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Françoise se découvre à 50 ans - Partie 3

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Lue : 3474 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/08/2017

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[Suite et Fin de la Genèse sur Françoise qui existe vraiment ! certains passages sont tirés de faits réels, d’autres romancés, je vous laisse faire le tri J. La publication a été fait avec son accord. Si vous souhaitez d’autres histoires avec Françoise comme héroïne, n’hésitez pas à poster un commentaire ou envoyer un mot en message privé. N’hésitez pas également à me dire ce que vous en avez pensé ! Merci d’avoir suivi ses aventures !]

[Résumé 1 & 2 : Françoise, Mère de famille quinquagénaire vivant à Lyon, a succombé il y a peu à ses pulsions lors d'une rencontre virtuelle fortuite. Consumée par ses démons qui lui avait révélé, de nouveau, les plaisirs de la chair, elle ne mit pas longtemps à sauter le pas de nouveaux. Ce troisième volet va montrer qu’elle aussi, sait assumer ses envies.]

Cela fait maintenant quelques jours que la dernière expérience avec son jeune amant avait eu lieu. La mère de famille y repensait chaque soir en revenant de son travail. Ses pulsions, assouvies certes, la hantaient. Lorsqu'elle s'affalait dans son canapé, et que sa main caressait le cuir, témoin de leur ébat, ou encore lorsqu'elle buvait son thé face à la fenêtre, repensant aux coups de boutoirs reçus contre la vitre glacée. Elle se revoyait, prise et dominée dans son appartement. Elle ressentait à nouveau ce corps chaud en elle, le goût et les sensations de ses coups de reins secs, maîtrisés ou le goût de son sperme qui perlait, encore chaud, sur sa peau. Ces images la dévoraient, chaque soir, toujours un peu plus, elle ne pouvait attendre des semaines comme la dernière fois.

Cette fois ci, elle décida de prendre les devants. Françoise alluma son ordinateur, bien décidée que, pour une fois, elle n'attendrait pas des semaines avant de faire quelque chose. Quant à Edouard, par ses initiatives mais aussi par son comportement, l'avait séduite. Non pas comme un amoureux ou quelque chose de la sorte, mais ce côté relation éphémère la consumait de jour en jour. Elle envoya un mail, toujours aussi poli mais s'amusant à faire référence de certains détails de leur dernier ébat. Elle osa même envoyer une photo de sa plantureuse poitrine dans le soutien-gorge qui vit jaillir la semence du jeune homme dans la bibliothèque, histoire de rappeler ce moment si particulier. La réponse vint une poignée de minutes plus tard. Flattée, elle s'imaginait qu'il n'attendait que cela sûrement, et même si c'était faux, elle se plaisait à l'imaginer. La réponse fut cordiale, un peu trop à son goût mais son sens de la phrase, incisive lorsqu'il le faut, était très apprécié par Françoise. Elle ne mit pas longtemps à le titiller et ils échangèrent de manière plus coquine dans les derniers mails de la soirée. Françoise alla se coucher, se tourna longuement dans son lit, obsédée par les événements de ces dernières semaines. Afin de se calmer, elle mit sa main sur sa poitrine et l'autre caressa son intimité. Elle repensa à son partenaire et les nombreuses découvertes qu'elle a fait sur elle-même et ne tarda pas à jouir, un orgasme violent, intense qui lui permit de s'endormir avec le sourire.

Ce n'est que le lendemain, lors de son trajet au bureau qu'elle se remit à penser à Edouard. Elle consultait frénétiquement ses e-mails toutes les 15min. Les envies la reprenaient si elle avait le malheur de passer vers le rayon où elle eut sa première expérience. Ou encore lors de l'inventaire de fin de mois qu'elle fit avec Marie Laure, dans la petite pièce où elle eut sa première expérience anale. Que de souvenirs pour elle dans cette pièce ! Elle se revoit, prise sur cette table, elle avait ancré dans sa mémoire le visage de son jeune éphèbe qui la sodomisait avec douceur puis avec plus de vigueur. Elle se souvient enfin, de la sensation de son sperme qui dégoulina entre ses jambes dans un râle rauque et significatif.

