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Noëla (7ème partie)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 06/02/2023

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Nous étions le samedi matin et je n’avais rien prévu de particulier. Alors, quand ma femme m’annonça qu’elle voulait aller rendre visite à sa mère, je ne bronchais pas et me préparais à aller faire une balade en moto.
Au moment où j’allais partir, mon téléphone sonna.
-Sky ? Je suis tombée hier soir dans les escaliers et je me suis fait mal. Je n’arrive pas à bouger. Tu pourrais venir voir s’il te plaît ?
-Oui, j’arrive !
Je récupérais vite fait de la pommade décontractante et une autre pour calmer la douleur et je filais chez ma belle-fille.
Je déposais ma moto dans sa cour, j’entrais directement avec mon double de clé et j’allais dans sa chambre.
-Salut Chérie ! Ça va ? Pas trop mal ? Noë était allongée sur le côté droit et elle ne bougeait pas.
-Siiiiii ! J’ai mal là ! dit-elle en passant sa main au niveau des lombaires.
-Bon, on va voir ça. Allonge-toi sur le ventre.
Noë le fit avec difficulté et, en soulevant son tee-shirt, je pus constater qu’elle n’avait pas de lésion ni d’hématome. La zone était un peu rouge, mais normal après une chute dans les escaliers.
-Ton dos a frotté sur les marches, non ?
-Oui.
-Et tu n’as pas mal aux fesses ?
-Si, mon coccyx me fait mal aussi.
Je baissais son slip rose bonbon et je constatais que là aussi, c’était simplement rougi. C’était très excitant de voir le haut de la raie des fesses de ma petite salope ainsi dénudée, mais ce n’était pas le moment.
-Bon, va falloir enlever ton tee-shirt pour que je puisse te faire un petit massage.
-Tu peux m’aider ?
J’aidais donc Noë à retirer son haut, après avoir écarté le drap et elle se retrouvait donc torse nu simplement vêtue de sa petite culotte vert pastelle, style shorty, qui lui moulait vraiment les fesses. La vue était très agréable.
Je pris mon tube de pommade et commençais le massage du dos de ma belle tentatrice. Son dos était musclé et en même temps, il s’y trouvait de bons petits bourrelets et des poignées d’amour sur les côtés. Pas grosse du tout, la gamine était juste ce qu’il faut d’enrobée dans une petite couche de bien-être. Je massais son dos depuis les épaules jusqu’à la naissance de son fessier pendant au moins quinze minutes. De temps en temps, mes mains s’écartaient un peu pour aller frôler la base de ses seins sur les côtés. Noë ne bougeait pas et semblait s’endormir, sa respiration devenant plus régulière.
J’abandonnais la crème et j’allais me laver les mains pour prendre le flacon d’huile de massage que j’avais dans mon nécessaire à massage.
J’en enduis mes mains et commençais à masser ses pieds. Je procédais par des petits mouvements en cercle sur la plante, puis je massais les doigts. Je passais ensuite au niveau des chevilles que j’enroulais avec des gestes lents et moyennement appuyés. Pour les jambes, J’ai préféré passer à d’amples mouvements des genoux jusqu’aux chevilles.
Je suis ensuite passé aux cuisses, de la même façon, avec de longs frottements. Au bout de quelques aller-retours, j’ai commencé à monter un peu plus haut à chaque passage pour finir par bien masser les fesses. Mais comme son shorty me gênait, j’ai mis mes mains de chaque côté, j’ai attrapé la ceinture du sous-vêtement et j’ai tiré dessus délicatement jusqu’aux pieds, centimètre par centimètre et j’ai réussi à lui retirer complètement, sans même la réveiller. Noë, qui dormait visiblement profondément, avait maintenant les fesses à l’air.
Je profitais de son sommeil pour retirer mes vêtement car j’avais maintenant une idée bien précise de la suite du massage.
J’ai fait couler un peu d’huile sur ses deux globes ainsi qu’entre ceux-ci et j’ai massé doucement chaque fesse. A chaque fois, je passais mes doigts dans sa raie, un peu plus profond. Je poursuivais ma progression en passant sur son anus, en le frôlant la première fois, puis en le touchant, puis en appuyant dessus. Je finis par insister dessus de plus en plus. Je remis un peu d’huile de massage sur sa raie, au niveau de son petit trou et je forçais son passage. Mon index, lui aussi bien huilé, pénétra sans difficulté, avant d’être rejoint par un deuxième doigt et enfin un troisième. Quand ce dernier la pénétra, Noëla émis un petit gémissement qui m’avertis qu’elle était maintenant réveillée et bien consciente de ce que je lui faisais et elle semblait apprécier.
