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Sexe et mobilier de jardin 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/06/2022

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SEXE ET MOBILIER DE JARDIN
partie 1

Il venait d'être deux heures de l'après-midi, et je taillais ma haie, perché sur une échelle appuyée contre celle-ci lorsque je l'ai aperçue pour la première fois. Je suis aide-soignant à l’hôpital, et mes horaires, établis selon plusieurs schémas me donnent la possibilité de congés intéressants dans la semaine. Ce peut être deux jours de pause, une matinée, une après-midi...Là, j'étais rentré à midi, et libre jusqu'au lendemain. J'ai une partie de haie qui nous sépare de la maison mitoyenne. Le reste, sur la longueur, est à nu. En gros il y a deux pans, une partie visible, l'autre non visible. La haie est de mon côté, et je la taille chaque année pour ne pas dépasser la limite permise. Une question d'entretien. Je m'étais décidé à le faire, en ce début de printemps. Ce qui est fait n'est plus à faire comme on dit.
La maison voisine avait été vendue trois mois plus tôt. Le mari travaillait pour une grande boite. Il avait été muté à l'autre bout de la France. Sans certitude de pouvoir revenir, il était parti avec femme et enfants. On les avait vus partir à regret, car on s'entendait bien...Je dois dire que, ma femme et moi, tout à nos activités (elle était, elle, infirmière) on n'avait pas cherché à savoir si quelqu'un s'était installé à côté...
La réponse je l'ai eue du haut de mon échelle. Et d'une manière que je ne risquais pas d'oublier. La maison était, je la connaissais bien, on y avait souvent été invités pour diverses occasions, des après-midi, des déjeuners, des dîners, des soirées, très lumineuse, car construite avec des baies vitrées, qu'on pouvait masquer avec de grands rideaux, comme c'était souvent le cas...
Elle é écarté un rideau et elle est sortie, en repoussant l'une des baies sur le côté. Ma première vision d'elle. Comme un coup de fouet, comme une gifle. Elle était hyper-sexy. Le genre de femme qui a des défauts, elle était par exemple petite, et plutôt ronde, avec un visage sans réelle harmonie, et un gros nez, mais elle avait tout compris sur ce qui pouvait mettre un homme en émoi. Son maquillage la mettait en valeur, et rehaussait ce qui faisait sa force, des yeux immenses soulignés par du mascara, et une bouche bien charnue, elle marquée de rouge. Elle avait sur les épaules un débardeur rouge vif, qui tenait par des fines bretelles, tendu par une poitrine lourde. Ses seins libres sous le tissu. Il fallait dire que bien ronds, ils semblaient très fermes, et ne pas nécessiter, de manière ponctuelle, un quelconque soutien. En guise de bas, elle avait un pantalon en vinyle, qui, naturellement, collait à ses formes, les mettant en valeur, ses hanches, ses cuisses, son pubis, et le renflement naturel de son sexe...Elle avait une cigarette à la main, ainsi qu'un briquet. Elle a fiché la cigarette entre ses lèvres et elle l'a allumée. Elle a tiré dessus, et, l'écartant de ses lèvres, elle a recraché une longue bouffée.
C'est la suite qui a été plus surprenante. Je la voyais bien d'où j'étais. Elle sans doute aussi. Ou alors, parce que j'étais, je l'ai compris après, de son point de vue, en partie masqué par la haie, pas forcément. Elle a basculé dans une sorte de transe. L'effet du tabac? J'imaginais plutôt que celui-ci était le déclencheur pour une sorte d'autohypnose. Son regard signifiait clairement qu'elle avait commencé à dériver. Je pensais qu'elle allait rester comme cela, figée, tout le temps qu'elle fumerait, mais ça n'a pas été du tout le cas. Sa main gauche tenait la cigarette, l'amenant à sa bouche régulièrement, tandis que sa main droite est descendue jusqu'à son ventre, et a esquissé un mouvement de va-et-vient, de haut en bas et de bas en haut, sur son pubis, dont le pantalon de vinyle, ultra-collant, soulignait la pente. Il soulignait aussi l'ouverture de sexe, s'enfonçant dedans, et c'est sur cette zone que ce doigt est venu glisser dans le même mouvement hypnotique.
