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Retour vers le passé partie 1

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Lue : 1046 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/08/2021

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Je pensais être un peu plus neutre que ça, et puis l’émotion a commencé à m’envahir alors que le train entrait en gare.
Personne, dans ma famille ne savait ce que j’avais entrepris. Il était vrai qu’à 24 ans, j’étais quand même libre de mes mouvements. J’avais vaguement dit que je partais quelques jours me balader.
Ca m’a fait tout drôle de retrouver ainsi le dernier département du Sud avant la frontière. Un département peu peuplé, riche d’une nature qui n’était pas forcément bien protégée, mais très vert.
La sous-préfecture, c’était P… J’avais vécu ici pendant huit ans.De 11 à 19 ans. Mon père était ingénieur. Il travaillait dans l’industrie, pour un groupe dont l’une des filiales était ici, à P…Tous ceux qui travaillaient pour le groupe M… devaient bouger quand on leur en donnait l’ordre…Plus petit, j’avais déjà découvert plusieurs coins de France, même si j’en gardais un souvenir très vague.
La chance qu’avaient eu mes parents, c’était qu’à P… ils avaient une grande maison de famille, habitée par la soeur de mon père. On avait donc pu s’y installer pendant ces huit années. Mon père y avait fait d’ailleurs effectuer quelques travaux de rénovation qui ne lui avaient pas fait du mal.
Le train a ralenti pour entrer en gare. J’en suis descendu, avec le souvenir de cette immense verrière, qui constituait son toit, un chef d’oeuvre qui datait, selon mes souvenirs, j’avais cherché quelques renseignements, ébloui par sa beauté, du début du 20ème siècle, époque de construction de la gare.
Dans la vie, il y a des démarches que l’on sait devoir absolument faire. Une question d’engagement personnel. Quelque chose qui vous tient à coeur.
Quand j’avais quitté la ville, ça s’était fait assez rapidement, je n’avais même pas vraiment eu l’occasion de dire au revoir à Patricia. Elle était chez sa soeur, en Allemagne. Et je m’étais juré que je reviendrais. Au moins pour un meilleur adieu.
Et puis…Je n’avais pas pu. J’avais été pris par des soucis familiaux, la maladie de ma mère, qui s’était déclarée juste après notre départ, et qui lui avait été fatale après trois ans de souffrance, les études…Mais je ne l’avais jamais oubliée, je n’avais jamais oublié le cap que je m’étais fixé…
Patricia avait été la première femme que j’avais aimé, d’une manière absolue et totale. Sans qu’il se passe jamais rien entre nous au début, même si nous nous étions étreints plusieurs fois. Ma majorité constituait une ligne de partage qui avait changé les choses.
Elle était liée sans aucun doute à une partie importante de mon existence. Elle m’avait vu évoluer et devenir un homme. J’étais très souvent avec elle, pour une raison évidente: mes parents et ma tante travaillaient tous les trois et ils finissaient tard, et quand je finissais ma journée scolaire, au lieu de rester seul, j’allais chez elle. Elle me faisait un goûter, et puis après, parce que j’avais toujours été sage, je me posais sur la table du living et je faisais mes devoirs.
C’était une femme intelligente, et chaleureuse, que la vie n’avait pas épargnée. Elle habitait pile en face de chez nous, une grande maison qui devait dater des années 50, avec une structure un peu originale, en effet l’architecte qui l’avait conçue, en ces temps où il y avait peut-être plus de liberté qu’aujourd’hui, avait érigé deux tours, de part et d’autre de la structure centrale, qui abritaient chacune deux chambres. Une belle maison dans des dominantes rouges, à l’extérieur comme à l’intérieur qu’elle avait hérité de sa mère.
