Femme hardeuse, mari voyeur

Julia est une femme très portée sur le sexe, son mari Marc, bien que puissant sexuellement, ne la satisfait pas totalement. Les demandes de l'assoiffée de sexe sont de plus en plus fréquentes. Depuis toujours Marc à une âme de voyeur, souvent, il observe sa femme à son insu lorsqu'elle prend sa douche, il l'épie aussi lorsqu'elle s'habille. Pour le plus grand bonheur du voyeur, elle est comme toutes les femmes, elle essaie plusieurs tenues avant de trouver la bonne. Généralement, Marc se trouve dans une position inconfortable, car il bande comme un poney.


Un soir, qu'il est dans son bureau, Julia, enfoncée dans un profond fauteuil, regarde la télévision. Elle regarde, sans trop d'intérêt, le programme. Elle ne cesse de zapper, soudain, elle s'arrête sur une chaine pour adultes. Elle se cale bien dans son siège et regarde attentivement, une femme faire une fellation à un homme tout en lui agitant la verge. L'homme se raidit et envoie une giclée de sperme dans la bouche de la suceuse, qui ouvre la bouche pour montrer à la caméra qu'elle va bien avaler le jus visqueux. Julia déglutie, c'est comme si c'était elle l'actrice porno qui avalait la semence. Sa main descend sur son ventre, le caresse, sûrement pour atténuer la pression qui monte en elle.




Pendant ce temps, Marc, prit d'une soif soudaine, sort de son bureau. Il passe devant le salon, il s'arrête en voyant défiler sur l'écran un couple en pleine action. Il jette un œil vers sa femme, qui ne cesse de s'agiter dans son fauteuil en se caressant le ventre. Il se dit qu'il va se passer quelque chose, d'intéressant, qu'il ne faut pas louper. Il se fait le plus discret possible et épie chaque mouvement de sa femme.



L'actrice sur l'écran se fait basculer sur le canapé, elle pousse un cri lorsque son partenaire, très bien monté sexuellement, lui enfonce sa bite dans le ventre. Julia se cabre, il semble qu'elle-même, ressent la pénétration, son corps s'agite. Brusquement, elle retrousse sa jupe et écarte sa culotte trempée. Elle saisit son clito et commence un branlage dont seule, elle en a le secret. Elle souffle comme un dragon en ne quittant pas des yeux l'écran.
Son excitation est si forte, qu'elle ne prend pas le temps de retirer sa culotte, qu'elle l'arrache sauvagement en grognant. Une partie du tissu déchiré jonche sur le sol, l'autre reste coincé sous ses fesses. Elle ouvre largement les cuisses et enfonce trois doigts profondément dans sa grotte en ébullition. La coquine se fouille sauvagement en geignant fortement. Marc jubile, il bave tellement le spectacle l'allume. Sa queue se gonfle dans son pantalon. Enserrée dans le jeans moulant, elle devient douloureuse.


Marc se caresse la queue au travers le tissu, mais cela ne suffit pas pour faire redescendre la tension, il doit l'extirper du carcan de toile. Une fois hors du pantalon, le bougre, sans quitter sa femme des yeux, se caresse l'engin bondé comme un arc. Cela semble le soulager, car il soupir de satisfaction. Sur son siège, Julia couine, ses doigts tournent dans sa chatte en fusion, ils font un va-et-vient si violent que Julia se cabre en grognant comme une bête blessée.


Marc suit très bien la scène, il voit s'échapper de la chatte de sa femme, un filet continu de cyprine. Sa queue gorgée de sang est secouée par des soubresauts incontrôlables. Il accélére, le branlage devient plus vigoureux, sa queue suinte, des perles de rosée s'échappent du méat entrouvert.
De sa main libre, Julia, se presse fortement le clito, elle grimace, mais elle adore ça. Elle entreprend un branlage violent, elle rejette sa tête en arrière. C'est en poussant un cri qu'elle ne peut retenir, qu'elle explose de jouissance. Pendant qu'elle continue de se branler, en geignant, il aperçoit des gouttes de cyprine encore s'éjecter du vagin en feu.


Marc ne peut retenir, son sperme qui fuse à grands jets, pour retomber, souiller le sol. Il sort de sa cachette et avance vers sa femme, en brandissant fièrement sa queue gluante de sperme, qui balance comme un métronome sur son bas-ventre. Julia le regarde, un peu surprise, mais réalise rapidement que le coquin c'est fait un plaisir digital avant de s'approcher d'elle. Elle regarde la verge qui goutte sur le sol en souriant et dit :


-Tu aurais dû intervenir plutôt, viens, j'ai besoin de queue mon salaud voyeur !

