Estelle

(L’histoire que vous allez lire contient une part de fiction, notamment en ce qui concerne le cadre des événements)
Je suis Ange, l’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée alors que j’avais dix-sept ans, une semaine avant les épreuves du Bac, dans ma ville natale, au bord de l’Atlantique.

C’était un matin chaud et ensoleillé de mi-juin, la semaine avait été banalisée par le lycée pour nous permettre de réviser pour les examens. Cependant, je peux vous dire que n’ayant jamais eut besoin de réviser de ma vie pour arracher d’excellent résultats, je n’allais pas m’y mettre aujourd’hui ! Toutes ces précisions pour vous expliquez que je pouvais bien me permettre, alors que tous les autres élèves révisaient chez eux, de prendre une serviette de plage, d’enfiler un short de bain et de sauter sur mon vélo pour me rendre dans la magnifique crique à deux pas de là, où personne ne venait d’ordinaire.

Cette petite plage à l’abri des regards était une plage nudiste, or, puisque j’étais seul, comme d’habitude, je ne voyais aucune raison de ne pas me mettre à l’aise en enlevant mon short de bain. Après avoir posé mes affaires sur ma serviette étendue sur la plage, je me mis à l’eau d’un coup pour me rafraîchir. Ce que vous devez savoir, si vous avez déjà été vous baigner au bord de la Méditerranée, c’est que l’Atlantique n’a rien à voir : c’est un Océan, le vent y est plus fort, plus frais, les courants font bouger l’eau de sorte qu’elle n’a pas le temps de chauffer, donc, pour y entrer, il ne faut pas tergiverser pendant trois heures, il faut courir droit devant jusqu’à pouvoir se plonger entièrement sous les vagues. C’est une technique dure mais radicale, une fois mouillé de la tête aux pieds, autant rester dans l’eau pour de bon ! Mon corps était habitué à cette épreuve, après tout, j’avais toujours vécu ici, la mer, c’était mon domaine.

Il est temps de vous dire quelques mots sur mon physique. Je suis plutôt grand (1mètre 87), je suis assez maigre compte tenu de ma taille, mais mes pectoraux et mes abdominaux se détachent nettement (grâce à mes activités nautiques). Ma peau est naturellement hâlée, il suffit de terminer mon portrait en vous parlant de mes cheveux bruns clairs (presque châtains), que je laissais pousser depuis quelques temps et de la mèche qui tombe devant mes yeux bleu-gris (dont entre nous je suis plutôt fier) pour que vous ayez un aperçu de ma personne. Sans me vanter, je me trouve plutôt beau gosse !

Toujours est-il que lorsque l’on se baigne seul, on s’amuse bien moins qu’à plusieurs, donc je sortis rapidement de l’eau fraîche pour aller m’allonger sur ma serviette. Je me mis sur le dos et fermai les yeux, laissant ma peau dorer au soleil. Je sombrai dans le sommeil en me disant que j’aurais peut être du remettre mon short, au cas où quelqu’un arriverait, d’autant que j’avais un peu honte de la taille de mon sexe qui, au contact de l’eau avait abandonné ses dimension habituelles pour se ratatiner ridiculement…

Mon repos fut troublé par un bruit de pas, je me redressai en sursautant et tournai brusquement la tête vers le nouvel arrivant, ou plutôt, la nouvelle arrivante : une superbe créature qui devait avoir le même âge que moi, totalement nue !

Le premier moment de stupéfaction passé, je me rappelai que la plage était une plage nudiste, et je réussi à répondre au salut qu’elle m’adressa sans trop bafouiller. Mais comment ne pas être troublé par la présence d’une superbe fille comme elle !

Ses cheveux bruns tombaient dans son dos et sur ses seins, une frange caressait son front. Sa peau était au moins aussi bronzée que la mienne. Les courbes de ses hanches et de sa poitrine étaient toutes en harmonie : ses seins semblaient fermes, bien ronds, et ses tétons pointaient fièrement vers l’avant. Tout son corps était parfaitement épilé – sexe comprit- hormis un fin triangle de poils sur le pubis.

Elle me fit un sourire en voyant que je l’observais, et elle parcouru mon corps de son regard scrutateur. Je vis qu’elle avait marqué un bref arrêt au niveau de mon sexe et je me rendis compte alors que ma sieste avait dût être de courte durée car mon sexe n’avait toujours pas repris une taille normale. Je faillis rougir, puis me dis qu’après tout, je ne connaissais pas cette fille, quelle importance si elle pensait que j’avais un petit sexe ?

La fille s’installa à quelques mètres de moi, la petite taille de la crique ne permettant pas de faire plus. Elle sortit du sac qu’elle portait une paillasse de plage et l’étendit sur le sable chaud. Pendant l’opération, je pus observer sa superbe croupe, ses jambes fines à l’apparence si douce...