Marie Laure (ML) : "Françoise ?! Hé ho ! Françoise ..." Qui agitait sa main et sortait Françoise de ses rêveries.

Françoise était dans ses rêves, mâchouillant un stylo.

F : "pardon ... Je pensais à un truc, tu disais ?"

ML : "ça devait être important ça fait 2min que je te parle ... Ca y est ? Tu as quelqu'un ?"

Françoise qui avait longuement discuté avec ML sur sa routine, l'absence d'aventure, se confiait de temps à autre à elle mais hors de question de dévoiler ce secret. Elle le garda pour elle et prit soin de nier son exploit des derniers jours. ML, très bavarde, lui suggéra sur le ton de la plaisanterie de s'acheter un vibromasseur. Françoise gloussa et fit la prude devant sa collègue.

F : "mais t’es pas folle c'est pas ..."

ML : "de ton âge ? Je vais te dire, j'ai un mari et pourtant, du haut de mes 45ans, je l'utilise de temps en temps ... Pas besoin de ces messieurs, quoique tu sais quoi ?"

F : "dis-moi ..." Fit elle de manière nonchalante mais très attentive.

ML : "il y en a de tellement de sortes !"

Elle dégaina son smart phone et les deux collègues prirent une pause lors de l'inventaire. ML en montrait tellement que Françoise avait du mal à contenir sa curiosité. ML lui montra un modèle avec télécommande, un autre qui se déclenchait via une application, bref, il y avait tellement de choix.

ML : "tu te rends compte ? Ton partenaire lèche son écran en pensant à ta petite chatte... Cela enregistre comme un fichier, puis il l'envoi à ton vibromasseur connecté et tu subis ses coups de langue ... Dingue non ?! Ah tiens et celui-là, le mec a juste besoin de cliquer sur un bouton de l'application et le déclenche, ni vu ni connu ..."

(NDA : article véridique … un tour sur Google et vous pouvez le trouver ! si vous essayez, merci de nous faire profiter de vos retours ^^)

F : "dingue en effet !" Dit-elle toute rouge et faisant mine de reprendre le travail.

Françoise sentait quand même couler de l'excitation entre ses jambes. ML poursuivait ses recherches tout en commentant.

ML : "ça ne t'exciterait pas toi ?!"

F : "boaf"

ML la taquine un peu plus encore.

ML : "un petit jeune qui t'envoi ça hein ? Hein ? Ça te ferait du bien un peu de tirer un coup ..."

Si elle savait ! Ce qui faisait rire sous cape Françoise.

F : "je vais y penser ma belle" dit elle avec un clin d'œil

Le soir venu, elle se rua sur le PC et ne tarda pas à retrouver ces accessoires. L'idée ne la lâchait pas, elle prit quelques jours de réflexion tout en sondant si Edouard serait enclin à ce petit jeu. Elle commanda donc ce vibromasseur, télécommandable à distance. L'autre coûtait un peu cher et puis pour une première fois cela suffirait bien. Edouard se demandait même si elle était sérieuse. C'est au bout de quelques jours qu'il reçut un lien téléchargeable, d'où une application lui permettrait d'assouvir le plaisir de la quinquagénaire. Avec excitation, il informa l'impatiente mère de famille. Cette dernière frémit lorsque qu'elle reçut le mail. Elle envoya alors son numéro de téléphone car l'application fonctionne sur le smartphone de son partenaire, puis via le Bluetooth du son téléphone vers son vibromasseur en forme d'œuf.

