Et pourquoi pas belle-maman 4

Les orteils voyagent sur la fente de laure qui fait les gros yeux à son gendre, elle se dit si Clarisse les surprend, c'est la catastrophe. Le coquin, inconscient, continue de chauffer belle-maman. Entre deux bouchées, elle pousse un petit soupir, la tension monte dans le corps de Laure. Sa culotte est trempée, soudain, elle ne tient plus, elle est rouge vif. Sa fille remarque qu'elle ne va pas bien et lui dit, inquiète :

-Ça ne va pas maman, tu es toute rouge !

C'est en béguant qu'elle repond :

-Oh un coup de chaleur, tu sais à mon âge, c'est fréquent, je vais me rafraichir le visage, cela ira mieux ensuite !


Elle repousse le pied, se lève et se rend à la salle de bain. Elle s'aperge le visage d'eau, souffle plusieurs fois, pour faire retomber la tension. Passe sa main sous sa jupe, presse fortement sa chatte qui est brulante. Elle se dit en se regardant dans le miroir, je suis une grosse salope, une catin immonde. Enfin, elle reprend ses esprits et revient à table, non sans donner au passage un gros baiser à sa fille, comme pour se faire pardonner. Clarisse est surprise pas ce baiser bruyant, elle regarde sa maman en lui faisant un large sourire. Le repas terminé, Laure très perturbée rejoint sa chambre, elle se jette sur son lit, prise de remords, elle est très nerveuse. Sa fille connait très bien sa maman, elle sait qu'il se passe quelque chose d'anormal. Elle monte la rejoindre, ouvre la porte sans frapper et s'assied à côté d'elle. Très inquiète, elle demande à sa maman :

-Maman, tu es malade, il y à quelque qui ne va pas ?

-Ça va ma chérie, juste un coup de fatigue, cela va passer !

Pas très satisfait de la réponse, Clarisse se résout à laisser seule sa maman. Les jours passent, les deux amants se retrouvent régulièrement pour des instants de délires magiques. Un jour, Clarisse doit accompagner son patron pour un gros contrat, l'absence doit être de trois jours, mais elle s'écourte, car cela se passe très bien. Clarisse rentre plutôt que prévu, elle entre chez elle, les enfants sont à l'école. Personne dans le salon n'y à la cuisine. Elle pose ses affaire et monte à l'étage, en passant devant la porte de sa maman, elle entend de bruits étranges. Elle ouvre doucement la porte. Sans cœur cesse de battre, son mari, est entre les cuisses de sa maman et lui bourre le ventre de coups de bélier redoutables qui la font geindre comme une bête en rut. Pour seule réaction, elle dit en tremblant :

-Oh pardon !

Puis disparait au salon, elle tombe sur le canapé prostré, ses yeux sont hagards. Rapidement les deux amants la rejoignent, Laure enlace sa fille et l'implore de lui pardonner ce moment d'égarement. Quant à Romain, il est dans son coin comme un chien que l'on a grondé. Les yeux des deux femmes sont noyés de larmes. L'amour que Clarisse porte à sa maman et à son mari est si fort, qu'elle serre très fort sa maman. Celle-ci comprend que sa fille, bien que cela lui coute beaucoup, vient de lui pardonner son écart. Au fil des jours, l'atmosphère se détend. Clarisse n'est pas dupe, elle sait que les deux amants se voient secrètement pour ébattre. Dans un sens, elle se dit que sa maman de 68 ans, a droit, elle aussi, à des plaisirs sexuels, mais le hic, c'est que c'est avec son mari Romain. Petit à petit, Clarisse s'y fait, elle fait celle qui ne voit rien. 6


Chaque soir, les deux femmes devant la télé se blottissent l'une contre l'autre, Romain lui est dans son fauteuil, il observe en ne disant aucun mot, il est même ravi que sa femme ne leur tient pas rigueur de ce débordement adultérin que les deux amants entretiennent encore, qu'ils croient à son insu. Ma pas folle la guêpe, quelques fois, elle surprend de petits gestes de son mari, a à l'égard de sa maman, cela la fait sourire intérieurement. Un soir, Laure et très nerveuse voir très agitée, elle se lève, embrasse sa fille et son gendre et rejoint sa chambre, l'appelle des sens est si fort, que Clarisse regarde son mari et lui dit :

-Va la retrouver mon chéri !

