ACCUEIL > Divers > Récit : Galettes, mousseux et sexe

Galettes, mousseux et sexe

+19

Lue : 1201 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/01/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

On était en plein milieu de la matinée. On a sonné à la porte. Ma grand-mère avait une sonnerie qui faisait un bruit particulier, épais et strident. J’ai été ouvrir. Elle venait de partir pour la douche.
J’ai vraiment été surpris.
Juste devant moi, il y avait une femme qui devait avoir entre 45 et 50 ans, vraiment magnifique, pour qui aime les femmes d’âge mûr.
Moi cela faisait pas mal de temps que j’aimais les MILFs. A 23 ans, je faisais partie de cette génération qui avait consommé du porno très tôt, et n’avait jamais cessé de s’en délecter. J’étais, et je crois bien que c’était le cas de pas mal de jeunes hommes de mon âge, très attiré par les femmes que le temps avait fait mûrir, et poussé au maximum de leur beauté, de leur séduction, mais aussi de leur expérience. Les plus jeunes, si séduisantes soient-elles, faisaient pâle figure comparées à elles.
Et devant moi, se tenait une MILF qui n’aurait rien eu à envier aux femmes qui étaient mises en scène dans le porno pro ou amateur. Elle était extrêmement attirante.
J’en ai même été surpris. Je connaissais bien le village, pas tous ses habitants bien sûr, et je savais qu’ici, la moyenne d’âge était élevée, et que des femmes séduisantes, il n’y en avait pas beaucoup.
Elle était très grande, encore grandie par les talons aiguille des cuissardes rouges qu’elle portait. Son manteau aussi était rouge, ouvert sur une robe de lainage noire, collante, qui disait clairement qu’elle était une femme, à la taille fine, mais aux formes généreuses…La robe était courte laissant voir une partie de ses cuisses teintées par un collant sombre. Elle avait une chevelure sombre, épaisse et longue, et un visage sans doute un rien trop maquillé, mais le maquillage soulignait la beauté classique de ses traits.
Elle était en tout cas très attirante.
—Bonjour, je suis bien chez Madame Amalric…?
—C’est ma grand-mère. Elle prend sa douche. Je pense qu’elle va être là d’ici cinq minutes.
Elle avait un sac à la main. Je me suis souvenu que la mairie publiait une feuille de chou, un huit pages tous les mois, qui rendait compte du fait et du à venir, et que l’équipe municipale était supposée passer dans les premiers jours de l’année pour distribuer à ce que l’on appelait pudiquement aujourd’hui ‘les seniors’ une galette des rois, et quelques menus présents.
—Je voudrais lui remettre en mains propres.
—Pas de souci, si vous avez un peu de temps.
—Elle est ma dernière sur la liste, je suis en avance, et de toute façon, je suis libre toute la journée.
Ca a été au moment où je lui ai dit ça que j’ai perçu quelque chose dans son regard. Une lueur, une nuance…Je me suis demandé si je l’intéressais, ou si, plus simplement, elle avait perçu que moi, elle me plaisait.
Est-ce pour cela que, quand je lui ai dit:
—Si vous voulez rentrer…
et qu’elle s’est glissé à l’intérieur, elle m’a frôlé…L’espace d’un instant, j’ai senti la chaleur de son corps, son épaisseur, un sein lourd, respiré l’odeur de son parfum…Et le dos de sa main a frôlé, certainement perçu, mon sexe en érection.
—Je viens passer toutes mes vacances ici, avec elle. Habituellement, je vis avec mon père. Ma mère est morte quand j’avais deux ans, et ils m’ont élevé tous les deux. Je la considère comme ma mère.
J’avais fermé la porte. Le silence s’est fait. Mais pas un silence pesant, un silence dans lequel se sont tissés, très rapidement, des liens entre nous, alors que nos regards s’accrochaient véritablement et qu’on comprenait que l’autre nous attirait, et que quelque chose passait entre nous.
Ca m’était déjà arrivé, mais sans doute pas aussi rapidement. On ne se connait pas, et puis il y a une attirance mutuelle qui emporte tout, qui submerge, alors même qu’on n’est pas passés par cette supposée découverte de l’autre, le dialogue, les échanges. On a eu le même élan, le même mouvement, et on a franchi les quelques centimètres qui nous séparaient. La chair de l’autre contre soi, sa chaleur qui vous pénètre…Nos bouches se sont rapprochées, pour d’abord un baiser lèvre-à-lèvre, puis nos langues sont rentrées en contact. Quelque chose de vraiment très bon, très sensuel, une caresse qui s’est prolongée, et qui m’a donné raison. Ce baiser là était bon, et tout ce qui pourrait se passer par la suite le serait sans doute aussi.
