Expérience à la plage

Voici une histoire vrai qu’il m’est arrivé, hormis quelques détails enjolivés cette histoire est 100% réelle. .

L’été dernier nous avons décidé la femme et moi de prendre quelques jours pour nous. Avec nos travails respectifs cela faisait longtemps que cela ne nous était pas arrivé. Notre choix c’est porté sur la côte espagnole et plus précisément la région de Carthage et que nous ne connaissions pas.

Ce Break venait à point nommé car il faut avouer que le stress de la vie quotidienne avait fortement entamé notre libido et de manière plus générale notre relation de couple. Cela faisait plusieurs mois que notre vie sexuelle était inexistante.

Ma femme a 32 ans, c’est un petit bout de femme très pulpeuse avec des courbes généreuse. Ça poitrine est assez opulente et ses fesses bien charnues. Elle a un des plus beau visage qu’il m’a été donné de voir avec ses long cheveux bouclés et ses taches de rousseur. Elle reste toutefois d’ un caractère assez réservé et n’est pas très encline aux expériences sexuelles « non conventionnelles ». De mon côté je suis un homme de 40 ans de corpulence moyenne avec évidement plus d’expérience.

Un jour après avoir déjeuner, nous décidâmes d’aller tester une nouvelle partie de la côte sur laquelle se trouvais une immense plage. Cette zone protégée était uniquement accessible en minibus afin de protéger le littoral. En regardant la carte de la côte je m’aperçois qu’une partie de la plage est nudiste, tout au bout de la plage, a l’endroit où celle-ci deviens moins large et commence à ce parsemer de rochers annonçant la falaise suivante. Sans en avertir ma femme je l’incite à monter dans le minibus qui a pour arrêt final de petit bout de plage.

Arrivé au terminus nous descendîmes et je feins l’étonnement en voyant le panneau « plage nudiste ». Bien que la Femle ne soit pas d’un tempérament très joueur , elle apprécie toutefois les joies du nudisme que nous avions quelquefois pratiqué auparavant.

Maintenant que nous sommes là et vu la chaleur de ce début d’après-midi autant jouer le jeu, lui dis-je.
Ok, me répondait-elle. Allons chercher un emplacement.

Nous marchâmes sur la plage jusqu’à trouver un emplacement à environ 7/8m de l’eau et qui nous permettait de ne pas être trop près des personnes déjà installées. La plage n’était pas bondée, nous étions entourés de plusieurs couples ayant entre 40 et 60 ans ainsi que de quelques hommes seuls installés un peu plus loin et un groupe de filles d’environ 18/20 ans.

Nous nous installâmes et j’avoue avoir eu une appréhension à me déshabiller en public depuis tout ce temps passé depuis notre dernière expérience nudiste. Étonnement cela n’a pas été le cas de Cloé qui s’est allongé directement après s’être dévêtue et commença à bronzer. Malgré que ce soit ma femme j’étais émoustiller de la voir ainsi nue d’autant plus que je n’avais pas encore eu le droit à ce spectacle depuis notre arrivée en vacances, ce qui m’a permis de voir que malgré le manque de libido apprent elle avait quand même pris soin d’épiler son intimité près qu’intégrale ment, ne laissant qu’une petite ligne de poils court au dessus de son clitoris.

Je profitais qu’elle soit allongée les yeux fermés pour jeter un œil autour de nous et ainsi voir la plastique de nos voisins de plage. Le couple le plus proche de nous était à environ 5 m et le femme, allongée, m’offrait une vue directe sur son entrejambe. La position de son mari et d’elle me permettait de regarder leur sexe sans qu’ils me voient. L’homme avait une verge plus grosse que la mienne et celle-ci était nonchalamment étalée sur sa cuisse, je ne pu m’empêcher de l’imaginer en érection et de me demander si sa femme arrivait à la prendre entièrement en bouche. Dans tous les cas ses ejaculations devaient être abondantes. La vulve de sa femme était rebondie et assez poilue, ce qui ne m’a jamais dérangé, elle brillait au soleil à cause de la crème solaire qu’elle y avait étalé.

