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Femme de ménage et MILF partie 1

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Lue : 2141 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 21/07/2021

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Je relisais mes cours de droit administratif quand elle est arrivée. J’ai entendu la clef dans la serrure, et puis elle a pénétré dans l’appartement.
Il était 15 heures 10, et Solange venait faire le ménage dans l’appartement.
Ses talons ont résonné sur le sol qui répercutait le moindre bruit. Une matière dure et un rien glissante que j’aurais eu bien du mal à définir.
—Alors, tu es en plein effort, elle a demandé, en posant son sac dans l’entrée?
—J’ai deux semaines d’examens, et je veux absolument réussir ma première année de droit. Alors, oui, je révise.
Et c’était vrai que depuis un mois, je ne faisais que ça. Parce que je n’avais pas trop confiance en moi, même si je n’avais pas eu de mauvais résultats, loin de là, dans l’année. Le droit, c’est construire des raisonnements solides sur des connaissances.
J’étais calé dans le living, sur un fauteuil, et devant moi, sur le tapis, étaient étalées mes armes de révision. Des fiches, des tableaux, des diagrammes, des cours.
—C’est bien, tu as du courage.
Il y avait beaucoup de choses que j’appréciais chez Solange. A commencer par son style. Elle était très soignée,très féminine. Elle avait une prédilection pour les tailleurs veste-jupe, et ça lui allait parfaitement. Ca mettait en valeur son corps de MILF. Elle approchait de la cinquantaine, mais depuis que je la connaissais, ça faisait six mois qu’elle venait à la maison, les filles de mon âge me semblaient fades et sans saveur. La décrire, c’était lui rendre hommage sans pour autant, j’en avais bien conscience, totalement mettre en évidence ce qui faisait son charme. Elle était plutôt grande, elle devait faire un mètre 80, et plus avec talons, mais elle avait toujours des talons. Elle était fine, mais elle avait un corps bien dessiné, par exemple ses jambes étaient parfaites, et ça c’est quelque chose qui était plutôt rare, si vous regardez bien les jambes des femmes, vous remarquez toujours des défauts. Pas chez elle. Elle avait des formes bien charnues, des seins lourds, des fesses pleines, qui contrastaient avec une taille fine. Le temps n’avait eu que peu de prise sur elle, mais sans doute qu’elle faisait attention. Une nourriture saine, et du sport…
Ce qui m’attirait le plus, sans doute, c’était cette masse de cheveux bruns, épais, soyeux, longs, qu’elle domestiquait dans des assemblages jamais identiques, à coup d’épingles, et ces yeux bleus, qui semblaient tout lire et tout comprendre, dans un visage aux traits fins.
Sans gêne, elle s’est mise à se déshabiller devant moi. Pour faire le ménage, elle mettait une blouse.
Il y avait bien sûr, pour qu’elle se change d’autres pièces disponibles dans le grand appartement, mais ce n’était pas vraiment un problème car, en six mois, elle et moi, nous étions devenus intimes. D’une intimité profonde.
Notre rapprochement aurait pu sembler curieux. Tout nous séparait. Et déjà l’âge. Elle se partageait entre plusieurs métiers pour gagner sa vie, et élever seule une fille qui avait aujourd’hui 19 ans, marqué au coin des plus humbles, alors que j’étais issu des classes moyennes. Mes parents étaient tous les deux visiteurs médicaux.
Elle a défait sa veste en disant:
—J’ai une surprise pour toi.
Elle avait une passion pour la lingerie intime sexy. De son propre aveu, et j’étais totalement d’accord avec elle, il n’y avait rien de plus troublant qu’une tenue classique qui ne laisserait rien soupçonner, et, en dessous, des sous-vêtements sexy, qui n’étaient dévoilés qu’à une personne.
J’avais la chance que ce soit moi.
