Expérience au sauna

Il était midi lorsque j’appelai ma femme pour savoir comment se passait sa journée.
- Horrible ! J’enchaîne les problèmes depuis ce matin, une petite pause me ferait du bien. Est-ce que tu serais dispo pour déjeuner ?
- oui c’est pour ça que je t’appelais. J’arrive pour te prendre en voiture, attend moi.

Lorsque j’arrivais Cloé était déjà dehors à m’attendre.
- Te voilà enfin, en route !
Je sais que ma femme n’a pas un grand appétit le midi et que cette escapade était surtout faite pour ce changer les idées.
- Au lieu de déjeuner pourquoi ne pas profiter de ce moment pour aller faire un plouf dans un jacuzzi ? Lui dis-je.
- j’adorerai mais nous n’avons pas de maillot et je n’ai ni le courage ni le temps de repasser a l’appartement.

Je réfléchi alors à une solution pratique lorsque je me rendis compte que nous étions justement dans le quartier où se trouve le sauna que nous avions essayé quelques mois auparavant, c’était d’ailleurs notre 1ère expérience dans ce genre d’endroit et nous n’avions fait que regarder ce qui s’y passait sans participer.

- Et si nous retournions au sauna de la dernière fois, ça pourrais être marrant ? Cloé réfléchi, surprise par cette proposition puis acquiesça. Elle connaissais l’endroit et n’avait pas été importunée la 1ère fois.

Arrivé a l’entrée du sauna, l’hôtesse nous prévins :
- Aujourd’hui c’est spécial « dans le noir » vous connaissez ?
- pas vraiment …
- Et bien tout l’établissement est plongé dans le noir. Il y a juste assez de lumière pour voir où mettre vos pieds mais sinon tout se fait « à Tâtons ».

Cette nouvelle nous sembla parfaite pour notre intention première, se relaxer en toute intimité. Nous entrâmes alors et nous dirigeâmes vers les vestiaires tout en mesurant la difficulté de se diriger dans cette pénombre. Nous étions seul dans les vestiaires et en sortîmes pour nous diriger directement vers l’île bassin jacuzzi que nous avions repéré la 1ère fois.

Nous accrochâmes nos serviettes au mur juste devant le bassin et entreprises de rentrer dans l’eau.
- Attention il doit y avoir des marches mais on ne vois rien. Dis-je à Cloé en chuchotant.
Une fois dans l’eau nous nous avançâmes jusqu’au mur d’en face et nous assîmes sur la banquette immergée. Je restais assis sans faire de bruit pour essayer d’entendre si d’autres personnes étaient présentes, mais je ne décelai aucun bruit suspect.
- Je crois qu’on est seul, me dit Cloé en chuchotant.

Assis dans les bulles, nous nous mîmes à discuter de choses et en autre jusqu’à ce que l’ambiance sombre et humide ne réveille en nous un désir soudain. Assis l’un à côté de l’autre nos mais se croisèrent pour chacune venir caresser le sexe de l’autre. Nous restâmes ainsi un petit moment et même en étant dans l’eau je sentais l’excitation de ma femme tant sa fente était recouverte de cyprine.

Au bout d’un moment Cloé entrepris de venir s’assoir sur moi pour m’embrasser. Ses 2 bras autour de mon cou elle commença à me donner des baisers langoureux tout en frottant son sexe contre le mien. Je gardais les mais sur ses hanches et lui rendis ses baisers avec fougue. Seules nos têtes se trouvaient hors de l’eau et sentit son corps nu sur le mien était très excitant.

Mes mains caressaient son dos et je décida d’explorer plus en avant son corps en repassant ma main droite sur son ventre et en remontant jusqu’à ses seins. Arrivé au niveau de sa poitrine je fus surpris d’y trouver la main d’un inconnu ! La coquine se faisais discrètement malaxer la poitrine sans en dire un mot. Elle ne pouvais pas ignorer la présence cette main inconnu était donné que les 2 miennes étaient déjà en train de lui caresser le dos. D’ailleurs était-ce un homme ou une femme. Je décidais de toucher cette main avec la mienne pour essayer d’en connaître l’origine.

Vu la position de cette main et étant donné que j’étais assis dans l’eau avec Cloé à califourchon sur moi, la personne devait être derrière Cloé, agenouillée dans le bassin. Je palpais ces doigts qui pinçaient les bouts de seins de ma femme et compte tenu de leur taille et de la légère toison qui les recouvraient je fus assuré qu’il s’agissait d’un homme.

J’essaya de chuchoter à l’oreille de Cloé mais le bruit du jacuzzi recouvrait ma voix. Impossible de communiquer avec elle, alors que faire. Apparemment cette situation n’avais pas l’air de lui déplaire et j’en fus très surpris car ma femme est plutôt du genre « allumeuse » elle aime provoquer mais ne va que rarement plus loin. Dans ce genre de situation je m’attend plutôt à ce qu’elle retire cette main baladeuse et me dise de changer d’endroit. Il n’en était rien. L’envie de se changer les idées, l’eau chaude du jacuzzi et nos préliminaires l’avaient apparemment suffisamment excité pour ce laisser aller à se genre de jeu. Qu’a cela ne tienne, laissons là profiter.

