Et pourquoi pas belle-maman 5

Clarisse est étendue sur son lit. Ce qu'elle vient de voir dans la chambre de sa maman l'a mise dans un état d'excitation pas possible. Elle semble ailleurs, ses yeux sont écarquillés au maximum. Sa main caresse son torse, à travers le corsage, presse ses seins avec force. Puis se dirige lentement vers son entrejambe, elle le frotte un long moment, avant de décider de retirer sa culotte, et de retrousser sa jupe. Ses doigts passent sur sa fente humide, pressent doucement les grandes lèvres, avant de chercher le clito qui est deja gonflé de désir. Lorsqu'elle le saisit, elle pousse un long gémissement rauque. Ses doigts agiles branlent de plus en plus vite la boule sensible. Sa chatte est devenue une fontaine intarissable.

C'est tellement intense que Clarisse est au bord de la syncope. Ses doigts plongent profondément dans l'antre, tournent, rageusement dedans, et ramonent le conduit en feu. Clarisse a encore sous les yeux, le corps de sa maman foré puissamment par la queue de son mari. Elle revoit le membre coulisser dans le rectum de sa maman friande de sodomie.

Ses doigts descendent jusqu'à son anus, l'un deux tourne sur l'anneau inviolé, appuie dessus, le muscle cède et avale la première phalange du visiteur. Clarisse se cabre en grognant, le doigt disparait entièrement dans son rectum. La coquine fait quelques allers et retours, en provoquant chez elle un grognement rauque. De son autre main, elle agresse son clito qui est devenu méconnaissable. La vitesse de pénétration augmente. Clarisse se sent défaillir, son bassin s'agite fortement. La tension progresse dans son corps, à vitesse grand V.

Elle souffle en ondulant du bas-ventre, soudain, elle se cambre et jouit du cul pour la première fois de sa vie. C'est monstrueux, elle est prise comme par des convulsions qui la font gémir comme un animal blessé. Son ventre est secoué de spasmes violents. Clarisse ne cesse de répéter :

-Oh mon Dieu, oh mon Dieu, c'est monstrueusement bon !

Elle ravale sa salive, puis enfonce un second doigt pour venir en aide au premier, elle se fouille le cul avec rage, les doigts qui tournent dans l'étroit conduit, la font couiner de plaisir. La tension est telle qu'elle se tend comme un arc en grimaçant et jouit du cul pour la seconde fois. Elle ralentit la vitesse de pénétration, elle haléte fortement en écumant de salive. Elle retire les sodomites, se caresse logement l'anus frétillant, qui est encore ouvert. Ses yeux sont embués, sa respiration et rapide. Elle presse doucement son clito, elle se cabre en soufflant fortement. Elle le re-branle encore, elle veut encore jouir, tout en se masturbant énergiquement, trois intrus s'emparent de son anus et le fouille, à lui en faire perdre la tête. La gaine anale se distend sous le pilonnage des agresseurs, qui veulent la faire jouir à nouveau.


Clarisse pâme de plaisir, sa croupe s'agite comme une danseuse orientale. Ses gémissements sont presque inhumains. Le ramonage efficace fait cabrer Clarisse qui jouit encore du cul, mais plus intensément cette fois. Le lit est trempé de son jus qui gicle à cache jouissance. Elle est si épuisée qu'elle s'endort comme une masse, sans avoir la force de tirer les draps sur elle. Romain la retrouve jambes écartées, sa main sur sa vulve qui laisse encore échapper le surplus, produit par les jouissances successives. Avec délicatesse, il lui ouvre le corsage et libère du carcan de tissu les seins emprisonnés. Il regarde les mamelons qui sont encore dressés, il n'a aucun doute sur ce que faisait sa femme avant de s'endormir. Il s'alloge à côté, elle, et se colle bien contre ce corps chaud, qu'il desir autant que celui de sa belle-maman.


Les jours passent, tous sembles heureux. Romain ne se gêne plus, il caresse les fesses de sa belle-maman en présente de sa femme, qui sourit en voyant sa maman frissonner. Laure, lors d'excitation féroce, bascule régulièrement son gendre sur le canapé et lui extirpe la queue de son pantalon pour lui faire une fellation terrible, Clarisse souvent prend la relève, en général, c'est elle qui avale la semence que lui offre son mari, les deux femmes partagent le même homme sans s'offusquer. À chacun leur tour, elles deviennent voyeuses. Clarisse, envie sa maman lorsqu'elle se fait planter le cul par la belle queue de Romain. Elle se dit, qu'il faut qu'elle passe à la sodomie, elle aussi.