J’ai été encore une fois ébloui. Dessous, elle portait un corset qui lui allait parfaitement. Il fallait dire qu’avec sa taille fine, il ne pouvait que lui aller. Il soulignait sa finesse, en contraste avec la lourdeur de ses seins, emprisonnés par l’étoffe, dont un tiers était à nu.
Le corset s’arrêtait à son pubis. Il devait y avoir un slip qui allait avec, mais, sans doute dans la précipitation en partant de chez elle, elle avait du oublier de le mettre. Elle offrait à mon regard la pente naturelle de son pubis, recouvert d’une mousse brune, et juste en dessous la fente de son sexe, dont sortait un bout de lèvre.
—Mon corset te plait? Je l’ai retrouvé dans mes affaires. C’était l’époque où je vendais de la lingerie. Je m’étais mis des pièces de côté.
Elle avait tenu un magasin de mercerie pendant plusieurs années. Une des étapes dans une vie qui en avait connu plusieurs.
Elle a tourné sur elle-même, me présentant son côté pile. Elle avait une croupe bien charnue, des fesses pleines et rebondies, coupées en deux par un sillon profond, qui semblaient se projeter vers vous, faites pour attirer votre main.
—Tu veux en profiter de plus près?
Elle s’est approchée, sans encore passer sa blouse. Elle avait également gainé des jambes de bas stay-up et l’effet était irrésistible.
J’ai tendu la main vers elle, elle aimait se laisser caresser, y prenant autant de plaisir que moi j’en avais à poser la main sur sa chair de femme. Je suis venu d’abord au niveau de sa cuisse, contre le nylon, dont j’adorais le contact. Des plaisirs qu’elle m’avait fait découvrir, bien loin de ceux que j’avais pu et que je pouvais éprouver avec des filles de mon âge. C’était une vraie femme. Pour moi, c’était plus qu’un compliment.
Ma main a glissé plus haut, vers ses parties intimes, auxquelles elle me laissait libre accès. De la pulpe de mes doigts, j’ai effleuré la fente encore close de son sexe. Je me surprenais parfois à me demander comment elle pouvait apprécier les caresses de quelqu’un comme moi, qui avait au final, très peu d’expérience, comparé à elle, qui avait tellement vécu. Mais peut-être que la question ne méritait même pas d’être posée. Il y avait au-delà une entente entre nous, entente entre deux êtres, plus forte que ce qui aurait pu nous opposer, et c’était cela qui avait débouché sur un rapprochement lequel avait d’abord passé par des discussions, puis s’était matérialisé par du sexe. Ca aurait pu ne pas être le cas, nous aurions quand même été proches. Mais différemment.
Au bout de mes doigts, son sexe s’est ouvert. Il y a eu un écoulement de sécrétion vaginale qui est venu poisser mes doigts, et puis son autre lèvre est sortie d’elle, et elles se sont étirées, se gorgeant de sang. On disait que plus une femme avançait en âge, moins elle mouillait. Ce n’était pas le cas de Solange, qui sécrétait des quantités impressionnantes de liquide.
—Ca fait du bien…Voyons un peu cette queue…Dans quel état ça la met de réviser du droit…Vu la bosse que j’aperçois, ça a l’air de la réjouir.
Elle s’est penchée sur moi, pendant que je continuais de la caresser, et elle a tiré vers l’avant mon pantalon de survêtement. Dessous, il y avait effectivement une queue dure. Dont la dureté ne remontait d’ailleurs pas à son arrivée, mais était née dans l’attente, en la fantasmant, et en pensant aux moments antérieurs, à tout ce qui s’était déjà passé entre nous, autant de souvenirs précieux.
Elle est venue encercler ma queue d’une main chaude qui savait, mieux que d’autres sans doute, caresser, et elle m’a masturbé doucement. Mais ça n’était que le début et pas la fin, un jalon dans l’après-midi. Elle m’a finalement laissé, j’ai retiré ma main, doigts et paume luisants d’une pellicule liquide grasse. Elle a passé sa blouse, et l’a boutonnée. En fait, mais elle le savait parfaitement, la blouse ne cachait rien, car la lumière la rendait implacablement transparente, dessinant les contours de sa silhouette, et, au-delà, selon les moments, des parties de son corps d’une manière très précise. Elle s’est éloignée, mon regard rivé à ses fesses nues, bien visibles sous le tissu, qui bougeaient au rythme de son avancée.
Six mois plus tôt, ma mère m’avait dit un jour:
—Je n’arrive plus à assumer toutes les tâches domestiques. Alors j’ai décidé de me faire aider. Une de mes amies m’a conseillé une femme qu’elle emploie et qui est totalement fiable. Elle s’appelle Solange, et elle viendra chez nous trois après-midi par semaine. Je l’ai eue au téléphone. Comme tu es là tous les après-midi, (je n’avais effectivement cours que le matin) tu pourras l’accueillir?
J’avais donné mon accord, bien évidemment.
Et donc je l’avais vue débarquer, je m’en souvenais parfaitement, un mardi après-midi.
J’avais vraiment été surpris. Quand on avait sonné, j’avais été ouvrir, et j’avais trouvé face à moi une femme d’une grande beauté. Belle et troublante. On était en janvier et, comme il ne faisait pas spécialement chaud, elle portait une robe en lainage qui collait à son corps parfaitement dessiné, mais s’arrêtait haut pour dévoiler des jambes fines et impeccables, gainées par son collant. avec des bottes noires, luisantes et plissées, aux talons aiguille, qui montaient haut jusqu’à ses genoux.
A la maison, je m’habillais toujours en décontracté. Je l’ai regretté ce jour-là. A la voir, j’ai eu une érection, un réflexe, que mon jogging faisait tout sauf dissimuler. Et elle ne pouvait pas ne pas s’en rendre compte. Pourtant, elle est restée indifférente.
—Jean-Marc, c’est toi? Solange… Je sais que tu es supposé m’attendre. Je suis enchantée de faire ta connaissance. Ta maman m’a appelé et m’a dit ce qu’il fallait que je fasse…
—Venez avec moi, j’ai proposé, en respirant l’odeur de son parfum, quelque chose de sucré, qui me rappelait la barbe-à-papa, ma mère entrepose tout le matériel là, j’ai dit, en la conduisant dans une petite pièce où sur des étagères, ma mère avait calé tout le nécessaire pour nettoyer.
—Bon, parfait, je vois que j’ai tout ce qu’il faut. Allez, je vais m’y mettre. Tu es en fac?
—Je viens de démarrer des études de droit. Même si je ne sais pas trop vers quoi je veux m’orienter.
—Ah, le droit ça mène à tout. J’ai fait trois ans de droit, ça m’a bien aidé quand j’ai ouvert mon premier commerce.
Tout en continuant de me parler, elle a commencé à se déshabiller, me donnant le premier aspect de son corps, elle devait m’en donner des dizaines d’autres dans les jours et les semaines qui ont suivi.
J’aurais du m’éclipser, la laisser seule, mais il y a eu quelque chose qui m’a cloué sur place. D’ailleurs, elle n’a rien dit, elle n’a jamais aucune réflexion, comme si ma présence ne la gênait pas, et c’était sans aucun doute le cas.
Après avoir enlevé son manteau,elle a glissé sa main sur son côté, et elle a tiré sur une fermeture-éclair, qui a déverrouillé sa robe. Floue sur elle, elle a glissé naturellement jusqu’à ses chevilles, où elle l’a récupérée. Dessous, elle avait un soutien-gorge de dentelle rouge, et un collant, qui lui arrivait pile au niveau du nombril. Collant sous lequel elle n’avait pas de culotte. J’ai d’abord aperçu, partagé entre incrédulité et fascination, sa croupe, charnue et rebondie, puis quand elle s’est retournée pour attraper sa blouse, la fente qui coupait son sexe en deux, en dessous d’une toison que les femmes de son âge gardaient, question de génération. Elle a passé un petit pull, et une blouse par dessus. Et est partie faire du repassage.
