrant délit de masturbation. Sauf que cette fois-ci, je ne relâchai pas l’étreinte de ma main sur mon chibre.

- Alors, tu en trouves d’autre ? lui demandai-je pour couper court.
- Oui oui, j’en ai encore une ou deux… me répondit-elle en souriant, les joues rouge cramoisi.
Je ne me masturbais pas alors qu’elle me regardait mais je tenais mon membre long et épais en main, veillant faussement à le cacher à sa vue. Mais dès que la belle ne me regardait pas, je me le pétrissais, de façon par tout à fait discrète.
La belle Lucie finit par me surprendre à force de faire semblant de s’occuper de ses chaussures. Elle se mit soudain à respirer fort, à soupirer.
- C’est surtout un string que j’aurais du mettre dit-elle soudain. Ma petite culotte me sert la minette, j’aime pas ! continua-t-elle.
Devant mes yeux grands ouverts, je vis la petite sœur de mon meilleur ami de saisir de sa petite culotte et tirer dessus pour la mettre sur le côté droit de ses fesses. Sa belle chatte aux lèvres dodues et parfaitement lisses m’apparut. Je n’en revenais pas.

- Ah, ça va mieux comme ça ! rajouta-t-elle en écartant les pieds tout en s’assurant de mon état de stupeur.
Je ne sus quoi répondre. La belle blondinette s’en occupa pour moi.
- La vue te plait mieux comme ça me demanda-t-elle en remuant lascivement son bassin de gauche à droite.
- Euh… ( !)
- Tu peux caresser ta belle queue comme ça m’invita-t-elle en se mettant à quatre pattes sur son lit.
- Aller, montre-moi ta queue et branle-toi devant moi ! tu m’excites depuis tout à l’heure !
Ne cherchant pas à comprendre, je m’exécutai. J’ouvris les cuisses et me mis à me pétrir le manche à pleine main devant elle, hypnotisé par ses charmes.

Lucie se remit debout, et toujours penchée en avant, elle retira sa petite culotte. Celle-ci resta collée à sa chatte l’espace d’une seconde, avant de dénuder celle-ci totalement. Excité comme un diable, je me levai. Je quittai mon caleçon, me retrouvant nu en présence de la petite sœur de mon meilleur ami. Je contournai le lit pour venir lui caresser les fesses, puis caler mon membre d’homme en rut dans sa raie culière

- Hmmm… Ta grosse queue est si dure ! gémit la belle adolescente en sentant mon sexe d’homme blotti contre ses parties intimes.
Je sentis le bout de ses doigts effleurer mon membre. Lucie avait les joues plus rouges que jamais, ainsi excitée par cette situation aussi torride qu’interdite. La belle se mit à bouger ses fesses de haut en bas afin de me faire bander toujours plus fort.

- Hmmmm ta queue est si grosse ! rajouta-t-elle en se décalant.
Lucie se pencha en avant et me présenta ses fesses qu’elle écarta d’une main. Si bien que sa jeune chatte s’entrouvrit.

- J’ai trop envie de sentir ta belle queue en moi ! Mets-là moi dans la chatte !
Je croyais rêver.

Ne me faisant pas prier, je pris mon chibre entre les doigts et le dirigeai vers sa jeune chatte. Mon gland trempé de mouille entra en contact avec sa vulve elle aussi bien humide. Posant une main sur ses fesses, je me mis à farfouiller l’entrée étroite de sa minette avec mon gland en fusion et finis par l’y introduire. La belle ado grimaça par appréhension. Ses chairs intimes s’écartelèrent, s’ouvrirent, avant de laisser place à un intense plaisir. J’avais le premier quart de mon chibre d’homme dans sa petite chatte, si chaude, si douce, si étroite. Lucie se mit à gémir alors que mon membre en rut fendait généreusement son fruit d’amour en deux.
- Oh oui… ta bonne petite chatte ! finis-je par dire, sortant de mon mutisme.
Lucie respirait et soupirait, bouche grande ouverte. Je la voyais aussi serrer les dents de temps à autre, lorsque mon dard glissait un peu trop loin en elle. Combien de queues cette belle blondinette avait-elle pu accueillir en elle ? Si peu sans doute. Et recevoir en elle la bite d’homme et non d’un minot de son âge devait être une grande première. Cela répondait-il à l’un de ses fantasmes ?
Inconsciemment, je cherchais à glisser mon dard dur et épais de plus en plus loin dans sa jeune chatte. La pauvre Lucie en était toute rouge et il me semblait la voir grimacer de plus en plus. Mon chibre ressortait de sa minette si chaude et si étroite tout luisant, trempé de mouille.