Je retirais donc mes doigts après quelques aller-retours et vint me positionner au-dessus d’elle. Je plaçais mon gland juste devant son anus et je le fis entrer lentement dans son anus. Ma queue toute entière finit par la pénétrer.
-Oh oui …. Encule-moi Sky ! J’en ai tellement envie ! Je veux être ta chienne, je suis ta salope ! Défonce-moi fort !
Sans rien dire, je commençais mes mouvements au fond de son canal qui était plus serré que son vagin. Je ressentais chaque déformation de son canal et la sensation était très érotique. Je n’arrivais pas à ressentir ma queue tout au fond de son fondement, à cause de sa position allongée, mais je savais que j’aurais du mal à tenir longtemps tellement le ressenti était fort.
Noë me demanda alors d’arrêter.
-Je te fais mal ? demandais-je, inquiet.
-Non, pas du tout, au contraire ! Je veux te sentir plus ! Et elle se mit à quatre pattes, les fesses en l’air et la tête reposée sur le matelas.
-Viens Grosse Queue ! Mets-là moi bien profond dans le cul !
Je me positionnais derrière elle et la pénétrais d’un coup sec. Elle poussa un cri aigu suivi d’un long râle de plaisir.
-Oh ouiiiiiiiiii ! Baise-moi Dady Sky ! Mets-moi ta queue tout au fond ! Fais-moi du bien !
Je la limais ainsi pendant un bon moment, sentant les couilles aller frapper sa vulve et son clitoris à chaque fois. Je regardais mon membre entrer et sortir d’entre ses grosses fesses que je frappais de temps en temps d’une bonne claque bien sonore.
Et, après quelques aller-retours violents, je sentis ma queue se tendre, être plus serrée et je lâchais plusieurs jets de sperme tout au fond de ses entrailles. Dans le même temps, Noëla hurla qu’elle jouissait comme jamais et après plusieurs « oui », elle s’écroula sur le côté, m’emportant avec elle dans sa chute. Nous nous retrouvâmes allongés sur le côté, toujours collés l’un à l’autre.
Après quelques minutes pendant lesquelles nous ne bougeâmes pas, mais où nous échangions quelques mots doux, ma belle-fille se retourna vers moi.
-Tu sais que là, j’ai plus du tout mal au dos ? Tu crois que ça va durer ?
-Je ne sais pas ma puce, je te le souhaite ! Sinon, je te remettrai un bon coup de queue !
-Nous restâmes ainsi encore quelques minutes, puis je lui dis que je devais repartir au cas où sa mère décidait de rentrer. Après une rapide douche, je filais pour rentrer chez moi.
Ce soir-là, quand ma femme rentra, j’étais endormi depuis un bon moment, repu et épuisé par cette baise intense de l’après-midi. Je ne la sentis même pas se coucher.
Le samedi matin, elle m’annonça qu’elle était passée chez sa fille et qu’elles avaient discuté un bon moment. Elle semblait contente d’avoir passé du temps avec Noëla. Et alors qu’elle racontait tout ce qu’elles s’étaient dites, elle m’annonça qu’elle soupçonnait sa fille d’avoir un nouvel amant et qu’il devait bien la satisfaire parce qu’elle avait les yeux d’une fille bien baisée quand elle était arrivée chez elle. J’éclatais de rire et ma femme aussi, mais pas pour les mêmes raisons certainement. Elle m’annonça alors qu’elle l’avait invitée à venir passer un moment avec nous aujourd’hui. Je trouvais que c’était une excellente nouvelle !
Quand ma belle-fille arriva, elle était resplendissante. J’allais l’accueillir dans le hall. Elle portait une grande robe orange à bretelles, qui laissait voir qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Je voulais savoir si elle portait un string ou une culotte quelconque. Je la pris dans mes bras, lui fit quatre bises parentales, pendant que, dans son dos et donc hors de portée visuelle de sa mère si elle approchait, je lui mettais une main sur les fesses avant de la faire descendre le long de sa raie jusqu’à sa vulve. En remontant, je poursuivis jusqu’aux reins et je pus sentir l’épaisseur d’un string.
-Tu es chiche d’aller aux toilettes et de retirer ton string ?
-Y’a maman !
-Et alors ?
-D’accord !
Je la lâchais et elle entra.
-Salut Maman ! Tu vas bien ?
-Oui, très bien ! J’ai bien dormi !
-Je vais aux toilettes !
Pendant qu’elle s’était absentée, Charline vint me voir.
-Qu’est-ce qu’elle t’a dit ?
-Rien de particulier ! Je lui faisais un câlin parce que ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue et ça m’a fait du bien !