Romain croît rêvé, il regarde sa femme qui doit lui répéter :

-Va la rejoindre mon chéri, elle à vraiment besoin de toi !

Romain rejoint son amante pour un long moment de bonheur. Lorsqu'il retrouve sa chambre, sa femme et déjà dans le lit, un peu gêné, il s'allonge à côté d'elle, elle tourne la tête vers lui et lui demande :

-Comment c'est avec maman !

-Surpris par une telle demande, Romain répond avec des trémolos dans la voix :

-C'est très chaud !

Clarisse lui demande de préciser :

-Hum eh bien, elle raffole de ce que tu m'as toujours refusée !

Clarisse fronce les sourcils et réplique :

- Explique-toi mon chéri, je ne comprends rien à ce que tu me racontes !

-Ta maman affectionne la sodomie, voila cela répond à ta question !

Clarisse sursaute :

-Elle se fait prendre par derrière ?


-Oh oui, elle en est même friande de la sodomie ta maman, elle jouit comme un dingue !

Clarisse sursaute et dit :

-Et toi, qu'est-ce que tu ressens lorsque, tu la prend par derrière ?

- Moi, pour être franc, ma chérie, j'adore, elle est si serrée de ce côté, que ma jouissance en est décuplée !

Clarisse se blottit contre son mari, en ronronnant, rêveuse, elle pousse de nombreux soupirs avant de s'endormir. Maintenant, lorsque belle-maman et demandeuse, Romain se fait un devoir d'assouvir ses élans charnels, avec la bénédiction de sa femme. Depuis lorsqu'il fait l'amour à Clarisse, celle-ci est plus ardente, c'est même devenu un brasier. Un soir que belle-maman était en manque, Romain se rend dans sa chambre pour éteindre le feu qui dévore le corps de la demandeuse. Il la démonte comme un beau diable, Laure gémit comme une damnée sous les coups de reins violents de son gendre. Clarisse bout de curiosité, elle ouvre la porte de la chambre de sa maman et va s'assoir sur une chaise en face des amants. Romain regarde sa femme en souriant, Laure, elle, pâme sous les coups de bélier de son gendre.

Romain fait prendre à belle-maman, la position adéquate pour la sodomie. Elle se met à quatre pattes, pose sa tête entre ses bras et cambre fortement sa croupe. La position ainsi, adoptée permet une pénétration très profonde de la verge dans le rectum. Romain regarde sa femme et place son mandrin contre l'anus et sans préparation de Laure en souriant, donne, un violent coup de reins, Laure se cabre en grimaçant, le pieu monstrueux s'enfonce jusqu'à la garde dans son conduit étroit. Le coquin lui démonte le cul comme un soudard, Laure agite sa croupe fortement en couinant de plaisir. Clarisse regarde avec attention la verge de son mari, entrer et ressortir du cul de sa maman qui gémit comme une bête blessée. La coquine chaudasse se cabre et jouit du cul comme pas possible, Romain
ne tarde pas à lui remplir le rectum de sa semence visqueuse. Clarisse reste béate devant tant râles et de couinements. Elle regarde le trou béant que son pari vient de libérer, un filet de sperme s'échappe de l'anus qui, prit de spasmes, ne cesse de s'ouvrir et de se refermer constamment.

La voyeuse Clarisse se retire pour laisser terminer les amants. Elle rejoint sa chambre, elle se jette sur le lit, sa chatte mouille affreusement.