- Oh oui ma belle ! ta bonne petite chatte ! Oui !
J’avais la sensation que mon gland en fusion écartelait le fond de son antre tant je l’y sentais écrasé, compressé.

Un peu trop sans doute, car la belle Lucie lâcha un cri quand elle sentit mon membre glisser un peu trop loin en elle.
Lucie se redressa en partant vers l’avant. Mon membre en rut sortit de sa jeune chatte.
- Oh pardon ma belle. ? tu m’excites tellement…
- Elle est si grosse… sembla s’excuser Lucie en se contentant de frotter sa chatte et ses fesses contre mon gland. Attends, j’ai une idée ! Allonge-toi sur le lit !
Alors que je m’exécutai, je vis Lucie revenir avec un grand tube de gel intime. La belle me badigeonna généreusement le chibre avec et prit position entre mes cuisses, accroupie aux pieds de son lit.

Lucie prit mon membre épais dans sa main gauche et tira fermement sur la peau de celui-ci pour me décalotter parfaitement le gland et surtout bien me tendre le frein. Elle dévorait mon sexe d’homme des yeux. Lentement, elle se mit à passer les doigts de sa main droite sur mon gland recouvert de ce gel chaud et onctueux.

- Hmmm… Tu as une si belle bite ! commenta-t-elle alors que je voyais et sentais ses doigts de fée glisser délicatement autour de mon gland.
Sa main gauche tenant mon chibre à sa base avec fermeté, la belle entreprit de me faire fondre en pétrissant lentement, lascivement le reste de mon sexe avec son autre main. Lucie me faisait gémir de plaisir. Quel pied ! La petite savait drôlement bien jouer avec une queue d’homme ; mieux que de la recevoir en elle. Lucie fixait tantôt ma queue, tantôt mon visage, pour s’assurer de l’intensité du plaisir procuré.

- Oh Lucie oui ! c’est trop bon bordel ! m’exclamai-je, alors qu’une coulée de mouille sortait lentement de mon bonbon d’amour en fusion.
Lucie ne disait plus rien, concentrée sur ses actes et sur les résultats.
Nu et allongé sur le bord de son lit, j’avais la belle Lucie accroupie entre mes cuisses. C’était à mon tour de m’offrir à elle, mes parties intimes bien en évidence. Lucie me pétrissait lentement le sexe et prenait un malin plaisir à faire glisser lentement et délicatement ses doigts si doux sur mon gland en fusion. La belle me faisait grimacer et gémir de plaisir.

- Oh Lucie… tu sais que tu me fais fondre la queue là ?
- Hmmm… ça me fait tout drôle de caresser la queue d’un homme. Enfin je veux dire, d’un « vrai ».
- Tu caresses souvent des queues ? Tu fais ça si bien…
- Des garçons de mon âge, oui. Mais là, c’est différent.
Je ne cherchai pas à en savoir plus. La belle blonde avait pris le contrôle sur moi et elle le savait. Elle me caressait lentement en me regardant dans les yeux, en scrutant la moindre de mes mimiques de plaisir. Me serrant le sexe et faisant glisser sa main vers de la base de celui-ci vers mon bonbon d’amour, la belle parvenait à faire couler de la mouille de mon gland. Son gel intime procurait une sensation de chaud qui dilatait mon chibre au maximum. La belle était gâtée ! Se mordant les lèvres, la belle se mit à me pétrir le manche à l’aide de ses deux mains qu’elle fit tournoyer tout autour. Je ne fis que rugir plus encore de plaisir. Sentir les mains de cette ado s’activer et glisser sur mon membre en rut me faisait bander comme jamais. Comment diable en étais-je arrivé à m’offrir de la sorte. Sans doute Lucie devait-elle mouiller comme pas permis à toucher et pétrir de sexe d’homme en rut, si long, dur et épais pour une jeune fille de son âge… Ses mains se faisaient de plus en plus actives, de plus en plus agiles. La belle Lucie semblait déterminée à faire gicler cette belle queue d’homme.

- Oh Lucie oui ! caresse-moi ! encore ! je sens que je ne vais pas tarder à exploser.
La belle blondinette ne dit rien et se contenta de gémir. Je sentis ses mains serrer mon membre en rut encore plus fort. La belle se masturbait énergiquement en fixant mon gland gonflé à bloc, prêt à exploser. Et se contentant de tenir mon chibre à sa base, la belle ouvrit la bouche et m’enfourna le sexe.

