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Le jour où j'ai fait la pute

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Lue : 1624 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/08/2021

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Encore une histoire que je ne vous ai pas racontée… Pas récente – elle date d’une quinzaine d’années – mais un souvenir incroyable !
Tout a commencé de manière bien banale par un bel après-midi de juillet. Mes beaux-parents étaient, comme d’hab’, partis passer les vacances d’été dans leur maison bretonne, me laissant le soin de relever le courrier, d’arroser les fleurs et de nourrir le chat. Ce qui qui n’était pas censé me poser problème puisque, enseignante, j’étais moi aussi en congé. Comme Marc, mon mari depuis trois ans travaillait en juillet, il m’arrivait souvent de passer la journée dans la maison de ses parents - 240 m²à la campagne, avec piscine – plutôt que dans notre F3. J’y était donc ce jour-là, en compagnie d’Elodie, une amie de toujours, maintenant fixée à Paris, que je revoyais chaque fois qu’elle passait quelques jours dans notre lointaine province. Elodie avait toujours été beaucoup plus délurée que moi et, très en avance sur son âge, m’avait appris beaucoup de choses pendant nos années de lycée.
Ce jour-là, donc, après avoir bien déjeuné et éclusé une bouteille de rosé, nous nous prélassons au bord de la piscine en maillot deux pièces. C’est jeudi, « jour du jardinier » de mes beaux-parents. Occupé à couper les roses fanées, le dénommé Antoine, short de foot et t-shirt, se rapproche insensiblement de nous. Elodie commence à glousser, puis me fait remarquer que son short paraît bien déformé. Gênée, je lui propose de rentrer. Nous gagnons le salon. Mon amie saisit aussitôt l’appareil photo qui traîne sur une table basse et, zoom au max, vise le garçon, se marre et me passe l’outil :
- Il bande comme un âne, ton jardinier ! Je rougis, mais vérifie aussitôt l’info, qui s’avère très pertinente. Attends un peu, on va rire…
Elodie ne fait ni une ni deux, s’installe dans le canapé qui fait face à la baie vitrée, et glisse une main dans son slip. Les regards de l’Antoine se font de plus en plus fréquents et de moins en moins furtifs. Une vitre nous sépare, mais il est maintenant à moins de trois mètres de nous. Assise dans un fauteuil, de côté, je commence moi aussi à avoir des papillons dans le ventre. Elodie me fait signe de la rejoindre sur le canapé. Je m’installe à côté d’elle. Nous nous masturbons maintenant toutes les deux côtes à côtes. Debout devant la porte-fenêtre, Antoine a posé son sécateur. Elodie lui fait un clin d’œil appuyé et l’invite d’un geste sans équivoque à faire comme nous. J’en a presque honte pour elle, mais le fait est qu’il s’exécute. La bite de ce petit jeune homme d’un mètre soixante-cinq, à tout casser, pour 60 kg tout mouillé est surprenante : un véritable morceau de reines (nous) ! Nous l’avons malheureusement trop allumé : il vient très vite, et gicle d’abondance sur la vitre.
- Mais c’est que nous n’avons pas fini, nous, pleurniche mon amie. Attends un peu, on va le rendre rapidement opérationnel. On pourrait se déshabiller, non ?
Les maillots sautent, Elodie se lève et vient s’agenouiller devant moi, son cul est à moins d’un mètre de la fenêtre, et elle commence à se masturber. J’écarte les cuisses, que ses cheveux caressent, sa langue commence à explorer mon intimité. Je retrouve les sensations exquises qui me ramènent douze ans en arrière. J’empoigne mes seins. Antoine reprend vigueur. Cette fois, c’est moi qui suis la première à jouir. Je relève ma partenaire, la fait asseoir sur moi, face à la fenêtre, et la branle d’une main en caressant ses seins de l’autre. Elle jouit bruyamment. Antoine déshonore une seconde fois la vitre, range son outil, et reprend ses activités comme si rien ne s’était passé. Elodie et moi, nues comme au premier jour, regagnons la piscine.
L’affaire en serait restée là si Marc ne m’avait pas à plusieurs reprises parlé du fantasme qu’il avait de me voir « me conduire en gourgandine ». Je me dis donc que cette histoire, bien racontée, dans un contexte propice, ne manquerait pas de l’exciter. Et mari excité, femme comblée ! Comme il doit rentrer de Paris par le dernier train, j’ai tout le temps de soigner costume (nuisette vaporeuse) et décor (champagne au frais). Cela fait, ne reste qu’à l’attendre de pied ferme tout en fignolant mon texte. J’ai la certitude que la nuit serait chaude, mais la réalité va dépasser, et de loin toutes mes espérances ! Notre appartement, au deuxième étage d’un immeuble situé sur les boulevards, me permet de guetter son arrivée. Quand je vois la voiture entrer au parking, je file dans la cuisine remplir deux flutes et regagne le lit. Quand il entre dans la chambre, nous échangeons quelques mots sur nos journées respectives avant que Marc ne remarque ma tenue – je n’abuse pas de la nuisette, dont il n’a plus profité depuis quelques mois – et les verres de champ’. Il sourit, se gratte la tête, vérifie mentalement s’il n’a pas oublié de fête ou d’anniv’, et, en désespoir de cause, finit par m’interroger sur ce qui a généré cette initiative, qu’il qualifie d’heureuse.
- C’est qu’il m’en est arrivé une bien bonne, cet après-midi…
Je lui conte donc l’affaire. En détails. Au fur et à mesure que le récit avance, il se renfrogne à vue d’œil, et finit carrément par se mettre en colère. Le ton monte rapidement :
- Tu trouves ça marrant, toi, que ma femme, non contente de recommencer à se gougnotter avec sa salope de copine, s’amuse à allumer le petit personnel ? Et si ce jeune salopard en parle à mes parents, ou à leurs voisins, chez lesquels il travaille aussi ?
- Mais tu m’avais dit que…
- Rien du tout. J’aime que tu sois belle quand nous recevons des amis, c’est tout ! En voilà une idée.
- Finalement, ça ne m’étonne pas qu’avec ta famille de cathos coincés, tu n’apprécies pas. Mais fallait pas te faire passer pour le mec large d’esprit à tendances candaulistes…
Grossière erreur : je n’aurais pas dû toucher à sa famille. Il enrage, s’approche et me balance une baffe comme je n’en ai jamais reçue de ma vie, empoigne la nuisette qu’il déchire, et me jette sur le lit.
- Mais t’es vraiment qu’une pute ! Mon Dieu, j’ai épousé une pute…

