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Pourtant fidèle, je me suis faite prendre

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 26/10/2023

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À l'invitation de mon époux, je trinque avec eux avant de filer prendre une douche. Après quelques minutes, Pierre, mon époux, entre dans la salle de bains.
- Fais-toi belle, Lucas nous invite au restaurant.
Moi qui pensais passer une soirée calme après cette éprouvante semaine passée au bureau, j'en suis pour mes frais ! Enfin, je ne tiens pas à décevoir le copain de mon mari. Je me prépare donc, me maquille très légèrement et m'habille.
Nous somme en plein été, et mon choix se porte sur une courte robe légère avec, en dessous, une parure, elle aussi très légère.
De retour au salon, Lucas lance un regard dans ma direction tout en s'exclamant.
- Ouah, Vicky...tu es magnifique...
Je ne peux m'empêcher de trouver sa façon de me regarder troublante.
J'ai l'impression d'être littéralement déshabillée et cela me met peu mal à l'aise. Je ne laisse rien transparaître, ne voulant pas gâcher le plaisir de ces retrouvailles avec mon mari.
Lucas, après s'être assuré que nous aimions la nourriture asiatique, nous amène dans un établissement dans lequel il semble avoir ses habitudes.
Le repas se passe très agréablement et, peu à peu, je me décontracte, Lucas se révélant un convive fort agréable, plein d'humour et très cultivé.
Nous quittons le restaurant et Pierre propose de poursuivre la soirée dans un endroit « tranquille et discret » qu'il connaît bien. Bien qu'un peu fatiguée, et toujours pour faire plaisir à Pierre, j'accepte et après une dizaine de minutes, nous sommes installés dans ce qui semble être un petit salon privé, dans un espèce de club, il est vrai très discret. Nos dégustons un café puis, pour remercier son ami, mon mari offre le digestif.
Ce nouveau verre, après un apéritif copieux et les trois verres de vin en mangeant, me met dans un état presque second, doucement euphorique. Aussi, quand mon chéri pose une main sur ma cuisse et qu'il remonte doucement le tissu de ma robe, dévoilant ma chair, je ne proteste pour ainsi dire pas, me contentant d'un
« Mais que fais-tu ? » qui l'encourage plus à poursuivre qu'il ne l'en dissuade !
Lucas, les yeux rivaient sur moi, et cette sensation d'être déshabillée du regard revient, plus forte encore que tout à l'heure.
Étrangement pourtant, cela ne me met plus mal à l'aise mais me procure plutôt une certaine excitation.
Quand Pierre, profitant que Lucas se soit absenté, me propose de l’inviter à finir la soirée chez nous, avec une bouteille de Champagne, je lui souris largement, toute fatigue envolée.
Nous voici donc chez nous, Pierre et moi dans le canapé, nôtre invité face à nous dans le fauteuil. Bien sûr, à peine assis, mon mari a reposé sa main sur moi et repris ses caresses, parvenant à remonter très haut ma robe, dévoilant ma culotte, sans que je lui oppose une quelconque résistance. Notre conversation est entrecoupée de longs blancs, comme si chacun de nous trois attendait que la situation évolue sans vouloir en prendre l'initiative. Pierre se lève pour aller aux toilettes et à peine a t-il quitté la pièce que Lucas me dit, m'ordonne devrais-je même dire.
- Écarte un peu plus les jambes que je vois ton string !
Il y a trois heures, cette phrase lui aurait valu une vigoureuse paire de baffes ! Pourtant, maintenant, je le regarde, souris et lentement, écarte les cuisses, lui dévoilant mon léger string blanc. Cette vision semble lui plaire si j'en juge la bosse qui déforme son pantalon.
- Mon ami en a de la chance d'avoir une coquine comme toi. Je suis sûr que ça t'excite de te montrer ainsi, je me trompe ?
- Non...
- Viens ici !
Comme un automate, je le rejoins. Il me prend le bras, me fait asseoir, sans douceur, sur ses genoux, me fait écarter mes jambes à cent quatre vingt degrés, et sa main remplace celle de Pierre sur ma cuisse. Mon mari revient, et nous découvre ainsi, moi la robe largement retroussée, mon string à mes chevilles, la main de son ami glissant sur ma fente. Il nous regarde, un sourire aux lèvres, puis s'installe dans le canapé.
- Je vois que le courant passe entre vous deux !