Cette scène m’exista sans que m’en rende compte et lorsque je me retourna vers ma femme qui était allongée à côté de moi, je la vis me regarder, elle m’avait pris la main dans le sac.

« Alors, la vue te convient ? » Me dit-elle en prenant ma main.
Je lui souris et dit : « effectivement c’est pas mal du tout »

A peine ai-je eu le temps de répondre qu’elle pris un de mes doigt et le mis dans sa bouche. Étant allongé sur le dos et ayant encore en tête l’image du sexe de notre voisine, mon sexe ne mis pas longtemps à se durcir petit à petit. Étant allongé sur le dos je me rendis compte au bout de quelques secondes de l’impudeur de la situation et m’assis prestement pour cacher mon erection tout en disant à ma femme « arrête, il y a trop de monde et je ne pense pas que se soit le genre de plage sur laquelle se pratique ce genre de jeu ». Elle me souris et se rallongea sur le dos.

Je regardais autour de nous et vis notre voisine assise, faisant mine de ne pas nous avoir vue. J’étais encore étonné de ce que venais de faire ma femme, elle qui est en général si prude. Cela m’exista encore plus et me décida à tester des limites.

« Tu semble très joueuse aujourd’hui, d’où cela vient-il ? »
« Après tout ce stress cette escapade me détend énormément et tout ce soleil me rend taquine. Cela te choque mon petit mari timide ? » me lança t’elle en mode chipie.
«  Et tu trouverais ça toujours aussi marrant si c’est moi qui te caressais ? »

Ces mots n’eûtes pas de réponse. Étant allongée sur le dos et moi assis à côté d’elle, je laissa ma main caresser son ventre et descendre vers son entrejambe. Je pensais qu’elle serrerait les jambes avant que la main ne descendre trop bas mais ce ne dis pas le cas. Mon excitation était à son comble, nous n’avions jamais auparavant fait d’expérience exhibitionniste et encore moi aces des gens aussi près de nous. De plus je n’aurai jamais imaginer vivre cela avec ma femme adorée.

Je pris quelques minutes pour penser à la situation et j’en vint à la conclusion : ici personne ne nous connais, nous ne risquons pas de recroiser les voyeurs qui nous entoure. Au pire risquons nous de nous faire éjecter de la plage !

Mon érection toujours présente je décida de replonger la main entre les jambes de Cloé sans aucune retenue et lui dit : «  maintenant que je bande et que tu m’as bien allumé c’est moi qui vais jouer à toi et tu n’auras pas ton mot à dire ! » toujours pas de réponse de sa part, silence que je pris pour un accord tacite.

« Écarte un peu plus tes jambes, tu veux que je te caresse devant tout le monde alors montre leur ta belle petite chatte ». Toujours allongée les yeux ferme et portant ses lunettes de soleil , avec ses jambes repliées, elle écarta ces pieds mais pas ses genoux.
« Ce que tu fais ne sers à rien, écarte tes genoux » lui dis-je tout en lui caressant le clito.
Elle s’exécuta sans un mot mais n’ouvrir ces cuisses que de quelques cm. Elle souhaitait jouer mais apparement la peur et la honte prenaient le dessus. « Écarte encore…encore….encore…. Voilà c’est bien ». Elle avait maintenant les genoux écartés à plus de 90 degres.

« Tu sais pourquoi j’ai voulu que tu écarte autant les jambes ? »
« Non » me répondit elle timidement, du bout des lèvres.
«  c’est parce que cette position n’est pas naturelle. Personne ne peut croire que tu as écarté les jambes nonchalamment. Donc c’est forcément sûr tu le fais exprès pour qu’on te mate la fente » «  tu es vraiment une petite salope aujourd’hui ».

