Eté 2014 : Pélerinage en Corse (1)

Mardi 15 juillet 2014

Ce matin rien de bien nouveau, sauf Ber qui, en voulant se rafraichir les couilles et le pubis, a dérapé sur son filet de poils et a finalement tout enlevé, se retrouvant aussi glabre que ma chatte et celle de notre fille. Evidemment, cette dernière tient à inaugurer le nouveau look de son père et lui prodigue une fellation devant toute l’assistance qui ne s’en formalise plus du tout.

Comme d’autres tiennent à tester aussi ce changement, il lui demande de laisser un peu sa place. Elle est relayée par Valy, puis Sève, Marie-Lou, mais c’est à Manon que revient le plaisir de le terminer. Elle pousse le luxe jusqu’à lui branler le cul en même temps avec un doigt dans la rondelle et ça le fait enfin éjaculer. Elle s’en prend plein le visage, mais les giclées sont suffisamment abondant pour qu’elle en ait aussi à avaler.

De mon côté, j’ai laissé mon tour à nos invitées mais je me suis accaparé les deux garçons qu’ils me prennent en sandwich. Quand je sens qu’ils sont au bout, je me retire et les fais se mettre à genoux face à face. Puis je leur demande de se branler mutuellement. Leurs queues s’entrechoquent dans ce mouvement croisé et je les déclenche en mettant moi aussi un doigt dans chacun de leur petit trou. Ils éjaculent bien fort et haut chacun sur le ventre et le pubis de l’autre. La journée commence bien !

Mais il est bientôt temps pour Sève et Thibault de rassembler leurs affaires et de remettre de l’ordre dans leurs tenues car ils doivent prendre la route pas trop tard pour rejoindre la belle-famille en Picardie. Pas vraiment une joie pour eux, mais bon, c’est un peu leur devoir familial.

En début d’après-midi, Manon et Valy s’offrent enfin une des rares combinaisons qu’elles n’avaient pas encore testée. Elles se paient un joli soixante-neuf mère-fille. Nous en faisons de même avec Lola pendant que Ber propose à Théo de compléter le tableau entre eux. Mais Théo ne tient pas la distance et arrose la gorge de Ber en premier. Du coup, Ber tient à continuer le rodage de son partenaire et le place à quatre pattes pour lui investir le conduit. Cette fois ça rentre plus facilement et il lui ramone l’anus sans retenue, ne se privant pas d’aller au bout en lui remplissant le conduit de son sperme.

Juste après, nos bagages étant déjà bouclés, nous chargeons la voiture pour rejoindre le ferry à Toulon où débute notre voyage à trois en Corse. Un petit pèlerinage pour Ber et moi, une découverte pour Lola. Nous laissons la maison aux soins de Valy pour qu’elle en profite avec ses jumeaux en notre absence.

Avant de partir, j’avais fait une commande sur internet de quelques plugs anaux. La livraison est annoncée pour le 18 et je préviens ma cousine pour qu’elle ne la rate pas et qu’elle ne se gêne pas pour ouvrir le colis car c’est aussi pour eux.

Sur le ferry, nous restons relativement sages afin de reprendre un peu des forces. Relativement car Lola et moi ne portons chacune qu’une robe d’été légère et courte sans rien dessous, ce qui nous donne l’occasion d’offrir de beaux points de vue à pas mal de passagers. Nous discutons un peu de notre programme et nous tombons d’accord de ne faire que de l’exhibition, d’éviter de chercher des partenaires actifs. Ça nous fera des vacances…


Mercredi 16 juillet 2014

Arrivés ce matin à Bastia, nous prenons directement la route de St Florent. Nous avons réservé à l’hôtel Adonis bien à l’avance pour être certains d’avoir une chambre qui nous convienne car c’est la pleine saison. Nous y passons en premier car ils nous avaient assurés que nous pourrions y décharger nos affaire pour les mettre dans une réserve en attendant de pouvoir investir notre chambre qui ne se libérerait que plus tard dans la journée. Je dis notre chambre car nous avons demandé une seule chambre triple. On commence par rapprocher les deux lits pour en faire un grand terrain de manœuvres. Puis on vérifie que c’est bien comme prévu, avec balcon ne comportant q’une rambarde a barreaux de fer, sous une arcade donnant sur la piscine à débordement. Dans tous les cas, l’hôtel a l’air sympa et le personnel accueillant.

Nous allons ensuite faire quelques emplettes pour le pique-nique et allons prendre la navette pour les Agriates. Nous n’avons pas pris la peine de nous changer, nous avons juste enfilé des strings de bain et sur le bateau nos robes voltigent autour de nos fesses. Avant d’arriver, nous ôtons tous les trois directement nos vêtements superflus sur le bateau sans nous soucier des réactions des autres passagers et c’est juste en string et sandales que nous débarquons sur le ponton de la plage du Loto. Puis nous prenons le sentier de la plage de Saleccia pour retrouver son espace naturiste entre d’autres adeptes, heureusement pas si nombreux.

