Eté 2014 : La visite de Martine (1)

Vendredi 15 août 2014

Aujourd’hui, Valy et les jumeaux mangent chez Marie-Lou et doivent dormir chez Laurent pour nous laisser le champ libre. Pour accueillir Martine et son ami, nous avons décidé de commencer soft. Mais pas trop tout de même. A savoir que lorsqu’ils arrivent en fin de matinée, Lola et moi avons chacune pour tout vêtement un string de bain et un fin paréo noué au-dessus de nos seins nus et Ber pratiquement pareil à la différence que le paréo est plus opaque et qu’il est noué autour de sa taille.

Après les effusions des retrouvailles, nous leur proposons de poser leurs affaires dans la chambre que Valy a libérée à cet effet et de se mettre à l’aise pour profiter de la piscine en attendant l’apéro. A la direction de son regard, je constate que François a immédiatement remarqué nos tétons qui pointent librement sous le fin voile qui les recouvre et que nos bas de maillot sont très minimaliste.

Quand ils reviennent, il peut vérifier que mon string est vraiment réduit à de simples ficelles reliant un petit triangle car le paréo a disparu. Idem pour Lola, et Ber dont la batterie est bien moulée dans la poche de son string de type bandeau sur les hanches. Martine a opté comme je le lui avais demandé pour un string elle aussi, même si les cordons sont plus épais que sur le mien. Seul François détonne mais il a un boxer qui le colle bien et non pas un caleçon large. Je l’attaque :
— Comme je savais pas si Martine t’avait prévenu qu’on était naturistes, on a enfilé quelque chose en attendant.
— Euh, oui, elle m’en avait vaguement parlé.
— Et donc, ça te dérange si on enlève tout ?
— Bah, non, faites comme vous voulez.
— Ok, merci.

Aussitôt dit, aussitôt fait, nous voila à poil tous les trois. Il marque un temps d’arrêt en découvrant nos épilations totales, mais fait comme si tout était normal pour lui. Martine nous dévoile dans la foulée son petit ticket de métro en lui disant :
— Bon, allez, mon chéri, tu vas pas rester le seul habillé, non ?

Il pèse le pour et le contre et comme il ne veut pas passer pour être le seul trop prude, il vire son boxer, nous dévoilant des couilles de taille moyenne sur lesquelles repose une queue pas ridicule du tout, même si elle ne fait pas concurrence à celle de Ber, le tout surmonté d'une toison qui raccorde celle de son torse, évidemment plus fournie que l'épilation de mon mari sur laquelle le filet de poils a repoussé depuis son accident du mois dernier. Pour éviter que la situation ne s’éternise, nous plongeons dans la piscine.

Après ce bain, nous passons à l’apéro puis à table sur la terrasse pour déjeuner. Pour faire simple, j’avais préparé une grosse salade composée. Comme nous ne faisons pas de geste pour nous couvrir, François se sent obligé de rester lui aussi à poil et finit par s’y habituer apparemment.

Pendant que Ber est allé faire la vaisselle et qu’il a demandé à François de l’aider, je mets Martine au courant pour mes exhibitions avec Lionel, mais surtout avec Julie. Ça l’amuse et je la décide à m’accompagner lundi matin sous prétexte de dossiers à voir ensemble avant de repartir à Toulouse. Je lui propose de donner un peu de spectacle à nos hommes. Elle émet une petite réserve :
— Oui, ça serait amusant, mais il y a ta fille.
— Oh, t’en fais pas pour ça, elle a l’habitude de nous voir faire des choses !

La vaisselle ayant été de faible volume, ils nous rejoignent assez vite. Nous nous installons donc pour une sieste digestive au soleil. Ber, Lola et François se posent dans trois transats, ma fille entre les deux hommes. Martine et moi optons pour des matelas au sol, devant eux. Evidemment, je propose à ma collègue de lui passer de la crème pour la protéger des ardeurs du soleil. Elle se met sur le ventre et je me place à cheval sur ses jambes pour attaquer le massage.

Je le fais progressivement, d’abord les parties les plus sages pour ensuite me consacrer à ses fesses. Je ne me prive pas de les lui malaxer copieusement, laissant mes doigts courir dans sa raie. Dans ma position, j’offre une vue dégagée sur mon côté pile et l’écartement de mes jambes ne doit rien cacher de mon petit trou jusqu’à ma fente. Mon doigt caresse visiblement son œillet et elle a l’air d’apprécier.

Puis j’arrête ma manœuvre et me pose à mon tour sur le ventre sur mon matelas en demandant à Martine de me rendre la pareille. Au passage je jette un coup d’œil derrière nous et je vois que Lola en a fait de même, se tartinant les seins et le ventre jusqu’à son triangle sud. Ber et François bandent, mais ce dernier essaie de cacher son érection entre ses cuisses alors que mon mari laisse sa bite se dresser librement.

