Femme acariâtre soumise 1

Mathilde et une femme autoritaire, elle toise les autres personnes de ses 1,78 m, elle rabaisse à chaque fois, ses interlocuteurs. Son mari Charles est son souffre-douleur Son sourire narquois l'agace. Même pour le sexe, c'est elle qui dirige l'ébat, elle l'empeche même de jouir en elle. Ce sont les couilles pleines que le
pauvre bougre déverse son sperme dans un mouchoir. Frustré, Charles rumine, il decide de lui faire payer son mépris de l'être humain. Pour cela, il attend que ce soit l'anniversaire de Mathilde, pour lui organiser un truc dont elle ne s'y attend pas.



Le jour fatidique arrive enfin, Charles se frotte les mains, car ses complices sont deja là. Marc, un solide gaillard, taillé à la hache et accompagné de sa femme, Julie, une vorace selon lui. Roger, un vieux pervers à la main leste, fait partie aussi des invités. Enfin Paul, un étalon renommé pour sa résistance est sa puissance, surtout pour sa bite monstrueuse. Tous prennent place autour de la grande table, les œillades et les sourires complices s'échangent. Mathilde arrive, chaque personne lui souhaite son anniversaire. Le champagne coule à flot, Mathilde, comme à l'accoutumée, veux mener la barque. Mais les invités veillent à ce que son verre ne soit jamais vide. Les chansons paillardes fusent ainsi que les histoires salaces. Mathilde est un peu grisée, par le champagne, le repas se passe comme prévu, l'heure de la surprise arrive. On demande à Mathilde se mettre sur une chaise au centre de la pièce, pour qu'elle profite de son cadeau.


Charles fait entrer la surprise, c'est un couple de stripteaseur. Les deux tournent autour de Mathilde en s'effeuillant lentement, Mathilde regarde, un peu blasée en faisant une moue, puis prend de l'intérêt à ce qu'elle voit. Elle regarde le torse musclé que l'homme vient de découvrir, avec agilité, il tire sur son pantalon qui tombe comme par enchantement. L'homme se tortille sous le regarde de Mathilde qui commence à s'illuminer. La femme dégrafe son soutien-gorge et fait tomber sa jupe.
Mathilde porte intérêt aux petits seins fermes de la danseuse. Du coin de l'œil, Charles épie sa femme, qui commence à s'agiter sur sa chaise. La femme retire son string et le fait tourner au-dessus de sa tête, en regardant Mathilde. L'homme d'un coup sec arrache son boxer, Mathilde sursaute, en voyant la verge de l'homme balancer entre ses cuisses. La femme passe sous le nez de son partenaire son string. Il ouvre la bouche et le mâchonne. La femme tombe à genoux devant son cavalier et lui saisit la bite qu'elle agite fermement. Rapidement, la bite devient opérationnelle. La femme décalotte l'engin et se met à le sucer. L'homme lui tien la tête est lui baise la bouche comme un forcené, il serre les dents, repousse sa partenaire et s'approche rapidement de Mathilde, elle ragrde l'engin que l'homme branle en grognant. Il se bloque face à elle, et envoie une terrible décharge de sperme sur le visage de Mathilde qui n'a pas le temps de réagir.


La femme intervient, elle se met à califourchon sur les genoux de Mathilde et lui lèche le visage pour le nettoyer du liquide visqueux qui le recouvre. Sa langue passe sur les lèvres de Mathilde qui surprise par cet assaut reste sans voix. L'homme, comme dans un rituel, repousse sa partenaire et appuie son gland sur les lèvres de Mathilde qui écarquille les yeux comme prise de panique. L'homme n'insiste pas, il frote quelques secondes son gland gluant sur la bouche de Mathilde, puis recule. C'est l'effeuilleuse qui gobe le gland et le suce pour le rendre propre. L'homme bascule la femme sur le sol, elle ouvre les jambes pour que l'on puisse voir sa chatte, et écarte les grandes lèvres pour lettre en exposition son clito bien calibré.
L'homme le branle un court instant avant de le gober. Mathilde ne quitte pas des yeux la chatte que l'homme dévore, Rapidement la femme se cabre en poussant un long râle, et jouit. Les deux se redressent, saluent sous les applaudissements des invités puis se retirent. Mathilde reste coite, elle semble ailleurs, ses poings sont serrés. Charles débarrasse rapidement un coin de la table, il avait donné des consignes à ses invités avant.


Marc s'approche de Mathilde qui est encore dans les nuages, la prend à bras le corps et la dépose sur la table. Mathilde ne rechigne pas, elle se laisse faire. Julie s'approche, lui retrousse la robe sur la taille, lui arrache brutalement la culotte qui parait bien humide au niveau de la chatte. Elle lui ouvre les jambes sous le regarde, excité des autres voyeurs potentiels. Julie lui écarte les grandes lèvres et sort de son écrin la perle rare, elle la titille, là branle un court instant, puis pose sa bouche dessus, l'aspiration puissante fait sursauter Mathilde, qui ne peut retenir un gémissement. La bouche avide suce et tète comme une affamée la boule de chair qui prend du volume. Mathilde geint de plaisir sous le regard étonné de Charles qui pensait que cela serai plus difficile de soumettre sa femme, au contraire, la femme acariâtre, gémit sous les coups de langue bien dosés de Julie. Son clito enfle de plus en plus, La suceuse se régale du jus qui s'échappe de la chatte en ébullition, de la soumise.



Le travail de sape fini par porter ses fruits, Mathilde se cabre en poussant un cri. Elle jouit fortement en se cramponnant à la table. Julie s'écarte, Son mari Marc doit prendre la suite. En un tour de main, il est nu, sa bite tendue sur son bas-ventre oscille à chacun de ses pas. Paul rabaisse la robe, la dégrafe et ouvre les deux pans, il arrache avec force le soutien-gorge qui part en lambeaux, les seins de Mathilde jaillissent comme deux obus. Marc les palpe, les soupèse, agace les mamelons avant de les téter. Les râles de Mathilde sont bruyants, rapidement ses mamelons deviennent méconnaissables. Marc les étire, les mordille. La chatte de Mathilde devient une fontaine intarissable. Pendant que Marc s'occupe des nichons, Paul qui vient de retirer, ses frusques. Se masturbe en regardant Mathilde geindre fortement. Il s'approche et frotte son engin raide comme la justice contre la chatte chaude comme de la braise et le plante violemment dans le ventre de la femme gémissante. La puissance de la pénétration fait hurler Mathilde. La queue au diamètre hors norme lui laboure le ventre avec violence. Marc serre entre ses dents un mamelon, Mathilde hurle de douleur, mais ne repousse pas ses assaillants. Elle s'agrippe à Paul qui ne ménage pas ses coups de boutoir. Sa bite coulisse avec brutalité dans la gaine en surchauffe. Mathilde se cabre, elle pousse un cri inhumain et jouit comme une folle. Paul insiste, il la défonce comme un forcené, il grince des dents, se raidit et remplit le ventre de la soumise avec son produit visqueux.


Paul se retire, du ventre qui est pris de nombreuses contractions, Mathilde halète, son souffle est rapide et court. Marc prend la succession de Paul, il enfonce sa verge dans le conduit qui déborde de sperme, il demonte Mathilde sous les yeux éblouis de Charles, qui tient enfin sa vengeance d'homme humilié.