Sans dire un mot, je me lève, enfile une robe légère, file au salon où je récupère un paquet de clopes et quitte l’appart’ en claquant la porte. Il est une heure du mat’, et j’ai les boules. Je dévale mes deux étages et quitte l’immeuble. Arrivée sur le boulevard, je respire lentement pour retrouver mon calme, fume une cigarette, puis une autre. Je suis si concentrée sur mon connard de mari que je n’entends pas la voiture qui arrive derrière moi sur la contre-allée. Ni le jeune gars, genre étudiant, qui, vitre baissée, m’adresse la parole. Je sursaute quand il repose plus fort sa question, me retourne.
- Bonjour, je voulais seulement savoir combien tu prends ?
- Pardon ?
- Ben, combien tu prends pour une pipe ?
Je finis par réaliser qu’une fille qui fume sur un trottoir à cette heure-là, forcément…
- Trop cher pour toi, mon gars !
- Je peux avoir une idée ?
- 100 la pipe…
- Ah oui, t’es chère… eh bien, bon courage !
- Merci…
Il disparaît. Je me demande quoi faire : rentrer, c’est capituler. Hors de question. Rester, comme je l’ai vu, y’a un risque. Je fume deux autres clopes. Peut-être que ce salaud de Marc va descendre pour rattraper le coup, ça sauverait l’honneur. Mais non… Et puis le gars revient.
- Rebonsoir. Finalement, tu m’as tenté. Comme je suppose que tu prends pas la carte bleue, je suis allé tirer des sous… Tiens !
Il me file deux billets de 50. Je suis coincée. Je ne peux tout de même pas faire un esclandre devant chez moi ! Là, comme ça, tout de suite, je ne vois qu’une seule solution : me louer. Je contourne la voiture, monte côté passager.
- Y’a une impasse cinquante mètres plus bas, c’est calme, on va aller là…
Une fois à l’arrêt, je m’aperçois que faire une pipe dans une Twingo, c’est tout un métier ! Je m’agenouille sur mon siège, déboucle la ceinture du gars, baisse son zip, puis le caleçon, pour en extraire Popaul. Il n’a pas de préservatif ; moi non plus, bien entendu ! Tant pis, j’y vais. Faut aussi faire attention au volant et au changement de vitesses, qui gênent. Bref, faut vraiment que les mecs aient envie de tirer leur coup pour le faire dans de pareilles conditions. Et effectivement, celui-ci en a une énorme envie, ce qui m’arrange, parce qu’il ne me résiste pas longtemps. Comme je n’aime pas trop avaler, je le finis à la main, au grand dam de son polo. Je descends aussitôt en lui souhaitant une bonne fin de soirée. Je suis en train de prendre une nouvelle clope quand un appel de phares me fait lever la tête : un gars au volant d’une grosse voiture s’approche.
- Bonsoir. Je vous ai remarquée tout à l’heure… Je me demandais si vous aviez déjà conduit une Cayenne ? Il a un accent belge prononcé.
- Curieuse approche, non ?
- Pourquoi ?
- Pas banale, en tout cas…
- Ça vous tente ?
- Quel prix, la leçon ?
- Le plaisir de conduire, plus 300…
Là encore, je contourne la voiture pour gagner la place du mort. Il embraye, me donne une liasse de billets de 20…
- Je vous paie d’avance. On va aller sur l’autoroute, c’est l’affaire d’un petit quart d’heure…

