Expérience chez le gyneco

Je m’appelle Chloé et j’ai 30 ans. Je vais vous raconter une expérience vécue il y a quelques années, lorsque j’avais environ 18 ans.

Un jour, nous étions avachis dans le canapé et en discutant de tout et de rien Cyril me demanda comment se passait un rdv chez le gyneco car je devais y aller quelques jours plus tard.
- Tu ne trouves pas ça gênant de te dénuder devant un homme dans ce contexte ? Me demande t-il.
- Il y a une appréhension la 1ère fois mais ensuite ça va en général.
Il me regarde en souriant et me dit :
- Je sais que tu aime te montrer, cela ne t’excite pas chez le gyneco ?
- J’avoue qu’une ou deux fois j’ai trouvé cela excitant. Lui répondis-je.
Cyril me demanda alors de lui décrire ce qui m’avait excité et pourquoi.
- et bien c’est gênant d’en parler comme ça à froid. Je ne sais pas quoi te dire.
- Commence par la 1 ère fois.
- Bon d’accord. En fait cela m’avait surprise d’être excitée car mon gyneco est assez âgé, il va bientôt être en retraite et je n’ai jamais été excité par un homme aussi vieux.
- Et alors ?
- Alors un jour ou j’avais rdv il me demande de me déshabiller et de m’installer sur le siège d’auscultation comme d’habitude. Au moment où il allait commencer son téléphone c’est mis à sonner et il m’a demandé de patienter. Il est partit à son bureau, je l’entendais parler mais je ne le voyais pas car il y avait un paravent entre lui et moi. Je compris vu la discussion que cela allait durer un petit moment.
- Je ne vois pas ce qu’il y a d’excitant pour le moment…
- Attend j’y arrive. Pour patienter je me mis à regarder autour de moi et mon regard se posa sur l’appareil d’auscultation qui permet de faire les échographies de contrôle, comme celle qu’il devait me faire ce jour là. Je n’avais jamais remarqué à quel point l’accessoire qu’il introduisait en moi était aussi semblable à un sextoy.
- C’est un appareil de quelle taille ?
- C’est une sorte de cylindre avec une tête ronde. Cela ressemble à un micro en quelque sorte et c’est un peu plus gros qu’un sexe. Il a besoin de le badigeonner de gel pour pouvoir l’introduire et même avec ça c’est quelques fois douloureux.
- Toi qui n’es pas très sextoy je suis étonné.
- C’est ce qui est bizarre. J’étais allongée, jambes écartées, pieds dans les étriers, prête à me faire ausculter. Ce n’est pas très sexy mais je me suis mis à penser a l’examen.
J’étais un peu gênée de raconter cela à Cyril mais comme j’avais commencée je savais qu’il ne me laisserai pas en rester là, je me résolu donc à lui raconter la suite.
- en fait je me suis imaginé à sa place, en train d’introduire cet engin dans le sexe de ses patientes et je me suis demandé s’il en retirais du plaisir. J’essayai de me souvenir de mon dernier examen et de me rappeler ses expressions de visage et autres pour desceller de l’excitation. Je me souvins alors que cette phase de l’examen durait en général assez longtemps, voire plus que nécessaire. A plusieurs reprises il avait retiré entièrement l’engin pour me re pénétrer de suite après.
Pendant que je racontai mon histoire à Cyril celui-ci avait déjà entreprit de me caresser et sa main était déjà remontée entre mes jambes.
- effectivement cela a du t’exciter car tu mouille déjà.
Ses doigts faisaient des va et vient sur ma fente d’où sortait déjà un flux consistant de cyprine.
- Et bien justement. Le fait de me remémorer cela en attendant qu’il finisse son appel, je me suis mis à mouiller d’excitation et tu sais que c’est assez abondant chez moi.
- En effet ! me répondit il en me montrant sa main dégoulinante de mouille.
- J’étais tellement perdu dans mes pensées que je ne l’ai pas entendu raccrocher et revenir vers moi. Le temps que je reprenne mes esprits et il était déjà trop tard, il s’était déjà assis sur le tabouret situé entre mes jambes.