Le soir venu, Edouard était si excité, qu'il demandait toutes les 5min si elle était chez elle. Françoise se dépêcha de rentrer, et se jeta sur son petit vibromasseur, il était en deux parties, dont une pouvait être mobile, c'est à dire qu'elle pouvait le porter en public et était susceptible de vibrer si son portable était à côté et qu'il était déclenché à distance. Elle se mit dans son canapé, et lança par un SMS un "go". Après quelques instants, le vibromasseur se mit en marche, monta en intensité, puis redescendait. Ce fut bizarre mais pas désagréable. Edouard joua avec elle encore quelques minutes. Minutes qui firent leur effet car Françoise explosa dans un tourbillon de chaleur, certes pas aussi fort que si son jeune amant l'avait prise mais elle mit quelques instants à reprendre son souffle. Puis elle envoya un SMS de remerciement avant d'aller prendre une douche. Elle écrivit par SMS à Edouard et partageait son expérience du jour. Mais surtout elle lui avoua que tous les vibromasseurs ne remplaceraient pas la vigueur de son membre et la fougue de sa jeunesse. Elle ne put s'empêcher de se caresser avant d'aller au lit.

Le lendemain, au moment de partir, elle fit demi-tour dans sa chambre et prit le vibromasseur portable, releva la jupe puis l'inséra avant de réajuster son tailleur et de se remettre en marche. Elle n'oublia surtout pas d'envoyer un SMS à son complice pour lui expliquer la situation mais en mettant la condition que c'est elle qui dirait quand le faire.

Françoise faisait sauter les verrous de ses tabous un à un et à une vitesse folle. Edouard accepta la proposition et attendit patiemment les SMS en lui donnant sa parole de gentleman. La mère de famille attendit sa pause matinale et trouva excitant de retourner dans la petite pièce même où Edouard avait jouit en elle. Elle envoya alors un texto au jeune homme qui ne tarda pas à exécuter la sentence. Françoise avait demandé à son partenaire d'y aller doucement, le temps de s'habituer à son jouet. La nouveauté, l'insolite la firent jouir en quelques minutes. Laissant sur son visage un sourire qui ne la quitterai pas de la journée. Mais surtout, prise d'assurance, elle recommença un peu plus tard, lorsque elle était à l'accueil. Elle augmentait la difficulté à chaque fois. Elle commandait ses envies à son jeune apollon, qui respectait strictement ses demandes. La quinquagénaire lui demanda même lorsqu'elle était en réunion avec ML. Et dire qu'elle était à l'origine de l'idée, si elle avait su ce qu'il se passait lors de cette réunion. Mais ML trouvait quand même Françoise bizarre.

ML : "tu es sûre que tu vas bien aujourdhui ? Tu es bizarre ... Tu couves quelque chose ?!"

F : "un œuf peut être ?" Faisant référence à la forme du vibromasseur

ML : "t'es bête ... Mais tu as les yeux rougis, et tu gigote par moment ..."

F : "le pollen sûrement et puis tu sais que j'ai encore mal à mon bassin après la chute du mois dernier ... Ne t’inquiète pas !" Dit-elle en demandant à son partenaire de faire cesser le jouet.

Elle décida de ne pas redemander à Edouard car l'épisode avec ML lui avait fait prendre peur, mais elle avait adoré repousser ses limites. Toutefois, en sortant du bureau et encore sous l'excitation de sa journée, elle envoya un SMS à Edouard : "votre adresse ... tout de suite !"

Elle la reçut quelques instants plus tard. Elle se hâta de rentrer, prit un soutien-gorge en dentelle, un tanga, puis mit un imperméable directement sur elle. Avant de partir, elle se pouponna légèrement et mit un rouge à lèvres bien saillant. Son petit oeuf toujours logé dans son intimité, elle fila à sa voiture. Ses mains tremblaient. Dans le rétroviseur, elle ne se reconnaissait pas, elle obéissait à ses pulsions. Françoise confirma qu'elle était garée et qu'elle arrivait. C'est alors qu'elle sentit le vibromasseur s'activer. Son pas se fit alors plus rapide, cherchant à être la plus discrète possible puis donna à l'interphone.

E : "c'est ... C'est moi ! Fran ... Françoise ..." Dit-elle en balbutiant

Elle était victime de sa gourmandise, de ses envies mais était incroyablement excitée.

E : "je sais pas si je dois vous ouvrir ..." Dit-il faussement convaincant "dernier étage ... Couloir à droite et tout au fond ..."

