Françoise la postière

-Bonjour Françoise, voici le courrier. Humm, tu as l’air bien reposée après 15 jours de vacances, et toute en beauté comme toujours.
-Oui, je suis allé aux Canaries avec mon Pierre (mon mari), c’était vraiment des vacances : piscine, boite de nuit, resto et bronzage.

Je n’ose pas lui demander s’ils ont fait de l’intégral. Mais elle me connaît, elle sait déjà ce que j’ai envie de lui demander.
-Oui nous sommes allé sur une plage naturiste, tu devrais essayer, c’est génial.

Elle est vraiment canon ma collègue. Toujours habillée très féminine, quelquefois une mini-jupe, ou un tailleur B.C.B.G., ou un jean décontract. Une silhouette fine et grande; elle ne doit pas avoir une grosse poitrine, faut voir. Toujours souriante avec les clients derrière son guichet. Vraiment adorable. Un jour je lui ai dit que mon amie Marie aimerait bien faire sa connaissance, vu que je lui en parle souvent. Il n’y a pas eu de suite. Puis un beau jour, elle nous invita à passer la soirée-repas chez eux, afin de faire connaissance. Mon amie Marie était au courant de mon attirance pour cette collègue de travail; elle n’est pas jalouse, car nous nous parlons bien de nos phantasmes, tant que cela reste des phantasmes; elle me raconte aussi son attirance pour certains mâles bien foutu (comme elle dit). Nous n’avons jamais osé sauter le pas.
-Nous voici prêt. Ding dong, c’est nous Marie et Luc.-- Entrez vous mettre au chaud devant la cheminée, par ce froid glacial. Donnez-moi vos manteaux.

Les femmes se félicitent sur leur tenue respective. Françoise porte très bien une jupe assez courte, des collants noirs et un chemisier blanc. Marie à opter pour une robe longue mais fendue sur un coté, laissant voir une longue jambe gainée de bas.
-Asseyez-vous, nous allons prendre un rafraîchissement. Je m’assois en face de ma collègue, j’aimerais bien voir si elle porte des collants ou des bas ? Une fois les présentations faites, nous parlons de vacances bien sur, et leurs vacances aux Canaries. C’est la deuxième fois qu’ils vont dans un club naturiste. Ils apprécient tous les 2 le coté naturel et décontracte des gens.
-Les contacts avec les nouveaux se font très vite. Sans vêtements, il n’y a plus de différences sociales : les patrons d’entreprise côtoient les ouvriers sans même le savoir.

Pierre nous ressert plusieurs apéro, il commence à faire chaud, Marie déboutonne 2 boutons de son corsage. Pierre qui n’arrête pas de mater mon amie, s’en est aperçu. Il se lève et va derrière le fauteuil de sa femme, lui murmure quelque chose à l’oreille. Approche une main de son chemisier, défait un bouton :
-Tu dois avoir chaud ma chérie—Oui, ce doit être l’alcool, mais c’est tellement bon ce punch des Canaries.

Françoise se laisse faire, de toute façon, elle n’est plus trop lucide ; Pierre commence à lui masser un sein. Elle se détend tellement qu’elle écarte furtivement les cuisses. Je le souhaitais, effectivement, elle porte des bas et peut être un string ou alors elle s’est épilée la minette.
-Luc, Françoise m’a laissé entendre que tu lui plaisais (en me faisant un clin d’œil). D’abord surpris par cette franchise, Je l’avoue : - Oui, ta femme est très belle, je dirais même très sexy.--Et bien nous sommes entre adultes, tu peux voir ce qu’elle porte sous sa jupe, puisque que tu n’arrêtes pas de la mater.

Je m’agenouille entre ses cuisses, je n’ai pas à forcer, ses jambes s’écartent facilement, et je peux enfin voir qu’elle porte un string. J’approche ma langue, écarte son string et commence à lui brouter le minou.
-Oui, Luc c’est bon ce que tu me fais. Depuis le temps que tu en avais envie mon salop, profites en bien de ma chatte, elle est toute à toi. Regarde Marie, elle se fait plaisir.

Pendant ce temps, Pierre à rejoint Marie, mais elle attirée par autre chose. Elle a remarqué la bosse de son pantalon. Je n’ai pas tout suivi, mais je la vois qui le suce goulûment, Marie adore sucer, et elle le prouve.
Pierre apprécie sa gâterie : Hummm !, c’est bon, qu’elle bonne suceuse, si elle continue comme cela, je vais jouir dans sa jolie bouche.---Non retiens-toi encore un peu. Je viens accompagner Marie, Luc vient aussi y goûter.

Alors là je suis ébahi, Que cherche-t’elle ?
--Viens Luc, tu verras comme c’est bon de sucer une belle queue. Et puis au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, je suis bi, pour le plus grand plaisir de mon homme. Mon fantasme serait de voir 2 hommes se sucer ; et pour cela je suis prête à me donner entièrement à ces 2 hommes.

Evidemment, l’idée de prendre en sandwich cette belle plante, ma collègue de travail me ravit, mais je n’ose franchir le pas. Je n’ai jamais fait cela. Je suis à genoux, Marie m’encourage et me montre l’affaire. Et puis zut je me lance, je m’approche de leurs 2 bouches, les embrassent et caresse leurs belles croupes en même temps. Je bande comme un cheval et attrape sa queue en bouche. C’est surprenant, mou et rigide à la fois. Mais quand je vois nos 2 belles salopes se gouiner, se peloter et se faire un 69 des plus torrides, j’accélère le mouvement de va-et-vient, cela nous déséquilibre, nous tombons sur le tapis dans un éclat de rire à 4 voies. Crise de fou rire. Et ce sont 2 soixante neuf.
--Allez les femelles en chaleur, il est temps de passer à autre chose. Luc prend ma femme pendant que je m’occupe de Marie.
--Oui, venez nous sommes toute chaude et …. Elles n’ont pas le temps de finir leur phrase que nos queues dressées pénètrent leurs vagins.
--Françoise, je ne pensais jamais en arriver là, entre tes cuisses entrain d’éperonner ton intimité.—Tu peux remercier mon homme, il a su me préparer doucement mais sûrement.

J’entends Marie pousser des soupirs, sa respiration accélère, je la sens venir :--Oui, vas y baise moi, plus fort, je vais venir, ne t’arrête pas, vas y bien au fond.
--Françoise, on va te faire plaisir maintenant, je m’allonge sur le dos, viens t’empaler sur moi. Voyant le spectacle du joli petit cul de sa femme se trémousser, il se retire de Marie, et vient sur Françoise, sa bite encore toute poisseuse il vient écarter ses fesses, approche du petit trou.—Ma chérie, tu va prendre ton pied, 2 hommes pour toi toute seule.-- Oui, encules-moi, tu sais que j’en ai envie, je me donne entièrement, prenez moi tous les 2.

Marie vient participer en m’offrant sa chatte, j’ai une vue sur sa fente, je peux ainsi la lécher comme bon me semble. A force de la tarauder, la sève monte ; C’est Pierre qui joui le premier :

--Tiens prends tout ma salope, tu la bien mérité. C’est à mon tour de lui inonder l’entrecuisse. – Oui continuez, ne vous arrêtez pas, remplissez mes 2 trous.

Nous continuons de la buriner encore un peu. Tout le monde se détend. Nous restons allongés un moment savourant nos différentes jouissances.
Puis Françoise émerge peu à peu, Elle cherche quelque chose, se met à 4 pattes.
--Je cherche mon string.

Tout le monde se met à rire.

--Comme si tu avais besoin de cela, alors que tout le monde t’a vu à poil de tous les cotés.

La vue de son petit cul me fou la trique, de voir sa fente encore humide me fait lever. Je m’approche, la prend par les hanches, et la prend en levrette sans lui demander son avis ; je n’aurais sans doute plus d’occasion comme celle-ci.
–Non Luc, ce n’est pas le moment, je vais me rhabiller.
—Tu es trop bonne. Je vais t’en mettre un bon coup. Pierre finit par préciser : Je crois que nous nous reverrons. La prochaine fois préparez un scénario.

Nous retrouvons presque tous nos vêtements, buvons un café et nous promettons de nous revoir.