Un jet de sang vint gonfler ma verge, elle reprit une taille affichable. Je me ressaisis et réussit à contenir mon envie de bander. La fille venait de mettre des lunettes de soleil et sortit de la crème solaire. Elle regarda dans ma direction, et, croisant mon regard, me demanda si je voulais bien l’aider à mettre la crème dans son dos. Ma nature timide faillit me faire balbutier, mais je me maitrisai et acceptai. Elle s’allongea sur le ventre, et je vins m’agenouiller près d’elle. Je mis de la crème solaire sur mes doigts, puis commença à étaler la crème sur ses épaules, elle lâcha un gémissement au premier contact, car la crème était froide. Sa voix sensuelle m’excita au moins autant que le touché de son corps, je me mis à bander à moitié, mon sexe était déjà d’une taille peu discrète, si la fille se retournait maintenant, j’étais grillé ! J’ai donc pris l’initiative de passer chacun de mes genoux d’un côté du corps de la fille, ainsi j’étais dans son dos, au-dessus d’elle et elle ne pouvait pas voir mon sexe, et heureusement, car le fait de voir ma verge au dessus de son corps nu m’avait fait bander un peu plus franchement encore ! Si la fille se tournait vers moi maintenant, je ne pourrais cacher mon érection.

Je me mis à lui parler tout en lui massant le dos avec la crème :
-Tu…tu n’es pas d’ici n’est-ce pas ?

-J’étais aux Etats-Unis, dans un lycée privé, et je suis revenu ce week-end à Paris pour pouvoir passer les épreuves du Bac en France. Mais comme ce n’est que la semaine prochaine et que je suis en avance sur le programme français, je me suis dis que je pouvais profiter de la semaine et venir ici !

J’appris donc qu’elle aussi ne se faisait pas de soucis pour les examens, elle me parla un peu de ses riches parents qui lui avaient payé les meilleures études possibles, en retour je lui parlai de ma vie ici, d’un tas de choses futiles, de ma passion pour la voile…

-C’est vrai ? Tu crois que tu pourrais me faire faire un tour? me dit-elle à ce sujet.

Je lui proposai de l’emmener l’après midi-même, n’ayant de toutes façons pas grand choses à faire, elle accepta.

Pendant ce temps, mes mains étaient arrivées au bas de son dos, tout près de son cul aux proportions idéales, je les enlevais de son dos quand elle me dit :

-Continue, ne t’en fais pas, on est entre nous non ?

-Euh…d’accord, balbutiai-je en m’exécutant, (me mettant du coup à bander comme un cerf en rut).

-Au fait, comment tu t’appelles ? me demanda-t-elle

-Ange, lui répondis-je. Et toi ?

Je fis en sorte de ne pas poser la paume de la main sur ses fesses, et de mettre la crème solaire uniquement à l’aide de mes doigts, de sorte qu’elle ne pense pas que je la tripotais.

-Estelle, me dit-elle. Tu t’appelles vraiment Ange ? C’est un superbe prénom, je trouve qu’il te va bien…

Elle tourna son buste vers moi soudainement pour m’observer, n’ayant pas prévu cela je ne pu dissimuler ma verge gonflée par l’excitation. Estelle ouvrit grand les yeux, surprise, puis lança d’une voix mi-amusée mi-troublée :

-Eh bien…ça va mieux que tout à l’heure on dirait !

-Tu en vaux bien la peine, lui répondis-je en essayant de ne pas trop passer pour un crétin.

Elle me sourit adorablement, et, en me prenant la crème solaire des mains me dit avec une voix chargée de sous-entendus :

-Merci beaucoup Ange, à mon tour de m’occuper de toi…

Elle se redressa sur ses genoux, se saisit de ma verge avec l’une de ses mains, tandis que l’autre vint se poser sur mon visage pour le caresser avec douceur. Elle approcha son visage du mien, et m’embrassa avec passion. Pendant ce temps, la main qui tenait mon pénis se serra un peu et se mit à faire des aller-retour en décalottant mon gland. Mon sexe me faisait maintenant honneur : il avait atteint la dimension maximum que je lui connaissais, assez long, même pour quelqu’un de grande taille comme moi, de largeur moyenne, mais mon gland était énorme !

Estelle stoppa notre baiser et me fit signe de me coucher sur le dos. Elle se plaça au dessus de moi, une jambe de chaque côté de mon corps, puis se mit à embrasser mes pectoraux où ruisselait la sueur causée par la chaleur et le désir. Sa main reprit son travail le long de ma hampe, tandis que sa bouche descendait doucement, léchant mes abdominaux. Je fermai les yeux, pour mieux profiter de ses caresse et me noyer un trop court instant dans les sensations provoquées par son touché. Sa bouche atteignit mon pubis, descendit encore un peu et se mit à embrasser mes bourses, puis à les lécher…Elle décolla ses lèvres puis sa langue vint se poser sur mon gland turgescent avant de couvrir toute la taille de mon sexe de sa salive. Quand Estelle se décida enfin à mettre mon gland dans sa bouche, j’ouvris mes paupières pour la contempler : sa frange cachait ses yeux mais je jurerais qu’ils étaient captivés par ma verge. La superbe brune enfonça mon épée de chair très profond dans le fourreau que formait sa bouche, on aurait dit qu’elle voulait essayer de loger ma hampe entière entre ses lèvres, même alors que je touchais presque sa gorge avec ma bite ! Estelle commença ensuite à faire de rapides mouvements de tête tout en tenant la base de mon sexe avec ses fins doigts. Ce fut une fellation magistrale, mon excitation était accentuée par le fait que l’on se trouvait à l’extérieur, et que, même si j’en doutais, quelqu’un pouvais bien se trouver derrière un arbre à nous observer !