-Hum, toi et ta fille ! (Charline et moi avons toujours considéré Noë comme ma propre fille… jusqu’à il y a quelques jours!)
Quand Noë sortit des toilettes, elle vint vers moi tandis que sa mère était à la cuisine et elle me donna son string directement dans la main, après me l’avoir mis sous le nez. Je n’avais pas eu le temps de sentir son odeur, alors je le portais encore à portée d’odorat et je me régalais quelques secondes de son parfum intime. Heureusement, sa mère ne remarqua rien.
Pendant que Charline était dans la cuisine, séparée du salon par un simple comptoir, Noë et moi étions derrière ce dernier. Noë échangeait des propos que je n’écoutais pas avec sa mère. Je regardais, pour ma part, mon téléphone, pour donner le change. Mais avec ma main gauche, je caressais la cuisse droite de ma maîtresse, qui était assise sur le tabouret voisin du mien. Noë écartait ses cuisses pour me permettre de progresser versa sa chatte. La salope avait envie d’être tripotée en présence de sa mère. Sa perversité grandissait chaque jour et cela m’impressionnait vraiment et me plaisait de plus en plus.
J’avais maintenant un doigt sur la vulve et j’écartais ses grandes lèvres avec deux doigts. Mes doigts oscillaient entre son clitoris et sa vulve qui s’ouvrait de plus en plus. Je finis par pouvoir introduire un doigt dans sa chatte. Comme je voyais que son excitation grandissait, je ressortais mon doigt et le portais à mon nez puis ma bouche. Quel délice !
Noë avait, elle, porté sa main droite sur mon jeans, et elle massait ma queue à travers le tissu.
Je quittais alors la pièce et me rendis dans la salle de bain.
-Papa, je peux te demander un truc ? C’est au sujet de ma voiture.
-Oui, c’est quoi ?
A ce moment, je la vis arriver vers moi dans la salle de bain. Elle repoussa la porte et introduit sa main dans mon jeans et mon caleçon. Elle attrapa ma queue et la serra fort.
-J’ai tellement envie de ton engin !
J’ouvris alors mon jeans et sortis ma queue. Aussitôt, elle s’agenouilla et pris ma bite dans sa bouche où elle l’introduit entièrement. Elle me suça quelques instants, se releva et sortit pour rejoindre sa mère. Pendant ce temps, je remballais mon matériel. Je ne voulais pas me masturber car je soupçonnais qu’il allait se passer d’autres choses aujourd’hui. Et tandis que j’étais en train de remonter mon jeans, Noëla réapparut et elle s’appuya sur le plan de travail de la salle de bain tout en remontant sa robe sur ses fesses.
-Mets la moi ! Vite !
Je rebaissais mes habits et la pénétra sans difficulté tellement elle était détrempée. Au moment où je poussais pour lui enfoncer ma queue jusqu’à son col de l’utérus, elle émit un feulement feutré et un soupir de soulagement.
-Hum, c’est bon !
Je fis quelques aller-retours et je ressortis de sa chatte qui me faisait tellement envie. Elle rebaissa sa robe et retourna vers sa mère.
-Maman, tu as besoin d’aide ?
-Non c’est bon, j’ai fini dans deux minutes et on pourra se poser un peu.
-Ah papa, j’ai oublié de te dire !
Elle revint, s’agenouilla devant moi et repris ma queue en bouche. Elle me suçait, me pompait même tellement elle aspirait ma verge comme pour en faire sortir plus vite le sperme ? Elle me masturbait en même temps.
J’étais tellement excité et la situation était tellement osée et risquée, que je ne tardai pas à sentir mon plaisir monter. Je fis signe à Noë, qui continua de plus belle jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. Je poussais sur ma queue pour éjaculer tout au fond de sa gorge, afin qu’il n’y en ai pas qui tombe sur sa robe. Ce serait dommage qu’on soit découvert de cette façon !
Noë avala toute ma semence que je lui balançais au fond du gosier. Il n’y avait aucune trace de sa forfaiture. Rien ne laissait supposer ce qu’elle venait de faire, si ce n’est son haleine. Je me rhabillais vite faire et regagna la cuisine en même temps que ma petite salope, qui venait de me sucer alors même que sa mère était juste à côté.
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Histoire de Sky

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Commentaires du récit : Noëla (7ème partie)

Le 16/10/2023 - 21:57 par Sky
J'avoue avoir fait de gros efforts d'écriture car pour moi, une histoire bien écrite est forcément plus intéressante qu'un récit plein de fautes
Le 16/10/2023 - 09:47 par Bigben0308
Quel délice cette histoire

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