Je continuais de la caressais plusieurs minutes et des vacanciers se mirent a longer la plage au bord de l’eau jusqu’ a passer devant nous. Certains ne se rendait compte qu’ au dernier moment que je masturbais Cloé, d’autres ne le remarquais même pas. Étonnant vu qu’ils passaient, debout, à moins de 10m de nous.

Vu que Cloé avait les yeux fermés, je me mis à lui décrire la scène :
« Un couple marche au bord de l’eau. Dans environ 10 secondes ils seront à notre niveau et verrons ma main te caresser » Elle ne réagissais pas, daignant de ne pas être excitée mais son sexe humide racontait une toute autre histoire. Il brillait au soleil comme celui de notre voisine ans avoir eu besoin d’utiliser d’huile solaire.

Beaucoup d’autre s vacanciers passèrent devant nous, en particulier un groupe de 3 jeunes d’environ 16 ans qui n’en croyaient pas leurs yeux et se délectait de la scène qui créait sur leur maillot de bain une légère bosse qu’ils tentaient de contenir. Je les imaginais rentrant le soir chez eux et filant sous la douche ou dans leur chambre pour se lqsturber en pensant à Cloé, nue et offerte, allongée devant eux et recevant leur giclée de foutre sur tout le corps.

Puis se fut le groupe de fille installées derrière nous qui se leva pour aller à l’eau. Tout en nageant et discutant , elle jetaient ses regards vers nous et il n’était pas difficile de deviner le sujet de leur conversation. Elle nagèrent ensuite sur une cinquantaine de mettre et sortirent de l’eau en marchant le long de la rive afin de passer devant nous. Je décrivis les Labege à Cloé et lui dis : «Apparement on les excite vraiment surtout la petite qui est à la traine. Garde tes cuisses bien écartées, lorsqu’elles vont passer devant nous je vais te doigter profondément avec au moins 2 doigts pour leur montrer la petite salope que tu es ! »

A ces mots je sentis ces cuisses se refermer de gène, apparement le jeu allait trop loin pour elle mais je mis ma main sur mon genou et lui écarta les cuisses encore plus que précédemment. Elle força pour essayer de les refermer mais ces rendis compte que cet effort serait vain. Alors un jet de cyprin s’écouler entre mes doigts. « c’est parfait, ton jus va m’aider à bien te doigter ». Ce qui l’a fis mouiller encore plus.

Le groupe d’environ 6 copines s’approcha de nous en discutant l’air de rien et chose promise je lui enfonça 2 doigts bien au fond de sa chatte, tenant ses lèvres bien écartées. Je fis des vas et viens prononcés et elle ne pu s’empêcher de se cambrer sous les décharges électriques de plaisir. Il est vrai que cela faisait maintenant au moins 40 mn que je la caressais et son sexe éteint en feu.

Toutes les filles jetèrent un œil, comme fascinées par la situation. La dernière du groupe resta même bouche bée et s’arrêta sans même s’en rendre compte tellement qu’elle était hypnotisée par les doigts qui allaient et venaient. Elle repris ses esprits et rattrapa son groupe pour aller s’assoit à leurs serviettes à environ 10m au dessus de nous.

Je fus très excité par cette scène et là encore je me mis à imaginer cette fille rentrer chez elle et se doigter en se remémorant la vision de pure masturbation gratuite à laquelle elle avait assistée.

J’étais assis les yeux fermés à cause du soleil et malgré mes lunettes de soleil, les jambes repliées sur mon ventre pour cacher mon érection toujours présente. Je sentis la main de Cloé passer entre mes jambes pour venir se refermer sur mon sexe dur et se mettre à me masturber lentement. Étant relativement caché je la laissa faire bien et la gêne première se transforma comme pour elle en excitation. De plus notre petit manège ne semblait déranger personne autour de nous, à ma plus grande surprise. Soit les gens nous regardaient discrètement, soit ils continuaient à vaquer à leur occupation.

