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Eté 2014 : Le retour de ma cousine (5)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/06/2023

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Dimanche 6 juillet 2014 (suite)


Le retour de Valy fait un peu diversion. Elle aussi ne découvre le tableau qu’au moment où elle nous fait face en s’installant. Elle marque son étonnement :
— Ah ben, carrément !
— Eh oui, tu vois, on a pas tenu longtemps ! Tu nous connais bien.
— Oui, c’est certain. Mais sans prévenir, devant les jumeaux…
— Oh, les jumeaux, ils semblent pas être traumatisés par notre nudité.

Effectivement, Théo fait bonne contenance et Manon, que les exclamations de sa mère ont alerté vient tout juste de réaliser la situation. Mais elle a déjà vu Lola sous toutes les coutures et comme j’ai la même épilation, ça ne la heurte pas. Elle est un peu plus focalisée sur la queue de Ber qui est pour elle une vraie découverte mais qui n’a pas l’air de lui faire peur non plus. Elle ne s’y attarde pas toutefois, pour ne pas se faire faire des remarques par sa mère. Elle renchérit dans notre sens :
— Oui, Man, moi ça me dérange pas. On a déjà dormi toutes nues et pris la douche ensemble avec Lola. Et puis tu nous avais dit qu’ils étaient naturiste. On s’y fera.

Du coup comme les jumeaux sont d’accord pour qu’on ne se prive pas, Valy est forcée de capituler. On reste donc tous les trois à poil et la tension retombe. Tout reste calme jusqu’au moment de se préparer pour la soirée. Pendant que je vais mettre le poulet sur la broche du four our qu’il ait le temps de bien rôtir, c’est Théo qui passe le premier à la douche. Puis je reviens au salon et nous nous installons pour l’apéro. Assise comme hier avec Lola dans un fauteuil, Manon ne peut s’empêcher de mater la bite et les couilles de Ber qui ballottent pendant qu’il s’affaire avec les verres, les bouteilles et les amuse-gueules.

Théo revient et se pose dans la place restante entre sa mère et moi dans le canapé. Puis c’est Valy et moi qui nous levons et le laissons seul au milieu pour aller ensemble vers la salle de bains, sous le motif de gagner du temps comme hier. Evidemment, tout en nous savonnant nous en profitons pour nous faire un peu plaisir et ça finit par deux beaux orgasmes sous le jet de rinçage. Ça me permet de la décider totalement à nous rejoindre cette nuit pour approfondir sa remise en route. Sentant qu’elle est encore bien chaude dans sa tête, je lui dis :
— Et maintenant, tu renfiles rien pour retourner au salon. A poil !
— Comment, mais…
— Oh, tu vas pas me dire que ça te gêne ?
— Et mon fils ?
— Il voit déjà Lola et moi, sans compter Ber. Alors je crois que ça ira pour lui.
— Bon, d’accord ! Mais avoue que tu exagères.
— Allez, on sera bien mieux tous à poil. Tiens, je te parie que lui aussi il va le faire !

Nous revenons donc toutes deux nues dans le salon. Théo focalise un peu sur mon mont chauve pendant que je passe devant lui pour m’assoir à sa droite. Comme Valy était derrière moi, il ne remarque pas son absence de string quand elle se pose à sa gauche sur le canapé. C’est aux deux filles de prendre leur tour de douche et je constate que Manon a bien remarqué la nudité de sa mère. D’ailleurs, dès qu’elles sont sous le jet, elle le dit à Lola :
— T’as vu, ma mère est revenue à poil avec la tienne !
— Oui, j’ai vu son petit filet de poils. C’est bon signe, non ?
— Euh, oui, pourquoi ?
— Ben, pour faire comme elle toi aussi.

Tout en devisant, Lola aide Manon à se savonner dans le dos et s’attarde un peu plus sur ses fesses que la dernière fois sans qu’il y ait de réaction hostile. Même mieux, Manon n’a pas la même réticence qu’hier à toucher celles de Lola. Puis chacune s’occupe de son côté face et cette dernière se dit qu’il est temps d’en faire un peu plus et commence à se caresser les seins en se pinçant ostensiblement les tétons. Comme ceux de son vis-à-vis pointent allègrement, elle continue en transformant son savonnage de pubis en branlette. Cette fois, Manon se trouve en face de ce spectacle au lieu d’être à côté comme dans le lit. Ça la trouble et elle finit par faire pareil. Puis elles se sèchent et Lola persuade Manon de rester à poil.

