Eté 2014 : De retour à la maison (1)

Nous arrivons en fin de matinée après avoir débarqué à Toulon et fait la route jusqu’à la maison. C’est Valy qui nous ouvre la porte, précédée de sa bite factice bien dressée. Je lui demande :
— Tiens, déjà en action sans nous attendre ?
— Non, simplement on s’est aperçus pendant votre absence que nous étions trois nanas pour un seul mec et on a décidé d’équilibrer. Hier c’était le tour de Manon de jouer le rôle. et ma mère passe son tour puisqu’elle retourne chez elle ce soir.
— Tiens, bonne idée. On va continuer, puisqu’on est encore en déséquilibre avec notre retour. Tu veux bien pour demain, Lola ? Je m’y collerai mardi.
— Oui, pas de souci.

Le temps de quitter nos rares vêtements et nous sommes dans la piscine pour une rafraîchissement rapide.

Pendant notre trempette, je ne manque pas de voir les plugs dans les fondements de nos quatre invités. Ber et Lola l’ont noté aussi. Lorsque nous sortons de l’eau, avant que Ber n’aille s’atteler au barbecue, je le signale à ma cousine :
— Je vois que vous avez bien testé nos jouets aussi.
— Ouais, on a tout essayé, mais on a surtout adopté les plugs anaux depuis deux jours. Ça donne une sensation pas trop intense mais continue et on peut les garder en permanence.

Ber s’approche de Manon et lui fait remarquer :
— Tiens, tu as choisi le rouge ? C’est le plus large, il me semble.
— C’est pour bien m’assouplir la rondelle, pour accueillir ton outil qui est plus gros…
— A ta disposition, quand tu veux !
— Et pourquoi pas maintenant ? Avant de faire griller des saucisses, je goûterais bien à la tienne…

Pendant qu’ils ont cette conversation, elle empoigne la bite de Ber qui n’a pas vraiment besoin de plus pour bander et le décalotte en entament une branlette. Lui se laisse faire paresseusement. Elle s’agenouille pour finir de le préparer avec sa bouche. Puis elle lui fait signe de se coucher par terre et vient l’enjamber pour lui présenter sa raie devant le visage. Il ne se fait pas prier et lui lèche la fente qui est déjà bien humide. Il lui retire le plug et récupère de la mouille pour lui lubrifier l’entrée de l’anus qui bée.

Manon se décale et vient empaler sa chatte à fond sur sa bite bien raide. Elle fait quelques aller-retours pour l’enduire sur toute la longueur et ressort. Elle présente maintenant sa rondelle palpitante sur le gland et se laisse descendre doucement. On ne remarque aucune résistance quand elle continue et descend jusqu’à la garde. Elle attend juste un peu, puis reprend le mouvement en remontant jusqu’au gland et en se laissant retomber jusqu’au bas de la hampe, toujours dos à lui.

Nous autres les laissons faire et c’est moi qui vais m’occuper de mettre en route les grillades sur le barbecue. Ma cousine et ma tante s’installent confortablement dans des transats face à ma nièce pour profiter du spectacle qu’elle offre. Théo a maintenant la queue aussi raide et droite que celle factice de sa mère, mais il joue le jeu et reste debout à regarder passivement malgré l’envie qu’il a certainement de se branler.

Manon garde ce rythme lent pour faire durer le plaisir. Du coup, les saucisses sont prêtes qu’elle n’a pas encore joui. Et comme j’annonce qu’il est temps de passer à table avant que ça refroidisse, elle fait l’effort de quitter l’axe sur lequel elle coulisse.

Nous mangeons tranquillement comme si de rien n’était. Et d’ailleurs les bites de Ber et de Théo redeviennent en position d’attente à défaut de se mettre au repos complet. Puis nous laissons la vaisselle en plan pour rejoindre le salon.

Cette fois, Ber fait placer Manon à quatre pattes devant le canapé et il l’encule directement, prenant tout de suite une cadence plus soutenue. Je me place pareil à côté d’elle et j’invite ma cousine a m’offrir le même traitement. Elle ne se fait pas prier et lubrifie sommairement ma rondelle et son appendice avec ma mouille pour faciliter l’entrée. Mais je suis bien rodée à ça et ça rentre tout seul. Marie-Lou s’est elle aussi positionnée de l’autre côté mais elle a gardé son plug. Donc Thé n’a que la solution de baiser sa grand-mère, son pubis venant cogner contre la poignée du plug qui procure à ma tante la sensation d’une double pénétration.

A ce régime forcé, Manon ne tarde pas à jouir et Ber se retire pour aller derrière Théo dont il libère l’anus de son bouchon de silicone pour le remplacer par sa bite bien en chair. Pris entre deux feux, Théo ne tient pas longtemps et lâche tout dans la chatte de Marie-Lou qui se laisse aller à jouir à son tour.

J’ai envie d’un peu plus moi aussi. e fais assoir Valy dans le canapé et viens emboiter ma chatte sur sa bite en demandant à mon mari de s’occuper de l’autre entrée. Il n’en attend pas moins et investit mon boyau bien préparé par ma cousine. E savoure ce sandwich et me laisse envahir par un bel orgasme. Ber me fait lever et choisit de terminer sa course en se branlant devant ma cousine qui reçoit ses évacuations sur les seins et le visage.

Après ces plaisirs des retrouvailles, nous paressons dans et autour de la piscine jusqu’à la fin d’après-midi où Marie-Lou nous quitte comme à l’accoutumée. Le soir, nous décidons d’en rester la pour aujourd’hui et nous passons donc une soirée tranquille avant d’aller tous nous coucher sagement.