C’est en ouvrant les yeux quelques minutes plus tard que je vis qu’un homme plus âgé que moi, environ 50 ans, était sortir de l’eau, nu également et s’était assis entre l’eau et nous. C’est à dire à environ 3/4 m de nous, avec le regard pile entre les jambes de Cloé. Vu qu’il ne faisait que regarder discrètement je décida de ne rien changer à nos caresses et je referma les yeux pour repartir dans mon imaginaire érotique et profiter des talents de masturbation de la femme.

Après quelques minutes je rouvris les yeux et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir l’homme s’être rapproché de nous, allongé sur le côté, cale sur son coude gauche et se masturbant date sa main droite. Je ne pus m’empêche de détourner le regard et me demanda quelle attitude adopter, le regard caché derrière mes lunettes fumées. Je resta ainsi quelques instants, le regardant décalotter et recalloter son gland à chaque aller-retour de sa main. Il avait maintenant une demi érection. Son sexe était imposant, même au repos. Sa main avait du mal à en faire le tour et le temps qu’il mettait à développer son érection laissait imaginer la quantité de sang nécessaire pour faire durcir son membre. A mi- érection son sexe semblait déjà plus gros que le mien.

Je tourna la tête discrètement pour recarder autour de nous et l’ambiance avait légèrement changée. Cette nouvelle situation était plus Electrique et je sentais une certaine tension chez nos Vousine s que je pu interpréter. Était-ce de l’excitation ou de la gêne… je ne suis trancheur sur le moment.

Par contre j’étais pour ma part très gêné. D’une situation qui pouvait apparaître comme relativement soft, je sentais que nous allions basculer dans un autre domaine si je ne freinais pas les ardeurs de cet homme.

Je pris la décision d’en avertir Cloé, toujours allongée avec les yeux fermés. Je m’allongea à ses côtés et lui décrivis la situation.
«  si je ne freine pas cet homme maintenant il sera peut être trop tard pour le faire par la suite s’il devient trop entreprenant. Est-ce que tu veux que je le laisse se masturber ? » Elle pris quelques secondes pour réfléchir et me rebondit : «  je te laisse décider »
« Cloé je crois que tu ne m’as pas bien compris. Cet homme est très excité, il bande entièrement et s’il se rapproche qui sais ce qu’il’ voudra te faire. La courtoisie veut que je l’arrête maintenant avant qu’il ne nous mette dans une situation embarrassante autant pour lui que pour nous » D’un air neutre et sans bouger d’un sourcil elle me repondit encore « comme tu veux ».

J’étais sidéré par sa réponse qui ne correspondait absolument pas à la Cloé que je connaissait. Connaissant très bien ma femme, je pris alors conscience de ce qui devait se passer dans sa tête. Elle devait également se dire que personne ne nous connaissait sur cette plage et qu’elle pouvait peut-être en profiter pour assouvir un fantasme caché. D’autant plus que cela faisais maintenant 1h que je jouais avec son sexe, caressant son clitoris, doigtant sa petite chatte bien serrer et allant même jusqu’à introduire une phalange ou 2 dans son anus vierge sans qu’elle ne bronche pour autant.

Je regarda alors Cloé et lui dis, rempli d’excitation : « Puisque c’est ainsi je vais prendre la décision pour toi mais à une condition. Il ne te sera plus possible de dire non, quoi qu’il veuille te faire sauf s’il te fais mal. Est-ce que tu es d’accord ? »

« C’est comme tu veux » me rep dit-elle encore comme en signe d’affront et sachant qu’elle m’excitait au plus haut point.
« Et bien tu l’aurez voulu petite salope! » lui répondis je à l’oreille en tremblant d’excitation.

Je me rassis et vis que l’homme c’était encore rapproché. Il avait maintenant sa tête à environ 2m du sexe de Cloé et son érection était maintenant complète, me donnant raison quant à la taille et au diamètre de son sexe.

Je le retourna vers Cloé et lui redemanda : « tu es sur de toi ?Tu ne veux pas d’abord voir à quoî ressemble cet homme ni même voir la taille de sexe ? S’il décide de te pénétrer tu vas la sentir passer » mais aucune réaction de Cloé hormis une coulée non négligeable de cyprin que je vis s’écouler de sa chatte a l’écoute de ces mots.

