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Eté 2014 : Le retour de ma cousine (4)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/06/2023

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Dimanche 6 juillet 2014 (suite)

En attendant, ils nous rejoignent puis nous sortons tous pour sécher sur nos transats. C’est à ce moment que ma cousine et ma tante remarquent enfin le changement de maillot de Théo. Elles ne font toutefois pas de remarques pour éviter de le mettre éventuellement dans l’embarras.

Puis les dernières gouttes d’eau finissent de sécher et il est temps de s’enduire à nouveau d’huile solaire. Instinctivement, nous reprenons les mêmes binômes. Je constate pour ma part qu’il y avait effectivement anguille sous roche à la cuisine car derrière la ficelle je trouve les grandes lèvres de ma cousine rougies et bien humides. La nouveauté c’est que les fesses de Théo sont à disposition de sa sœur. Celle-ci a moins de scrupules à les malaxer, d’autant plus qu’elle se venge un peu du fait qu’il en a bien profité ce matin. lorsqu’ils échangent leur position, je vois que le string de Théo présente un renflement qui grossit encore lorsqu’il masse sa sœur. Il abrège d’ailleurs son travail pour vite se remettre à plat sur le ventre. Heureusement que je ne lui ai pas donné un modèle mini, sinon il aurait débordé…

Il est maintenant environ 17 heures et Marie-Lou est allée se rhabiller car elle compte rentrer chez elle pas trop tard pour faire des choses diverses et se coucher tôt, voulant être en forme demain pour aller travailler. Le soleil est toujours aussi insistant, aussi nos trois nordistes sont allés se réfugier à l’intérieur depuis un petit moment, étant moins habitués et ayant déjà eu leur dose depuis ce matin. Valy a annoncé aller dans sa chambre pour profiter de la relative fraîcheur en attendant que la température soit moins intense dehors.

Pour aller raccompagner ma tante à la porte, je passe donc par le salon où je vois que Manon est allongée à plat ventre sur le canapé et Théo avachi dans un fauteuil en train de regarder un magazine. Avant de retourner sur la terrasse, je décide qu’il est temps de monter d’un cran. Je glisse mes deux pouces sous l’élastique de mon string et le fais descendre à mes pieds. Je suis désormais totalement nue. Je retraverse le salon avec mon string que je balance ostensiblement au bout de mes doigts, mais les deux jeunes n’ont pas l’air de le remarquer. Quand je m’installe de nouveau dans mon transat, Lola et Ber prennent ma nouvelle tenue comme un signal de départ vers une nouvelle exhibition plus poussée et m’imitent sans hésitation. Nous nous faisons des clin d’œil avec un petit sourire.

Mais je n’ai pas la patience d’attendre que les autres reviennent dehors. A peine un peu plus tard, je décide de retourner à l’intérieur sous le prétexte d’aller me chercher à boire. J’arrive donc dans le salon totalement nue. Manon, Théo est tout seul, toujours vautré dans son fauteuil. En me voyant évoluer dans son espace visuel, cette fois il redresse la tête et reste figé de me découvrir dans cette tenue. Il garde la bouche ouverte sans arriver à emmener un son. Tout en m’approchant encore, pour le débloquer je lui demande :
— Ta sœur n’est pas là ?
— Euh, non, elle vient d’aller aux toilettes. Euh, t’as enlevé ton string ?
— Oui, pourquoi ? T’as jamais vu de femme toute nue ?
— Euh, non… Enfin, pas en vrai. Mais…
— Mais quoi ?
— Ben, c’est que je m’attendais pas à… euh… ça, là, maintenant.

Il est rouge pivoine et ne me regarde pas du tout dans les yeux, ayant à cette hauteur ma belle chatte toute lisse. je le réveille :
— Attention, t’es en train de bloquer sur mon centre de gravité !
— Oh, pardon, excuse-moi…
— T’inquiète pas, je peux comprendre. Ça t’embête pas si je reste à poil ?
— Euh, non pas du tout, mais …
— Mais quoi ?
— Ben …

Et il regarde son string dont le triangle avant a pris de l’ampleur. Ce mouvement de sa tête m’incite à regarder dans la même direction. Faisant l’étonnée, je dis :
— Dis donc, c’est moi qui te fais cet effet-là ?
— Je sais pas mais c’est la première fois que … de si près…
— Ah ben oui, je comprends, mais ça me flatte. Tu sais, ici avec Ber et Lola nous sommes très libres et sommes le plus souvent à poil, tu le savais pas ?
— Oui, ma mère en a déjà parlé. Mais je pensais pas que tu le ferais là devant moi !
— Tu pensais que j’allais pas le faire parce que vous étiez là ?
— Oui, c’est ça.
— Bon alors, puisque tu m’y autorises je reste à poil et je vais continuer ce que j’étais venue faire puis retourner dehors. Enfin, à poil, façon de parler comme tu le vois. Et si tu finis par déborder du tissu, ne t’en fais pas, j’en ai vu d’autres !

