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Eté 2014 : De retour à la maison (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 06/03/2024

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Lundi 21 Juillet 2014

Ce matin, c’est le retour au travail pour Ber et moi. De son côté, Ber a juste à assurer la permanence de son association et répondre à tout problème arrivant sur les différents sites. Il peut faire ça tout seul et n’a qu’occasionnellement besoin d’aller au bureau pour d’éventuels détail. Il est donc possible pour lui de faire ça depuis la maison. C’est toujours plus agréable de travailler à poil au bord de la piscine.

De mon côté, je suis seule au bureau pour trois semaines avec Lionel. Même si je ne compte absolument pas le draguer, je ne vais pas mettre un pul à col roulé vu la température. Je décide donc de mettre des tenues légères, sans exagérer mais suffisamment pour le gêner un peu. Par exemple, pour commencer j’arrive aujourd’hui avec une jupe courte et un chemisier bariolé assez serré dont le col est très déboutonné et sous lequel j’ai comme d’habitude au bureau un soutif sans bonnets. Comme le tissus est très fin, mes tétons pointent à travers. Evidemment, ça fait son petit effet car il ne peut s’empêcher toute la journée de porter ses yeux sur ma poitrine pourtant peu volumineuse. Si en plus il savait que je n’ai rien sous ma jupe…

En rentrant à la maison, tout est tranquille. Valy et Ber se réservent pour la soirée en barbotant tranquillement dans la piscine pendant que Théo est en train de prendre en douceur sa sœur levrette sur la terrasse devant eux. J’apprends au passage que Manon s’est amusée à sucer Ber pendant qu’il était au téléphone pour le travail dans l’après-midi. Elle voulait voir si ça le déstabilisait, mais non. Ça m'aurait étonnée de sa part…


Jeudi 24 juillet 2014

Au travail, je ne me gêne plus pour Lionel qui peut voir un peu plus que depuis lundi car aujourd’hui j’ai opté pour un chemisier très clair, rendant plus visibles mes tétons foncés. Il a pourtant un doute car à travers l’étoffe on voit toujours les bretelles et l’attache arrière du soutif.

A la maison, c’est la routine. Plus de grande frénésie, mais une certaine habitude qui fait que même les jumeaux prennent ça plus calmement. Je décide donc qu’il faut un peu relancer la machine avec de la nouveauté. Il serait peut-être temps d’aller plus loin avec le voisin qui nous livre les pizzas. J’en commande donc pour livraison assez tard, afin que ça corresponde à leur fermeture.

Julien est accueilli par Lola et n’est plus surpris qu’elle soit entièrement nue. Je pense même qu’il n’attendait que ça. Elle lui demande :
— Alors, bientôt fini ?
— Euh, non, encore jusqu’à vendredi la semaine prochaine.
— Non, je parlais de ce soir.
— Ah, oui, vous êtes ma dernière livraison.
— Dis, tu veux bien poser les pizzas dans la salle à manger ? On est en plein apéro.
— Ouais, OK.

Nous nous sommes installés en position décontractée pour l’attendre. Il nous découvre donc tous à poil comme il s’y attendait. Mais de plus, Manon est à genoux devant le canapé en train de sucer son frère et Valy en fait de même sur Ber qui sirote son pastis. Etant la seule non occupée, je lui dis pour l’accueillir :
— Salut Julien ! Excuse si on ne s’est pas gênés en t’attendant, mais il parait que tu as déjà vu ce qui se passait entre nous. Ça te dérange pas, hein ?
— Euh, non, je m’y attendais un peu, mais pas à ce point.
— Eh bien, puisque j’ai entendu que tu avais terminé pour ce soir, qu’est-ce que tu dirais de te joindre à nous ?
— Ben, ma foi…
— Allez, commence par enlever tous ces vêtement superflus.

Il hésite un peu, mais la tentation est trop forte et il commence à enlever le T-shirt, puis le pantalon et se retrouve en caleçon. Comme la bosse que fait le tissus est trop visible, il finit par l’enlever et nous présente sa bite bien raide. Il nous fait la surprise d’un membre de dimensions plus qu’honorable et reste là au milieu de la pièce les bras ballants. Je me lève pour m’agenouiller devant lui :
— Etant la maîtresse de maison, c’est à moi de te souhaiter la bienvenue, non ?

Il ne répond pas mais me laisse complaisamment prendre sa queue pour la branler. Je le décalotte plusieurs fois dans mes aller-retours puis je le prends en bouche. Il est aux anges, mais je ne veux pas qu’il vienne trop vite, alors j’arrête et vais me rassoir dans le fauteuil :
— Maintenant que tu es des notres, et comme tu es à l’honneur, choisis la quelle d’entre nous tu veux prendre en premier. Tu auras droit aux autres après.

Il se retourne et regarde Lola. Elle lui fait signe qu’elle n’attendait que ça et se positionne à genoux devant moi et pour rajouter à son excitation, elle commence à me déguster l’abricot. Il n’y tient plus et vient l’embrocher en douceur par derrière.

Je le surveille et quand je vois qu’il est au bord de la rupture, je lui dis :
— Attention, si tu dois jouir, c’est dans une bouche pour ne rien perdre. Essaie avec ma cousine, elle adore ça !

En entendant ça, Valy se retourne et vient gober ce gland qui vient de quitter la chatte de Lola. Les autres changent aussi de position et il a la surprise de voir Ber venir prendre sa place dans le fourreau encore chaud pendant que Théo ne se prive pas de prendre sa sœur en levrette. Ça le déclenche et il éjacule dans la gorge de Valy. Celle-ci avale tout et continue à le sucer pour le nettoyer consciencieusement.

Cela, conjugué à la vue de l’étreinte des jumeaux et de Lola se faisant prendre par son père le remet rapidement en grande forme. Valy en profite pour le faire allonger et vient le chevaucher illico. Pendant qu’elle se met au trot, je viens m’assoir sur sa bouche pour qu’il me suce le clito. Il s’y met sans se faire prier.

Cette fois il dure plus longtemps et quand je sens qu’il est à point, je fais signe à Valy de libérer le pieu sur lequel elle est empalée et je me penche en soixante-neuf pour le terminer et recevoir ses giclées sur la langue. Entretemps, Ber quitte l’antre de Lola pour venir se faire sucer par Manon qui est toujours pilonnée par son frère.

Julien est maintenant assez essoré pour ne pas rebander tout de suite. Théo termine son galop et quitte sa sœur pour offrir sa semence à Lola pendant que Ber reste dans la bouche de Manon et lui fait la même livraison.

Comme la tension retombe et que tout le monde est plus ou moins sagement assis, Julien estime qu’il en a eu pour son compte et nous dit timidement qu’il vaudrait mieux qu’il rentre chez lui car sa mère risque de s’inquiéter; Nous n’insistons pas et il se rhabille. Puis Lola le raccompagne à la porte après que nous l’ayons invité à revenir quand il voulait, même sans l’excuse de la livraison de pizza.
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Histoire de Hannapurna

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