Quand elle reviennent, Théo ne peut manquer de voir la nudité totale de sa sœur et découvre en même temps que sa mère son épilation intégrale. Il est soufflé et ça le bloque un peu. Du coup, je vois en baissant mon regard qu’il ne bande pas dans son string. Mais je sais que je vais faire en sorte que ça change. Je note au passage la silhouette de Manon : avec sa minceur, son absence de hanches et de seins, ses petites fesses rondes et son épilation intégrale, on lui donnerait six ans de moins.

Elle s’assoit dans son fauteuil et Lola se pose contre elle, le dernier fauteuil libre ayant été réquisitionné par Ber. Tout se passe bien, donc je lance la conversation :
— Dis donc, Manon, je vois que toi aussi tu as choisi de virer tous tes poils.
— Euh, oui… En fait c’est Lola qui m’a épilée ce matin pour que je puisse mettre le string plus petit que celui d’hier.
— Tu aurais pu garder un petit peu, comme ta mère. Ça serait rentré.
— Oui, je sais, mais elle m’a eu un peu par surprise…
— Et sinon, maintenant que tu vois la coupe de poils de ta mère, tu aimes ?

C’est là que Théo regarde dans cette direction et s’aperçoit enfin qu’à la place d’un triangle de tissu, il y a de la peau avec une ligne de poils. Cette découverte, juste sous son nez finit par le déclencher. Il lutte pour essayer de penser à autre chose, mais je vois que le mal est fait. La poche avant de son string prend du volume irrésistiblement jusqu’à ce qu’une érection totale fasse franchir l’élastique du haut à son gland. dans la position où nous sommes, impossible pour lui de nous cacher ça, sauf dans l’urgence en mettant sa main devant. Je dis pour dédramatiser :
— T‘en fais pas Théo, c’est tout à fait naturel, ça nous choque pas, pas vrai Valy ?
— Euh, oui… C’est normal à ton âge, rassure-toi, mon chéri. N’aie pas honte.

J’insiste pour arriver à mes fins :
— Et même, le mieux maintenant c’est que tu enlèves ce string qui sert plus à rien et que tu te décontracte. En fait, t'es le seul pas encore à poil. Tu verras, ça ira mieux assez vite. D’accord, vous tous ?

Comme personne ne répond par la négative, je commence à lui desserrer les liens coulissants et il finit par soulever un peu ses fesses pour que je lui enlève son dernier rempart. A ma demande, il enlève enfin ses mains et nous dévoile une bite d’environ quatorze centimètres et d’un diamètre de trois dont le petit gland rose a été à moitié décalotté par le frottement sur le tissu lorsqu’il en est sorti intempestivement. Pas de quoi faire de l’ombre à celle de Ber qui est plus imposante même au repos à ce moment, sans parler de ses dix-neuf sur cinq et demi en pleine forme.

Mais comme tout le monde fait plus ou moins semblant de ne pas y porter attention, il se laisse aller à nous exhiber sa queue dressée et posée contre son ventre ainsi que ses couilles de la taille de deux œufs de pigeon, parsemées comme son pubis d’un duvet blond foncé peu fourni. Je crois même qu’il commence à y prendre un certain plaisir, surtout de le faire impunément devant sa mère et sa sœur. Mais assez vite, la colonne de chair se dégonfle et tout rentre dans l’ordre.

Pendant que Valy et moi allons à la cuisine récupérer le poulet et une salade, Ber demande à Théo de l’accompagner au cellier pour chercher du rosé bien frais et Lola et Manon dressent la table. Comme elles sont seules, Manon en profite pour avouer que c’est la première fois qu’elle voit des sexes masculins, et surtout d’aussi près.

Le repas se déroule tranquillement, puis après une rapide desserte et une vaisselle laissée à tremper pour demain matin, nous nous réinstallons pour visionner un film. En été, c’est souvent la période des rediffusions de vieux trucs usés. Et justement, Ber en trouve un de circonstance : Les branchés à St Tropez. De la comédie bien légère, avec un peu de tétons et fesses dans une ambiance estivale.

Nous nous sommes dans la même disposition que pour l’apéro. Vers la fin du film, j’en profite pour poser ma main sur la cuisse de Théo que je caresse tout doucement comme machinalement. mes doigts tout près de ses parties génitales et les vues des ces seins sur l’écran font peu à peu monter la sève dans sa branche intime. Dans l’obscurité générale et comme tout le monde est tourné vers l’écran, son érection passe inaperçue sauf pour moi qui en suis la cause principale. je me penche un peu vers son oreille pour y glisser un petit “chut“ afin de le rassurer. Il se laisse donc aller bander dur, d‘autant plus que le bout de mes doigts a fini par arriver en contact avec la base de sa hampe au raccordement avec ses couilles.
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Histoire de Hannapurna

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