Nous attendons que la plupart aient posé leur sac avant de choisir un coin suffisamment à l’écart pour ne pas être vus de toute la plage. D’autres vont encore plus loin et dans notre champ de vision nous avons seulement un jeune couple qui nous parait intéressant. Le gars est un grand blond assez mince et la fille, blonde elle aussi, parait plutôt petite et bien ferme. Pas de gros seins, juste des collines bien coniques avec des sommets pointus et apparemment de fesses bien pommées comme il faut. De ce qu’on a pu apercevoir en arrivant, lui a des poils en petite broussaille sur son pubis et elle semble n’avoir qu’une petite touffe bien taillée. Nous les dépassons en leur faisant un petit bonjour et nous posons un peu plus loin, mais pas trop.

Après avoir viré les strings, nous allons d’abord prendre un bain, histoire de mieux leur montrer nos académies, masquées elles par aucun poil. Puis après avoir englouti les victuailles, nous nous positionnons pour une sieste digestive et bronzante. Pour cela, je demande à Lola assez fort :
— Dis, tu veux bien me passer la crème solaire sur le dos ?
— Volontiers, M’man.

Elle aussi a haussé la voix pour être entendue de nos voisins et leur signaler notre lien de parenté. Car elle a remarqué comme son père et moi que le gars nous mate discrètement derrière ses lunettes de soleil, allongé sur le ventre tandis que sa compagne qui est sur le dos nous est presque entièrement masquée par lui.

Lola s’applique à me tartiner les fesses en me les malaxant plus que de nécessaire et je vois que ça intéresse beaucoup notre spectateur. J’en rajoute :
— Fais attention à bien en mettre partout, hein ?

Elle ne se fait pas prier plus longtemps car je sens ses doits s’insinuer dans ma raie et venir me pénétrer les deux trous à la fois. C’est certain que notre voisin ne peut pas avoir de doute sur ce qu’il se passe. Elle me confirme d’ailleurs à voix basse que non seulement il nous mate, mais qu’en plus il bande dur.

Puis c’est elle qui me laisse après m’avoir donné bien du plaisir et se met sur le ventre à côté de moi sur sa serviette en demandant à Ber :
— Tiens, P’ap, tu veux bien t’occuper de moi ?

Ber ne se fait pas prier et se lève sans masquer son érection pour venir se mettre à califourchon sur les jambes de Lola et commence par lui tartiner consciencieusement le côté pile avec la crème solaire de la nuque aux chevilles. Puis il remonte s’occuper plus longuement des fesses avant de se décider à pointer son gland à l’entrée du vagin de notre fille qui approuve bien haut pour être entendue de nos voisins :
— Oh oui, P’ap, baise moi bien fort !

Je surveille ce qui se passe à côté sans me cacher cette fois. Le gars était en train de se toucher discrètement la bite en nous matant, mais maintenant la tête de sa compagne est dressée et nous regarde au-dessus de lui. Je mets donc la touche finale en me retournant et en faisant signe à Ber de changer de position. Il comprend ce que je veux et fait placer Lola à quatre pattes juste en face de mes cuisses bien écartées avant de continuer à la pilonner en levrette.

Pendant que notre fille me déguste l’entre-jambes, je fais un sourire aux deux voisins et leur fait un signe bien explicite que la fille comprend car elle prend en main la bite de son mec pour continuer la manœuvre. Puis après l’avoir un peu sucé, elle se lâche complètement et vient s’empaler sur sa queue pour le chevaucher tout en nous regardant. Son compagnon nous mate lui aussi tout en lui malaxant les seins.

Comme Lola exprime sa jouissance, Ber ressort et nous alternons nos positions entre mère et fille. sauf que Ber a choisi la voie étroite pour moi. Je l’exprime bien fort pour que nos voisins sachent exactement ce que nous faisons :
— Oh oui, encule-moi !

Ça a dure un petit moment, mais je lâche prise et jouis du cul. Ber se dégage et nous présente son gland pour terminer. Se plaçant à côté de lui, Lola le branle bien fort pour le faire éjaculer sur moi, étendue devant lui, ce qui sera plus spectaculaire pour nos voisins qu’un avalage qui passerait inaperçu. Et effectivement, ils ne ratent rien des giclées abondantes qu’il délivre sur mes seins et mon ventre.
Notre voisine qui a joui elle aussi, et au moins deux fois si j’ai bien entendu, se retire enfin de la bite sur laquelle elle galopait pour elle aussi nous offrir le spectacle de fin. Elle branle son mec qui finit par nous gratifier de belles gerbes qui s’écrasent sur son propre ventre.