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Fantasme et orgasme d’une jeune femme sur ce bel homme | Plug & God

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/03/2024

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Hello toi.

C’est la première fois que je pose par écrit une de mes aventures. Je suis contente que tu la lises. Si elle peut te faire bander, mouiller, t’exciter, ou même jouir, alors j'en suis ravie.

Moi, c'est Océane. Enchantée. A “seulement” 25 ans,  j’ai eu des relations charnelles avec bien plus d’hommes et de femmes que la plupart de mon entourage. Pour autant, je n’ai jamais été en couple. Je n’arrive pas à me dégager du temps pour construire une relation. Mon travail me prend trop d'énergie et m’oblige à me déplacer de villes en villes quasiment chaque semaine.

Alors comment est-ce que je rencontre mes amant.e.s ? En fonction des aléas de la vie : en soirées, au travail, en clubs libertins, par l’intermédiaire d’amis… Ou parfois, ce sont même mes ami.e.s qui deviennent mes amant.e.s.

J’ai la chance de correspondre aux standards de beauté actuels. 1m68. Allure sportive. Yeux bleus. Longs cheveux châtains avec quelques mèches blondes usées par le soleil et la mer. Des fesses plutôt fermes. Jolie poitrine 90D. Joie de vivre au quotidien. Entreprenante et toujours en action. Mais avec parfois besoin d'affection. Je sais, sans trop l’avouer, qu’hommes et femmes se retournent très souvent sur mon passage.

Je suis en reconversion professionnelle depuis quelques semaines : je cherche un nouveau contrat qui me laissera plus de temps personnel pour souffler et apprécier ce que j’appelle la “poésie du quotidien”. Vous voyez ce que c'est ? Aller se balader en forêt et écouter les oiseaux chanter, se poser dans un café juste pour regarder les passants dans la rue au coucher de soleil, cuisiner un chouette repas avec des amis un dimanche midi...

***

Aujourd’hui, mercredi, c’est le jour du marché dans le petit village breton où je me suis installée pour quelques semaines. Et ce soir, il y a un nouvel exposant. C’est un jeune boulanger, environ la trentaine, qui lance son entreprise. Je m’approche de son petit stand, toute paisible et insouciante, sans me douter que dans quelques instants mes semaines à venir vont être bouleversées. Car à l'instant où je croise son regard, je sens la louve se réveiller en moi.

Cet homme est terriblement séduisant. Le logo collé sur la camionnette derrière lui m’indique qu’il s’appelle Mahieu. Le soleil commence à tomber, les rayons du crépuscule font refléter de jolies mèches ocre parmi ses cheveux châtains sauvagement arrangés par le vent. Ses yeux bleus (ou plutôt marron ? Non, vert ! Je n’arrive pas à déterminer, surement un précieux mélange des trois à la fois), me regardent avec gentillesse et bienveillance.

Je ne suis pas habituée à un tel regard. Il n'y a pas une ombre de désir sauvage en lui. Juste de la tendresse. Je suis perturbée.

Il porte une parka bien chaude qui fait tenir les longues heures d’hiver au marché. Pour autant, je sais parfaitement reconnaître au travers du tissu les muscles caractéristiques d’un homme qui utilise et prend soin de son corps au quotidien.

Son léger sourire quand il m’accueille sur son stand, ses fossettes qui se dessinent toutes rougies par le froid, son air un peu timide… mon bas-ventre commence à papillonner.

Cette rencontre n’était pas prévue au programme de ma journée. Je suis complètement déstabilisée. D’ordinaire, avec la vie que je mène à 100 à l’heure, c’est moi qui choisit le rythme de mes rencontres amoureuses. Je décide toujours quand contacter un amant, quand l’appeler, quand être disponible physiquement pour lui, quand avoir assez d’espace mentale pour rencontrer de nouvelles personnes en clubs. Ils le savent tous et l’acceptent. Ça fait partie de qui je suis. Est-ce que je suis un peu dominatrice ? Oui, certainement. Mais ce soir, je n’avais absolument rien programmé, et je vacille.