C’est dans les semaines qui ont suivi que se sont calées les relations entre nous. Elle faisait un travail impeccable, et ne se ménageait pas. Ce qui ne m’empêchait pas de faire des pauses, régulièrement, et de venir me parler, pendant ces pauses. Elle se calait souvent à la fenêtre et fumait une cigarette avant de se remettre au travail.
On discutait de tout et de rien. C’était une personne agréable, intelligente, qui avait pas mal vécu, et faisait des réflexions sensées. J’avais d’ailleurs pris l’habitude, quand elle faisait du repassage, d’aller me poser près d’elle, et on discutait de tout et de rien.
Et puis il y avait son corps. Et ce qu’elle en faisait.
Il y avait ce passage obligé. Devenu, finalement dès la deuxième séance, un rituel entre elle et moi. Elle arrivait, elle se changeait devant moi, faisant comme si avoir un regard masculin sur elle n’avait pas vraiment d’importance, puis avant de partir se remettait en civil, on aurait pu dire un strip-tease, puis un strip-tease à rebours.
J’avais le sentiment que pour elle, le mot intimité n’existait pas. Elle est arrivée une après-midi, et s’est calée, dans cette petite pièce, sur un tabouret, en me disant:
—Il faut que je me mette un tampon, je crois que je vais avoir mes règles.
Devant moi, elle a descendu son slip, jambes ouvertes, me dévoilant son sexe sans honte, puis elle a attrapé un tampon dans une boite tirée de son sac à main, et elle l’a enfoncé entre ses lèvres, le cordon dépassant, avant de se reculotter.
Mon meilleur souvenir, de cette période d’avant, ça a sans doute été la fois où je l’ai surprise en train de se caresser.
Les pièces étaient autant de cases sur un échiquier sur lequel elle se déplaçait.
J’étais passé dans le couloir, en direction de la chambre de mes parents. Je voulais récupérer une serviette pour prendre une douche après qu’elle soit partie, et le linge était dans une grande armoire dans cette chambre.
C’était mon instinct qui m’avait sans aucun doute dit de ne pas rentrer directement dans la chambre.
Et il avait bien fait.
Je m’étais branlé cent fois par la suite en pensant à ce moment.
Elle avait fini de passer l’aspirateur dans la pièce quelques minutes plus tôt. Il était posé sur le sol, encore branché. Elle, elle avait glissé sur le grand lit. et elle s’était mise à l’aise, c’était le moins qu’on pouvait dire. Elle avait son slip noir accroché à sa cheville, la blouse déboutonnée, les jambes ouvertes et elle se caressait. Sa main tournait dans un mouvement circulaire sur son sexe, qui était visible sous la main, ouvert sur ses parois internes d’un rose vif, ses lèvres nettement visibles, dans leur dessin irrégulier, son clitoris une proéminence fine en haut de ses lèvres. Cela devait faire quelques minutes qu’elle se touchait ainsi, car elle était bien dilatée, et surtout, toute la chair autour de son sexe luisait.
Je ne savais pas s’il fallait trouver une logique à sa caresse, en dehors du fait qu’elle voulait d’évidence se donner du plaisir, et peut-être avoir un orgasme. Il y avait visiblement ce premier temps, qui en a entrainé un deuxième. Elle a glissé deux doigts en elle, et elle les a faits aller et venir…Ses jus coulaient, à présent plus abondants hors d’elle. Elle a lâché plusieurs gémissements, et, retirant ses doigts d’elle, elle a craché plusieurs jets d’un liquide translucide, des jets copieux, qui sont sortis d’elle avec violence. Après avoir joui, elle est restée allongée en travers du lit, comme si elle n’avait plus aucune force, puis elle s’est redressée. Je me suis éclipsé pour ne pas être surpris. Je l’ai vue passer deux minutes après avec une serpillière mouillée, pour aller éponger les liquides qui avaient marqué le sol.
