Eté 2014 : Le retour de ma cousine (6)

Le film se termine et je me penche sur l’accoudoir pour rallumer le lampadaire à côté. Dans le mouvement, je pousse la peau de sa tige vers le bas et ça met à l’ai son gland. Valy découvre enfin la nouvelle érection de son fils. Elle ne peut s’empêcher de dire :
— Théo ! Encore ?

Du coup, ça attire l’attention de Manon qui cette fois semble regarder avec un peu plus d’intérêt les attributs de son frère. Ber s’empresse de dédramatiser à sa façon :
— Allez, Valy, tu vas pas recommencer. On a dit que c’était naturel. D’ailleurs je le comprends avec toutes ces baigneuses dénudées. Regarde, moi aussi ça m’a un peu émoustillé. Ça prouve qu’on est normaux et en bonne santé !

Effectivement, comme nous l’avions prévu lui et moi à la fin du dîner, il s’est discrètement mis en forme pendant la projection et sans être à son maximum, il arbore cependant une érection intéressante. D’ailleurs il ne se gêne pas pour se lever et aller éteindre le vidéo-projecteur et le home-cinema en étant précédé par sa queue à l’horizontale et son gland à demi décalotté. Manon a l’air impressionnée.

Comme il ne donne pas l’impression de vouloir masquer son état à nos invités, ça donne plus ou moins le signal de repli vers les chambres pour éviter un éventuel moment de gêne. Lola et Manon sont les premières à s’éclipser dans la leur, suivies de près par la bite de Théo toujours pointée vers le plafond, visiblement inspiré par leurs fesses et enfin Valy, Ber et moi. Comme les trois jeunes ont disparu, j’ouvre la porte de Valy pour simuler son entrée et la referme en lui souhaitant une bonne nuit, puis elle nous suit dans notre chambre avec déjà la bite de Ber en main.

Là, il n’est plus question pour elle de s’offusquer de son érection. Bien au contraire, elle s’agenouille immédiatement pour la prendre en bouche. S’ensuit une bonne partie triangulaire avec accessoires. Nos retrouvailles sont mouvementées et se concluent, après un passage par toutes les figures imposées, par une double de Valy qui chevauche Ber pendant que je l’encule avec mon strapon, pour aboutir à une éjaculation partagée entre ma cousine et moi, sur le visage et dans la bouche.

Pendant ce temps, Théo est déçu car nous avons fait exprès de fermer nos volets pour qu’il ne découvre pas nos relations intimes avec sa mère. Tout au moins, pas encore. Donc, déçu, il se rabat vers la porte-fenêtre de la chambre de Lola, qui elle est restée ouverte et où filtre à travers les rideaux la douce lumière de la lampe de chevet. il s’y dirige avec sa main s’activant déjà doucement sur sa bite.

A l‘intérieur, Lola et Manon parlent de ce qu’il vient de se passer dans la journée, principalement ce soir. Manon lance :
— Putain, t’as vu la taille de l’engin de ton père ?
— Oui, mais je connais déjà. Je te rappelle qu’on vit à poil tout le temps, et c’est pas la première fois qu’il bande. Et encore, il était pas à fond…
— Quand même, j’étais déjà étonnée par celle de mon frère. Mais c’était la première que j’en voyais une, alors que là, le morceau…
— Quoi, tu aimerais la toucher ? Imagine-la dans ta main…
— Oh, Lola…
— Allez, viens, on va voir si ton frère est encore en train de mater mes parents.

Elle la prend par la main pour l’entraîner dehors, sachant que Théo ne pourrait pas être en train de nous mater. Et elle le trouve pile comme elle l’espérait. Il vient juste d’arriver devant leur ouverture et il est train d’essayer d’écarter discrètement le coin du rideau. Donc en l’écartant complètement, elle et Manon tombent nez à nez à bec lui. il reste figé, sa bite en main. Lola le fait se réveiller en lui disant :
— Eh ben, mon salaud, et si au lieu de nous mater en douce tu rentrais avec nous ?

