Fils incorrigible

Lucas est dans sa dix-huitième, années. En ce moment, il a des montées d'hormones, qui le rendent, agressif. Lui si calme, si prévenant d'habitude. Il disparait des heures dans sa chambre, sans donner signe de vie. Son comportement inhabituel, inquiète Lucie, sa maman. Elle monte à l'étage, ouvre la porte de sa chambre sans frapper et entre.
Lucas et nu sur le lit avec des écouteurs sur les oreilles, il visionne sur son pc un film porno. Il n'a pas entendu sa maman entrée. Sa bite est tendue vers le plafond, le jeunot la branle énergiquement, en serrant les dents.


Sa maman reste bouche bée, en voyant le spectacle, là, elle entre dans la vie privée de son fils. Elle sursaute, une giclée de sperme, jaillit de la verge et retombe sur le ventre dénudé et les doigts de son fils, qui continu de se branler. Lucie veut faire demi-tour, mais c'est à ce moment-là que Lucas tourne la tête vers elle. Il se redresse, dur son lit, arrache ses écouteurs et dit méchamment :

-Alors, tu m'espionnes connasse, elle te plait ma bite hein !


Choquée par les propos de son fils, elle sort de la chambre sans dire un mot. Elle revient peu de temps après armée d'un martinet, elle ouvre brusquement la porte et se dirige d'un pas volontaire vers le lit ou git son fils grossier. Rapidement, elle lui attrape le bras et tire, Lucas tombe du lit, il se redresse d'un bond. Et en regardant le martinet écarquille les yeux, il dit un peu affolé :

-Mais maman, tu ne vas pas me frapper avec ça, c'est de la torture !


Elle hausse les épaules et répond :

-La connasse va corriger un grossier personnage !


Elle lève le bras et assène un coup violent sur le dos du mal apprit, Lucas pousse un cri et tente de fuir, mais le martinet s'abat plusieurs fois sur ses fesses. Rapidement, elles se couvrent de stries, rouge vif. Les cris de Lucas n'apaisent pas la colère de sa maman qui lui donne encore une série de coups sur les rondeurs. Enfin, elle jette le martinet, et lui dit en le regardant avec des yeux qui jettent des éclairs :

-J'espère que cela te sert de leçon, et t'apprenne la politesse, morveux !


Lucas se jette sur son lit, une chose incroyable vient de se passer. Le Coquin a déchargé sur le plancher pendant la correction. Sa verge oscille sur son bas ventre, en laissant échapper quelques gouttes de sperme. Lucie fronce les sourcils et s'assied près de lui. Elle le regarde et lui dit :

-Les raclées t'excitent mon cochon !


Elle regarde un bon moment la verge qui est secouée de spasmes. Lucas la presse, pour en faire sortir le restant de jus qui se cache dans la hampe. La maman ravale sa salive et dit :

-Tu vas me faire le plaisir de nettoyer toutes les souillures, et descendre, on reparlera, après mon cochon !


Une fois le travail fait, Lucas enfile un slip et un t-shirt, et rejoint sa maman au salon. Elle hoche la tête en disant :


-Tu aurais pu mettre un pantalon Lucas, ce n'est pas sain de se promener comme ça !


Il ne répond pas, il grimace en se frottant les fesses avant de s'assoir face à sa maman. Après un grand sermon, elle ajoute :


-Je passe l'éponge pour cette fois, mais que cela ne se reproduise plus, ou alors, tu aimes être corrigé !

Lucas sans répondre se lève, sa maman voit les marques que le slip ne peut cacher. Prise de remords, elle lui dit :

-Viens près de maman, je vais te passer de la pommade, c'est vrai, j'y suis allée un peu fort mon chéri !

Elle prend dans un tiroir un baume apaisant, elle lui demande de s'allonge sur genoux. Elle lui baisse le slip, caresse doucement les lobes douloureux, puis étend la pommade en faisant de petits cercles sur la peau rougie. Machinalement, elle glisse ses doigts dans la raie, les passe plusieurs fois sur l'anus. Lucas pousse des soupirs. Sans savoir pourquoi, sa maman joue longtemps avec l'anneau ridé. Lucas se cabre en poussant un gémissement, le bougre vient de jouir sur la cuisse de sa maman, qui surprise le repousse en disant :

-Mais Lucas, tu es incontrôlable, tu pourrais au moins te retenir, je suis toute tachée !

Elle retrousse sa jupe pour frotter le tissu enduit de sperme, Lucas, toujours le slip baissé, reste scotché, il voit la culotte en fine dentelle de sa maman, avec une tache sombre sur l'entrejambe. Comme par enchantement, sa queue gluante se dresse. Lucie ne voit pas la bite bondée de son fils, car elle frotte le tissu en grognant. Elle dit :

-Il faut que je frotte avec de l'eau !

En disant ça, elle lève les yeux vers son fils, elle voit la terrible érection. Elle pousse un soupir et lui dit :

-Mais Lucas, tu es incorrigible, monte t'habiller !

Elle se dirige vers la salle de bain, une fois à l'intérieur, elle ôte sa jupe et se penche sur le lavabo pour frotter la tache. Lucas la suit. La porte est entrouverte, il la pousse doucement, il ravale sa salive, il voit sa maman en culotte, elle lui tourne le dos. Sa queue est hors de son slip, il s'avance doucement à pas de loup et brusquement, il enlace sa maman et lui dit d'un ton narquois :

-Eh si moi aussi, je te donne une fessée pour voir si tu jouis, je suis sûr que cela te ferait mouiller hein, qu'est-ce que tu en penses !

Il se plaque contre les fesses de sa maman, et frotte sa verge raide comme du bois. Elle sursaute, et réagit vivement :


-Cesse immédiatement petit cochon et monte dans ta chambre, j'en ai assez de tes dérives malsaines !

Lucie ne peut ignorer, le manche de chair qui frotte contre ses fesses. Elle le repousse vivement en le menaçant de tout dire à son père. Lucas desserre son étreinte et en marmonnant monte dans sa chambre. L'heure du repas approche. José le papa entre de son travail, sa femme ne termine pas préparation du repas. Il appelle son fils pour diner, Lucas et déjà en pyjama. Il ne cesse de regarder sa maman dans l'espoir qu'elle ne dise rien. Lucie ne parle pas de l'incident. De temps en temps, elle jette un regard foudroyant à son fils.

Il est tard, tous montent se coucher, Lucie se blottit contre son mari, elle ronronne en s'agitant doucement. José sent la chaleur du corps de Lucie qui émane de la nuisette. Il se retourne vers elle, il est surpris que ce soit elle qui prend l'initiative. Elle baise son pyjama pour dégager la verge, elle la saisit et la branle avec une nouvelle énergie. José est ravi de ce changement d'attitude de sa femme. Il repousse les draps, et pendant que sa femme joue avec son manche, il lui relève le plus possible la nuisette.


Sa queue est opérationnelle, il repousse à main de sa femme et prend place entre ses jambes. Il place sa queue contre la chatte, qu'il trouve étrangement détrempée. Il pousse et sans forcer, il enfonce son mandrin jusqu'aux couilles dans le ventre de sa femme qui rugit sous les assauts répétés de son mâle. Rapidement, la jouissance arrive, cela étonne José qui croit rêver. Il accélère, la pilonne comme un soudard et répand sa semence dans le ventre de sa bien-aimée.