Eté 2014 : Le retour de ma cousine (2)

Samedi 5 juillet 2014 (suite)

Enfin elles reviennent sur la terrasse, Manon avec un peu de rouge aux joues surtout que Lola la fait pivoter pour nous présenter le côté pile en nous annonçant :
— Attention, tous ! Ma cousine a rejoint le club !

J’applaudis, Ber lève le pouce, ma tante et ma cousine sourient et Théo reste bouche bée. Donc c’est adopté et Manon finit par ne plus se gêner, au grand dam de son frère qui découvre ses fesses en tentant de ne pas trop rester bloqué dessus.

Après le repas, nous allons nous installer dans le salon pour visionner un film sur le home-cinéma. La programmation actuelle nous propose Skyfall, le dernier James Bond en date, qu’aucun d’entre nous n’a encore vu. Lola et Manon qui sont devenues copines depuis la séquence précédente se calent dans le fauteuil de droite et Ber se serre avec ma tante dans l’autre. Pour ma part, je fais en sorte de coincer Théo entre sa mère et moi. Comme nous sommes tous restés dans la même tenue légère, il peut sentir à travers son short la chaleur de nos hanches et a une vue plongeante et en gros plan de nos tétons.

Pendant le film, étant dans une semi-obscurité, j’en profite pour laisser ma main se poser sur sa cuisse, près de son short, comme par inadvertance. Je sens que ça le fait se crisper un peu, puis il se détend et je pousse un peu plus loin en le caressant négligemment du bout des doigts. Je constate rapidement le résultat de ma manœuvre en voyant le devant de son maillot prendre du volume.

Je surveille aussi le fauteuil de gauche où Ber et Marie-Lou étaient un peu emmêlés. Comme ils avaient peu de place et qu’ils se gênaient avec leurs coudes, Ber avait fini par passer son bras gauche autour des épaules de ma tante qui elle s’était calée contre la sienne. Petit à petit, sa main pendant dans le vide s’est posée sur le bras de ma tante et a fini par déraper vers son sein gauche. Depuis, il ne se gêne pas de le caresser doucement sans se faire remarquer des autres et je vois que les tétons de Marie-Lou pointent bien durs. Elle-même, encombrée par sa main droite, a fini par la poser sur la cuisse de Ber. Petit-à-petit, elle a fini au contact de la poche du string. Heureusement que mon mari sait se contrôler, sinon il y aurait du débordement.

Quand le film prend fin, Ber est le premier à se lever pour arrêter les appareil et rallumer un lampadaire. De ce fait, personne ne l’a apparemment surpris dans sa manœuvre avec ma tante. Je fais tout de même savoir à celle-ci que j’ai tout vu par un clin d’œil dont elle comprend immédiatement la signification. Puis je propose une dernière boisson fraiche avant d’aller dans nos chambres respectives. Comme décidé, Valy dormira avec sa mère dans la chambre en face de la notre, Théo seul dans celle à côté de nous et Manon partagera celle de Lola au fond du couloir.

Chacun attend son tour pour aller aux toilettes ou se brosser les dents, puis c’est enfin le calme. Calme tout relatif, évidemment, car nous nous faisons un plaisir de donner une retransmission sonore de nos ébats à notre jeune voisin ainsi qu’à nos voisines de la chambre d’en face.

Concernant Théo, j’ai fait en sorte de bien préparer les chambres en laissant sa porte-fenêtre ainsi que la notre entrebâillées en espérant que ça lui donnerait des idées. Celle de Lola aussi, mais pour d’autres raisons. Et effectivement, au bout d’un moment pas trop long, j’aperçois du coin de l’œil une vague silhouette dans la faible clarté de la lune à son premier quartier. Je fais attention de ne pas lui montrer que je l’ai repéré. je mets discrètement Ber au courant et il fait attention lui aussi à ne pas trop regarder vers l’extérieur.

Nous continuons donc d’autant plus allègrement notre show. Une bonne partie de notre répertoire y passe : soixante-neuf, levrette, chevauchée fantastique, fellation, éjaculation faciale. De petits regards furtifs nous permettent de vérifier qu’il se branle frénétiquement et qu’il ne tarde pas à éjaculer car il ne tient pas trop la distance. Heureusement qu’à son âge et avec le spectacle dont il bénéficie, il redevient raide rapidement, ce qui lui permet de se faire gicler encore deux autres fois avant de déclarer forfait et de disparaître du cadre de notre ouverture.

Notre scénario a donc bien fonctionné. le but n’était pas de l’inviter à nous rejoindre, tout au moins dès ce premier soir. Donc c’est pleinement satisfaits que nous avons pu nous endormir pendant qu’il regagnait discrètement sa chambre.