La mère de famille poussa la porte, s'engouffrant dans l'immeuble. En montant dans l'ascenseur elle espérait ne tomber sur personne. L'ascenseur montait, la vibration en elle en faisant tout autant. L'excitation trempa rapidement son tanga. Elle fixait les étages, cela ne montait pas assez vite pour elle, elle se cramponnait à une barre. Haletante. L'ascenseur arriva au dernier étage, les portes s'ouvrirent et avant de sortir, elle se recoiffa, contrôla que le rouge à lèvres épousait impeccablement ses lèvres puis, suivit les consignes pour rejoindre Edouard. Elle longeait le couloir sans allumer la lumière, arrivant enfin à la porte. Elle prit quelques instants, et au moment de frapper à la porte, cette dernière s'ouvrit, faisant apparaître Edouard.

Françoise posa alors son index sur la bouche et prit Edouard par la ceinture. Contrôla rapidement d'un coup d'œil derrière elle. Le couloir était long, dans la pénombre, mais au vu des évènements, elle n'en pouvait plus. Elle déboutonna le haut de son trench, fit glisser la ceinture en tissu et ouvra en posant ses mains sur les hanches. Edouard gloussa en découvrant sa partenaire de jeu en tanga, un soutien-gorge qui remontait ses seins, ses grandes lunettes qui cachaient ses yeux embrumés par l'excitation. Ses seins suggéraient son excitation en pointant fièrement. Françoise se cambra sur ses talons et après quelques instants face à lui, se léchait la lèvre supérieure en voyant la bosse se former. Sa main se cramponna au pantalon du jeune et le tira à elle. Dans le couloir, on entend à peine le bruit de la boucle de ceinture et la braguette qui libère l'objet qu'elle convoitait depuis le matin même. Françoise a encore son œuf qui asticote son plaisir. La mère de famille s'accroupit et tout en fixant Edouard, elle le branla énergiquement sur le pas de la porte. Sa langue lapait la verge qu'elle sentait poindre, durcir et sentait les veines se gonfler d'envie. Elle poursuivait alors sur le gland. Cette saveur l'enivre, comme si elle retrouvait un souvenir perdu. Edouard respirait fort. Françoise savait que son comportement le surprendrait, elle espérait surtout qu'il le lui rendrait bien dans un moment.

N'en pouvant plus, elle le prit en bouche. Sa verge prenait de plus de place à chaque coup de reins qu'il donnait doucement. Elle posa sa main sur la cuisse et la passa sur les fesses du jeune homme. Ses doigts pressaient vigoureusement tout en mettant toujours un peu plus la queue de son partenaire au plus profond de sa bouche. Edouard lui caressait les cheveux. Ses mains étaient douces plus de plus en plus fermes, se crispant dans sa chevelure auburn. Le jeune amant lui faisait comprendre de sucer plus vite, plus fort. On pouvait d'ailleurs entendre les bruits de succion dans le couloir. La mère de Famille qui s'étouffait presque, salivant sur sa queue, mais ne voulait pas ôter de sa bouche l'objet de son désir. Soudain, la lumière du couloir s'alluma. La quinquagénaire se figeait, le sceptre de son amant encore, le défiant du regard, prête à assumer mais Edouard l'invita alors à rentrer. Françoise sortit aussitôt la queue recouverte de salive de sa bouche et l'essuya contre son décolleté, s'engouffrant rapidement dans l'appartement du jeune homme, en le tenant par la queue. Au bout du couloirs, on entendait des pas qui se rapprochent, et des éclats de rire. Les deux amants ont juste le temps de rentrer et de fermer la porte sans avoir été surpris.

Une fois la porte claquée, Françoise se colla à la porte et prit la pose, telle une œuvre d'art à admirer. Elle paraissait comme sortante de sa chrysalide. Françoise, la Maman BCBG, la maman gâteau, celle à qui l'on pense pour emmener les enfants au foot ou qui viendrait accompagner les enfants à la sortie de classe, cette maman-là, a muée. Les derniers événements en sont la preuve. Elle, si prude et timide, elle était chez un son jeune amant qui la voyait à chaque fois pour du sexe, mais il avait su ouvrir sa boîte de Pandore et il allait en faire les frais. Lui qui lui avait fait découvrir les plaisirs qu'elle n'osait pas imaginer. Il avait mis en marche une nouvelle Françoise, non pas son côté maléfique mais son côté sacrément érotique.