Patricia s’était peu à peu dévoilée à moi. J’étais devenu en quelque chose son confident. Elle s’était mariée deux fois. Deux mariages catastrophiques. Elle avait depuis fui les liens conjugaux, mais aussi les relations avec les hommes. Je pensais souvent que c’était dommage. C’était, et mon opinion à ce sujet n’avait jamais dévié, pas un seul instant, l’une des plus belles femmes que j’avais jamais côtoyée, et le fait qu’elle soit au milieu de la quarantaine quand je l’avais connue ne changeait rien à l’affaire. Le jour de sa création, les Dieux avaient bien fait leur travail. Elle était très grande, avec des formes vraiment marquées, des seins, des fesses, des hanches, des cuisses…Mais sans gras supplémentaire…La meilleure preuve c’était sans doute son ventre plat. Que j’avais vu comme le reste de son anatomie. Il s’était crée entre nous, très vite, une intimité. C’était comme si on était de la même famille. Ca ne m’avait pourtant pas empêché, très vite, d’être troublé par sa féminité. J’aimais pas mal de choses chez elle. Son corps de femme, bien sûr, mais aussi tout ce qui le composait. Le sombre de sa chevelure épaisse, le noir de ses yeux, une bouche bien charnue qu’elle soulignait avec diverses teintes de rouge à lèvres. J’aimais surtout la manière qu’elle avait de s’habiller. Je la trouvais troublante au possible. Ou peut-être était-ce simplement les hormones qui me travaillaient vraiment trop. Elle aimait le noir, mais en le teintant de couleurs vives. Et les tenues près du corps. Robes collantes, jupes courtes, pantalons et leggings collants…
On était si proches qu’elle vivait avec moi sans tabou sa vie de tous les jours. De sorte que, sans fausse gêne, il lui arrivait par exemple de se changer devant moi, enlever un jean pour passer un pantalon de jogging. Elle était sortie par exemple un jour de la salle de bains enveloppée dans un peignoir de bain, mais celui-ci ouvert sur son corps. C’avait été la première fois où j’avais vu ses seins lourds mais fermes, et sa toison pubienne, fournie, aussi sombre que ses cheveux.
Je dois aussi parler ce qui ne m’était pas destiné, plus intime sans doute, mais que j’avais surpris. Par exemple le dimanche matin où je l’avais surprise à se caresser. Pour rentrer chez elle, il y avait plusieurs possibilités. La porte centrale, et la véranda. Je passais souvent par là. Elle donnait sur la cuisine, et, de là, sur le living.
Parfois, je m’annonçais, mais là, un coup d’instinct, peut-être, je ne l’avais pas fait. Ca avait été sans doute une bonne idée.
J’avais entendu un petit gémissement. Ca m’avait même inquiété. Pauvre naïf que j’étais. Je n’avais pas compris qu’il pouvait y avoir des gémissements autres que de douleur.
J’ai déporté mon corps à l’abri d’un mur, et j’ai jeté un oeil à l’intérieur du living, aidé en cela par le fait qu’à cette heure matinale, les ombres envahissaient les lieux. Elle était en jean et T-shirt, installée dans un fauteuil et elle se masturbait. Elle avait déboutonné le jean et descendu la fermeture éclair. On voyait un slip blanc, pas entièrement dévoilé, et sa main était enfoncée dedans. Son geste n’était pas non plus précis, mais on comprenait bien qu’il s’agissait d’un mouvement circulaire. Et c’était sans aucun doute plus excitant de ne pas voir, de deviner, même si j’avais déjà contemplé sa nudité en intégral, et vu son sexe à plusieurs reprises. Elle prenait du plaisir ainsi, yeux clos, gémissante. Elle était ailleurs. Elle a fini par descendre son jean, apparaissant en culotte, mais elle n’a pas baissé celle-ci. Sa main a repris sa caresse obstinée et frénétique, tournant de plus en plus rapidement sur son sexe, jusqu’à ce que, le souffle de plus en plus court, elle se tende et lâche un petit cri, sa main s’immobilisant enfin.
Je ne l’avais jamais vue avec des hommes. Est-ce qu’elle en voyait? Certains soirs, j’en étais témoin de chez moi, elle sortait, avec une jolie robe sur le dos, mais elle revenait au bout de deux ou trois heures, et, comme elle me le racontait, ses sorties semblaient plutôt destinées à s’amuser un peu, en brisant une certaine solitude, aller simplement boire un coup ou danser. D’ailleurs, comme elle me racontait tout, j’aurais certainement su si elle avait fréquenté des hommes. Elle ne semblait pourtant pas pâtir de sa solitude. Elle était occupée à gagner sa vie, partagée entre du ménage, de l’aide à domicile et des travaux de couture, pour lesquels elle était experte. Son expertise lui permettait d’avoir de plus en plus de clients. Il y avait eu d’ailleurs un tournant dans son existence, un tournant heureux. Une maison de couture importante avait vu ce qu’elle faisait, et l’avait engagée pour mettre en forme des modèles. Ce qui lui rapportait de plus en plus d’argent.
Ca avait été l’année de mes dix-huit ans que ça avait dérapé. Ou au contraire que c’était parti dans le bon sens. Un tournant dont on rêvait sans doute tous les deux, sans jamais oser l’admettre.
Le jour de mon anniversaire.
Considérait-elle qu’il y avait une sorte de limite au-delà duquel quelque chose était possible? Elle m’avait préparé un superbe gâteau, dont j’avais eu la surprise, en lui rendant visite pile le jour de mon annif, un lundi, on l’avait fêté avec mes parents le dimanche, mais aussi un beau cadeau. Elle savait que j’étais très intéressé par tout ce qui était développement durable, et déplacements doux, et elle m’avait offert (elle ne l’avait pas caché à mes parents bien sûr, puisqu’ils se parlaient très régulièrement) une trottinette électrique. J’avais d’ailleurs été très gêné parce que je savais qu’elle avait peu de moyens même si ça allait mieux ces derniers temps. Mais je ne voulais pas la blesser.
Et il y avait eu ce moment, quelques jours après. C’était en fin de soirée. Les ombres commençaient à remplir la pièce, on était début mai, c’était une soirée calme, avec une chaleur douce. Je relisais des cours, elle finissait une robe, le tissu sur un mannequin.
—Elle est magnifique cette robe…
Et c’était vrai, la robe était superbe.
—Je dois en assembler six d’ici la fin de la semaine. J’en suis à la moitié.
Elle était venue se poser sur le divan. Ce jour-là, elle portait un legging noir très moulant, mais c’est le principe du vêtement, qui collait très étroitement à ses formes, avec pas mal d’impudeur, et qui disait combien elle était femme, et désirable, avec un simple T-shirt en haut. Mais elle n’avait pas besoin de robes superbes pour être désirable.
—Je pense savoir ce qui te ferait vraiment plaisir comme cadeau d’anniversaire.
—J’ai déjà été ultra-gâté.
—Moi aussi j’en ai envie.
On était tout proches sur le canapé, et ça s’est fait tout seul. Ca n’a pas été un élan d’elle vers moi, mais bien quelque chose de mutuel, en même temps, ça a d’ailleurs été drôle qu’il y ait ce double mouvement. Nos lèvres se sont rencontrées. Les siennes étaient chaudes et douces. Il y a eu un baiser, puis encore un autre, un troisième…On a glissé vers un autre type de baiser, nos langues se rejoignant et se caressant mutuellement.
Je ne savais pas trop ce qui allait se passer. C’était certain ce moment, je l’avais attendu très longtemps, sans jamais vraiment me l’avouer, dans mes rêves éveillés, dans mes séances de masturbation, avec les images de son corps qui tournaient dans ma tête.
—Tu as envie que je te donne mon sexe, elle m’a demandé?
—A ton avis?
—Je te laisserai me faire ce que tu veux, mais je ne veux pas que tu me pénètres. C’est trop tôt. D’accord?
—Tu sais…Je n’attendais rien, et je n’attends rien…Que tu me guides, simplement…
Elle s’est soulevée, et elle a descendu le legging noir, et le slip blanc qu’elle portait en dessous. dévoilant son intimité. Je l’avais souvent vue sans rien, mais sans doute pas sous cet angle, et d’aussi près.
—Tu peux venir me caresser avec tes doigts et ta bouche.