Et comme fait exprès, c’est à ce moment que son matériel s’évade en haut du string, le gland se décalottant à moitié au passage de l’élastique. Il cache cette apparition prestement avec sa serviette de bain qui était à côté de lui mais je lui fais on clin d’œil et je le laisse comme si de rien n’était. Je me dirige vers la cuisine et me sers un grand verre de jus de fruits bien frais avant de retourner vers la terrasse.

Je repasse par le salon où Manon est revenue entretemps des toilettes et où Théo qui est debout, cachant son érection avec sa serviette entourée autour de sa taille, s’éclipse promptement vers la place qu’elle vient de libérer. Nul doute qu’il va se débarrasser manuellement de son problème. Comme je suis de trois-quart dos et à contre-jour en passant devant le canapé, elle ne réalise pas que les trois ficelles ont disparu de la surface de ma peau. Je rejoins les autres qui entretemps on piqué une tête dans la piscine. Puis nous reprenons une séance de séchage au soleil en attendant la suite.

J’en profite pour demander à Ber des explications. Il nous raconte alors que pendant qu’il étaient à la cuisine pour faire la plonge, il a commencé à leur tripoter les fesses, pendant qu’elles avaient les mains occupées par le lavage des assiettes et couverts. Elles ont un peu protesté pour la forme, mais il a continué et elles l’ont laissé faire. Il a donc continué en les doigtant en même temps, la main gauche pour ma tante, la main droite pour ma cousine.

La pression a commencé à monter et Marie-Lou a voulu qu’il stoppe car elle avait peur qu’ils se fassent surprendre. Il l’a rassurée en lui démontrant que non seulement on était occupés à autre chose, mais que ce côté de la cuisine n’était pas visible en entrant de la terrasse dans le salon, ni non plus en allant vers les toilettes. Il n’a même pas eu à baisser son string qui ne contenait plus que ses couilles depuis que son gland et sa tige en érection s’en était échappés. Il a écarté la ficelle du string de ma cousine et l’a enfilée pendant qu’elle avait toujours ses deux mains dans l’eau savonneuse de l’évier. Pendant ce temps il entretenait ma tante de l’index gauche. Ma cousine était certainement en manque car elle a joui très vite en se retenant de faire du bruit.

Pour ne pas faire de jalouse, Ber s’est décalé vers la gauche et a embroché Marie-Lou qui n’avait plus pris une bite dans la chatte depuis longtemps. Et la dernière fois, c’était aussi celle de Ber, il y a cinq ans déjà. Du fait de ce manque, elle aussi n’a pas mis longtemps à atteindre l’orgasme et a réussi a rester silencieuse. Enfin, c’est elle qui s’est agenouillée pour terminer Ber de la main et de la bouche. il ne voulait pas trop faire durer car ça aurait fini par être remarqué. Il a donc giclé rapidement, ma tante avalant à peu près tout pour ne pas trop laisser de traces.

Je complimente Ber qui me précise aussi qu’il a proposé à Valy de nous rejoindre cette nuit et qu’elle n’est pas contre à condition qu’on fasse attention vis-à-vis de ses enfants. Nous nous organisons donc avec Lola pour synchroniser notre scénario.

Peu de temps après, les autres font leur ré-apparition. Comme la terrasse est orientée ouest et que nous avons disposé nos transats de façon à rester face au soleil, nous sommes de dos par rapport aux baies coulissantes du salon. C’est Manon qui est la première à nous contourner et à prendre place sur le fauteuil libre à gauche de Lola. Elle s’assoit directement et ferme les yeux car elle n’a pas pensé à remettre ses lunettes teintées. Elle n’a toujours pas réalisé qu’on était entièrement nus tous les trois.

Elle est suivie immédiatement par son frère, qui lui se rend compte de la situation car il m’a déjà vue tout à l’heure. Là il découvre que Lola a la même épilation radicale que moi et que Ber qui trône au milieu est bien fourni en matériel, à défaut de poils car li n’a que son petit plumeau bien taillé sur le pubis. Heureusement, il vient à priori de se soulager aux toilettes et ses outils ont réintégré leur abri. Il doit être un peu intimidé de notre hardiesse car il n’a aucun début d’érection pour le moment. Lui se place donc à droite de moi et essaye de penser à autre chose en évitant de lorgner sur nos académies.
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Histoire de Hannapurna

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Commentaires du récit : Eté 2014 : Le retour de ma cousine (4)

Le 20/06/2023 - 06:31 par Sky
Comme dit @OlgaT, c'est une belle série et j'attends la suite Zagreb impatience. J'adore moi-même être à poils chez moi, comme ma femme, mais j'avoue qu'on ne le fait pas quand il y a du monde, même si ça me tente bien souvent !
Le 19/06/2023 - 13:22 par OlgaT
Une très belle série!

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