Mon mari devant la télé...je suce son pote à l'étage.

Cette histoire est survenue quinze jours après mon mariage. On rentrait de nôtre voyage de noces, et étions en train d’emménager nôtre appartement.
Je dois avouer que sexuellement, cette lune de miel n’avait pas été sensationnelle. Il m’avait à peine touchée, malgré mes incessantes demandes.
La vie avait repris son cours, Vivian, veilleur de nuit dans un super marché, reprenait le travail ce soir, quant à moi, secrétaire, disposais encore d’une semaine.
Je dois vous dire que l’agencement, la déco et Vivian, mon mari, font deux.
Un soir, alors qu’il était cloué devant la télé à suivre son match de rugby, Thierry, son
meilleur pote nous avait rendu visite. En effet, sans m’en parler, mon mari lui avait demandé de nous ramener du matériel.
Il était environ dix huit heures lorsqu’il arriva. Mon mari lui dit que j’étais à l’étage. Prit par son match, il ne se leva même pas pour l’accompagner.
Moi, je ne l’entendis pas monter, vu que j’avais un casque sur les oreilles, et écoutais la musique, tout en rangeant du linge dans l’armoire.
Étant persuadé d’être seule, et dans l’espoir que mon mari monterait, je m’étais mise à l’aise, et n’étais vêtue que d’une simple nuisette, sans rien dessous, ce qui me permettait de temps en temps de glisser un doigt et caresser ma chatte.
Thierry me surprend dans cette tenue, oh combien provocatrice, qui ne lui était pas réservée. Rouge de honte, écarlate, je ne sais ou me mettre, essaie d’attraper un quelconque vêtement dans l’armoire pour cacher ma nudité.
Il ferme la porte délicatement, s’approche de moi, et s’assoit au bord du lit. Doucement, il me prit la main, m’obligea à m’allonger. Je n’eus aucune réaction, comme paralysée.
Je dois avouer que Thierry est très séduisant, et qu’à une époque, j’avais fantasmé sur lui.
Il souleva ma nuisette, exposant mon sublime corps à ses yeux émerveillés.
Il caresse mon ventre, mes seins, me demande de me détendre. Immédiatement, le plaisir qui était déjà monté grâce à mes propres attouchements, redoublait d’intensité.
La situation était excitante, me faire toucher par un autre homme que mon mari, dans ma propre chambre, alors que celui-ci regarde son match au rez de chaussé.
Il posa un doigt sur ma bouche, me fit signe de ne pas faire de bruit. Il écarta mes cuisses, joua avec le fin duvet de ma chatte, qui était déjà bien humide.
Pendant qu’il lissait ma fente, et glisser son majeur entre mes lèvres intimes, une goutte de sécrétion s’était collée à son doigt. Au lieu de l’essuyer discrètement, il l’a présentée à ma bouche et me l’a fait sucer. A ce moment là, j’ai senti le désir monter en moi.
Tout en me fixant du regard, Thierry a extrait mon petit bouton de son écrin, et a commencé à le doigter. Ma chatte s’ouvrait sous ses douces caresses. Il en profita pour y glisser deux doigts, et faire de léger va et vient. Alors qu’il enfonçait ses doigts dans ma chatte, il sortit sa queue. Mon dieu qu’elle était belle, bien grosse, bien raide. Il pivota légèrement pour que je la prenne en bouche. Je voulu l’éviter, ne pas vouloir la prendre, ne pas lui accorder la faveur que j’avais toujours refusé à mon mari, mais soudain, j’eus une folle envie de le sucer.
Soudain...
- Chérie...j’y vais, bisous...salut Thierry.
Je sursaute, ai juste le temps d’avaler la semence de Thierry, et rabattre ma nuisette.
C’est vrai il est bientôt vingt heures, et Vivian doit assurer la relève.
- Et Vivian...et les pizzas…
- Mangez les...tchao…
Thierry tient à ce que je reste en nuisette, n’hésite pas, à la moindre occasion, à me mettre un doigt, à me faire jouir.
Une fois sevrés de pizza, nous nous câlinons sur le canapé, devant un café.
Prise d’une folle envie, je propose à Thierry de dormir avec moi dans le lit conjugal.
Dans le lit, nous échangeons des baisers, je retrouve cette même intensité étonnante. Il m’embrasse avec un savoir-faire tel que l’excitation me submerge.
Je grimpe sur lui et me frotte contre sa queue. Elle est tendue d’excitation, et moi je crève d’envie de l’avoir en moi.
Pendant quelques minutes, nous nous embrassons à en avoir le vertige. Si on m’avait dit, une heure plus tôt, que je voudrais passer une nuit à étreindre cet homme, je ne l’aurais pas cru !
Ivre de désir, c’est moi qui craque et lui propose une capote. Il refuse, en prétextant que c’est mieux comme ça, que nous aurons un souvenir encore plus fort de cette nuit. Mais quelques caresses bien placées et des gémissements profonds ont raison de sa résolution, alors il décide de se protéger.
Il allume la petite lampe de chevet, la tourne vers le mur pour ne pas qu’elle soit trop vive, me serre fort dans ses bras pour m’empêcher de bouger, me regarde droit dans les yeux et me pénètre lentement.
Alors que je me tortille pour en avoir plus, il me regarde en ne bougeant plus et
en souriant. Je l’implore.
- Encore !
- Apprends la patience, ça décuplera ton plaisir.
Et en effet, au moment où il recommence à peine à bouger, je jouis. Fier de lui, il prolonge le plaisir en se retirant pour me faire un long cuni..
- Incroyable...putain.
Il me reprend ensuite, en m’embrassant profondément, au point de me faire pousser des râles rauques malgré moi. Je sens sa bite pilonner ma chatte. À ce stade-là du désir, je me fiche de mon image d’épouse, et pousse des bruits graves en roulant des yeux, ce qui me surprend moi-même.
Thierry continue de planter son regard dans le mien, sa langue entre mes lèvres, et me donne des coups de reins profonds en me caressant les cheveux.
Son animalité couplée à sa naturelle douceur me désarme, me possède, et pour la seconde fois, je jouis, quelques secondes avant lui.
Même après l’étreinte, Thierry continue à m’embrasser longtemps. Et c’est blottie contre lui, que je m’endors.
Impossible de rester assoupie longtemps car je le sens contre moi, installé en cuillère, sa queue frappant au creux de mes reins, prêt à recommencer. Cette fois-ci, je n’ai pas à affronter son regard. Je me cambre quand je sens son calibre ouvrir mes fesses...et atteindre son but.
Mon petit trou, inviolé à se jour, se dilate, et il me pénètre. Il se met en action, tandis qu’une main caresse mes seins. C’est ma première sodomie, elle s’est passé sans douleur, je dirais même, avec une certaine jouissance.
Très vite, je lui demande de retourner prendre un préservatif, et remettons ça.
J’atteins l’orgasme à quatre reprises, plus qu’en quinze jours de lune de miel.
Après une douche coquine, nous nous assoupissons, épuisés.
Il doit partir avant que Vivian ne rentre du travail. Mais une dernière fois, avant qu’il ne parte, nous faisons l’amour contre ma porte d’entrée, avec une tendresse que je n’avais jamais connue. C’est là que je reçus sa semence en bouche une dernière fois.
Sans le savoir, Thierry m’avais offert la nuit de noces, que mon mari n’a pas été capable de m’offrir. Aurons-nous d’autres relations ? Si l’occasion se présente, pourquoi pas. Au fond de moi, je l’espère.
En tout cas, je n’oublierai jamais cette nuit torride avec Thierry, qui a su me donner ce de quoi que mon mari m’avait privé.