Il était maintenant environ 17H et je fis signe à l’homme de s’approcher avec le bout de mon doigt.

« Do you speak french or english ? »
« A little english » me répondit il.

Ma femme ne parlant pas anglais mon excitation grandie encore plus me rendant compte qu’elle ne pourrait pas comprendre nos échanges et prévoir ce qui l’attendait.

« What do you want to do to my wife ? » lui demandais je. Il me montra le sexe de ma femme d’un hochement de tête. Je lui donna mon accord d’un clin d’œil et le vis parcourir en rampant le dernier mettre que séparait sa bouche du sexe de Cloé.

Celle-ci ne se doutait pas de ce qui l’attendait et ne pu s’empêcher de lâcher un petit cri lorsque l’homme écrasas sa bouche contre ses lèvres humides, fouillant de sa langue l’intérieur de son sexe comme si c’était le dernier auquel il avait droit. Lui aussi retenait son excitation depuis un bon moment maintenant.

Je ne put m’empêcher de regarder autour de nous. Le temps passant, les 3/4 de la plage s’étaient vidés mais « étrangement » nos voisins direct n’avaient quand à eux pas bougés. La voisine qui nous regardait précédemment était maintenant accompagnée de son mari, lui aussi assis sur sa serviette. Sans que son mari ne puisse la surprendre, je la vis faire descendre sa main entre ses cuisses l’air de rien et se caresser discrètement.

Le groupe de fille quand à elles, faisaient encore semblant de ne pas voir mais ne pouvaient s’empêcher de lancer des regards. Comme si le fait d’être ensemble ne leur permettait pas d’assumer leur envie de voir et leur excitation. Seule la plus jeune, un peu à part et faisant semblant de lire, ne pouvait décrocher le regard de Cloé et de se qu’elle subissait de la part de cet inconnu.

Pendant ce temps Cloé ne pu retenir un 1er orgasme qu’elle tenta de contenir sans réussir à donner le change auprès de ses admirateurs.

« Il te lèche bien apparemment ? Il sais aussi se servir de ses doigt vu ce qu’il fait avec ! »
L’homme, tout en léchant, suçant et mordillant le sexe de ma petite salpe avait également fourré 2 doigts dans son sexe ainsi qu’un autre doigt qu’il tentait de rentrer dans son anus.

« Le salaud, je le vois essayer de t’enculer avec son doigt. T’as pas l’air de beaucoup le retenir. Tu aime ça qu’il te doigte le cul ? »

« Oui ça m’excite » me répondit elle doucement d’un air moitié honteuse, moitié excitée. Comme si elle pensait que parler a voix basse lui permettait de rester « cachée » aux yeux des voyeurs autour de nous. Elle concernait les yeux fermés, excitée par la situation et à la fois incapable de l’assumer, ne serait-ce que du regard.

Je renchéris en lui disant « toi qui ne me laisse même pas approcher de ton petit trou, je vous que la règle n’est pas la même pour les vieux pervers comme celui qui est en train de te doigter le cul. Tu crois que je vous pas ce qu’il te fait ?Tu crois que je ne vous pas son doigt rentrer et sortir entièrement de ton trou du cul ? Tu as peut être les yeux fermés mais moi je vois et je ne suis pas le seul, les gens autour de nous voient aussi à quel point tu peut être une petite salope ».

Je savais que mes mots l’excitaient et je comprenait maintenant tout le potentiel érotique de la femme. Je voyais que sa timidité luttait toujours mais que l’excitation était trop forte.

L’homme leva la tête vers moi et me demanda en anglais s’il pouvait la pénétrer. Je lui fis signe que oui en lui demandant de mettre un préservatif. Il se retira d’entre les jambes de ma femme pour s’atteler à cette tâche.