Françoise se frottait langoureusement sur la porte, et poussait de petits gémissements, tout en passant ses mains sur sa poitrine. Ses mains sortirent un sein, frottèrent le téton, sans que son regard ne quitte Edouard. Scrutant sa réaction. Puis elle plaça son autre main sur le tanga et se caressa.

Après quelques minutes d'exhibition sous le regard brûlant d'Edouard, elle le saisit par la nuque et lui fit téter son sein pointant d'envie. Le "pauvre" se laissa faire, sa langue jouait avec le téton, puis il la mordillait doucement.

F : "ah ouiiiiiiiii hummmmmmm que c'est bonnnnnnn hummmmm vous aimez hein ?"

E : "Slurp gloups ... oui Mme !" Dit-il en tétant si fort qu'elle fermait ses yeux et poussait un soupir de plaisir.

Puis elle le prit par les cheveux et le fit descendre, sur le ventre puis sur son intimité.

F : "faites moi vibrer !" Dit-elle avec le sourire

Cette fois-là elle voulait profiter de tout. Ses yeux noisette regardaient intensément le spectacle. Elle se délecta de voir son visage qui se collait à son vagin, sentir les prémices de sa langue qui goûtait les lèvres puis s'enfonçait naturellement en elle.

Françoise portait toujours le vibromasseur en elle. La vibration était douce, constante. L'ajout de cette délicieuse langue exaltait son plaisir. Elle ne pouvait se retenir et se trémoussait langoureusement du bassin.

F : "allez oui hummmmm vous avez voulut hummmmmmm dévergonder la Marquise, ouh oui hummmm là oui hummmmm, alors assumez !"

Elle lèva une jambe sur l'épaule, ce qui ouvrit un peu plus sa chatte. Edouard s'activait et saisit ses fesses qu'il écarta vertement, dans un élan d'excitation, titillant son anus avec un doigt. Prise dans l'euphorie, elle recula alors Edouard, et se retourna, ses mains à plat sur la porte. La mère de famille offrit ses fesses en se cambrant, tourna la tête pour lui exprimer son envie sur un ton assez sec.

F : "il faut vous faire un dessin ... Vous connaissez déjà cet endroit !" Dit-elle en se claquant la fesse