- Là ça devient marrant !
- Arrête, ne te moque pas. J’étais trop mal à l’aise. Il a commencé à me parler en préparant son matériel. De mon côté je priais pour ne pas qu’il remarque mon excitation.
- Ah la, je suis certain qu’il n’a pas dû passer à côté. me répondit Cyril d’un ton moqueur.
- Tu as vu juste. Lorsqu’il s’est retourné vers mon sexe tout en parlant, il a regardé entre mes jambes et à marqué un arrêt. Je ne savais plus où me mettre et je regardais le plafond en espérant que ce silence ne dure pas trop longtemps. Il se t’émis à parler et me dit « je vais commencer l’examen… apparement je n’ai pas besoin de gel cette fois »
Cyril se mit a exploser de rire en entendant mon histoire.
- J’aurai aimé voir ta tête ! me dit-il
Effectivement cette situation était très gênante pour moi et mon vieux gyneco s’en est lui aussi amusé en me disant « ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas là 1ere a avoir ce genre de réaction. C’est tout à fait normal de ressentir du plaisir. Après tout, le sexe est aussi fait pour ça »
Pendant que je racontais, Cyril était toujours en train de me caresser et j’avoue que cela m’a bien desinhibé pour aller au bout de mon histoire. D’autant plus que ça l’excitait à lui aussi, je voyais son short gonfler sous la tension de sa queue que je devinais dure et prête à servir.
- alors, qu’est-ce qu’il a fait ? me demanda Cyril.
- En bien il a commencé l’examen sans gel comme il me l’avait annoncé. Avec une main il a écarte ma fente et j’ai senti la tête de son appareil venir buter sur mon sexe. La cyprine est moins efficace que son gel et vu la taille de son appareil il n’a pas réussi à le rentrer du 1er coup.
En effet au lien de mettre du gel pour faciliter l’insertion il caressa mon clitoris avec son engin et se t’émis a l’appuyer et me disant «  détendez-vous, il va bien finir par rentrer ».
A ces mots je compris qu’il ne lâcherait pas l’affaire et qu’il essayerai de le rentrer « naturellement ».
- Et alors comment tu as réagi ?
- Franchement, je voulais que ça finisse, j’étais trop gênée.
- Tu as fais quoi ?
- Je ne savais pas trop comment réagir alors j’ai fais ce qu’il m’a dit, j’ai essayé de me détendre. Il a continué d’appuyer et j’ai senti mon sexe s’ouvrir d’un seul coup et son appareil est rentré en moi directement.
A cet instant je n’ai pu retenir un cri identique à celui que je fais lorsque les préliminaires m’ont vraiment excités et que Cyril me pénètre enfin. J’en fut très gêné mais excité également sans vraiment m’en rendre compte.
Le temps de comprendre ce qu’il se passait que mon gyneco avait déjà commencé à retirer son engin de mon sexe, ce qui me fis crier une 2eme fois.
- c’est un sacré coquin ton gyneco ! Et qu’est-ce qui c’est passé ensuite ?
- Et bien j’attendais allongée en regardant le plafond et rien ne se passait. Au bout d’un moment je baissa la tête pour voir et je le vis, toujours assis sur son tabouret, me regardant en souriant.
Effectivement le docteur était assis, son appareil dans la main et m’avait amené à faire exactement ce qu’il souhaitait, c’est à dire me regarder dans les yeux. Jusque là je m’étais concentré sur le plafond et avais évite son regard. Nous retrouve ainsi face à face le fis comprendre l’ascendance qu’il avait pris sur moi. De son côté il avait aussi compris qu’il me dominait, il n’avait pas besoin de parler pour que je comprenne qu’il allait profiter de la situation. Je me rallongea et me remis à regarder le plafond. Il le dis « Mlle Chloé pourriez-vous me regarder s’il vous plaît »
Je du prendre sur moi pour relever la tête et essayer de cacher ma gêne mais j’était déjà rouge comme une tomate. « Maintenant je vais reprendre l’examen et introduire de nouveau mon appareil dans votre sexe, êtes vous d’accord ? »
En plus de mon regard il voulait qu’un « oui » sorte de ma bouche pour assoir sa domination. Je balbutia ce fameux oui sans vraiment comprendre pourquoi.