Pendant ce même temps, Lola ne chôme pas de son côté. elle s’occupe de Manon comme convenu. Tout d’abord, profitant qu’il n’y a plus de gêne apparente entre elles, notre fille enlève son string dès qu’elle ont fermé la porte. Manon semble s’être bien installée dans l’ambiance naturiste et comme elles ont déjà pris la douche ensemble, elle la suit immédiatement. Elles se couchent et papotent un peu :
— Alors, tu vois que c’est agréable de porter un string en public.
— Oui, c’est vrai que j’y ai même plus pensé au bout d’un moment.
— Et ça intéresse ton frère, il a pas arrêté de lorgner sur tes fesses !
— Oui, j’ai remarqué. Ça m’a un peu gênée au début, et puis j’y ai plus fait attention.
— Bon, sinon, demain tu te décides à réduire ta touffe ?
— Je sais pas, je vais voir.
— Allez, t’es pas obligée de tout enlever. Tu peux juste un peu raccourcir les poils et dégager sur les côtés, soit en triangle, soit rectangulaire en ticket de métro.
— Tu crois ? mais je sais pas comment faire.
— T’en fais pas, je peux m’en charger demain dans la salle de bains. Allez, dis oui !
— Bon, d’accord ! Mais pas trop, hein ?
— Promis, on fera progressivement et tu me diras quand ça suffit.

Sur ce, Lola éteint la veilleuse et elles se sont tues pour trouver le sommeil, nues sous juste un drap léger. Puis Manon a commencée a être intriguée en entendant un frottement léger et en sentant un peu de mouvement du matelas. Elle n’a rien osé dire dans un premier temps, puis elle a réalisé ce qui se passait à côté d’elle :
— Euh, Lola, tu fais quoi, là ?
— T’entends pas les bruits qui arrivent par la porte-fenêtre ?
— Euh oui, mais…
— C’est mes parents qui se donnent à fond et moi, ça m’excite. Pas toi ?
— En fait, j’essaie de pas trop les écouter.
— Ben, moi j’en profite pour me branler, comme d’habitude.
— Euh, oui, c’est bien ce qu’il me semblait. Mais je suis à côté de toi…
— C’est pour ça que j’essayais de le faire doucement, pour pas te déranger.
— Euh, ça me gêne tout de même un peu.
— Pourquoi, tu le fais jamais ?
— Oui, ça m’arrive, mais quand je suis seule.
— Oh, allez, laisse-toi porter par la vague. Ecoute ces gémissements suggestifs.

Pendant ce temps, Lola n’a pas arrêté pour autant de se caresser le clito. Considérant cet échange verbal comme terminé, elle se consacre maintenant entièrement à sa branlette. Ça finit par être trop pour Manon qui sent son excitation monter maintenant qu’elle est entièrement focalisée sur tout ça. Elle commence donc timidement à l’imiter, puis se laisse aller. elle ne proteste pas quand Lola repousse entièrement le drap et qu’elles se retrouvent toutes deux exposées. Elle jette même un œil vers sa voisine de lit et s’étonne de ne pas avoir de honte à la regarder faire tout en s’activant elle même.

Tout à coup, Lola s’arrête et se met à genoux sur le lit en lui disant :
— Viens, ça sera encore plus excitant d’aller les regarder par l’extérieur !
— Non, arrête. On va pas jouer les voyeuses…
— Mais oui, allez viens ! Tu vas te régaler, ce sont des champions !
— Tu les as déjà regardés faire ?
— Evidemment, qu’est-ce que tu crois ? C’est très instructif.

Elle prend donc Manon par la main et l’entraîne vers l’ouverture. Elle se doute bien de ce qu’elle va découvrir et en a la confirmation dès qu’elle jette discrètement un regard dehors sans se montrer. En effet, à ce moment Théo est à poil devant notre ouverture et se branle frénétiquement en nous matant. Lola fait donc semblant d’être surprise et se recule dans sa chambre en disant à Manon :
— Oups, tu vas pas le croire : Ton frère a eu la même idée que moi. Il est à poil dehors en train de se secouer le cocotier en espionnant mes parents.
— Non, sérieux…
— Attends, jette un œil sans te faire voir.

Manon s’exécute et découvre ce tableau. Pendant ce temps Lola lui souffle à l’oreille d’en profiter et de bien le regarder faire. Elles assistent en cachette à la première éjaculation de Théo, puis Lola ramène Manon vers le lit où elles reprennent leurs masturbations personnelles tandis que Lola suggère à sa complice des images de son frère et de nous. C’est Manon qui ne tient pas et jouit la première, Lola attendait ça pour passer le vitesse supérieure et se déclencher à son tour.

Cette première soirée est donc bien réussie, d’autant plus que j’apprendrai le lendemain par Valy qu’elle et sa mère se sont aussi branlées en nous écoutant baiser et qu’elles ont même terminé en soixante-neuf. Une première entre elles depuis de longues années qu’elles ne le faisaient plus.