Il entrouvre ses lèvres. “Bonjour, tu sais ce que tu cherches ? J’ai du pain de seigle, pain complet, pain blanc, et de la brioche au chocolat”.

Chacune de ses paroles est accompagnée d’un geste de sa main pour me montrer le produit désigné. Mes yeux alternent entre ses doigts et sa bouche. Je n’ose pas le regarder dans les yeux. Des lèvres bien dessinées. Des mains à la peau lisse, et aux veines saillantes comme je les aime. J’ai terriblement envie de les porter à ma bouche pour les goûter. Elles doivent être un peu humides à cause de la fine pluie qui tombe autour de nous. Et peut-être avoir aussi un léger goût de farine, à cause de tous ses pains qu’il manipule… Comme j’ai envie de le croquer…

Je sens les battements de mon cœur s’accélérer. La pression sanguine des veines de mes joues augmente. Mes pommettes rosissent. Mes pupilles se dilatent légèrement. Et ma culotte s’humidifie par petites vagues.

"Bel homme, pardonne-moi, tu me fais perdre la tête", pensais-je. Alors je redouble d’efforts pour garder le contrôle.

“Tu me recommandes quoi ?” Je crois avoir réussi à parler en dissimulant tout le feu qui brûle en moi. À moins que mes yeux plantés dans les siens me trahissent. Il me montre le pain de seigle. J’acquiesce : "ok, je te fais confiance, je vais prendre celui-là".

Je paye et il me propose un sac en papier kraft, pour la forme. Je refuse poliment : non non, pas la peine, je peux le porter à la main. Il sourit d’un air entendu. Comme s’il avait lu en moi que je faisais attention à réduire mon empreinte sur cette planète. Je règle le pain et m'apprête à partir. Il me tend alors une petite brioche au chocolat, sans un mot, avec un de ses sourires qui rajoutent une petite vague de mouille à ma légère culotte déjà bien trempée. Je comprends que c’est un cadeau. Est-ce qu’il agit ainsi avec toutes ces clientes ? J’ose imaginer que non. Est-ce que je suis un peu spéciale ? J'espère que oui...

***

Je pense à cet homme sur tout le chemin du retour.

Je romps un bout de la brioche et commence à la déguster, trop impatiente pour attendre d'arriver à la maison. Des pépites de chocolat fondent sous mon palet. J’imagine que ce sont ces doigts que je suce. Ou la peau de ses avants bras. Ou sa poitrine. Ou son dos. Ou même, si je descends un peu… son sex...
Des images me viennent en tête : il est en train de pétrir la farine et l’eau pour préparer ses pains. Dans mon imaginaire, mon corps prend la place de la pâte : il parcourt ma peau de ses mains, il malaxe délicatement mes seins avec fermeté. Mes tétons se raidissent sous la chaleur de sa pomme. Mon ventre se contracte. Mon dos se cambre involontairement. Je suis à lui. Il peut me manipuler comme il veut. Et j’aime ça. Je m’abandonne à ses désirs. Le plus longtemps possible. Je soupire de bonheur et de frustration : tout en parcourant mon corps, il évite soigneusement de toucher mon entre-jambe. Il n'a pas encore terminé avec moi. Oh Mère Nature… Une torture si douce vaut certainement la peine d’être vécue des centaines d'heures…

***

Songent à ce fantasme, le chemin du retour passe en un battement de cils. A peine rentrée à la maison, je me déshabille, je monte dans ma chambre, j’éteins mon téléphone, je m’allonge sur mon lit, et je sors du tiroir de la table basse mes deux jolis jouets pour adultes. Plug et god. Je les adore. Ils m’accompagnent partout. Ils sont en bois, faits à la main par un artisan que j’avais rencontré il y a quelques mois. D’ordinaire, quand je me masturbe, mes doigts suffisent à me faire jouir. Mais aujourd’hui, avec toutes ces images en tête, j’ai envie de beaucoup, beaucoup plus de sensations.