Mon regard a glissé sur elle. La toison brune, fournie, qu’elle devait tailler pour qu’elle ait cette forme triangulaire, et l’ouverture de son sexe, cette déchirure dans sa chair, dont sortaient ses lèvres.
-Regarde-moi bien…Tu y penseras quand tu seras seul…
Elle a glissé deux doigts en elle et elle s’est ouverte, me révélant son intérieur, pour autant qu’en dévoilait son geste.
J’ai plongé sur elle. J’avais l’impression que ma queue n’avait jamais été aussi gonflée, à en être douloureuse. Je me suis défait et je me suis caressé pour soulager la tension. J’ai plongé sur elle et ma langue est venue caresser ses chairs. C’était la première fois que je faisais un cunni à une fille, mais c’est venu tout seul. J’ai tourné sur les chairs délicates de son sexe, le goût de ses sécrétions remplissant ma bouche alors qu’elles s’y déversaient. J’ai été surpris de constater que je lui donnais du plaisir. Je me demandais simplement si j’en étais capable. Mais je l’ai sentie d’abord puis vue s’abandonner, allongée dans le canapé, prise entre bien-être et jouissance.
—Viens sur mon clitoris, elle m’avait dit.
Pour me guider, sans doute, elle l’a décalotté, me faisant apparaître le renflement de chair tout en haut de ses lèvres, qui pointait, érigé. Quand ma langue s’est posée précisément dessus, elle a poussé un gémissement en se tendant, et j’ai compris que ce bout de chair était une extraordinaire source de plaisir. Je l’ai caressé, sans doute maladroitement, mais l’effet était quand même là, elle a gémi de plaisir.
Elle a fini par se dégager, en me proposant:
—Laisse-moi m’occuper de toi.
Elle m’a défait, mettant mon sexe à nu, avant de le caresser doucement. Je pensais qu’elle allait simplement me faire jouir à force de me masturber, mais on a basculé sur autre chose. Elle avait une envie et une imagination qui étaient à la mesure de son expérience, de ses frustrations sans doute aussi. Elle m’a attiré vers elle. J’ai pensé un instant qu’elle avait renoncé à son refus de me laisser venir en elle, je n’y tenais d’ailleurs pas mais elle n’est pas revenue sur cet aspect-là. Elle a attrapé mon sexe, et elle l’a guidé vers la zone de chair juste au-dessus de ses lèvres, en faisant en sorte que la tête de ma queue vienne pile se coller sur son clitoris. Ca a été une sensation intense et infiniment troublante que de sentir ce bout de chair contre la sensibilité de mon gland, mais ça devait fonctionner aussi en sens inverse. Elle a poussé une sorte de petit cri quand elle m’a senti contre elle.
—Retiens-toi de jouir aussi longtemps que possible. Je vais en faire autant.
A partir de ce moment, notre souci a surtout été de retenir nos jouissances, que nous affleurions, pour profiter de ce plaisir intense qui était là, dans cette caresse mutuelle. Mais sans doute que ce qui donnait tant de force à ce plaisir, c’était justement qu’il soit ainsi dans cette zone, au-delà de la simple recherche du plaisir des débuts, et avant l’explosion de l’orgasme. Puis, il y a eu un moment, où, quasiment ensemble, on a passé la ligne…J’ai été embrasé par l’orgasme qui s’est abattu sur moi, et je l’ai inondée d’un torrent de sperme, alors qu’elle se tendait et jouissait en lâchant un torrent de liquide.
Un moment intense. Il y en a eu d’autres, pendant une année, avant que je n’apprenne la triste nouvelle. Mon père avait été muté. Il fallait partir.
On se retrouvait, dans une nouvelle phase de notre relation, et on basculait très vite dans la recherche du plaisir, un plaisir intense et partagé, qui m’a fait découvrir des dizaines d’approches, de techniques…Alors même que mon sexe n’avait jamais glissé dans le sien.
Et puis il y avait eu cette fin qui n’en était pas une.
Et je revenais cinq ans après parce que je n’avais pas oublié, je ne pouvais pas l’oublier…
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