Elle avait envie de se caresser, et, au-delà, de se donner du plaisir. Ce que je pouvais comprendre. Moi aussi, et même si j'étais marié, parce que j'avais des envies soudaines, et que je savais que ma femme n'avait pas autant envie que moi, n'était pas autant disponible, je me donnais depuis longtemps du plaisir tout seul, sans honte. Pour moi le sexe ne passait pas forcément par un ou une partenaire, et le pratiquer seul n'était pas non plus forcément quelque chose de sale, de honteux, mais un complément, un élément dans une gamme.
En tout cas, elle avait envie, d'évidence, d'aller plus loin qu'un simple frottement. Elle aurait pu s'arrêter là, mais le geste qu'elle a eu, remontant jusqu'à la ceinture qui tenait le pantalon de vinyle à sa taille m'a fait comprendre qu'elle en voulait un peu plus. La cigarette quasiment finie entre ses lèvres, elle a débouclé la ceinture avec des gestes décidés. Ensuite, elle a défait le bouton qui tenait le pantalon, puis la fermeture-éclair juste en dessous. Ca a ménagé un espace dans lequel sa main a glissé. Elle s'est mise à se caresser dans un mouvement circulaire. Je ne voyais pas grand chose à vrai dire, et ça n'a pas duré longtemps, parce qu'elle a baissé le pantalon. Dessous, il y avait un slip noir sous lequel elle a fourré sa main pour se caresser avec le même mouvement circulaire. Son visage disait, déjà, le plaisir qu'elle prenait, ses yeux mi-clos. Il y avait des filles pour qui se caresser était un péché. D'autres pour qui c'était une porte vers le plaisir. Elle était apparemment dans ce cas.
J'étais hypnotisé, et la haie attendait. Figé, les cisailles à la main, je ne voulais pas en perdre une miette. Par chance, j'étais seul à la maison.
C'est après que c'est devenu plus intéressant. Elle a descendu son pantalon à ses chevilles, puis son slip, avant de s'accroupir, les jambes ouvertes. Ce qui restait de sa cigarette, elle l'a posé dans un objet que je n'avais pas remarqué, une coupe dans laquelle elle a écrasé le mégot. Elle venait sans doute régulièrement se poser là. Se caressait-elle aussi régulièrement ?
C'est en tout cas bien ce qu'elle s'est mise à faire dans un rythme régulier qui disait son envie d'avoir du plaisir. La position laissait nettement voir son intimité. Elle avait gardé, et ça m'a bien plu, une toison qu'elle avait taillé, qui faisait une bande qui montait haut, droite, taillée sur les côtés, où elle s'était épilée ; Entre ses cuisses, j'ai vu, et c'était vraiment troublant, son sexe se métamorphoser, s'ouvrir d'excitation et de plaisir. Si ses premiers mouvements avait été rapides, frénétiques, là, elle avait choisi un mouvement circulaire, très lent, qu'elle faisait durer, et à chaque nouveau retrait de sa main, dans l'amorce du mouvement, son sexe était métamorphosé. Ses lèvres gonflaient, se gorgeaient de sang, prenaient une tout autre dimension, son intérieur s’entrebâillait, laissant voir son intérieur, tout rose, et il y a eu un moment, très rapidement, où son gland clitoridien s'est mis à sortir, une boule toute rose, elle aussi. Elle a inondé ses chairs et sa main d'un liquide brillant.
Elle s'est caressée comme cela un moment, avant de basculer sur autre chose de tout à fait différent. Elle a glissé deux doigts dans son sexe et elle s'est mise à se pistonner avec. J'ai pensé qu'elle approchait de la jouissance et qu'elle voulait monter d'un cran supplémentaire pour que le plaisir explose en elle. Je ne me trompais pas, car ça n'a pas duré très longtemps, elle s'est figée, a poussé une sorte de cri rauque, et elle a éjaculé comme un homme, c'était la première fois que je voyais ça, expulsant avec violence des jets de liquide qui sont partis dans les airs.
Elle est restée immobile, les yeux à présent clos, le ventre toujours offert, son sexe plus béant qu'il ne l'avait jamais été. Puis, elle s'est remise en action. Elle s'est redressée, et, pliée en deux, elle a remonté son slip et le pantalon de vinyle dans un mouvement que j'ai trouvé aussi troublant que de la voir les baisser, puis elle est rentrée à l'intérieur.