Je dépose une noisette de lubrifiant sur le plug, tremblante d’excitation. J’en étale une seconde directement sur mon anus. Ce simple geste me permet de sentir que je suis déjà bien dilatée. Je colle mon plug auprès de ce petit trou. Je me détends. J’appuie délicatement. Hum… Il glisse tout seul. Tellement bon… Je fais quelques légers vas et viens. J’appuie dessus pour le sentir me pénétrer bien profondément. Je suis terriblement excitée. Je le laisse à sa place au fond de mon cul, de sorte à ce qu’il n’y ait que la pierre blanche en cristal qui ressort, et je m’occupe de ma chatte.

Mes lèvres sont déjà toutes ouvertes et humides elles aussi. Je laisse mes doigts les parcourir, sentir ma mouille sur ma main, quelques filets entre mes phalanges, comme de la bave, comme quand je lèche passionnément le sex d'un homme ou d'une femme... J’adore. Je me pénètre doucement avec un, puis deux doigts. J’imagine que ce sont les mains de Mathieu, ce beau boulanger qui bouleverse ma journée.

Tous les muscles de mon sex se resserrent pour mieux ressentir. Chaque cellule de mon vagin brûle de désir. Je veux encore plus… Encore plus profond. Encore plus de mouille. Encore plus de puissance. Mes doigts ne sont pas assez longs, alors je les retire, les lèche, humidifie mon god avec ma mouille en le frottant contre mon sex, puis l’enfonce doucement entre mes lèvres. Patience. Je veux sentir chaque centimètre s’enfoncer en moi. Le sentir toucher le fond de mon utérus. Le sentir frôler ma vessie.

J’accélère petit à petit les vas-et-viens. Le plug, encore dans mon cul, décuple chaque dose de plaisir. Avec ma main libre, je caresse le bourgeon de mon clitoris.

Hum… Les petits bruits de mouille m’excitent terriblement. J'ai l'impression qu'il est avec moi. Je ferme les yeux. Ma respiration s’accélère. Je tente de rester fixée sur l’image de ce beau boulanger, mais mon cerveau commence à vriller. Je n’imagine plus que sa bite qui me défonce le vagin, mes fesses qui claquent contre sa peau, son rythme de hanche parfaitement maîtrisé et réglé pour me faire monter un peu plus en excitation à chaque coup de rein... Les lèvres de sa bouche qui me dévorent le cou, la poitrine, les joues, les lèvres… Nos langues qui se dévorent... L'odeur de sa sueur, de nos fluides, de son sex...

Mes abdos se contractent, chaque muscle de mon vagin se resserre, mon excitation augmente de plus belle, la main sur mon clito aimerait ralentir pour faire durer le supplice plus longtemps, mais la main sur mon god accélère ses allers/retours...

Plus profond... Plus courts... Plus forts... Plus rapide... J’ai l’impression que ma vessie va exploser ! C’est tellement bon… Tellement jouissif… Encore… S’il te plait… Vas-y… Oui… Baise moi… Plus fort… Continue… Je viens…. N’arrête pas… Oui, oui, oui… AAAAArgh !!!!

1000 paillettes explosent dans mon corps. Feu d’artifice dans le bas ventre. Un jet de mouille sort de ma chatte. J’orgasme merveilleusement !!!

La main sur mon clito continue encore quelques instants ses mouvements, comme pour faire prolonger ce moment d’extase, jusqu’à ce que je devienne trop sensible du petit gland. Alors elle ralentit enfin...

C’était… Whoua... Comment dire ?… Phénoménale…

Je retire mes deux jouets de mes orifices. J’irai les laver plus tard.

Pour l’instant, je reste encore quelques minutes à allonger sur le lit. Heureuse. Le corps chargé d’hormones de bonheur. Vivement la semaine prochaine : je suis déjà impatiente de retourner au marché acheter mon pain…
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Histoire de Oceane3599

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Commentaires du récit : Fantasme et orgasme d’une jeune femme sur ce bel homme | Plug & God

Le 24/04/2024 - 01:07 par alexandre8819
Oceane merci pour ce recit fort excitant je vais faire une confidence tu as reussi à faire bander j'imaginais que etais avec moi tu dois être magnifique au lit je caresse l'espoir de tz relire alexandre8819@yahoo.fr bisous

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