Martine ne se gêne nullement pour faire la même chose que moi juste avant et j’écarte bien les jambes pour qu’elle ait un accès facile à ma chatte. Pendant qu’elle me caresse gentiment, j’entends Lola demander, certainement à François :
— Oh, ça te gêne de bander devant nous ? T’en fais pas, j’en ai vu d’autres souvent, et pas que celle de mon père.

Un moment plus tard, je me retourne sur le dos et je constate que François s’est enfin lâché et qu’il n’a plus aucune honte à montrer à notre fille sa queue bien raide qui repose sur son ventre. Peut-être même qu’il y trouve un certain plaisir. Ber quant à lui s’est même décalotté. C’est lui qui déclenche la détente en se levant :
— Bon, après avoir bien grillé, un petit rafraichissement dans l’eau fera du bien.

Il va tranquillement dans la piscine, la queue à l’horizontale, et je l’imite. Les autres nous rejoignent et François ne fait même pas semblant de cacher son érection toujours vaillante. Je demande à Lola qui est la dernière à se lever de bien vouloir aller chercher des boissons fraiches. Pendant son absence, j’att**** la queue de Ber et le branle paresseusement face à nos invités. Martine entre dans le jeu et en fait de même avec François qui commence à comprendre où on va en venir. Je le confirme :
— Je sens qu’on va bien s’amuser ce soir…

Comme Lola revient, je continue à faire croire à nos amis qu’elle n’est pas au courant et je lâche la manette de jeu, suivie immédiatement par Martine. Nous buvons et nous prélassons dans l’eau un bon moment. Quand nous ressortons, les bites ont repris une allure plus décente bien que Ber reste décalotté et avec un bon volume. Le restant de l’après-midi est plus calme.

Le soir, après une bonne grillade bien arrosée, nous papotons dans le canapé et les fauteuils au salon. Comme convenu avec elle, Lola nous quitte en prétextant de la fatigue. Dès qu’elle est partie, J’effectue un rapprochement. Je quitte on fauteuil et vais me poser dans le canapé à côté de François qui se retrouve coincé entre Martine et moi. Je lui dis :
— Tu vois, on a au moins un point commun Ber, toi et moi.
— Ah bon ? Lequel ?
— On a tous les trois baisé Martine.
— Euh…
— Tu ne t’en doutais pas ?
— Maintenant que tu le dis, ça parait plus évident, oui.
— Alors il ne nous reste plus qu’à partager un peu plus !

Ce disant, je pose ma main sur sa bite et referme mes doigts autour de sa hampe. Il réagit rapidement et dans le bon sens, à savoir que je sens un développement entre mes phalanges. En face, Ber fait un signe à Martine qui se lève et va le rejoindre. Elle se met à genoux sur le tapis devant le fauteuil et attaque directement avec sa langue le gland qui dépasse de la tige qu’elle tient en main.

Le temps de faire monter la pression et je me décale pour venir m’assoir de dos sur le mât bien droit de mon partenaire. Je me laisse descendre doucement jusqu’à la garde, étant déjà suffisamment lubrifiée. Puis Ber se libère des lèvres de sa fellatrice pour la faire mettre à quatre pattes et la prendre en levrette juste devant nous.

La partie est maintenant bien lancée et je m’exprime volontairement sans retenue. C’est le signal convenu et Lola refait son apparition dans le salon :
— Dites, c’est pas possible de dormir avec tout ce bruit que vous faites. Surtout toi M’man. Alors quitte à être réveillée, autant que j’en profite aussi.
— Oui, excuse-moi. Tu veux ma place ?
— Volontiers !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me dégage de l’axe sur lequel je coulissais de haut en bas et elle vient sans attendre le sucer un peu, histoire de faire connaissance avant d’aller plus loin. François et Martine ont l’air un peu déboussolés de voir qu’elle ne se prive pas de faire ça devant ses parents. Mais comme il n’y a aucune réaction de notre part, ils continuent de se laisser faire.

Lola fait maintenant allonger François sur le canapé et vient le chevaucher de face. Pendant qu’elle se lance dans un petit trot enlevé, Martine jouit une première fois. Ber attend qu’elle redescende un peu et la quitte, toujours en pleine érection. Il va présenter son gland à notre fille qui le gobe sans sourciller, au grand étonnement de nos partenaires. Qu’elle baise devant ses parents, c’est une chose, mais qu’elle suce son père, c’en est une autre. Ça déclenche sa monture qui annonce qu’il va venir. Elle saute en marche et c’est moi qui viens le finir dans ma gorge.

Ber se positionne derrière moi et me laboure sans ménagements jusqu’à ce que je déclare forfait. Il n’y a que Lola qui n’a pas encore eu son compte. Elle se met à quatre pattes et demande son dû. Ber se dévoue avec plaisir et l’embroche directement, montrant à nos amis qu’on n’a pas ce genre de tabou dans la famille.

Après que notre fille ait eu sa dose, Ber finit sa trajectoire dans la bouche de Martine qui avale toutes les giclées. La tension retombe et nous décidons que c’est assez d’émotions pour eux. Nous décidons donc d’un commun accord tacite qu’il est temps de regagner nos chambres pour un repos bien mérité.