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Fugace rencontre

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Lue : 6464 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2008

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Je prends la plume une semaine après notre week-end. Cette parenthèse dans mon quotidien m'a fait à la fois l'effet d'un siècle et d'une seconde ; c'est peut être cela la relativité du temps.

Rappelles toi, on s'est rencontré à une soirée, j'étais invitée par une amie et toi par une vague connaissance de celle-ci ; rien ne nous destinait à nous croiser un jour. Tu t'ennuyais ferme et tu ne faisais rien pour le cacher, j'ai aimé ton naturel dans ce milieu qui fait semblant de s'amuser pour cacher la vacuité de son existence.

Je ne t'ai pas trouvé beau, mais tu avais un regard bleu très profond, je me suis frayée un chemin dans la foule compacte amassée autour du buffet. Je t'ai adressé la parole en prononçant quelques banalités. Tu as marqué un silence et tu m'as proposé d'une voix que j'ai trouvée sensuelle d'aller boire un verre ailleurs. Dans le genre « drague directe » on ne fait pas plus rapide ! J'ai souri, surprise et flattée.

Nous sommes partis aussitôt ; il faisait froid dehors et nous nous sommes regardés interrogatifs … Où aller ? Le quartier bourgeois où nous étions ne tolérait pas le moindre bar !
Tu m'as alors proposer de marcher un peu et d'aller chez toi, tu habitais à deux pas. Je t'ai suivi, étonnée de ma docilité.

Nous sommes entrés dans ton immeuble et nous sommes montés au dernier étage, tu as ouvert la porte de ton appartement découvrant un intérieur chaleureux et ordonné. Nous sommes entrés, tu as pris galamment mon manteau. Nous nous sommes retrouvés face à face dans le couloir, à une distance telle qu'il faut, soit s'éloigner vite, soit succomber à l'envie de s'embrasser... ce que nous fîmes immédiatement.

Ensuite, je ne sais plus très bien, ces premiers moments m'échappent, il me reste un souvenir très vif : la taille de ta queue.

De toutes celles qui m'ont données du plaisir (ou qui ont cru m'en donner), je n'avais jamais eu affaire à pareil organe. Comme beaucoup de femmes, je suis davantage sensible à la manière qu'à l'objet et je fantasme davantage au souvenir d'une caresse qu'aux mensurations d'une bite. Les hommes n'y croient guère, mais c'est pourtant exact. Enfin là, c'était exceptionnel. J'avais saisi ton membre à la base, d'une main, sans arriver à en faire le tour, j'ai ensuite poser mon autre main au dessus de la première et enfin j'ai pris en bouche ce qui dépassait encore en manquant de m'étouffer. Tes couilles étaient à l'avenant, plus proches de deux gros abricots que de deux petites prunes. Tu sentais fort l'homme excité et un peu le sperme (tu m'as avoué ensuite que tu t'étais branlé avant la soirée mondaine).

Dis moi, qu'avais tu trouvé d'excitant en moi ? Mon corps d'adolescente de 40 ans, ma taille de guêpe, ma peau blanche de rousse, mes petits seins ronds ou mes grosses et longues pointes ? Je pense que tu as été sensible à ma toison rousse et fournie si j'en juges par le nombre de fois où tu y a plongé tes doigts, ta langue ou ta queue. Tu as aussi sans doute apprécié mon petit cul, tu n'as pas manqué de remarquer ma raie fendue et mon petit trou exposé sans pudeur à ton regard.

Combien de fois m'as tu possédée ? Je ne sais plus, j'ai juste le souvenir de mon retour chez moi, tu m'as raccompagnée ; j'étais partie pour une soirée et je suis revenue après deux jours qui ont été comme une folle nuit.

Tu m'as baisée comme jamais je ne l'ai été, tu m'as sautée plus souvent en 48h que dans toute l'année de solitude sentimentale qui a précédée. Tu m'as fait retrouver le goût du sexe que j'avais perdu. Je me suis souvenu avec appétit des odeurs de corps en rut, de la texture épaisse du sperme qui coule le long des cuisses, du parfum de cul d'un homme, de la sueur qui y coule quand il est excité.