Le plaisir était extrême, je sentis la jouissance venir :

-Je vais jouir ! m’exclamai-je, pour prévenir Estelle.

Celle-ci continua sa fellation avec d’autant plus d’acharnement, elle voulait aller jusqu’au bout !

Je ne pu tenir très longtemps à ce rythme, le plaisir monta rapidement, me menant aux portes de l’extase, je jouis en un gémissement, libérant mon foutre entre les lèvres d’Estelle qui me regarda droit dans les yeux en avalant ma semence entièrement. Elle revint se mettre au niveau de mon visage et m’embrassa avec douceur, sa langue portait encore le goût amer de mon propre sperme, le goût du plaisir sexuel.

-Diablesse, lui murmurai-je avec reconnaissance.

Je voulus alors lui rendre ce plaisir qu’elle m’avait procuré, je lui embrassai le cou, et d’une torsion de mon corps, la fit passer au-dessous de moi, ma bouche descendit vers sa poitrine, mes doigts pincèrent l’un de ses tétons tandis que ma bouche suçait l’autre. Tandis que mon autre main prenait la relève à la place de ma bouche, je descendis mes lèvres le long de son doux ventre chaud. Estelle soupirais sous mes caresses passionnées. Je lui laissai le soin de s’occuper de ses seins, et glissai mes doigts vers son intimité, je les fis passer dans la fine toison pubienne, puis j’écartai ses grandes lèvres et me mis à lécher son clitoris tout en glissant un doigt dans son vagin. La diablesse qui m’avait donné tant de plaisir était maintenant en train de recevoir le même sort. Elle gémissait sous les assauts du plaisir, elle mouillait abondamment. Après quelques instants de ce délicieux châtiment, elle s’exclama :

-Viens en moi, Ange !

Je caressai ma bite qui avait reprit de la vigueur jusqu’à ce qu’elle redevienne toute à fait dure et prête à pénétrer la donzelle qui n’attendait que ça ! Je me saisis de ses jambes et les fit passer par-dessus mes épaules, puis, je centrai mon gland sur sa chatte et commençai doucement à l’enfoncer, progressivement, sans brutalité. Mes mains tenaient ses jambes pendant que je l’empalais sur mon pieu de chair, mon gland partait en exploration dans cette grotte serrée autour de ma hampe. Estelle criait de plaisir, écartelée par mon membre :

-Oh oui Ange, plus fort !

Je me mis à donner de puissants coups de reins, faisant crier ma partenaire chaque fois que ma verge touchait le fond de son vagin. Puis ma puissance se mua en vitesse et Estelle poussa une succession de petit hurlements excitants, qui me firent accélérer de plus belle ! Je lui limai la chatte avec ardeur. La position étant toutefois assez inconfortable pour Estelle, puisque son dos était sur la paillasse, je la fis se retourner pour la prendre en levrette. Dans cette position, ma verge pouvait aller plus profond entre ses cuisses, et je pouvais également lui tenir les bras tendus dans son dos pour l’attirer sur ma hampe. Elle fermait les yeux, se laissant totalement submerger par le plaisir. Elle se cambrait pour permettre à mon sexe d’aller plus loin en elle. Ses gémissements se firent de plus en plus forts. Elle allait jouir ! A cet instant, Estelle aurait fait n’importe quoi pour que je ne m’arrête pas de la pilonner, je le savais. Mais je ne me servis pas de ma position de force et me résignai à emmener cette superbe fille excitée jusqu’à la jouissance. Je continuai donc à la prendre sur la plage déserte jusqu’à ce qu’elle s’écroule sous moi dans un gémissement, submergée par l’ orgasme. Cependant, comme je n’avais pas jouis, Estelle se força à se mettre à genoux devant moi, qui me redressai afin de lui permettre de finir son œuvre.

-Utilise ma bouche pour jouir, me dit-elle d’une voix faible, encore épuisée.

Je compris qu’elle n’avait plus la force de me sucer, je mis donc mon sexe entre ses lèvres, saisit sa tête et lui fit faire des mouvements de va-et-vient le long de ma queue, puis je jouis une nouvelle fois dans sa bouche. Nous avons enfin pu nous écrouler ensemble, enlacés dans une odeur inimitable de sueur, de sperme et d’iode.

Voilà comment se termina une matinée mémorable. Je revis Estelle l’après-midi pour l’emmener faire un tour de voile, comme convenu, (et nous avons stoppé en mer pour répéter nos activités endiablées !) L’histoire avec Estelle fut ma première aventure avec quelqu’un que je ne connaissais qu’à peine, je ne fus pas déçu !

J’espère que mon histoire vous a plu, n’hésiter pas à commenter (en bien ou en mal) pour que je sache ce que vous en avez pensé !