C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que j'étais entrain de jouir, et que je balançais mon sperme dans mon caleçon. Remis de mes émotions, j'ai été me changer, et j'ai repris ma taille de haie, sans la revoir.
Une taille de haie, ça ne se prolonge pas éternellement, mais j'ai fait durer la mienne dans les jours qui ont suivi. On a parfois des espoirs qui sont déçus, d'autres sont récompensés. J'ai compris que, tout simplement, sans aucun doute avant de retourner travailler, elle s'accordait un petit plaisir, une manière de prendre sur la vie, de contourner ses contraintes, ses obligations, son poids, une cigarette, et un moment de plaisir.
Elle était imparfaite, c'était sans doute une partie de son charme, l'autre partie c'était cette sensualité évidente, épanouie, ce plaisir qu'elle prenait dans le sexe, et j'imaginais que c'était aussi vrai dans d'autres rapports qu'entre sa main et sa vulve.
Ce que j'ai aimais, dans les moments où elle s'offrait à mon regard, inconsciemment (Mais j'ai commencé à penser que c'était peut-être conscient...) c'était la manière qu'elle avait de défaire des vêtements dont elle était parée. Il y a finalement des gestes, des mouvements qui sont porteurs de charme, de sensualité...Je l'ai vue tirer sur le zip d'une jupe en cuir, la descendre. Dessous, elle avait des bas stay-up, mais pas de slip...Elle est restée debout, appuyée contre le mur, pour se caresser, à se donner encore du plaisir. Il y a eu aussi un pantalon très moulant, avec dessous un string de dentelle rouge, et une autre jupe, noire, classique, avec un slip blanc.
Elle me fascinait. Mon épouse était une jeune femme magnifique. Une beauté pure et classique. Je voyais souvent les hommes la regarder. Ca faisait dix ans qu'on se connaissait, huit ans qu'on était mariés, et pourtant, il apparaissait, comme une évidence, que plus nous avancions dans le temps, et même si nous nous entendions parfaitement, moins il y avait de sexe et de plaisir entre nous. S'était-elle tournée vers quelqu'un d'autres? J'envisageais cette hypothèse qui n'avait rien d'incongru. Après tout, j'étais bien troublé par cette femme qui me paraissait représenter un îlot de sexualité vers lequel j'avais envie de nager, pour échapper à une existence bien morne sur le plan des plaisirs de la chair.
Une fois les haies taillées, il m'a fallu trouver un autre moyen de la voir, dans cette tranche horaire, toujours la même, entre 13 heures 15 et 13 heures 45...Je me suis rendu compte que j'avais une belle vue du premier étage. Je me suis positionné à l'heure fatale, sans l'apercevoir.
Rien ne se passe jamais comme on le prévoit.
Mais ce jour-là, les choses se sont quand même bien goupillées.
J'étais dans le jardin, un rien déçu de ne pas l'avoir vue, à quatre pattes devant le parterre de rosiers dont je nettoyais le sol de toute mauvaise herbe quand j'ai entendu une voix. Ironiquement, totalement concentré sur ma tâche, et alors que j'aurais donné un bras pour la voir, je ne l'avais pas entendue s'approcher de la séparation entre nos deux maisons. Il y avait une petite clôture basse, en bois, qu'on n'avait jamais remplacée par quelque chose de plus haut parce qu'on n'avait aucun problème avec nos précédents voisins. Chacun savait rester à sa place, ou se voir si on en avait envie sans empiéter chez l'autre.
--Bonjour, je peux vous parler deux minutes ?
Attiré par sa voix, j'ai relevé la tête, pour en prendre plein les mirettes.
On n'était que fin avril, mais il faisait déjà chaud, sans doute plus chaud qu'il n'aurait du, mais le réchauffement climatique était là. Si moi j'étais en short et T-shirt, elle avait basculé en maillot de bain. Un maillot deux pièces, style bikini, soutien-gorge et slip. Un tissu souple et brillant, qui la faisait plus nue que nue. Il y avait deux triangles fuchsia pour tenir sa poitrine généreuse, et un autre double triangle pour envelopper son pubis et partiellement ses fesses. Le reste de sa peau était nu. C'était sans doute la première fois qu'elle s'exposait au soleil, car elle avait encore une chair blanche. Entre ce que le maillot soulignait, et ce qu'elle offrait sans artifice elle était irrésistible. Je l'ai regardée, et, en même temps que ma queue se gorgeait de sang, plein de scenarii se sont écrits dans ma tête. Le plus basique d'entre tous, c'était que je m'approchais d'elle et que je venais poser mes mains partout où j'en avais envie. Il y avait déjà suffisamment d'espaces de chair nue pour être comblé. Et au-delà bien sûr, sous le tissu, contre ses parties les plus intimes. Elle était vraiment irrésistible. J'ai pensé, sans doute cruellement pour notre relation que mon épouse, elle, ne se mettait jamais en maillot de bain.