Pendant que je l’embrassais, j’ai descendu mes mains sur ses cuisses. A travers l’électrique du nylon, sa chair était vraiment très chaude. J’ai glissé, sans qu’elle m’en empêche, elle venait, en même temps que moi, de poser la main sur moi, pour me caresser à travers le tissu de mon jogging, tendu par mon érection, mes mains sous la robe pour prendre ses fesses pleines dans mes paumes. Sous le collant, je ne sentais pas le tissu d’un slip. J’ai glissé mes mains sous le nylon, et effectivement, elle le portait à même sa chair nue.
Elle m’a soufflé à l’oreille:
—J’ai envie que tu me prennes là, maintenant, elle en a encore pour longtemps?
Je suis remonté dans les souvenirs des habitudes de ma grand-mère. Dix minutes qu’elle était partie dans la salle de bains, et elle y restait une demi-heure en moyenne. Bien sûr, elle pouvait faire exception, mais, à partir d’un certain âge, on est vraiment calé sur des habitudes.
—On a un peu de temps, j’ai soufflé. Viens…
Je l’ai entrainée dans une des trois pièces sur lesquelles l’entrée donnait, qui avait cet avantage, un petit salon, qu’on pouvait le fermer de l’intérieur. Elle m’a suivi. La pièce n’était pas très grande, et ma grand mère y avait installé une petite pièce pour travailler, des étagères, un bureau. J’ai fermé et ça a été très vite. Elle est venue chercher ma langue, cette fois en sortant la sienne, j’ai sorti la mienne, j’ai adoré, il y avait là quelque chose d’obscène, qui me plaisait. Dans un même temps, elle est venue attraper ma queue dans mon pantalon, et elle l’en a sorti.
—Dis donc tu es bien dur..Tout à fait ce qu’il me fallait…
J’aurais pu lui dire que moi aussi, j’avais envie de sexe. On avait rompu avec ma dernière copine un mois plus tôt, et je ressentais la frustration de ne pas avoir un corps de femme sous la main. Elle était bien tombée, avec son charme plus que certain de MILF.
Elle m’a masturbé doucement, pendant que je roulais sa robe à sa taille, dévoilant sa nudité sous son collant, la pente naturelle de son pubis, et son sexe imberbe, que l’excitation avait bien dilaté, suffisamment pour que ses lèvres soient sorties, gonflées, et qu’on puisse apercevoir son intérieur.
—Tu veux qu’on se caresse mutuellement? Non, j’ai envie que tu viennes en moi…Tu crois qu’on a le temps?
—J’en ai envie…
—Moi aussi…Allez, il faut vivre dangereusement…J’ai ce qu’il faut, attends…
Elle a glissé la main dans le sac qui battait sur son flanc. Elle avait posé le sac pour ma grand-mère sur le bureau nu. Elle a déchiré l’emballage, a attrapé le latex gras, et l’a fait courir sur moi d’un mouvement expert, m’emballant d’un seul bloc.
Elle a descendu son collant et a basculé en arrière. Je me suis approché, et j’ai posé mon gland sur ses lèvres. C’était une position improvisée, peut être inconfortable, mais ce moment hors des sentiers battus me plaisait bien, et j’ai glissé en elle aux trois-quarts. Elle a poussé un petit gémissement qui disait son plaisir. A l’inverse, j’en ai éprouvé tout autant, en sentant sa chair brûlante m’envelopper et me caresser alors que je me mettais à bouger en elle.
Ca a été un moment qui a duré quelques minutes seulement. Sans doute parce qu’on était très excités, mais aussi parce qu’on avait conscience qu’on avait peu de temps, et on s’est pour ainsi dire conditionnés. Je suis allé et venu en elle, la faisant monter dans le plaisir, dont je sentais chaque gradation, et moi-même progressant vers l’orgasme. Elle a amené ses doigts au niveau de son clitoris, et elle s’est frottée, jouissant un peu avant que je ne crache mon sperme dans le préservatif. Elle a gémi en sentant ma semence taper contre les parois de son sexe.
On avait conscience que le temps était quasiment écoulé. Elle s’est rajustée, moi aussi. Avec un dernier regard complice, et encore les ondes de la jouissance nous traversant encore, on est revenus dans l’entrée.
Deux minutes à peine après, ma grand-mère descendait. Le rituel s’est accompli.
J’ai raccompagné la MILF pendant que ma mamie mettait de côté la galette, la bouteille de mousseux et les présents.
J’avais envie de la revoir, mais je ne savais pas si elle, elle avait envie.
Elle était garée près du portail. Elle a attrapé un bloc, et elle a griffonné quelques lignes avant de me tendre la feuille.
—Tu viens souvent chez elle?
—Toutes les vacances, et certains week-ends.
—Si tu es libre et si tu as envie qu’on se revoie… Même s’il n’y a que du sexe entre nous, ce sera déjà beaucoup.
Je l’ai regardée s’éloigner avant de jeter un coup d’oeil à la feuille. Un prénom, Cyrielle, une adresse, un numéro de téléphone portable…
C’était sûr, nous nous reverrions.
19 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Galettes, mousseux et sexe


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :