Eté 2014 : Le retour de ma cousine (1)

Vendredi 4 juillet 2014

Ce soir, Valy et ses enfants viennent d’arriver chez Marie-Lou. Elle m’avait appelé hier avant de quitter définitivement son ancien appartement dans le Nord qu’elle louait depuis sa séparation. Ils avaient fini de tout emballer et un déménageur était passé prendre les meubles et les cartons pour les transporter dans un garde-meuble près de chez nous. Elle n’avait gardé que le strict nécessaire pour s’installer chez sa mère et ils allaient dormir chez une amie car tout ayant été enlevé, c’était la meilleure solution, plutôt sue de dormir par terre à la dure ou à l’hôtel. Puis ce matin tôt le représentant de l’agence immobilière était passé faire l’état des lieux et elle lui avait rendu les clefs. Puis tous trois étaient montés dans la voiture, direction le sud.

A peine posés ses bagages, elle m’appelle pour me dire que le voyage s’était bien passé. J’en profite pour les inviter tous les quatre à venir demain pour un barbecue de bienvenue et passer le week-end pour profiter de notre piscine. Elle accepte sans hésiter car c’est ce qui lui manquait aussi dans le Nord. Pour être certaine de bien commencer nos retrouvailles, je lui demande tout de même :
— Au fait, tu sais qu’ici, on vit tous les trois tout le temps à poil. Ça va ou ça te gêne si on garde nos habitudes ?
— Euh, tu sais bien que si c’était que moi et ma mère, ça nous dérangerait pas. Mais les jumeaux sont pas trop habitués. Quand ils étaient tout petits, ils étaient souvent nus à la maison, moi aussi d’ailleurs. Mais en grandissant, ils l’ont fait de moins en moins, surtout que Nico insistait pour que moi aussi je m’habille. Et vu le climat dans le Nord, le naturisme à la maison a vite été oublié. Donc, je pense qu’ils seraient un peu surpris si vous vous baladez à poil. Surtout qu’ils vous ont un peu perdus de vue depuis la dernière fois qu’on s’est rencontrés. C’était il y a cinq ans et à cet âge, ça fait une éternité.
— Bon, je comprends. Mais en maillot, ça va ?
— Oui, encore que je devine de quel maillot tu parles…
— Tu sais bien que j’ai que ça. Et que j’ai pas de haut.
— Oh, pour ça, ça va, moi aussi il m’arrive de porter des strings de bain avec eux, et vu le volume de mes seins, je mets jamais de haut non plus. Donc ça ira.
— OK, on fait comme ça. Et selon comment ils le prennent, on verra plus tard pour tout enlever, ça te va ?
— Bon, mais allez-y doucement !


Samedi 5 juillet 2014

C’est donc tous les trois en string que nous les attendons en cette fin de matinée. Ber a opté pour un assez sobre, pas trop mini et noir. Lola en a mis un bariolé de type bandeau avec des nœuds sur les côtés. Et moi j’ai tout de même poussé jusqu’à en mettre un rouge avec ficelles, mini mais pas extrême. Quand la sonnette retentit, c’est moi qui vais ouvrir. Pour faire plus soft, j’ai noué un paréo pas trop transparent au-dessus de ma poitrine.

Ma cousine n’a pas trop changé. Elle est un peu moins mince qu’avant, mais toujours assez svelte. Ses cheveux sont maintenant coupés au carré. Théo et Manon ont bien grandi depuis la dernière fois que je les ai vus. Ce sont maintenant un beau jeune homme et une belle jeune fille. Je vous les présente : Ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau et sont presque des clones de leur mère, jusqu’à leur chevelure châtain qu’ils portent tous deux avec une coupe mi-longue. Ma tante Marie-Lou a maintenant 64 ans et s'est un peu plus empâtée mais elle est toujours baisable, même si ça fait un bail qu’on n’a plus rien fait avec elle.

Je leur fais la bises à tous puis les précède dans le salon en leur proposant de se déshabiller d’abord dans les chambres. Avant qu’ils ne s’éclipsent, je montre l’exemple en enlevant le paréo et en me retournant pour me diriger vers la terrasse. Comme ça, les jumeaux sont fixés en découvrant d’entrée mes seins et mes fesses.

Valy est la première a venir nous rejoindre, suivie de près par les jumeaux et ma tante qui ferme le cortège. Ma cousine a fait l’effort de mettre un string simple de couleur unie verte, contrairement à sa fille qui a mis un bas de maillot brésilien rose bordé de petits volants et son fils qui porte un boxer pas trop long à motifs hawaïens. Marie-Lou a enfilé bas de bikini bleu marine très classique mais a suivi le mouvement en ne portant pas le haut. C’est la seule à avoir une poitrine plus que généreuse, mais même si avec l’âge elle subit la pesanteur, elle fait encore bonne figure.

Ber et Lola s’empressent d’aller les embrasser, puis chacun s’installe au soleil. Dans cette tenue, les jumeaux sont vraiment semblables, à part le modèle de maillot. Ils sont très minces, avec des hanches peu marquées et des fesses petites mais tout de même bien rondes. Les seules différences sont la poitrine de Manon, à peine plus bombée que celle de son frère, et la bosse que fait le boxer de ce dernier. Je soupçonne les fesses et les seins proposés à sa vue tout autour d’être un peu responsable du volume non négligeable de ce maillot, vu l’intérêt qu’il leur porte depuis son arrivée.

Après un premier bain, chacun se sèche puis nous passons à l’apéro, pas trop chargé pour les trois plus jeunes, pendant que Ber s’occupe des grillades. Puis à nouveau baignade puis bronzette. C’est pour moi l’occasion de proposer aux nouveaux arrivants de s’enduire à nouveau de crème de protection car ils ne sont pas encore acclimatés. Les jumeaux étant sur le dos, ils s’en chargent eux-même, mais comme Valy est sur le ventre, je lui propose mes services.