Enfin, elle decide de le faire, Romain est heureux de cette décision. Il en parle à sa belle-maman qui demande à assister à la séance d'initiation. Clarisse sourit à sa maman, elle va dans la salle de bain pour se préparer, quelques ablutions sont nécessaires. Elle ressort de la salle de bain, en peignoir, et monte dans la chambre, les enfants sont devant un dessin animé. Romain attend sa femme de pied ferme, il est entièrement nu. Belle-maman, elle, prend, place sur une chaise bien rembourrée qui se trouve dans la chambre. Clarisse ôte son peignoir, et s'étend sur le lit, jambes ouvertes. Romain s'approche et caresse la chatte qui rapidement se met en ébullition, il agace le clito du bout des doigts puis le gobe voracement. Clarisse se met à geindre de plaisir. La bouche tète et suce le bouton comme un bonbon, Laure regarde avec attention la bouche affamée dévorer la vulve de sa fille. Elle devient fébrile, serre les cuisses, car sa chatte commence à suinter fortement.


Clarisse pousse un cri, se cabre et jouit. Romain lui demande de prend la position, savoir qu'il va enculer sa femme pour la première fois, le salaud bande comme un âne. Comme elle à vu sa maman le faire, elle pose sa tête sur ses avants bras, et cambre sa croupe le plus possible.


Romain crache sur l'anus, étale la salive sur l'œillet en appuyant avec son majeur. Le doigt s'enfonce lentement dans la gaine. Clarisse gémit doucement, le doigt est maintenant, entièrement dans son rectum. Quelques petits aller et retour sont utiles pour habituer le rectum au doigt. Romain le fait tourner, et faisant un petit ramonage bien dosé. Clarisse, agite son bassin en grognant. Romain retire l'intrus et plaque sa bouche sur l'anneau ridé, il lèche, aspire, puis force l'entrée avec sa langue rapeuse. Clarisse pousse un gémissement qui prouve qu'elle apprécit ce genre de traitement. La langue fouille le plus loin possible la gaine étroite en tentant de l'assouplir.


Enfin, il place sa queue, qu'il à prit soin de décalottée contre l'entrée de service. Il saisit sa femme par les hanches et pousse sans discontinuer. Clarisse grimace, elle souffle comme un bœuf, l'anneau cède sous la poussée prolongée, et s'enfonce lentement dans le rectum. Belle-maman regarde, ses yeux sont exorbités, elle dit en bavant d'envie :

-Oui, oui, vas plus loin Romain, pousse bien, vas fond, oh ce qu'elle doit avoir bon ma fille chérie !

Progressivement la queue occupe les lieux, Clarisse croit que son cul va se déchirer. La bite de son mari, c'est autre chose que ses doigts à elle. Romain ne fait plus aucun mouvement, car sa femme semble souffrir, elle grimace en soufflant comme une baleine. Sa maman regarde le muscle rectal enserrer la queue de son gendre, comme elle aimerait être à la place de sa fille. Romain comme un très, très lent va-et-vient. La verge imposante racle les parois sensibles de la gaine anale, en faisant geindre Clarisse. La cadence augmente, les coups de reins deviennent plus profonds. Lorsque que la queue ressort, c'est pour mieux se replanter dans les entrailles de Clarisse qui se cabre à chaque enfoncement du pal dans son cul dilaté à l'extrême.

La vitesse prend une allure constante, Clarisse parait moins souffrir, petit à petit Romain lâche les chevaux. Les gémissements sont maintenant des gémissements de plaisirs. L'enculage est parfait, Clarisse agite sa croupe de plus en plus vite, ses râles rauques font réagir sa maman qui ne se retient plus :

Oh Romain, vas-y plus fort, défonce lui le cul, éclate-le salaud !

La cadence est terrible, Clarisse pousse un hurlement et jouit du cul comme une malade. Romain ne la ménage pas, il accélére le rythme. Belle-maman lui crie :

-Fais la jouir encore, oui encore, elle en a envie !

En effet, Clarisse jouit une seconde fois du cul en hurlant, son corps et secoué de tremblements qu'elle ne peut contrôler, elle a plusieurs orgasmes coup sur coup. Des spasmes violents la font défaillir. Laure ne retient pas sa langue :


Jouis, jouis ma chérie, c'est si bon par le cul, donne tout ce que tu as comme jus dans le corps, donne, donne !

Romain pousse un rugissement de lion et remplit le cul de sa femme qui continue de trembler de tous ses membres. Le bougre continue de la défoncer, il veut qu'elle se souvienne de sa première sodomie. Une jouissance encore plus forte vient terrasser Clarisse, elle se laisse tomber sur le lit. Ses yeux sont presque retournés dans leurs orbites, elle halete comme une bête malade. Sa maman lui dit :

-Oh ma chérie comme tu jouis bien du cul, c'est merveilleux à voir !