- Wouaw, je ne pensais pas que les rdv gyneco étaient aussi rockn’roll ! Vu mon état j’aimerai bien que tu me caresse pour la suite.
Je le regarda enlever son short et s’allonger à côté de moi, son sexe tendu comme un « I ».
Je pris sa verge en main et commencer de lents aller-retour tout en continuant mon histoire.
- Après avoir dis oui. Je suis resté à le regarder. Surtout ses mains et l’appareil qu’ils tenait, je me rendit compte qu’il n’avait pas pris celui dont il se servait en général mais le plus gros qu’il avait. De plus il n’avait pas mis de gants.
Comprenant ce que je regardais il me dit d’un ton amusé « et oui c’est bien cet appareil que j’ai fait rentrer en vous, vous pensiez cela impossible ? Je vais vous montrer de nouveau. Appuyez-vous sur vos coudes et regardez s’il vous plaît » « non merci je préfère m’allonger » lui répondis je. « si, si, j’y tiens. Mettez vous sur vos coudes et regardez ». J’obtempéra à contre coeur et prenant soin de lui montrer que cela me gênait, voire même me dégoûtait mais lorsque je vis l’appareil se remettre en appuis sur mon sexe je ne pus m’empêcher de mouiller de nouveau. « Voilà c’est bien, ne soyez pas gênée. C’est tout à fait naturel à votre âge d’être excité par ce genre d’expérience. De mon côté j’avoue qu’il est très agréable de manipuler une belle fille comme vous » tout en me parlant il caressait mon clitoris pour me faire mouiller encore plus tout en frottant en appuie l’embout de son engin contre ma fente qui s’ouvrît sans problème. « Maintenant je vais vous pénétrer » me dis-il en me me regardant dans les yeux. Je regardait la taille de son engin et me mis à serrer les cuisses par réflexe. « Détendez vous. Regardez-moi dans les yeux pendant que je vous pénètre. Voilà c’est bien, vous sentez comme ça commence a rentrer ? » la tête de l’engin était vraiment grosse et je poussais un nouveau cri lorsqu’il rentra en moi mais cette fois je regardais le docteur dans les yeux comme il me l’avait demandé. Je me rendis compte de la perversion de la situation et de ce face à face avec cet homme qui pourrait être mon père, ou plutôt mon grand-père. J’aurai du être dégoûté mais à l’évidence cela m’excitait.
Cette pénétration m’envoya tant de décharge électrique que je m’affaissa sur la table d’examen et souleva mes hanches en écartant mes cuisses dans un spasme incontrôlé. « Et bien, cela vous a fait beaucoup d’effet apparemment. Je vais y allez plus doucement pour que vous repreniez vos esprits. Cela dit sachez que mon cabinet est insonorisé, ne soyez pas gênée de vous relâché pour dire les choses poliment »
A ces mots il se mit à faire des aller-retour en moi sur toute la profondeur de mon sexe. Il tirait doucement sur son engin comme pour le faire sortir et juste avant que ma fente ne s’ouvre il le replongeait profondément en moi ce qui m’envoyait des vagues de plaisir d’une amplitude jamais ressenties. Ce plaisir était tellement intense que je ne me suis rendu compte de suite qu’il avait déjà introduit entièrement un de ses doigts dans mon anus. L’orque je m’en rendu compte je ne pus retenir un mouvement de rejet en mettant ma main sur la sienne et en relevant la tête pour lui dire non du regard. Il me désarçonna en me posant cette question «  vous ne vous êtes jamais fait sodomisée ? » c’est la 1ere fois que quelqu’un me demandait cela et je me rendit compte que c’était sûrement la question la plus intime qu’on ne m’ait posé. Je n’eu le temps de répondre qu’il me dit «  vous voyez cela ne fait pas mal, ré allongez vous et faites moi confiance » je