Et la semaine suivante, il y a eu la situation inversée, mais les choses se sont passées différemment.
On était au milieu d’une autre après-midi, et j’etais dans le living, rédigeant une dissertation en langue étrangère, en l’espagnol en l’occurrence.
Quand elle était là, il y avait, j’en étais bien conscient, une tension sexuelle permanente. Elle me fascinait totalement, parce qu’elle était pour moi une des incarnations de la féminité, avec un mélange entre ce qu’elle mettait en scène consciemment, et ce qui apparaissait sans calcul. Les trois heures où elle était là étaient une sorte de rêve érotique, qui avait un début, quand elle arrivait, et une fin, quand elle partait. Et ces trois séances nourrissaient mon imaginaire et mes fantasmes pour les moments où elle n’était pas là.
Une des conséquences de sa présence près de moi trois fois par semaine, c’était que je me caressais très souvent en pensant à elle, ça me procurait un plaisir immense en même temps qu’un soulagement pour les tensions que ça faisait naître en moi de penser tout le temps à elle, hanté par des images que je ne cherchais d’ailleurs pas à chasser.
Et donc, je me suis dénudé, et j’ai commencé à faire aller et venir ma main sur ma queue, qui, jamais vraiment au repos quand elle était là, était semi-rigide quand je l’avais prise en main. Ma queue était bien longue, bien dure, elle suppurait, quand Solange a pénétré dans la pièce, son paquet de cigarettes à la main. Elle venait faire sa pause clope et discuter avec moi par la même occasion, sans se douter que j’étais occupé à me caresser.
Sans surprise, elle n’a pas été horrifiée par cette vision.
—Dis donc, tu as une belle queue…
Assez curieusement, je ne me sentais pas du tout gêné par le fait qu’elle ait pu me surprendre. Je trouvais même qu’il y avait une certaine logique. Si je jouais avec ma queue à ce moment, elle était à la source de tout.
—Tu veux que je te caresse? Ca sera plus agréable si c’est une main de femme que la tienne…
Je ne lui aurais pas demandé de me caresser, mais cette proposition, non seulement ne m’a pas surprise, mais elle m’a ravi.
Elle n’a pas vraiment attendu une réponse, se calant sur le fauteuil qui jouxtait le mien, posant cigarette et briquet et venant enserrer ma queue de sa main.
Je n’oublierai pas ce premier contact. Celui d’une main aussi brûlante que ma chair l’était sans doute pour elle, et de doigts qui sont venus m’enserrer.
—Retiens-toi de jouir, comme ça tu profiteras plus longtemps de ma caresse…
C’était certain, une main de femme sur moi, c’était autre chose, même si j’avais des plaisirs très forts tout seul. Elle avait du caresser pas mal d’hommes déjà, elle avait une manière de faire enveloppante, en prenant toute votre chair, frôlant la sensibilité extrême du gland, descendant sur les couilles, à laquelle il était difficile de résister. C’était du plaisir pur…
Elle a prolongé sa masturbation en venant m’envelopper de sa bouche, sensation de chaleur extrême et effectuant trois ou quatre aller-retours avant de me travailler de nouveau de la main. Mon plaisir était intense. Elle a resserré sa main sur moi quand elle a senti que j’allais jouir. J’ai explosé dans une jouissance qui a sans doute été plus forte que celle que j’aurais pu ressentir seule, d’une rare intensité, en me vidant dans sa main…Je n’en finissais pas de cracher des jets de sperme. Elle a gardé sa main un moment autour de moi avant de disparaitre pour aller la laver. Puis elle est revenue fumer sa cigarette.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Femme de ménage et MILF partie 1

Le 21/07/2021 - 14:08 par JamesB
Personne n'est parfait!
Le 21/07/2021 - 13:55 par sizaxe
Au début, j'ai cru que l'auteur était une femme. J'ai été presque déçu de constater qu'il n'en était rien...

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