Je continuais à l’embrasser tout en baladant mes mains sur son dos et ses fesses. Je sentais de temps en temps cette main impudique se coincer entre ses seins et ma poitrine au grès de nos mouvements, me confirmant encore que ma femme se faisait caresser sans retenue. D’autant plus que dorénavant ce n’est pas une mais 2 mains qui se promenaient sur les courbes rebondies de la poitrine de ma femme.

Dans cette position l’homme c’était raproché de Cloé jusqu’à se coller à son dos. Ayant mes mais sur les fesses de Cloé, je senti venir à moi le membre dur de cet inconnu. Sa verge tendue venait se frotter contre mes mains et cherchait à se frayer un chemin entre les fesses de ma compagne. Il parvint à son but et entrepris des allers retours pour caresser le sillon fessier de Cloé avec son sexe en érection.

Dans l’obscurité, même à cette distance je n’arrivais à distinguer cet homme avec lequel j’étais pourtant en face à face, avec nos visages séparés de quelques centimètres. Cloé avait lové son visage dans mon cou et se laissait aller à ce plaisir interdit, bien cachée dans cette obscurité.

Sans raison apparente l’homme se retira et disparu aussi prestement qu’il fut venu, laissant Cloé toute tendue d’excitation. Je pris alors son visage à 2 mains et me remis à l’embrasser. Je ne pouvais m’empêcher de goûter ses lèvres et de sentir sa langue s’écraser sur la mienne dans un combat gagné d’avance, quand tout à coup je l’entendîs pousser un petit gémissement. L’inconnu serait-il revenu ? Je déplaça mes mains pour venir les poser sur les seins de la femme qui cette fois étaient tout à moi, sans présence étrangère. Je continuais alors à lui caresser les seins en l’embrassant.

Puis je la senti se tordre comme si un courant électrique la traversait. Que pouvait elle bien ressentir de particulier pour avoir ce genre de réaction ? Il fallait que j’approfondisse mon enquête…

Je ne mis pas longtemps à trouver l’origine de cet afflux de plaisir soudain. Étant assis les jambes écartées, je n’avais pas senti la main d’un autre homme qui s’était faufilée par en dessous pour venir caresser le sexe de Cloé. La 2eme mais de l’inconnu était passée par devant pour venir masser son clitoris. Comme précédemment je décidais d’aventurer mes mais sur celle de notre petit pervers pour mieux me rendre compte de ses actions.

Je pensais qu’il la caressais « timidement » mais cet inconnu était déjà en train de la doigter avec 2 doigts ! Je comprend mieux les cabrages de ma belle !

Elle gigotait de plus en plus et ne pouvais maintenant plus retenir ses gémissements. Je l’accompagna dans son plaisir en m’occupant du reste de son corps. Je caressais ses seins déjà gonflés de plaisir, je mordillais ses lobes d’oreilles et autres joyeusetés qui je savais l’excitait.

Les gémissements de plaisir qu’elle nous offrait furent comme du miel pour les abeilles et bientôt, malgré l’obscurité, je sentis plusieurs hommes autour de nous. J’entendais certains qui respiraient fort, d’autres cherchant l’origine de cet orgasme à venir avançaient dans l’eau mains en avant pour essayer de se repérer et venaient inévitablement à notre contact. Tâtant mon corps et celui de Cloé pour essayer de comprendre quels étaient ces morceaux de chairs entre leurs mains.

La cohue se transforma en ballet et tout le monde trouva sa place. J’entendais certains hommes se masturber à côté de nous jusqu’à sentir le va et viens de leur main s’écraser contre nos cuisses. Les seins de Cloé étaient également entre de bonnes mains, bien que se soient les mains de 2 hommes différents. Une autre main vint aussi saisir mon sexe et le malaxa exactement comme il fallait pour me donner du plaisir. Il me semblait avoir entendu une voix de femme dans le bassin mais je n’ai jamais su si c’était bien elle qui s’était occuper de moi.

Toute cette agitation concentrée en un si petit espace rendait la situation extrêmement électrique et Cloé ne mit pas longtemps à jouir et offrant un orgasme très sonore qui fini de contenter de plaisir nos partenaires invisibles. Nous entendîmes plusieurs râles dont le mien, qui confirmaient que ce plaisir collectif avait bien atteint son but.

En quelques secondes toutes ces mains baladeuses disparurent, nous laissant seul dans le noir. Juste un filet de lumière à la sortie du bassin me permis de voir tous ces corps quitter l’eau, reprendre leur serviettes et s’en aller. Il y avait bien une femme dans l’eau, je vis sa silhouette généreuse quitter le bassin et disparaître comme une ombre Chinoise laissant l’image de ses courbes s’enregistrer dans mes souvenirs.

Sans dire un mot nous quittâmes le bassin en direction du vestiaire, prirent une douche et quittâmes ce lieu de plaisir sans croiser personnes. Finalement nous ne saurons jamais qui étaient ces gens et c’est très bien ainsi.

Je déposais Cloé à son travail, l’embrassa comme à notre habitude et elle partit en direction de l’entrée comme si de rien été. Nous n’en avons jamais reparlé et le temps passant j’ai quelques fois l’impression d’avoir vécu un rêve. Le seul moyen d’en être sûr serait d’y retourner, qu’en pensez-vous ?