m’exécuta a mon grand étonnement. « Maintenant que vous êtes à l’anode avec un doigt je vais en rajouter un autre » « non vous allez me faire mal ! » lui répondis-je parle réflexe. « Ne vous inquiétez pas. Cette fois je vais utiliser du gel » il sortit son doigt et se badigeonna la main droite de gel tout en continuant les aller-retours de son appareil avec son autre main. Ce plaisir vaginal inhibait toutes les défenses et je senti ses doigts revenir contre mon anus vierge. Je le senti pousser sur ses doigts jusqu’à ce que la 1ere phalange de ses doigts ne rentre en moi. « Vous voyez comme c’est bon » et il continua à les enfoncer doucement mais entièrement. Je ne pus m’empêcher de lui dire «  arrêtez docteur. Si vous continuez je vais jouir ». Il ne tint pas compte de la requête et continua à me fouiller l’anus et à me pénétrer avec son engin. Je sentais la vague arriver en moi et fus pris de panique car je sais que mes orgasmes sont assez bruyants et que la salle d’attente juste derrière la cloison était remplie de monde. « Arrêtez, arrêtez ». Je m’assis sur mes coudes pour le supplier du regard mais cela n’eu aucun effet. Je vis alors la bosse sous sa blouse et me rendis compte qu’il bandait comme un âne. Cette vision finit de m’achever et me mis à jouir en poussant un mélange de cris et de soupirs sans aucune retenue tout en lui disant « salaud ! Salaud ! »
Et je retomba sur la table d’examen complètement vidée et demi comateuse. Je senti ses doigts sortir de moi ainsi que son appareil, avec un peu de difficulté d’ailleurs.
Il repartir à son bureau en me disant de me rhabiller. Lorsque je le rejoignais il me donna une ordonnance et se t’émis a me parler de manière très professionnelle tout en me raccompagnant vers la porte de sortie. Sans même m’en rendre compte le docteur était déjà re rentre dans son cabinet avec une autre patiente et je me retrouvais seule, debout, au milieu de la salle d’attente. Je ne pus m’empêcher de me demander si toutes ces personnes ne m’avaient pas entendues mais leurs regards restèrent neutre et je repris la route.
- Et voilà c’est la fin de mon aventure. Dis-je à Cyril en me retournant vers lui. Tu as aimé ?
- A ton avis ? Et il me désigna son sexe que j’étais toujours en train de masturber.
Lancé dans mon explication je ne m’étais pas rendu compte qu’il avait déjà joui et que main était recouverte de sperme.
- Salaud, tu aurais pu le le dire ! Lui lançais-je sur un ton provocateur.
- Et toi t’es vraiment une petite Salope ! me répondis-il. Tu t’étais bien gardé de me raconter cette histoire.
- Comme, entre autre, tu m’avais proposé la sodomie et que j’avais refusée je ne savais pas comment tu allais prendre le fait que ce docteur m’ait « initiée »
- Vu qu’il t’a initié, on peut jouer maintenant petite coquine.
Il me renversa sur le dos et me demanda de me mettre à quatre pattes. Sa queue était encore dure et je la sentais frotter dans mon sillon fessier. Il me gifla les fesses en me disant :
- on va voir si tu n’a pas perdu la main en faisant rentrer un ou deux doigts.
Il cracha entre mes fesses et commença à insérer ses doigts. Je trouvais cela très vulgaire mais cela m’excita. Il continua quelques minutes et me dit :
- maintenant c’est une vrai bite que tu vas prendre dans le cul petite salope.
Et il continuait de me gifler les fesses tout en enfonçant profondément sa bite en moi.
C’est la 1 ère fois qu’un homme éjaculait dans mon cul et que j’eu un orgasme anal de ce genre, en me faisant insulter et sodomiser à la fois. Je me sentais sale mais c’était tellement bon.