J’essaie, sans trop de succès, de le faire un parler de lui. Il ralentit un peu avant d’arriver à la bretelle, recule son siège au maximum, ouvre lui-même sa braguette d’où émerge une queue prête à l’emploi.
- Il y a des préservatifs dans la boîte à gants, tu m’en mets un, et tu viens t’asseoir là… J’obtempère. Je suis bien excitée quand je me plante sur lui. Tu t’occupes du volant, moi des pédales.
Nous voilà sur l’autoroute. C’est sportif, parce que mes pieds ne touchent pas le sol, ce qui rend mes mouvements difficiles. C’est lui qui, me tenant par les seins, me soulève en rythme. Le compteur indique 150 quand je jouis, 180 quand il me rejoint. Il ralentit et nous sortons au premier échangeur. Je regagne ma place. Profitant de la faible vitesse, il enlève le préservatif qu’il balance par la fenêtre, se rajuste, et reprend l’autoroute en sens inverse.
- J’aimerais voir vos seins… vous voulez bien ?
A ce prix-là, tu parles, d’autant qu’il m’a fait jouir, le salaud. Je souris en pensant que je ferais une bien mauvaise professionnelle, fais glisser les bretelles de ma robe, qui refuse de descendre toute seule, l’excitation de mes tétons la maintenant en place. Je dois la tirer vers le bas. Il effleure mes seins du dos de la main.
- Je suis désolé d’avoir été si rapide, je vois bien que vous n’êtes pas satisfaite, mais je résiste mal à l’excitation de la vitesse, et surtout au fait de confier ma vie à quelqu’un que je ne connais pas. Si vous voulez vous masturber, n’hésitez pas…
Je mouille éperdument : le cuir de la Cayenne va en être marqué à vie ! Je m’allonge en travers, la tête sur sa cuisse, trousse ma robe et me masturbe férocement pendant qu’il me caresse les seins. Et je jouis, je jouis, je jouis… Il me reconduit à ma base. Quand la voiture s’arrête, ma nuque en est témoin, mon belge a retrouvé toute sa vigueur. Je m’assieds, me penche vers lui, pose un baiser sur sa tempe, et ma main sur son sexe.
- J’ai beaucoup aimé ce petit tour de voiture, mais bisser serait vraiment de la gourmandise…

Et je saute, l’âme légère, de l’énorme voiture. C’est en arrivant à la porte de l’immeuble que je réalise que je n’ai pas pris de clef. J’espère que ce con de Marc ne va pas me laisser dehors. Mais non : il m’ouvre au premier coup de sonnette. Je grimpe mes deux étages. Il m’attend sur le paillasson, me laisse passer, referme la porte. Je file au salon, m’assieds dans un fauteuil, lui dans le canapé.
- Mais enfin, tu as vu l’heure ? Où étais-tu passée ? Et que faisais-tu ?
- LA PUTE ! Et je recommencerai à chaque fois que tu te comporteras comme un mac, c’est-à-dire que tu me frapperas ! Je lui jette à la tête ma recette de la nuit : 400 € ! Dix-sept billets. Y’en a partout…
- Mais enfin…
- Rien du tout ! Tu ne poses aucune question. Je te raconterai CE QUE JE VEUX, SI JE VEUX. Et là, maintenant, champagne ! Et j’ai une folle envie de baiser.
Parce que je suis bonne fille, et que, comme le dit si justement Elodie, un homme excité en vaut deux, je finirai par tout lui raconter. En détails, une fois encore. Je suis persuadée qu’il ne me croit pas : il pense que je suis allée faire un retrait à un distributeur, hypothèse qui ne passera pas l’étude du relevé de compte… En attendant, il va m’offrir une nuit comme nous n’en avons pas connu depuis longtemps, prise, fourrée et honorée de toutes les manières possibles une demi-douzaine de fois au moins, j’en ai perdu le compte exact…. Et notre premier fils est né neuf mois plus tard !

A quarante balais, l’envie me taraude de temps à autres de renouveler l’essai. Ce n’est pas Marc qui me retient, au contraire, mais bien la peur du fiasco, côté clientèle.
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