Je me suis approché, constatant à mesure que je me rapprochais que le tissu du maillot de bain était très collant, et qu'il ne laissait pas grand chose à l'imagination. Il collait à sa fente, s'enfonçant entre. Cette fente que j'avais déjà vue sans tissu dessus, et sous divers angles. Ses tétons, m'ont semblé semi-érigés, ils tendaient le tissu du soutien-gorge. Je n'avais pas encore eu l'occasion de m'intéresser à sa poitrine, je connaissais mieux le bas de son corps, une chose était sûre, ses seins étaient bien ronds et bien fermes.
--Je m'appelle Béatrice. Je suis votre nouvelle voisine. Je me suis installée il y a deux semaines avec mon mari. Je ne suis pas passée me présenter, je n'ai pas eu le temps.
--Moi c'est Gérard, j'ai répondu.
J'ai eu envie de lui répondre :
--Je vous avais déjà aperçue quand vous vous caressiez.
Je n'étais même pas sûr qu'elle aurait été choquée. De près, elle me faisait la même impression que de loin. Elle dégageait une réelle sensualité et donnait le sentiment qu'avec elle, et pour peu qu'elle en ait envie, tout était possible.
--Je voulais vous demander quelque chose. Je voudrais acheter du mobilier de jardin. Une table, des chaises, un divan...J'ai vu quelque chose de très sympa dans un magasin...Le problème, c'est le transport. Je n'ai pas forcément envie de louer une camionnette. Et j'ai vu que vous en aviez une devant chez vous? Vous pourriez me la prêter? Je comptais me rendre au magasin cet après-midi.
--Je peux même faire mieux. Je peux vous y conduire. Je suis libre cet après-midi.
Je me suis un peu surpris d'avoir répondu ça. Et d'avoir répondu aussi vite, sans même réfléchir. Ma queue avait parlé plus vite que ma tête. Ca ne m'aurait pas gêné de lui prêter la camionnette, Mais c'était l'occasion de passer un moment près d'elle. Même s'il ne se passait rien entre nous. Je ne faisais que penser à elle depuis que mon regard s'était posé sur elle, quand elle se caressait, passer une heure ou un peu plus tout près de ce corps appétissant, c'était déjà une victoire. Je pourrais m'imprégner d'elle.
--Je passe une robe, elle m'a répondu et je vous retrouve au véhicule.
J'ai attrapé un blouson et les clefs de la camionnette. Elle n'a pas traîné. Elle avait passé une simple robe noire et opté pour des talons. Alors qu'elle avançait vers moi la lumière a fait un jeu de transparence avec le tissu, laissant voir ses formes dessous, et le maillot de bain qu'elle avait gardé.
Elle est montée à côté de moi. Le magasin était à l'autre bout de la ville, dans une zone commerciale. On a eu tout le temps de discuter. La conversation s'est engagée naturellement. Elle avait un contact facile avec les gens. Elle m'a parlé un peu d'elle. Elle travaillait pour une agence immobilière, son mari lui avait une auto-école. Ils ne se voyaient pas forcément souvent, vu qu'ils avaient tous les deux des emplois du temps bien remplis.
--Je suis mariée mais ça ne m'empêche pas de chercher du plaisir là où je peux en trouver et le prendre, elle m'a dit,
Je me suis demandé s'il s'agissait d'une simple constatation ou d'un message qui m'était destiné. Il y a eu un blanc, avant qu'elle ne rajoute:
--J'aime prendre du plaisir toute seule. Pour moi ça n'a rien de sale ni de honteux. C'est vrai que j'ai pris l'habitude, une sorte de rituel, avant de repartir au travail, l'après-midi, de me caresser. C'est un moment de plaisir qui m'aide à envisager mieux la deuxième partie d'une longue journée de travail. Et puis, plus simplement, c'est aussi un pur moment de jouissance.