Marc s'agenouille devant les cuisses largement ouvertes de sa femme, regarde les dégâts qu'ont fait les doigts, il dit en souriant :

-Oh la vache, tu t'es bien travaillée, tu es si dilatée que je pourrais y entrer à main entière !

Julia sursaute et réplique :


-Oh oui mon chéri, enfonce là dans mon ventre vas-y !


Marc la regarde en souriant et lui répond :

-Je veux bien te satisfaire, mais avant caresse-toi encore, je veux te voir jouir du cul !


Sans se faire prier, Julia replie les jambes sur son ventre, écarte la plus possible les cuisses et commence à se sucer les doigts, elle les salive au maximum, avant de les présenter à son anus. Le bougre est tout boursoufflé, pour cause les exploits anaux de Julia. En l'absence de son mari, elle s'enfonce divers objets, plus dévastateurs les uns que les autres au plus profond de sa gaine anale, pour en rechercher des jouissances extrêmes.


Un à un Julia enfonce ses doigts dans son anus, elle l'assouplit du mieux qu'elle peut pour pouvoir y faire entrer sa main. Marc écarquille les yeux, la coquille a déjà quatre doigts dans son rectum, le cinquième est en cours d'introduction. Marc n'en croit pas ses yeux, il salive fortement, sa queue est prise de frétillement. Il presse la hampe pour calmer la pulsion incontrôlable d'excitation, qu'il a, mais rien n'y fait, des gouttelettes tombent sur le sol, Marc tente de résister. Il se cabre, sa femme à ses cinq doigts dans son rectum, il s'avance, c'est plus fort que lui, il pousse sur la main de sa femme, pour faire disparaître la main jusqu'au poignet dans la gaine extrêmement distendue. Julia grimace, elle doit avoir recours à son mari pour qu'il l'aide à se ramoner le cul. Il ne faut pas attendre longtemps pour que Julia explose. Son ventre est pris de frissons terribles, elle retire sa main du rectum, sa chatte laisse échapper un flot de jus visqueux.


Marc, excité comme jamais, prend place entre les cuisses de sa femme et lui enfonce sans difficulté sa bite jusqu'aux couilles dans la chatte. La vulve est brûlante, la queue de Marc voyage dans un flot de cyprine. Julia gémit, elle s'accroche à son mari en grognant de plaisir. Marc change de rythme, il donne tout ce qu'il a, il fait gémir sa femme comme une femme qui agonise. La chaudière humaine explose de jouissance en donnant des coups de reins brutaux. Marc lui aussi jouit, il envoie dans le ventre de la jouisseuse sa semence.
Il ressort rapidement sa queue du ventre brûlant et offre aux lèvres charnues de sa femme sa bite gluante. Julia la saisit, la décalotte et lèche avec gourmandise le liquide visqueux qui recouvre le gland. Mais la vorace, donne des coups de langue sur la hampe qui n'a pas était épargnée par la semence. Sa bouche descend et arrive à l'œillet ridé de son mari, des coups de langue habiles parviennent à entrouvrir le temple. Marc se cabre, la pointe de la langue de sa femme, s'enfonce dans son anus le plus profondément possible.


Julia sait comment travailler l'anus de son homme, le bougre sous les coups de langue précis de la visiteuse, jouit fortement. Julia, profite que son mari éjacule pour reprendre en bouche sa bite et se délecter du surplus de semence qui s'échappe du méat, elle appuie même sur hampe pour la vider du nectar que la coquine convoite. Marc s'affale sur un fauteuil, Julia lui sourit et, comme pour le provoquer, recommence, une séance de caresses. Elle se pince les mamelons, se fouille profondément la chatte et le cul, elle se branle le clito avec une sauvagerie extrême. Ses gémissements font pâmer Marc, qui halète fortement dans son fauteuil pour récupérer. Tout en le narguant, Julia se cambre pour que le bougre, voit bien ses doigts cramponner son bouton d'amour. Ses doigts passent constamment à ses tétons, à son cul, pour revenir sur son clito. Elle le branle si fort qu'elle grimance. La chaudasse explose une ultime fois en poussant un long râle.