- Oh Lucie ! Ouiii ! gémis-je en sentant mon gland en fusion glisser dans sa bouche sensuelle.
La belle ado se mit à me pomper le dard, à me pétrir le manche tout en même temps, lentement, lascivement. Je sentais mon frein glisser le long de sa langue coquine. Lucie sortait mon membre épais de sa bouche pour reprendre son souffle avant de me renfourner de plus belle.

- Oh oui ta belle grosse bite ! elle est si bonne ! gémit-elle entre deux prises en bouche.
J’étais pour ma part au paradis à me faire sucer de la sorte. Voir cette petite me sucer et me lécher la queue décuplait mon excitation. Cela m’impressionnait plus encore que de simplement me la faire pétrir.

Cette petite salope chercha mes yeux tout en me suçant et fit glisser mon gland à l’agonie contre l’intérieur de ses joues. La coquine me tétait le gland et salivait généreusement. Excitée comme jamais, Lucie se mit même à me lécher et me sucer les boules avant de me renfourner le manche. La belle finissait toujours par une belle aspiration, juste au moment où mon bonbon d’amour arrivait entre ses lèvres.

- Je vais jouir ma belle ! je vais jouir ! la prévins-je alors que la belle blondinette s’évertuait à faire glisser mon gland en fusion entre ses lèvres.
J’avais la queue plus dure et grosse que jamais. J’allais exploser d’une seconde à l’autre.

Lucie retira alors mon dard en rut de sa bouche et reprit lentement ses caresses manuelles, dessinant notamment de petits cercles sur mon frein à l’aide de son pouce, mon gland emprisonné entre ses doigts. Des caresses aussi intenses que délicates qui me torturèrent de plaisir. De jouissance. Je ne pus me retenir plus longtemps. Les spasmes de l’orgasme électrocutèrent mon membre et mes parties. Lucie entrouvrit la bouche en s’attendant à voir jaillir mon sperme. Cela ne manqua pas. La belle me tenant le chibre à la verticale à l’aide de ses deux mains, je me mis à éjaculer entre ses doigts si délicats. De longues coulées de sperme jaillissaient de mon gland alors que je gémissais en regardant la belle Lucie dans les yeux. C’était comme si la belle cherchait elle aussi à capturer l’instant présent sur mon visage, émue et excitée tout à la fois de voir un homme exalter en plein orgasme.
- Oh oui ma belle ! Fais-moi jouir ! Oui ! gémis-je en m’abandonnant à ses caresses si subtiles.
La belle me sourit et se mordit les lèvres en voyant tout ce sperme chaud et onctueux couler de mon gros dard en fusion. Il en coulait sur ses doigts et cela ne semblait pas la déranger.
Lucie me fit éjaculer ainsi jusqu’au bout. En silence.

- Whaouh ! s’exclama-t-elle une fois mon orgasme terminé.
Pour ma part, je me sentais bien. Détendu. Au paradis.

Lucie et moi nous contentions d’échanger des sourires. D’amusement, de satisfaction. De gêne aussi. C’est toujours si délicat la fin d’un acte sexuel… A fortiori la première fois avec la petite sœur de mon meilleur ami.

- Tu veux que je te donne une serviette pour t’essuyer ? se contenta-t-elle de dire.
- Oui je veux bien, merci !
La jolie blondinette ne lâchait pas mon chibre encore gonflé d’excitation du regard.

- Tu crois que tu voudras bien un jour me la mettre dans la minette ! Je veux absolument la sentir en moi. Bien au fond.
- Oui ma belle. On remettra ça si tu veux. Pas de souci.
- Ok ! Bon, pas un mot de tout ça à mon frère, ça va sans dire ! Moi je vais aller prendre ma douche. Je te dis à tout à l’heure ?
- Oui ma belle, à tout à l’heure.
Lucie me laissa là, seul dans sa chambre. Je pris mon tour à la salle de bain, juste après elle. Lucie me croisa sur le pas de la porte de la salle d’eau enroulée dans une serviette éponge. Nous échangeâmes de doux regards. Coquins aussi. Lucie osa alors porter une main à mes parties. Elle se mordit les lèvres avant de me sourire. Malgré ce drôle d’événement et la douche qui s’en était suivie, la petite n’était pas calmée. A vrai dire, ce n’était que le commencement…
54 vote(s)


Histoire de Aasmoth

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Essayage chaussures et mini-jupe


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :