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Femme de ménage et MILF partie 2

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Lue : 1262 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/07/2021

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Le véritable tournant a eu lieu deux semaines plus tard. On était arrivés à un point où on se rendait bien compte qu’il existait entre nous une réelle entente, et qu’une partie de cette entente était basée sur la sexualité. Je crois que l’un comme l’autre, on avait envie d’aller plus loin.
On a basculé le jour de repassage. Généralement, elle ne faisait que cela que jour-là. Une semaine de machine à laver, ça faisait un bon paquet de linge à repasser.
Et j’allais souvent, à présent, me caler près d’elle pendant qu’elle repassait. Je travaillais, on parlait, et puis je pouvais profiter de cette présence, qui avait pris une réelle importance pour moi.
C’est arrivé comme ça, au détour d’une conversation. Elle m’a dit:
—J’aimerais que tu mettes ta queue dans mon ventre pendant que je fais le repassage. En te couvrant d’une capote, si tu n’en as pas, j’ai une boite dans mon sac. Ca te dit?
Elle a dit ça d’un ton tout à fait banal, comme elle aurait dit: ‘Il fait chaud aujourd’hui’ ou ‘je vais faire une pause et aller m’en griller une.’
C’était sans doute ce que j’attendais, sans que ce soit clairement formulé dans mon esprit.
Je me suis approché d’elle, qui continuait de faire aller et venir son fer sur les vêtements. Elle avait toujours sa blouse, et je savais déjà ce qu’elle portait en dessous, de toute façon la blouse le disait comme toujours.
La verge en pleine érection, je suis venu encercler ses mollets et je suis remonté le long de ses jambes, gainées de bas stay-up noir. Le frisson qu’elle a eu disait clairement que mes caresses, contrairement à ce que j’aurais pu penser, ne la laissaient pas indifférente.
J’ai pris le temps de caresser ses jambes. A travers le contact électrique du nylon, que j’adorais, je sentais la chaleur de sa chair. C’est ce qui est resté, comme sensations dominantes, au fil du temps, la chaleur extrême de son corps, comme si elle brûlait d’un feu intérieur, et la douceur de sa peau, quand il n’y avait pas un tissu entre mes mains et sa chair.
Elle me donnait carte blanche et c’est vrai que, pendant qu’elle repassait pièce de vêtement après pièce de vêtement, j’avais envie de profiter de son corps. Une envie sans doute pas nouvelle, même si elle n’avait pas été clairement formulée dans mon esprit, et qui trouvait un aboutissement à ce moment.
J’ai attrapé l’ourlet de la blouse, et je l’ai roulé pour dégager sa chair jusqu’à sa taille. Dessous, comme j’avais pu le constater quand elle s’était changée devant moi, elle avait un string rouge vif, assorti à son soutien-gorge, qui disparaissait dans son sillon, et laissait sa croupe charnue à vif. C’était le moment de la découverte, et j’ai amené mes mains sur sa croupe, pour en apprécier la fermeté, et la masser doucement.
—J’aime qu’on me touche le cul, elle m’a précisé.
J’en ai profité un moment, avant de remonter sur ses hanches pour attraper la ceinture du string, et descendre celle-ci tout doucement, dévoilant ses parties les plus intimes.
C’est quand le sous-vêtement au tissu réduit à été au niveau de ses genoux que j’ai profité du paysage qu’elle m’offrait, qui m’hypnotisait et me ravissait.
Entre ses cuisses, il avait le bourrelet de son sexe, dont sortaient ses lèvres, auxquelles pendaient des filaments de sécrétions vaginales, le fait que ses lèvres soient sorties et qu’elle mouille disant clairement son excitation et son envie.
La manière dont elle était positionnée devant la planche à repasser faisait que ses fesses étaient légèrement entrouvertes, laissant voir l’intégralité de son sillon fessier, et le dessin de son anus, ses plissements incrustés dans sa chair.
Je suis descendu sur son sexe, et j’ai baladé ma langue sur le dessin irrégulier de ses lèvres, recueillant dans ma bouche l’amertume de ses sécrétions vaginales. Je l’ai caressée, tournant sur ses muqueuses, d’une caresse qui n’était pas spécialement habile, mais qui l’a faite gémir. Elle coulait de plus en plus fort dans ma bouche.
J’ai descendu mon pantalon de survêtement et j’ai libéré mon sexe, raide, collé contre mon ventre. Je l’ai caressé pour apaiser la tension qui était en moi. J’avais rarement été aussi excité. J’avais déjà fait l’amour avec plusieurs filles de mon âge, mais le désir que j’avais pu avoir pour elles n’avait rien à voir avec celui que je pouvais ressentir maintenant pour elle. On avait eu envie l’un de l’autre, ça avait été quelque chose d’immédiat. On y avait pris beaucoup de plaisir, ça s’était même renouvelé. Avec elle, je rentrais dans une autre dimension. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle faisait monter en moi l’envie, elle qui représentait pour moi une sorte de perfection féminine, un corps parfait, et une sensualité poussée à l’extrême.
Je me suis redressé légèrement, et, appuyant mes mains sur ses fesses pour les ouvrir plus, je suis venu poser la pointe de ma langue à l’endroit précis où son sillon fessier prenait naissance dans sa chair douce. Je suis descendu contre la chair délicate, passant par dessus sa muqueuse anale en la frôlant juste, et descendant jusqu’à sa limite avant de remonter sur les plissements que j’ai caressés doucement, les sentant s’ouvrir. Elle a poussé un long gémissement.
—C’est bon par là, elle a précisé.
Je l’ai frôlée plusieurs minutes, jusqu’à ce que l’envie de venir en elle soit la plus forte. Il y a eu une éclipse, le temps que j’aille chercher un préservatif. Elle en avait dans son sac, mais j’en avais aussi dans un tiroir de mon bureau. Je me suis gainé du latex d’une capote et je suis revenu. J’étais raide de désir. Elle repassait un T-shirt quand je suis venu juste derrière elle, on était de la même taille, ça facilitait les choses, et que j’ai poussé la tête de mon sexe contre ses lèvres…Elle a eu un petit frémissement et elle a posé avec prudence le fer sur son socle. Le repassage allait passer au second plan pendant quelques minutes.
A cet instant, il n’y a rien que je désirais plus que d’enfoncer ma queue en elle, de glisser dans son sexe, de sentir son corps autour de moi. Elle était la perfection, et cette perfection était à moi. Quelque chose que j’avais du mal à croire.
J’ai frotté mon gland contre l’entrée de son sexe, la faisant gémir, avant de rentrer en elle, très lentement. Les sensations se sont installées doucement, l’extrême suavité de sa chair, sa chaleur qui m’enveloppaient et la perception, au-delà de sa vulve, de l’intégralité de son corps, de ses frémissements. J’avais eu le sentiment que, si on en arrivait là, il y aurait en elle un certain détachement, voire de l’indifférence, et c’était tout sauf ça. Sans qu’on soit forcément à l’unisson, chacun sur un rythme différent, je la sentais frémir et avoir du plaisir, alors que ma queue se mettait à bouger en elle, caressant ses parties les plus intimes et les plus sensibles.
Appuyée sur la planche à repasser, elle se laissait aller au bonheur d’être fouillée par ma queue.
—Alterne les rythmes, elle m’a suggéré. Rapidement, et plus lentement. C’est comme ça que j’aime.
J’ai obéi, conscient qu’elle avait une expérience du sexe que j’étais loin d’avoir.
J’ai été surpris quand j’ai senti qu’elle m’expulsait de sa vulve. J’étais dilaté à l’extrême, avec la sensation que je n’allais pas tarder à exploser. Elle s’est retournée, a fait glisser le latex le long de ma queue, pour me remettre à nu. En haut de son sexe, maintenant bien ouvert, son clitoris pointait, très long et très fin, congestionné, dans des proportions différentes, comme l’était ma queue. Elle a amené mon gland contre, et elle a frotté…J’ai aimé cette initiative, décalée, originale, à l’image du sexe avec elle, tel que je devais le découvrir dans les prochaines semaines. La vision, le contact, m’ont poussé vers les derniers degrés de la jouissance, et j’ai explosé, crachant, en spasmes, des torrents de sperme sur son clitoris, sa toison et ses lèvres, en même temps qu’elle poussait une espèce de cri strident qu’elle n’avait pu retenir, et se cambrait, saisie par un orgasme.
Le ton était donné, et dans les semaines qui ont suivi, nous avons partagé de nombreux moments de jouissance, sans qu’il y ait, et c’était ce qui me plaisait, de réelle logique. Elle arrivait, on parlait, je la matais bien sûr, et puis elle commençait son travail. Parfois, elle venait m’aguicher, ou alors j’allais la caresser. Et il y avait tout de suite du sexe. Parfois, rien ne se passait avant qu’elle ait quasiment fini.
Ce qui me plaisait surtout, c’était l’infinie variété de ce qu’elle pouvait me proposer, un croisement entre expérience et imagination. Des moments que je n’aurais pas forcément imaginés, auxquels je n’aurais pas forcément rêvés. Des moments que je le savais, je n’oublierais pas. Notre relation ne serait malheureusement pas éternelle, mais ces moments enregistrés dans ma mémoire,
J’étais en plein milieu de mes fiches, quand je l’ai vue revenir. Elle a défait les derniers boutons de sa blouse, puis elle s’est calée sur une chaise, face à moi, en écartant ses jambes fines, gainées de nylon, comme un guide vers son sexe. Pile dans ma ligne de mire, il y avait son sexe nu. Le renflement de sa vulve, ses lèvres qui sortaient d’elle. Et son regard, planté dans le mien, avec un petit sourire qui disait qu’elle et moi on était pris dans un jeu, un jeu de séduction, d’attraction, et que ce jeu nous plaisait autant à l’un qu’à l’autre. Elle a fiché ses deux index dans sa vulve, et elle s’est ouverte autant qu’elle pouvait s’ouvrir, me laissant voir sa muqueuse la plus intime, toute rose, et qui sous mes yeux, s’est humectée et s’est mise à briller.
—Regarde bien…Tu viendras dedans tout à l’heure…Et tu y penseras quand je ne suis pas là.
Je ne sais pas combien de temps a réellement duré ce moment. Une éternité, il m’a semblé, et en même temps il a été trop court. Quand j’étais avec elle, j’aurais souvent aimé figer le temps, rester sur un moment et ne plus en sortir. Une sorte de capsule temporelle.
Pour compléter le tableau, elle a défait les boutons qui tenaient sa blouse fermée, et elle a fait jaillir ses seins de la partie soutien-gorge du corset. Ils étaient fermes et impeccablement dressés, arrogants et munis de tétons qui, au contact de l’air, se sont dressés.
Elle a laissé la blouse sur place et elle est retournée travailler. Mon regard a glissé sur sa croupe, que mes mains savaient être dure et ferme, dont le rebondi me fascinait toujours autant.
Nos relations étaient imprévisibles, dictées par aucune loi, par aucun chronométrage, et je n’ai pas vraiment été surpris de la voir revenir à peine cinq minutes plus tard.
—J’ai envie maintenant. Je peux plus attendre.
Au fil du temps, on avait appris à mieux se connaître. Les goûts, les envies de l’autre. J’avais bien intégré, par exemple, le fait qu’elle adorait que je la caresse, que je promène mes mains sur elle. Les hommes ont toujours l’idée que le corps d’une femme recèle des zones qui sont très érogènes, et d’autres qui le sont moins, mais comme elle me l’avait dit un jour, une manière de me guider:
—Toutes les zones de mon corps sont érogènes.