- Ne m'en veux pas mon chéri... je ne sais pas ce qui m'a pris...l’alcool sans doute…C’est moi qui lui est demande de caresser ma petite chatte.
Je tente de me relever mais Lucas me maintient fermement.
- Ne bouge pas ! Ton mari et moi allons te donner tout le plaisir que mérite une jolie femme comme toi.
Serait-ce un piège ? Mon mari en serait-il complice ? Un instant, le doute s'insinue en moi. Je me rappelle quelques discussions pendant lesquelles Pierre évoquait ce genre de rapport à trois. Mais non ! Il n'aurait pas osé ? Sans m'en parler auparavant ?
Pendant que je me faisais des nœuds au cerveau, Lucas n'a pas perdu de temps et ses doigts flattent ma fente, dont je dois bien reconnaître l'état d'humidité assez avancé. Et après tout ? Puisque mon mari est consentant, pourquoi ne pas en profiter ?J'écarte donc largement les jambes, offrant sans retenue ma chatte aux doigts curieux de son ami qui, sentant toutes les barrières levées, se faufile pour me mettre deux doigts, d'une façon fort agréable d'ailleurs. Mon mari ne nous quitte pas des yeux, et son pantalon présente la même déformation que celui de Lucas. D'un signe, je l'invite à s'approcher et fais rapidement glisser ses vêtements, dévoilant son sexe fièrement dressé. Je le caresse un peu puis, me penchant, embrasse le gland, flatte la hampe, lui tirant de légers soupirs.
- Oh, elle a l'air d'aimer ça, pomper un dard ! Une vraie bouffeuse de queues…
D'ordinaire, ce genre de langage m'insupporte.
Ce soir, pourtant, entendre un presque inconnu parler de moi comme ça, m'excite. Lucas semble s'en rendre compte d'ailleurs car ses doigts s'enfoncent un peu plus loin encore en moi.
- Putain, elle est trempée ! T'aimes ça qu'on te traite comme une pute, pas vrai ?
- Hum... parviens-je à murmurer.
- Lâche ton mari et dis-moi que t'aimes ça !
- Oui j'aime...j'aime sentir tes doigts dans ma chatte !
Je ne me reconnais plus ! Moi, l'épouse si sage, pas oie blanche, certes, mais plutôt réservée, peu expansive quand je fais l'amour avec mon mari. Me voici en train de me faire branler, me conduisant comme une fille des rues, employant des mots que je n'ai jamais osé prononcer ! Je reprends la queue de mon mari entre mes lèvres, mais Lucas, après quelques minutes, m’oblige à la lâcher une nouvelle fois. Il me fait mettre debout et finit de me déshabiller. Pour la première fois depuis mon mariage, je me retrouve entièrement nue, offerte aux yeux plus que gourmands d’un autre homme que mon époux. Ses mains parcourent mon corps, soupèsent mes seins, caresse mon ventre.
- T'es vraiment canon toi ! Tourne-toi que j'admire ton cul…
Docile, je m'exécute. Ses mains se posent sur mes fesses, les caressent, les malaxent.
- Super ton cul ! On en mangerait ! Penche-toi !
Il dépose deux baisers bien sonores puis d'un doigt, parcourt ma raie, s'attarde sur mon petit œillet, en teste la résistance en appuyant légèrement.
- T'aime te faire enculer ?
- Non pas trop...
- Tu ne sais pas ce qui est bon... je suis sûr que tu vas adorer !
Ben tiens...Monsieur a l'intention de me prendre au petit sans que j'y consente ! Je devrais me fâcher, me rebeller, pourtant, rien de tout ça et, sous les yeux de mon mari, je laisse Lucas poursuivre son exploration de mon intimité la plus secrète. Pire encore ! Quand son doigt force la passage et s'enfonce en moi, je ne retiens aucun cri, juste un gémissement, léger certes, mais suffisant pour lui indiquer que je ne déteste pas cette initiative. Ce macho ne laisse pas passer cette occasion !
- Hé hé... je savais que t'apprécierais un doigt dans le cul !
Il le fait aller et venir quelques instants puis cesse toute caresse, se lève et je devine, au bruit, qu'il se met à son tour tout nu, puis se rassied.
- À mon tour de goûter tes talents de suceuse !