Edouard se mit aussitôt au travail, en ouvrant bien les fesses de la Marquise, léchant sa raie. Les vibrations et autres dandinements ne se firent pas attendre. Cette sensation étant amplifiée par le petit jouet qui vibrait encore. Tout en profitant de ce coup de langue bienvenu, son corps collé contre la porte d'entrée, on pouvait entendre les voisins dans le couloir. Curieuse, Françoise jeta un œil par le judas et cette sensation bouleversa ses sens. De voir les voisins sur le pas de porte revenant de leur travail et elle qui prenait son pied à quelques mètres de là, lui firent monter une chaleur au creux de ses reins. S'en était trop, elle avait envie d'une queue. De se faire baiser de nouveau. Elle n'en pouvait plus et demandait alors à être libérée de cette chaleur. Françoise somma Edouard de la baiser ... avec l’œuf en elle, avec la condition de la prendre par le seul endroit qui lui est autorisé. Exclusivement même. A cette proposition, le jeune homme ne se fit pas prier. Il se dressa derrière elle. Sa main caressa sa croupe, claquant son cul. Chacune de ses fesses en prit pour son grade. Le gland vint se poser dans le sillon. Caressant activement la raie de ses fesses. La mère de famille se mordait les lèvres d'avance et attendait son châtiment. Une délicieuse douleur lui indiquait que le gland entrait, doucement, sans mal d'ailleurs. La verge suivit rapidement, sans ralentir. Françoise écarquillait les yeux de plaisir, poussant un profond râle. Conservant sa maîtrise. Le tanga est juste sur le côté. Les mains se tenaient solidement à la lingerie tendue, imposant ses vas et viens de plus en plus fort. Françoise n'attendait que cela, qu'il soit ferme, dur avec son cul. Elle ne fut pas déçue. Elle sentait le membre s'épaissir en elle. Ses seins gigotaient, se libérant de la prison de tissu, ils frappaient contre la porte. Elle tendit ses bras pour faire cesser ce bruit mais les coups de reins réguliers la faisaient résonner contre la porte. Les voisins qui venaient de rentrer chez eux, repassèrent la tête dans le couloir, ce qui excitait Françoise de plus en plus. Ils chuchotaient, regardèrent sans se poser trop de questions apparemment. La main d'Edouard tirait les cheveux de Françoise en arrière qui gémissait et souriait de plaisir. Enfin, ce moment tant attendu de la journée, elle le vivait. Le vibromasseur stimulant son vagin et la queue bien raide et veinée dans son anus la comblait. Il ne fallut pas plus de quelques secondes avant qu'elle ne pousse un long râle toutefois contenu, puis se mordit la main au moment de jouir. Son bassin se contracta, serrant ses fesses. Ce fut à ce moment-là qu'Edouard eut un orgasme. Il tira fermement les cheveux de la marquise qui ferma un peu plus son cul, se cambrant sur ses talons. Il en sortit son membre rougit par les vas et viens et lâcha deux puissants jets dans le dos de Françoise. Cette sensation de sperme chaud et épais qui dégoulinait lentement sur elle, passant dans sa raie et couvrant sa rondelle endolorie, chaude pour finir par couler jusqu'au vagin et goutter sur le tapis de l'entrée.

Spontanément, comme un réflexe, le jeunot gifla le cul de la mère de famille.

E : "hummm une belle salope la Marquise"

Françoise se retourna, étalant le sperme sur ses fesses. Léchant un de ses doigts, retirant le vibromasseur avec l'autre main. La quinquagénaire s'agenouilla face au membre flasque qui avait perdu de sa vigueur. Sa main la prit avec délicatesse puis, elle la posa entre ses seins, l'essuya longuement entre ses seins, suçota le bout du gland et le lécha du bout de la langue.

F : "une grosse salope ! mon jeune prince !"

Après un dernier baiser sur le gland dégonflé, elle se leva.

F : "je vais enfin pouvoir visiter le château !" Dit-elle en passant la pièce d'entrée

La Marquise déambulait dans le petit appartement. L'entrée débouchait sur une pièce à vivre avec une cuisine ouverte. Une petite porte donnait dans une chambre et la salle de bains y était adossée. Sa silhouette à moitié nue se baladait dans la pièce, les dessous trempés, encore souillés par son jeune prince. Sans se soucier si elle pouvait être vue depuis la grande baie vitrée, elle demanda alors de quoi boire, Edouard s'exécutait, encore essoufflé. Le rapport était plus calme, doux. Les deux amants se caressaient après cette tempête d’accrobaties et d'émotions. Les mains du jeune homme étaient toujours baladeuses, son côté entreprenant et la manière qu'il a de lui pincer les seins ou de titiller son clitoris ravive déjà sa flamme.

F : "puis je emprunter votre salle de bains un moment, Edouard"

E : "bien sûr mais il faut passer par la chambre !"

La Mère de famille disparut dans la salle de bain. Un lavabo avec des toilettes et une belle douche, italienne, grande, sûrement le seul atout de cet apparemment.

F : "je prends une douche rapide !"

E : "faites je vous en prie"

Ses dessous tombèrent au sol, se faufilant ensuite sous la douche. L'eau la détendait, lui faisant reprendre ses esprits. Toutefois, ses reins lui rappelèrent son excitation, alimentée par le souvenir de cet enchaînement impromptu qu'elle avait elle-même initiée. Elle trouvait cela dingue. Prise par le bruit de la douche, la chaleur et la buée, elle se relaxait. C'est alors qu'elle sentit une main ferme lui prendre les hanches. La chaleur de l'eau la fit respirer fort, ses lunettes masquées par la buée lui empêchaient de voir la situation mais elle devinait évidemment le corps de Edouard. Ses mains étaient précises et fermes, elles empoignaient ses seins qui pointaient immédiatement. Elles glissèrent sans attendre sur son cul pour le pétrir effrontément. Des gémissements. La virilité et l'insolence qui se dégageait de cette initiative remettait en marche son envie. Il la plaqua contre le carrelage mural de la douche et la fessa fermement. Le bruit raisonnait dans la salle de bains, lui arrachant un cri.