Comme Cloe n’avais pas compris l’échange en anglais je lui dit :
« Tu sais pourquoi il a arrêté de s’occuper de toi? » lui demandais-je
« Non »
« Parce qu’il est en train de mettre un préservatif. Tant bien que mal vu la taille de son sexe »..

A ces mots Cloe compris ce qui allait lui arriver et ne put l’intégrer sans sourciller. Elle tenta de se relever mais je la replaqua sur sa serviette et lui dit : « tu M’as demandé de décider pour toi maintenant il faut assumer de jouer à la grande fille ».
« Sa va trop loin, il y a trop de monde autour » me répondit elle en essayant encore de se relever.

Je la maintint avec mes mains sur ses épaules et lui dit « ne t’inquiète pas, personne ne nous connais ici, tu peux te lâcher. Si seulement tu ouvrais les yeux tu verrais à quel point tu excité s les gens autour, autant les hommes que les femmes. Je reste à côté de toi mais je n’accepte pas que tu te défiles. Tu est encore sous mes ordres pour quelques temps alors obéis moi et écarte tes jambes »

Elle s’exécuta.

« Caresse toi maintenant. Voilà c’est bien. C’est bon tu vois ». Elle acquiesça de la tête.
« Voilà, fais toi mouiller et maintenant écarte tes lèvres ». Elle obéis et je fis signe à l’homme de s’approcher. Il se mis à genoux entre les cuisses de Cloé et commença à gifler son clitoris avec son sexe tendu. Cloé fus surprise et senti des décharges électriques se former au niveau de son clitoris et remonter dans tout son corps jusqu’à ses seins qui se mirent à pinter colle s’ils allaient exploser.

L’homme pris son sexe dans sa main et le frotta sur le sexe de Cloé.
« Écarte t’es lèvres pour qu’il puisse te baiser maintenant » Elle s’exécuta et senti l’énorme gland forcer l’entrée de son sexe et commencer à s’insinuer dans sa fente.
Je vis l’homme appuyer sa verge contre le sexe de Cloé et le maintenir dans cette position jusqu’à ce que le gland réussisse enfin à écarter sa fente et à pénétrer dans sa chatte gorgée de cyprine, ce qui lui fit lâcher un râle de plaisir mélangé à de la douleur.

Il continua à la pénétrer jusqu’à venir buter sur le fond de son vagin, lui indiquant qu’elle était entièrement prise. Il commença alors de lent va et vient, tout d’abord en ressortant entièrement sa bite pour ensuite la re rentrer lui arrachant à chaque fois un cri étouffé.

L’excitation était telle que plus rien n’avait d’importance autour de nous et je ne voyais même plus la douzaine de personnes qui étaient restées assister à la scène.

« Dit lui de faire doucement stp, elle est tes grosse » me dit Cloé.
« C’est ce que tu voulais te faire prendre, alors maintenant profite et laisse le te pénétrer comme il le souhaite ».

Je me branlais maintenant au yeux de tous tout en regardant ma femme se faire prendre.
Bien que nous soyons en Espagne j’entendis une voyeuse parler en français à son mari et lui dire : « putain regarde la bite qu’elle se prend » en étant à la fois fascinée et inquiète de savoir si elle mêle serait capable de satisfaire un engin pareil.

L’homme avait maintenant accéléré ses vas et vient tout en tenant fermement les seins de Cloé dans chacune de ses mains.

« Tu as l’air d’aimer ce que te fais ce vieux pervers pas vrai? »
« Oui » répondit elle sans aucune têtenue, entièrement offerte à cet homme et à la vie de tout ces gens.

Il était clair que pour le groupe de fille présentent sur la plage c’était une 1 ère. Je devinais à leur regard que c’était la 1ere fous qu’elles assistaient à des ébats sexuels autres que les leurs, dans l’intimité de leurs chambres et encore, en considérant qu’elles ne soient plus vierge. Elles étaient aussi hypnotisées que ces gens qui regarde les feux de forêt en bord d’autoroute l’été et ne se cachaient plus maintenant de cour ce spectacle évidemment très excitant.