Elle accepte volontiers et je m’installe à cheval au-dessus de ses jambes pour le faire. je commence bien évidemment par les épaules, puis suivant ma technique habituelle je descends tout le long du dos pour passer rapidement vers les jambes. Là, je remonte des chevilles aux mollets, puis les cuisses, gardant les fesses pour la fin. Sur les cuisses, j’insiste assez loin sur la face interne, remontant bien vers la fourche, mais même si elle ne les resserre pas et me laisse faire, elle ne s’ouvre pas plus grand. Je suppose que c’est parce que ses enfants sont là. Maintenant que je suis sur les fesses, j’y reste plus que de nécessaire et c’est carrément du malaxage, mes doigts allant se perdre sans retenue dans son sillon en compagnie de la bande de lycra qui en garnit le fond.

Du coin de l’œil, je remarque que Théo est très intéressé par ce spectacle de sa mère en train de se faire peloter les fesses. Mais je fais comme si je ne l’avais pas vu et termine enfin en me relevant pour aller m’assoir dans un transat et m’occuper de moi en m’enduisant des seins de façon suggestive histoire de lui donner un supplément de spectacle. D’ailleurs, il s’absente pour aller aux toilettes et quand il revient la bosse de son short a bien diminuée.

Le soir, rebelote : grillades car on avait prévu un gros stock. Mais avant ça, apéro en décalé, chacun allant prendre sa douche à tour de rôle. D’abord ma tante, puis Ber, suivi de Théo. Comme ça a déjà pris pas mal de temps, je propose à ma cousine de la prendre ensemble, comme quand nous étions plus jeunes. Elle accepte et nous allons nous isoler dans la salle de bains. Nous nous retrouvons nues rapidement, comme autrefois et passons sous le jet. Je constate qu’elle s’entretient toujours l’entre-jambes car sur son pubis, même si ce n’est plus la fine ligne de poils comme Ber, elle ne porte qu’un trait pas trop large de moquette rase. Je commence tout naturellement à la savonner et elle se laisse faire. Non seulement elle se laisse faire, mais très vite elle me rend la pareille. Et ça devient rapidement une partie de mains baladeuses pour se terminer en soixante-neuf dans la baignoire. Pendant qu’on se sèche, on commente un peu ce qui vient d’arriver :
— Dis donc, tu étais en manque !
— Un peu, oui. Ça fait un bail que j’ai rien fait, depuis que je suis séparée de Nico.
— Même pas une branlette ou un vibro ?
— Oui, de temps en temps, mais bon, c’est pas pareil.
— C’est vrai que rien ne vaut un bel échange entre personnes.
— Et comme tout à l’heure tu m’avais un peu chauffée…
— Je me doutais que ça te plairait.
— Oui, à part que j’avais peur de me faire surprendre par mes enfants.
— Oui, je me doute. Mais là, on était tranquilles.
— Oui, ça fait du bien !
— Et si tu veux, Ber sera ravi de te rendre service lui aussi.
— Mmm, je retiens l’idée, j’adorais sa queue. Mais pas avec tout ce monde autour.

Sur ce, nous renfilons nos strings et retournons dehors où Ber nous sert un pastis bien frais. Il ne reste plus que les deux filles, et comme je m’y attendais, Lola propose à Manon de nous imiter. Cette dernière hésite puis accepte pour ne pas paraître trop coincée.

Dès qu’elles sont dans la salle de bains, Lola vire son string, dévoilant son épilation radicale à Manon. Celle-ci bloque un peu dessus, puis finit par enlever son maillot, révélant une toison légère d’un blond un peu plus foncé que sa chevelure. Lola l’attend déjà sous le jet et reste assez soft, lui proposant de l’aider en lui savonnant le dos mais n’allant pas vers un tripotage en règle, restant très soft, ce qui la rassure. Du coup, elle veut bien lui rendre la pareille et elle-même ne s’aventure pas trop sur les fesses de notre fille.

Pendant qu’elles se sèchent, Manon ose enfin aborder le sujet qui la travaille :
— Dis, j’ai remarqué que tu t’épiles entièrement…
— Oui, c’est très agréable et c’est plus pratique pour le string. Ma mère c’est pareil.
— Ah bon, elle s’épile totalement elle aussi ?
— Oui, c’est même d’elle que j’ai pris l’idée. Toi par contre…
— Oui, c’est vrai que je me retaille seulement ce qui dépasse sur les côtés.
— Tu devrais essayer. Et ta mère ?
— Euh, ça fait tellement longtemps que je l’ai pas vue nue ! Mais si je me souviens bien, elle avait une toute petite touffe. Je sais pas si c’est toujours le cas maintenant.
— Tiens, et des strings, tu en portes aussi ?
— J’en ai en sous-vêtement, mais pas en maillot.
— Si tu veux, je peux t’en prêter.
— Mais… je sais pas si j’oserais me monter comme ça en public.
— Oh, c’est pas en public, c’est en famille. et ta mère en porte un, alors…
— Bon, je veux bien essayer.
— Allez, viens !
— Attends, je remets d’abord ce maillot, non ?
— Pas la peine, y a personne dans le couloir, ils sont tous dehors !

Elle l’entraîne alors vers sa chambre sans lui laisser le temps de réagir, toutes deux nues dans le couloir. Puis elle lui choisit son string le plus large pour être certaine qu’elle le se sente pas trop mal pour une première fois et que ses poils soient bien tous contenus. Manon est encore toute époustouflée d’avoir traversé le couloir à poil et elle enfile le string sans trop réfléchir, le prenant comme une protection rassurante.