Après plusieurs possessions tantôt douces, tantôt sauvages, nous nous sommes endormis. D'un tacite accord, aucun de nous ne s'est précipité dans la salle de bain par crainte de perdre les délicieux remugles de l'amour. Je me suis éveillée, il faisait un jour blafard d'hiver et j'ai regardé ton corps nu. Ton énorme bite était ramollie, et reposait contre ta cuisse. C'était la première fois que je la voyais au repos, ton gland circoncis semblait le noeud finissant un cordage. Je ne sais pas pourquoi, mais cette vue m'a excitée davantage qu'une érection. J'ai approché mon visage de ton membre, doucement pour ne pas te réveiller, j'ai léché tendrement ta bite et je l'ai mise dans ma bouche ; je parvenais enfin à l'avaler totalement. Je n'ai plus bougé savourant le plaisir de l'avoir entière, me soûlant du goût fort qu'elle dégageait. Bien sur, tu n'as pas été insensible longtemps et j'ai senti ta queue grossir. Elle a repris ses proportions habituelles et hors normes. J'ai imaginé le regard envieux d'autres hommes sur ton anatomie dans les vestiaires de salles de sport. J'ai pensé également à toutes celles qui m'avaient précédées et qui avaient englouti ta verge. Tu m'as laissé te sucer sans bouger, puis tu as glissé vers mon minou jusqu'à enfouir ton visage dans ma toison rousse.

Une nouvelle fois, tu as fait jouer ta langue sur mes lèvres, puis sur mon clitoris, tu as ensuite approché tes lèvres et tu as sucé ma minuscule verge, jusqu'à m'arracher encore des spasmes de plaisir. Je t'ai dégagé n'en pouvant plus de jouissance. J'ai cessé de te sucer, tu m'as alors retournée sur le ventre, tu t'es accroupi derrière moi et tu as plongé ta langue vers mon anus si visible. Tu m'as caressé comme jamais je ne l'ai été à cet endroit. Je dois avouer que j'ai rarement laissé un homme explorer ma raie comme tu l'as fait. Tu as ensuite passé une main sous mon ventre et tu m'as soulevé pour me mettre en levrette. Je me voyais dans le miroir en face du lit, menue, offerte, mes petits seins ronds tendus vers le bas. Je me délectais de cette position soumise et j'admirais ta bite énorme tendue, dure comme si c'était la première fois que tu me faisais l'amour de la nuit. Le contraste entre mon corps mince et ta queue me rendait folle d'excitation. Tu as approché ton gland de mon trou de cul, j'ai eu un mouvement de refus. J'ai peu apprécié les rares fois où j'ai accepté la sodomie pour ne pas craindre de me faire prendre par ta bite démesurée.

Tu as bloqué mes hanches, tu as murmuré des mots rassurants, tu as mouillé ta queue dans ma chatte très doucement pour accoutumer ma fente dégoulinante à ton anatomie. Après quelques mouvements qui m'ont arrachés des râles de bonheur, tu t'es retiré et tu as approché à nouveau ton gland de mon cul, puis très lentement tu as appuyé, tu étais dur et doux à la fois. Dans le miroir je voyais ton membre pénétrer millimètre par millimètre. Tu avais encore une demi queue dehors quant tu as poussé plus fermement, j'ai poussé un cri de surprise et de plaisir. Tu as cessé de bouger, tu avais englouti ta verge épaisse et longue dans mon tout petit trou de cul et je jouissais comme jamais, hurlant, mordant l'oreiller, me démenant pour faire aller et venir ta bite en moi. Tu as longtemps possédé mon cul ainsi, quand tu t'es retiré j'étais encore en transe et toi tu étais encore dur, tes couilles étaient encore pleines. J'ai compris ce que tu attendais et j'ai pris ta queue en main et je t'ai branlé puis j'ai englouti ton gland. Je t'ai branlé et sucé jusqu'à ce que tu inondes ma bouche de ton jus.

Ce fût ma première sodomie du week-end mais pas la dernière.
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