Je m'agenouille entre ses cuisses et caresse son sexe. Il ressemble à celui de Pierre, peut-être un peu plus long. Je lèche le gland à petits coups de langue, la hampe raide, descend embrasser les couilles puis remonte en le léchant comme s'il s'agissait d'un bâtonnet de glace. J'ouvre les lèvres et, le plus lentement possible, le fait coulisser, me faisant un devoir de le prendre le plus loin possible, ce qu'il semble apprécier.
- Ouah ! Qu'est-ce que t'es bonne...avale-la bien ! Oui... comme ça !
Je m'emploie à lui offrir la plus gourmande des fellations, je veux qu'il se souvienne de moi longtemps, qu'il bande rien qu'en y repensant !
Mais qu'est-ce qui me prend d'avoir de telles pensées ? Faut-il que je sois ivre... ou excitée !! Peu importe ! Pour l'instant, seul compte le plaisir que je prends à déguster ce calibre de chair, et il est loin d'être négligeable ! D'autant plus fort quand mon petit mari, se met en tête de caresser ma petit chatte. Il me fait écarter les jambes, et me doigte allègrement, s'enfonçant entre mes chairs, agaçant mon petit bouton. Jamais encore je n'ai été dans un tel état d'excitation !
Je suce ainsi Lucas, de longues minutes, puis ose une caresse en direction de ses fesses. Il ne se dérobe pas, bien au contraire, et avertit mon mari de mon initiative.
- Oh la garce, elle me doigte le cul ! Vas-y ma cochonne...ah….Allez ! Goûte mon cul ! Lèche le !
Jamais je ne me serais crue capable de ça et pourtant ! Je lâche sa bite et pose ma bouche sur son œillet que j'embrasse sans dégoût. J'en force même l'entrée avec le bout de ma langue, lui tirant des gémissements qui m'indiquent combien il apprécie.
- Petite salope, comme c'est bon ! Hum... Oui... enfonce bien ta langue…
Tout en lui bouffant le cul, je le branle et lui masse les couilles. Je sens, aux vibrations de sa queue, qu'il n'est pas loin de rendre les armes. Ce qu'il me confirme dans son langage toujours aussi poétique.
- Ah, oui ! Oh salope ! Tu vas me faire juter ! Reprends ma bite que je te remplisse la bouche ! Hum... putain ! Tu vas voir la rincée que je vais t'offrir...oui ! Ça vient…
Effectivement, contre mon palais, sa queue est agitée de soubresauts annonciateurs d’un plaisir imminent. Un premier jet jaillit, puissant, suivi de quelques autres. Son éjaculation est importante et je dois faire un effort pour tout avaler. Moi qui, d'ordinaire, n'apprécie que fort peu de recevoir le plaisir de Pierre dans ma bouche, je me surprends à apprécier ce foutre qui tapisse mon palais et avec un certain plaisir, je me fais forte de ne pas en laisser échapper la moindre goutte.
La source se tarit et le membre, lentement, perd de sa raideur. je le relâche et, avec une moue coquine, vient offrir un baiser à mon amant.
- Il y a des lustres qu'on ne m'avait pas sucé ainsi ! Tu es la reine des suceuses !
- Avec un calibre comme le tien, je n'ai pas eu à forcer mon talent, tu sais !
- Pendant que je reprends des forces, occupe-toi de ton mari ! Je suis sûr que tu as encore soif de jus.
Comme s'il n'attendait que cela, mon chéri se présente face à moi et je m'empresse de l'avaler pour lui donner sa dose de plaisir.
- Caresse-lui le cul aussi ! Pierre, mon cher, ta femme t'as déjà bouffé le petit trou ?
- Non... je m'en souviendrais !
- Allez Vicky ! Bouffe lui le petit trou…
Mon mari se tourne, prend appui sur le canapé et se penche, m'offrant sa raie que je lèche à grands coups de langue avant de m'attarder sur son petit œillet sombre. Comme son ami tout à l'heure, il reçoit cette caresse avec un plaisir non feint et, dans les mêmes termes que Lucas.
- Oui ma chérie... continue ! J'adore çà...vas-y salope ! Baise-moi...oui, comme ça..
Après quelques minutes, mon amour me dit de reprendre son sexe en bouche afin, déclare t-il "de me rincer la bouche. Il est temps car ma mâchoire commence à me faire souffrir ! je n'ai que le temps de le faire coulisser entre mes lèvres que, dans une longue plainte, il m'abreuve de ses jets de sperme. Je le garde en moi jusqu'à ce qu'il soit débandé, avalant sans rechigner le semence conjugale.