L’homme se retira visiblement fatigué de tous ces coups de boutoir. Je lui fis signe de s’allonger sur la serviette à côté de Cloé. Celle-ci restait allongée, les jambes écartées. Je regarda sa fente et vis qu’elle ne s’était toujours pas refermée laissant apparaître l’intérieur de sa chatte rose et humide.

« Avec ce qu’il t’as mis il doit avoir la vite en feu. Mets toi à 4 pattes et suce-le. Cloé se mis en position mais face à la mer, elle commença à le prendre en bouche et se rendis compte de l’énorme engin qui l’avait pénétrée précédemment.

« C’est bien de montrer ton cul a tes spectateurs mais je préférerais que tu leur montre ta tête. Pour l’instant reste comme ça, je vais leur montrer tes charmes cachés ».
Je me mis à genoux à côté d’elle et je posa ma main sur ses fesses laissant glisser mes doigt vers ses 2 trous. Avec une main que je passa sous son ventre, je commença à lui caresser le clito tandis que je la pénétrait avec les doigts de mon autre main.

Je senti mes doigt rentrer si facilement dans cette petite chatte qui venait d’être malmenée si ouvertement pour la 1ere fois que je dû réfléchir à un autre moyen de la satisfaire. Je vis alors la brosse à cheveu que ma femme aimait tant et qu’elle se faisait suivre partout. Son manche était oblong, au moins de la taille d’une banane mais pas aussi grand que la note du vieux pervers qu’elle était en train de sucer goulûment.

Je caressa son sexe avec la brosse et elle compris de suite de quoi il s’agissait pour lui avoir déjà fait plaisir avec. Elle se releva et dit « Non pas ici, pas devant les gens ».
« Je croyais que c’était clair, c’est moi qui décide et toi tu obéis. Je pensais caresser ton sexe avec cette brosse mais vu ton air effronté tu mérite une punition. Alors je vais aussi m’occuper de ton petit cul ».
« Non pas ça stp ».
« tu crois que je vais te recarder te faire doigter le cul par un inconnu et que je ne vais pas en profiter? Je t’aime mais aujourd’hui tu es ma petite pute ».

Cloé repris sa place résignée et cambra son petit cul en direction de nos spectateurs. Je badigeonna la brosse d’huile de Monoï et l’approcha de ses fesses. Je viens l’appuyée sur son anus qui eu un réflexe en se resserra. J’appuyai doucement le manxche de la brosse sur son cul et je vis sa rondelle s’ouvrir doucement. Le manche s’enfonça facilement sur son 1er tiers mais sa forme oblong vint vite en butée sur le pourtour de son anus qui ne voulais décidément pas s’ouvrir plus.

Je me pencha vers elle et lui dit de se détendre. Je le relis à appuyer sur la brosse et je vis le manche rentrer d’un seul coup dans son cul et disparaître entièrement, ce qui l’a dis frissonner de plaisir. Je repris la brosse en main et commença à la faire tourner sur elle mêle en faisant de léger ça et vient. Cloé ne dit rien, apparemment la sodimie lui plaisait plus que ce qu’elle ne pensais. J’entrepris de faire ressortir la brosse mais je n’en fis rien et la laissa au fond de son cul.

« Cloé, relève toi maintenant et vient chevaucher sa queue. Évidemment profite en pour te retourner et te mettre fasse à ton public ». Vu tout ce qu’elle avait subi jusque là elle se laissa faire et obtempéra. Elle garda toutefois la tête baissée et cachée dans ses cheveux long tout en faisant des ca et vient sur cette queue.

Je me mis moi aussi à cheval sur le vieux, derrière Cloé et lui releva le visage tout en écartant ses cheveux.
« Laisse les te regarder prendre ton pied. Allez continue de t’empilera comme tu le fais »
Je pris les cheveux de Cloé dans une main et lui maintint la tête levée tandis qu’elle continuait de monter et descendre doucement sur la verge du vieux qui montrait des signes de fatigue. Avec mon autre main je maintint la brosse de manière à ce que le manche ressorte partiellement du cul de ma femme lorsqu’elle remontait.