F : "aiiie" hurla-t-elle avec gourmandise

E : « écartez-moi ces cuisses Françoise ! Tout de suite !"

Elle obtempéra en se mordant la lèvre, l'eau chaude coulait sur tout son corps. Sa tête bascula en arrière lorsqu’elle sentit les doigts du jeune venir la pénétrer. Son bassin frémit, et quelque chose lui disait que cela lui semblait bien large.

E : "détendez-vous ! Vous allez aimer !" Dit d'une voix assurée et suave le jeune H qui se tenait derrière elle, la maintenant contre le mur.

F : "hummmmmm faites ce que vous avez à ... Aaaaaaaaaaah ffffffaire hummmmm aaaaah"

Edouard inséra 4 doigts, tandis que le pouce caressait l'entrejambe entre le vagin et l'anus. Françoise, surprise, se crispa sur la douche et maladroitement, tourna en direction de l'eau froide. L'eau glacée coulait sur ses épaules, ses seins pointèrent plus fort encore. Le jeunot les téta sans attendre. Ce mélange de froid sur sa peau et le feu entre ses cuisses faisaient chavirer ses sens. Elle ne voyait pas plus, mais petit à petit la buée disparaissait. Ses yeux s'ouvrirent en grand quand elle découvrit les 4 doigts du jeune homme qui allaient et venaient sans mal dans sa chatte dilatée. Elle le regarda avec un air si étonné, partagée entre le grelottement du froid de la douche et le plaisir chaleureux que lui procure Edouard avec ses doigts agiles.

Après quelques instants, elle tempéra l'eau et reprit son souffle. Edouard lui caressait la nuque, ses cheveux, la guidant vers son sexe qui bandait si fort. Il tapa sa queue contre ses gros seins fermes, puis sans l'attendre, mit sa queue dans la bouche. Un souffle de satisfaction s'échappa au moment de subir ce geste bestial et soudain qui la comblait. Enfin, la Mère de famille avait fait jaillir la part bestiale de son jeune amant qui lui baisait la bouche si fort qu'elle avait du mal à suivre la cadence.

E : "ah elle voulait sucer la Marquise hein ? Elle pensait que je me laisserais faire et surprendre ? Et ça hein ?!"

F : "glourps glourps glourps" peine à répondre Françoise qui se délectait de cette montée en intensité.

Il sortit sa queue, la bifla copieusement, se branlant entre ses seins.

F : "hummmm je vous aime sous cet angle mon Prince ! elle vous donne envie hein la marquise !"

E : "hummm oui ..."

F : "ces gros seins vous font bander hein !"

E : "hummmm ouiiii ..."

F : "sa bouche, elle vous fait jouir hein !"

Elle continua de l'exciter, voulant faire monter sa sève ou le déchaîner pour être prise de nouveau. Françoise coupa l'eau et continua son petit jeu.

F : "vous allez pas laisser la Marquise repartir sans se faire ... bien ramoner hein ?!"

Sans dire un mot, il sortit Françoise de la douche. La positionnant devant la glace, comme la toute première fois. Françoise qui avait son sac à portée, sort le petit vibromasseur, le déclenche manuellement puis le met dans son vagin. Edouard lécha sa main et caressa les orifices de Madame avant de la fixer du regard dans la glace. Elle cligna des yeux comme pour donner son approbation et il la pénétra, par derrière, d'un coup, sans aucune difficulté.

F : "aaaaaaah ouiiiiiii ouiiiiiiiii" hurla-t-elle en s'écroulant sur le lavabo puis en se baissant, touchant ses chevilles

Elle basculait d'avant en arrière, allant et venant sur son chibre bien dur avant de remonter et de se tenir au lavabo sans perdre du regard son jeune prince.