Après cette petite séance, mon mari sert une tournée et nous dégustons une nouvelle coupe de Champagne. Je regarde mes deux amants, visiblement ravis de la soirée.
- Ce n’est pas tout ça, mais j'aimerais bien avoir ma dose de plaisir moi aussi !
- Allonge-toi sur le canapé, dit Lucas, tu vas l’avoir ta dose...je vais te manger la chatte.
Je m'installe donc et Lucas se penche pour m’embrasser, tout en caressant mes seins et mon ventre, ce qui suffit à me faire gémir.
- Putain ! T’es chaude comme la braise…
Il lèche ensuite mes seins, passe de l'un à l'autre, caresse celui que sa bouche a lâché. Mes bourgeons sont durs comme jamais et mon ventre se noue sous ses caresses. Il poursuit en embrassant mon ventre, stoppant juste à l'orée de ma courte toison. Délaissant ma chatte, il poursuit ses baisers et ses caresses sur mes cuisses.
- Viens bouffer ma petite chatte...J'ai envie de ta bouche sur ma fente !
Il relève la tête, me regarde en souriant tout en enfonçant deux doigts dans ma chatte trempée. Il fait des va et vient, avant de les ressortir, et les présenter à ma bouche.
- Goûte ton jus petite cochonne…
J'ouvre les lèvres et lèches ses doigts couverts de ma mouille sans le quitter des yeux. Il plonge alors le visage vers mon entrejambe et, dans un long gémissement, j'accueille sa langue sur ma fente. Il me lèche les lèvres avec passion, aspire mon petit bouton. Je gémis sans discontinuer sous ses caresses et quand il enfonce sa langue dans ma grotte, je ne retiens pas un long râle de plaisir. Il me déguste ainsi de longues minutes, ralentissant quand il me sent sur le point de succomber avant de reprendre de plus belle. Mon petit trou n'est pas oublié et deux doigts y vont et viennent régulièrement, profondément. Mon mari, nous regarde, tout en caressant, mes seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts.
- C'est bon, hein ? Tu aimes te faire bouffer la chatte par Lucas, pas vrai ? Les italiens aiment bien jouer avec la petite chatte des françaises.
- Oh oui... mon chéri...mais on le leur rend bien...nous aussi on aime bien sucer leur grosse queue... quel salaud...il va me faire jouir... c'est trop ...ah...oui...oui…
Dans un long cri, je me lâche et succombe à un orgasme d'une rare intensité. J'ai l'impression que mon sexe s'est transformé en fontaine tant je coule, pour le plus grand plaisir de mon partenaire qui, la bouche rivée à ma fente, s'abreuve de mon jus intime. Je le repousse quand il veut embrasser mon clitoris, tant celui-ci est sensible, à la limite de la douleur. Il se relève, le menton luisant du fruit de mon plaisir et, me regarde en souriant.
- Jamais je n'avais dégusté un aussi délicieux nectar…
Mon mari s’est volontairement tenue à l’écart, préférant me voir baiser par son pote, qui me fit jouir à plusieurs reprises, au-delà de ce que Pierre était capable.
Il y a bien longtemps que je n'avais joui aussi intensément. Et il a fallu que ce soit un autre que mon mari, qui me le procure. Le fait de me faire baiser par un autre devant mon mari, n'est pas étranger, j'en suis sûre, à ce plaisir démultiplié.
Je ferme les yeux et savoure cet orgasme. Le premier d'une longue série, j’espère.
Lucas quitte la villa vers deux heures du matin, laissant Pierre et moi, poursuivre nos torrides ébats dans le lit conjugal, et ce jusqu’au petit matin.
Je crois que le fait de me faire prendre par un autre homme devant lui, à décuplé se fougue.




















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Commentaires du récit : Pourtant fidèle, je me suis faite prendre

Le 11/04/2024 - 00:06 par alexandre8819
ton histoire est juste superbe et trss excitante tu as réussi a me faire bander rien qu'en lisant ton histoire j'avais envie de me caresser qu'est ce que je donnerai pas pour passer des moment coquins avec toi tu es superbe je serais ravi d'échanger avec vous alexandre8819@yahoo.fr
Le 29/10/2023 - 07:28 par Babas
Très jolie histoire 😍
Le 26/10/2023 - 16:41 par OlgaT
Une belle première expérience candauliste!

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