Aussitôt dit, aussitôt fait, ils se retrouvent tous les trois dans la chambre. Lola allume en grand à la place de la veilleuse puis se met sur le lit, jambes repliées et écartées :
— Allez, quitte à te branler en nous matant, autant le faire devant nous, qu’on en profite tous ensemble.

Et pour monter l’exemple, elle commence à se caresser le clito puis demande :
— Allez, Manon, toi aussi, je sais que tu en as envie. Alors lâche-toi !

Effectivement, Manon ne résiste plus et se pose à côté de Lola pour faire comme elle. Evidemment, Théo n’a aucun scrupule à se masturber énergiquement devant ce tableau dont il s’approche jusqu’à avoir ses tibias contre le bas du lit. Pour cette première, il n’arrive pas à contrôler longtemps et gicle abondamment. Les salves s’écrasent sur les pieds des filles et sur les draps. Manon a suivi tout ça avec des yeux exorbités tout en accélérant sans cesse sa masturbation et suit de très peu son frère dans la jouissance. Lola continue en mode croisière tout en disant :
— Eh ben, Théo, tu nous en as mis un beau paquet. Et tu bandes encore ! Fais voir…

Elle arrête sa branlette et se redresse pour poser délicatement ses doigts sur la bite et la caresse doucement en remontant des couilles au gland :
— Tu permets ? Après tu pourras me toucher où tu veux toi aussi. Ouah, elle est bien dure ! Et ton gland est mignon. Tu veux toucher, Manon ?
— Euh, non, c’est mon frère.
— Et alors, c’est juste comme en cours d’éducation sexuelle. Allez…

Sur l’insistance de Lola, Manon finit par prendre la bite de son frère en main. Elle ne serre pas trop ses doigts et la relâche rapidement. Lola se remet sur le dos :
— Allez viens, Théo. Chose promise, chose due !

Théo ne résiste pas à une telle invitation et s’installe près du lit du côté de Lola. Il commence par toucher lui tripoter les seins avant d’envoyer ses doigts en exploration dans sa fente offerte par les jambes bien écartées. Il passe furtivement sur le clito et n’entre pas plus qu’une phalange dans le vagin, n’osant pas aller plus en avant. Elle tourne la tête vers Manon qui regarde ça :
— Et toi aussi !
— Euh, non, pas moi…
— Tu l’as touché, donc tu lui dois ça, sinon c’est pas honnête ni équitable.

Théo saute sur l’aubaine et il se penche par-dessus Lola pour atteindre sa sœur qui se laisse faire. Etant donné son manque de poitrine, il ne s’attarde que peu sur ses cabochons érigés et se consacre principalement à sa chatte en y restant même un peu plus que sur celle de Lola. Sa bite bat la mesure et il finit par la reprendre en main pour envoyer rapidement une autre salve de foutre qui cette fois arrive forcément sur le ventre de Lola. Il s’affole un peu de s’être laissé aller :
— Euh, pardon, Lola. Je voulais pas…
— Mais oui tu voulais. Et moi j’ai bien aimé. Alors t’en fais pas.
— Bon, d’accord.

Après ça il ne s’attarde pas trop et s’éclipse vers sa chambre. au passage Lola lui conseille de se débarrasser de ce peu de duvet qui lui parsème les couilles et le pubis. Puis elle va ouvrir un tiroir de sa commode :
— Bon, tout ça m’a bien excitée, pas toi ?
— Euh, oui, j’avoue…
— Alors on va se faire plaisir.

Elle revient avec deux vibros et les présente à Manon :
— T’en as déjà utilisé ?
— Euh, non…
— Alors justement, prends celui qui à la taille de ton frère, moi je prends celui qui ressemble à mon père.

Comme Manon hésite un peu, Lola lui montre comment ça marche et elle finit par être convaincue. Lola se défonce bien mais remarque que sa voisine ne fait que se toucher le clito et l’entrée du vagin avec le gland de silicone. Ce qui ne l’empêche pas de jouir elle aussi. Puis elles s’endorment, enfin apaisées.