F : "allez oui Edouard ! Baisez moi ! Démontez moi ! Hummmmmm oui encore !"

Edouard se concentrait, son cul était si accueillant et étroit. C'était même le seul à l'avoir visité et là, elle l'encourageait, cette mère de famille qui avait fixé tant de limites au début et qui a déverrouillé ses barrières une à une. Edouard grommela, se cambrait et alternait entre coups de reins secs, et coups de reins plus mesurés pour faire durer le plaisir.

F : "je vous sens bien là ! Allez y mettez y tout votre ardeur ! Baisez moi ! Baisez le cul de la Marquise ! Oui !"

Edouard accéléra, claquant son cul généreux, faisant virevolter ses seins. Ses mains la tiraient hors de la salle de bain et l'amenaient sur le canapé. La lumière était toujours allumée. N'importe qui pourrait les voir depuis l’immeuble en face mais Françoise était si excitée. Elle s'allongea et écarta largement ses jambes. Elle retira de nouveau le vibromasseur, suppliant Edouard de jouir avec elle. Edouard s'activait, elle caressait ses seins face à lui, léchait ses lèvres.

F : "oui allez y ouiiiiiiiii jouissez ! Libérez-vous et libérez moi de mes envies ! Je suis votre salope !"

A ces mots Edouard grimaça, la sève montait si vite, elle le savait, le sentait. Elle joignit ses seins pour lui dire où elle souhaiterait avoir la semence. Tout en se retirant un petit jet inonda son vagin. La verge encore gonflée et maîtrisée par une main ferme, montait au niveau de ses seins et dans un râle profond, il étala sa semence, recouvrant les seins de Françoise, ce sperme chaud et encore plus abondant resta dans le creux de ses seins.

E : "aaaaaah hummmmmm hummmmmmaaaaah"

F : "oui voilà ! Hummmmm quel honneur hummmm oui mmmmmm, tout ça pour la Marquise"

Elle ne put empêcher les quelques gouttes gicler sur sa joue, ou le sperme qui dégoulinait lentement sur son corps. La queue de son partenaire débandait, exténuée et vide. Elle la caressait et chercha à essuyer le trop plein de plaisir qui risquait tâcher le canapé.

Une fois fait, les deux corps se lovaient, fatigués, dans le canapé. Le jeune homme éteignit la lumière et les caresses se faisaient plus douces. Le retour à la normal après cette parenthèse fit du bien aux deux complices. Elle appréciait ce moment, après cette avalanche de sens, qui faisait comme si elle sortait d'un rêve. Ce n'est qu'après de longues minutes que les deux protagonistes se levaient. Edouard proposa de quoi boire et manger si besoin. Françoise se rhabilla, avec les dessous et le trench. Ils discutèrent encore quelques minutes notamment sur la pluie et le beau temps. C’est notamment ce qu’appréciait Françoise, ce côté si hard et à la fois si détaché en dehors de leurs ébats. Comme s'il ne s'était rien passé.

Quelques minutes plus tard, Françoise prit congés. Elle sortit dans le couloir et descendit par les escaliers, se dépêchant ensuite de remonter en voiture et de retourner chez elle. En rentrant, elle ne prit pas de douche tout de suite. Elle caressait sa peau, encore un peu collante du sperme de son jeune amant. Elle reçut un SMS qui la remerciait de ce moment. Un fichier vidéo était attaché dans lequel, on la voit de dos se faire prendre par derrière, on distingue la porte et l'entrée.

F : "ah quel petit salaud !" Dit-elle tendrement et en souriant.

Elle envoya à son tour une photo de sa poitrine en réponse à cette provocation, puis elle fila à la douche. En repensant, à cette vidéo, elle fut prise de chaleur et s'adonna a un petit plaisir sous la douche avec le pommeau. Cette dernière transgression, serait une nouvelle occasion de revoir son jeune Prince ?

a voir ...

FIN - CharivariB
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Histoire de CharivariBrains

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