J'ai cru comprendre où elle en arrivait.
--L'autre jour, je suis sortie de chez moi. J'avais envie de fumer et de me caresser en même temps. Je n'aime pas l'odeur du tabac froid à l'intérieur. J'allais jouir et je vous ai aperçu sur votre échelle. (Elle a tourné son visage vers moi.) Ca a participé à ma jouissance, je crois, de me savoir matée. J'aime m'offrir à mes regards. Toutes les femmes apprécient que des hommes les trouvent belles, puissent avoir du plaisir à les regarder. J'aurais bien aimé voir ta queue, elle a ajouté, en basculant sur du tutoiement, et j'aurais voulu que tu te caresses devant moi, jusqu'à jouir. J'espère que je ne te choque pas?
--Pas du tout.
--Les jours suivants, j'aurais pu me caresser dedans, mais je l'ai fait à l'extérieur. J'avais envie de te faire le show. J'espère que tu as apprécié?
--Cinq étoiles, sans hésiter.
J'ai pris le rond-point qui me permettait d'engager l'avenue nous conduisant vers la zone commerciale. Encore une dizaine de minutes. J'ai pensé qu'elles seraient plus chaudes que les premières.
--Toute peine mérite salaire, tu ne crois pas. Même si tu avais envie de passer un moment avec moi, tu n'étais pas obligé de m'emmener au magasin. On pourrait avoir un peu de plaisir ensemble, quand on sera de retour chez moi. Ca te tente?
--Je ne dirai pas non.
--Et puis je suis curieuse. J'ai envie de savoir si tu as une belle queue.
Je me suis de nouveau concentré sur la circulation. Quand j'ai reposé mon regard sur elle, la situation avait nettement évolué. Elle s'était basculée sur le siège, sur son côté droit, de manière à pouvoir me présenter son ventre. Elle avait fait glisser sa robe le long de ses jambes jusqu'à sa taille et eu le temps, en une poignée de secondes, de tirer le slip du maillot de bain dans son aine pour me donner à voir son sexe.
--Je crois que même si tu m'as déjà bien vue, tu ne m'as pas encore vue sous cet angle, non ?
Elle avait les doigts fins, manucurés, avec des ongles vernis, peints de rouge. Elle a glissé chacun de ses index en elle dans son sexe, et elle s'est ouverte autant que l'élasticité de ses chairs intimes le permettait. J'avais déjà bien des images de son sexe, là c'était un autre aspect d'elle-même, qui prenait de la valeur parce qu'elle s'offrait à mon regard, parce qu'il y avait ces deux doigts fichés en elle, et qui écartaient autant que possible, et aussi cette vision plus qu'intime, de ses intérieurs.
--Tu pourras y penser quand tu te donneras du plaisir. Je suis sûre que toi aussi tu fais comme moi. Tout le monde le fait. Mais personne ne l'avoue.
Le reste de notre trajet, elle est restée comme ça, en partie basculée contre la portière à se tripoter, les doigts tournant sur elle. Mais il n'y avait rien de régulier dans sa caresse, elle allait sur certaines zones, faisait une pause. Elle voulait moins jouir que m'exciter.
Ca a été peut-être une minute avant qu'on n'arrive au magasin de bricolage, un regret de ne pas l 'avoir fait plus tôt, un regret de ne pas avoir encore goûté à la chose, qu'elle s'est redressée et qu'elle a porté la main à mon pantalon, au niveau de ma queue évidemment. Une caresse qui bien évidemment ne m'a pas laissé indifférent, une main de femme sur moi, chaude et habile, qui a tissé quelques arabesques sur une bite bien tendue, et elle s'en est rendue compte.
--Il me tarde de pouvoir la voir. Je suis folle de queues, et la tienne me semble...Si pleine.. Je la sens longue et bien épaisse, comme j'aime...
Il a fallu revenir à quelque chose de plus rationnel. Elle a plongé son majeur aussi profond qu'elle le pouvait dans son sexe, l'a ramené maculé de sécrétions. Elle m'a laissé me garer, avant de me mettre le doigt sous les yeux. J'ai plongé dessus de la bouche, allant aussi loin qu'elle avait été quand elle l'avait enfoncé en elle, puis remontant, me remplissant du goût de ses sécrétions les plus intimes.
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Histoire de JamesB

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