Et elle avait pris cette habitude de se poser debout devant moi, avant qu’on aille plus loin, et de me laisser la caresser…C’était un moment que j’appréciais énormément. J’avais envie de m’imprégner de son corps, de ses formes, conscient qu’un jour, je n’en aurais plus que le souvenir.
J’ai commencé par l’étoffe du corset, qui me fascinait, souple, lisse et soyeuse. J’étais fasciné par sa lingerie. Elle m’avait dit que c’était une passion pour elle, et si elle avait une belle collection, issue du passé, elle s’offrait encore, même avec des moyens réduits, de nouvelles pièces. Ce qui lui plaisait, c’était d’être séduisante, elle l’était de toute façon, mais surtout d’être séduisante en dessous, que personne ne le sache, sauf l’homme qui la découvrirait de manière plus intime.
Je suis descendu sur la dureté de ses fesses, glissant dans son sillon, avant de remonter sur sa poitrine, et de venir frotter ses tétons, puis de descendre, reprenant une fois encore le chemin du corset, jusqu’à son sexe, congestionné, ouvert et suintant.
Elle m’a poussé en arrière, et je suis revenu me caler dans le fauteuil dans lequel, depuis une heure et demi, je révisais mes cours et mes fiches. Mais là les révisions prenaient une autre tournure. Elle est venue se caler pile au-dessus de moi, et elle a attrapé ma queue, gorgée de sang à en déchirer ses chairs et elle l’a guidée vers son ouverture béante. J’étais tellement excité que ma queue avait des spasmes. Elle a frotté mon gland contre ses lèvres. Malgré le latex, je sentais tout, et c’était totalement enivrant.
Pourtant, elle ne m’a pas fait rentrer dans son sexe. Au lieu de cela, elle a amené ma queue quelques centimètres plus bas, contre les plis de son anus, et elle a donné une poussée, pour que je rentre en elle. Ce n’était la première fois que je la prenais par les fesses…C’était quelque chose que je n’aurais pas fait naturellement, de peur de lui faire mal, mais elle n’avait pas tardé, alors que j’allais la pénétrer, à attraper ma queue et la poser contre sa muqueuse anale.
—Tu ne me feras pas mal, il y a déjà des hommes qui sont passés par là.
Et c’était vrai que j’avais glissé en elle avec facilité, me retrouvant dans des conditions radicalement différentes de celles qui présidaient quand j’étais dans son vagin. C’était aujourd’hui une des composantes de nos relations.
Elle s’est laissée descendre sur moi, enveloppant ma queue de son conduit étroit, jusqu’à ce que je sois totalement en elle, sa muqueuse anale reposant contre la racine de ma queue.
Je l’ai attrapée par les fesses et je l’ai faite monter et descendre sur moi,ma queue apparaissant et disparaissant, le latex du préservatif sa tachant d’humeurs sombres. Pendant ce temps, son sexe béant sous mes yeux, elle se caressait, tournant d’abord dans un mouvement circulaire sur ses lèvres, puis basculant sur son clitoris, sur lequel elle a appuyé. Elle a joui rapidement, éjaculant sur moi des jets de liqueur intime. Souvent, quand elle me marquait ainsi de ses sécrétions, je gardais mon vêtement souillé sans le laver immédiatement, et je me branlais en le reniflant dans des moments de solitude où elle était quand même avec moi.
J’ai continué à la faire aller et venir sur moi encore un moment, avant qu’elle ne s’arrache à moi. J’avais pris un tiers de volume supplémentaire, gorgé de sang. Elle a roulé le plastique du préservatif, pour me dégager, et elle est venue tourner sur mon gland de la pointe de sa langue. Je n’ai pas tenu plus longtemps. Elle a resserré la bouche sur moi et elle a avalé tout mon sperme, lapant soigneusement mon gland bien après que j’aie joui pour racler les dernières coulures.
On s’est embrassés longuement, notre baiser a eu le goût de mon sperme, avant que, sans remettre sa blouse, elle ne reparte passer l’aspirateur.
Ainsi allaient mes après-midis, trois fois par semaine.
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Histoire de JamesB

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