Cela lui arracha un cri de douleur et elle ralentit son mouvement pour permettre à son cul de pouvoir venir s’empaler de nouveau sur la bite et le manche de brosse. Je la tenais maintenant cabrée en avant et tout le monde pouvait profiter de ses gros seins qui ondulaient au grès de ses mouvements.

Le vieil homme me fit signe d’arrêter. Il souhaitait se relever pour soulager son dos.

« I want to cum in the ass of your wife, are you ok ? »
Moi qui fantasmais sur son cul depuis si longtemps, l’occasion était trop belle de la voir se faire sodomiser.
«  ok but slowly ok ? »

Je m’allongea sur la serviette et demanda à Cloé de venir sur moi. Elle s’empara sur la queue et m’embrassa tendrement.
« Il veut jouir dans ton cul et j’ai dis oui. Laisse le faire ca et cela sera fini ok ? »
Elle me répondit juste « je t’aime » et se mis à m’embrasser.

Il restait encore de l’énergie à ce vieux pervers qui se mis derrière Cloecet entrepris de retirer doucement la brosse de son cul. Lorsque la brosse sortie elle ne réagit même pas, son cul était désormais prêt à être défloré par une vrai note et non des moindre.

Il pris sa note en main et l’approcha de l’anus de Cloé.
« Détends toi ma chérie et laisse toi aller » me sentais-je obligée de lui dire. Moi aussi j’avais une appréhension à la vue de cette énorme bite tendue.

Lorsqu’il l’a rentra dans son anus, juste le gland réussi à passer et déjà il obligea Cloé à lâcher un cri qui surpris toutes les personnes présentes. J’en profita pour regarder l’assistance et vu que nombre d’entre eux se masturbaient discrètement. Ils n’étaient apparemment pas habitués à ce genre de situation mais leur excitation avait pris le dessus.
Le vu de notre voisine qui me regardais ans les yeux tout en se doigtant restera à jamais grave dans la mémoire.

Voulant jouir également il continua à pousser doucement jusqu’à ce que la moitié de sa queue rentre en elle. Il
Laissa sa queue en elle, sans bouger, le temps que son corps s’habitue à cette présence intrusive. Elle resta le souffle coupé jusqu’à ce qu’il décide de retirer sa queue entièrement. M’ayant vu faire avec la brosse il recouvrit sa queue d’huile de bronzage et la replanta dans le cul de Cloé qui repoussa un cri, ce qui ne lnempecha pas de continuer à rentrer en elle.

Il commença alors des aller retour réguliers tout en jurant en allemand, sa langue maternelle apparemment. Cloé se mit elle aussi a crier sans retenu à chaque pénétrations subies. J’étais dessous, ma bite bien au chaud dans sa petite chatte que je sentait dégouliner de mouille. Elle était au bord du malaise mais tenait bon.

Dans un râle énorme le vieil homme retira sa queue, retourna Cloé qui se retrouva allongée à côté de moi sur la serviette de plage. Il grimpa sur elle à cheval ce qui empêcha Cloé de tout mouvement avec ses bras et tout le haut de son corps. Sa bite à la main il se déchargea en plusieurs jets de sperme qui vinrent gicler sur ses seins et son visage sans qu’elle puisse les éviter.

Un grand silence parcourais maintenant la plage vide, hormis notre petit groupe. Le t’émis de reprendre nos esprits l’homme s’était déjà relevé, il nous a salué et est parti comme si de rien n’était. Nous étions groggy et nous sommes restés allongés le temps que nos voyeurs se décident à partir.

J’aidais Cloé a s’essuyer de toute cette semence et la pris dans mes bras. Elle me serra fort et me dit avec un petit sourire : «on va avoir du mal pour faire mieux maintenant ! »