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Sexe et prospectus partie 5

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Lue : 535 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2021

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Le matin, j’avais pris l’habitude de ne jamais arriver avant huit heures. J’avais en effet à l’esprit que les deux femmes se livraient l’une à l’autre avant de commencer leur journée et qu’elles s’étaient fixées une date limite, qui était justement cette heure qui marquait pour ainsi dire le début de la journée. Ca évitait les moments gênants.
Je chargeais les prospectus ce matin-là, quand j’ai entendu derrière moi :
—Je peux vous parler deux minutes ?
Je me suis retourné. C’était Christelle, la jolie brune. Je ne l’avais pas vraiment vue depuis que j’avais commencé et ça a été un peu une redécouverte. J’ai senti mon sexe se durcir. J’avais oublié, à force de côtoyer d’autres femmes, dans mes pérégrinations, à quel point elle avait du charme. Ce jour-là, elle portait un jean élastiqué, très moulant, qui dessinait ses formes voluptueuses, avec une chemise et une veste. J’ai repensé à l’entretien, au moment aussi que j’avais surpris avec son adjointe blonde, qu’elle je revoyais régulièrement. Ce jour-là, en la voyant, j’ai pris nettement conscience que j’éprouvais du désir pour elle. Même si elle était ma patronne. Mais sans doute qu’elle préférait les caresses des femmes.
Elle s’est posée derrière le bureau. Difficile d’oublier ce que j’avais surpris un mois plus tôt.
—Je tenais à vous féliciter. J’ai eu quelques retours positifs. On a parfois des personnes qui nous appellent, et nous parlent en bien ou mal de nos porteurs. J’ai eu plusieurs appels louant vos qualités.
Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire intérieurement. J’imaginais bien qui pouvait avoir téléphoné, et sans aucun doute, leurs louanges avaient peu à voir avec ma manière de mettre des prospectus dans une boite.
—On a la possibilité de verser des primes, tu en auras une à la fin du mois, elle a rajouté, passant soudain au tutoiement.
—Je vous remercie.
J’avais plus de mal à tutoyer celle qui était ma patronne.
J’allais partir, mais elle m’a dit :
—Dis-moi, je te plais, non ? Je te pose la question parce que j’ai senti ton regard sur moi le premier jour. C’est vrai que je ne mets pas de culotte sous mes collants. Je devrais sans doute. Ma chatte t’a plu?
—Tous les hommes aiment regarder les sexes des femmes, j’ai répondu.
—Sans doute, mais j’ai senti ton regard sur moi, et il m’a fait chaud au ventre. On n’était pas dans une bonne position pour arriver à quelque chose, mais le soir, quand j’ai eu du répit, je me suis masturbée en pensant à ce qui aurait pu se produire. J’ai imaginé pas mal de scénarios, tout en sachant que ce qui se produira n’aura rien à voir avec ces scénarios. J’avais envie de te proposer quasiment immédiatement, et puis j’ai attendu. Je pense que c’est le moment.J ’ai envie de te donner mon corps, et qu’en échange, tu me donnes du plaisir. Qu’est-ce que tu en dis ?
Je l’ai regardée. Elle était sérieuse. Comment dire non ? Elle était extrêmement attirante. Je l’aurais pensé même si je n’avais pas vu son sexe nu sous son collant le premier jour. Je me suis simplement dit qu’il faudrait que je me démarque des jeux qu’elle faisait avec la blonde. Je ne les avais surprises qu’une fois, je n’avais pas idée de ce qu’elles pouvaient faire ensemble.
Il n’y a pas eu de paroles échangées. Elle a compris que j’avais envie, autant qu’elle. Elle s’est levée, a contourné le bureau, et elle est venue s’offrir à moi. Elle s’est posée juste devant moi, et je pouvais tout lui faire. J’ai simplement commencé par remonter le T-shirt sous la veste pour mettre sa poitrine à nu. Elle avait dessous un soutien-gorge couleur crème, dont j’ai défait l’attache en glissant mes doigts dans son dos, pour mettre à nu deux seins lourds, dont je suis venu lécher doucement les tétons. Si j’avais pu me poser la question, comme je l’avais remarqué quand la blonde la caressait, elle était hyper-réactive, et j’ai senti ses tétons s’allonger, en même temps qu’elle se mettait à gémir… Je les ai caressés un moment, en même temps que je mettais ma queue à nu. Elle était raide jusqu’à en être douloureuse de désir, sans doute parce que, sans en être vraiment conscient, je la désirais depuis un bon moment. Elle s’en est rendu compte, et elle a tendu la main pour caresser mon gland, qu’elle a frotté avec sa paume. J’ai travaillé ses seins un moment avant de venir défaire le bouton qui tenait son jean à sa taille. Dessous, elle avait bien une culotte, assortie au soutien-gorge, que j’ai descendue, retrouvant le dessin de son sexe. Mais il était déjà plus dilaté, d’excitation, et ses chairs trempées, tout comme la culotte sur une large zone. Je suis venu la caresser, prenant la mesure de ses hanches, de ses fesses, pleines et charnues, avant de l’attraper par la taille et de la hisser sur la table de travail.
Je suis parti sur une envie, mais également sur la volonté de lui faire quelque chose de différent, sans savoir si j’y arriverais ou pas. Elle projetait vers moi son ventre, offerte, mais au lieu de venir sur l’ouverture de son sexe, dilatée et suintante, j’ai préféré me glisser entre les deux globes blancs et fermes, le long de sa raie… Je me suis dit que j’avais fait le bon choix quand je l’ai entendue gémir,. Je n’avais pas imaginé qu’elle soit aussi sensible par là. J’en ai eu la confirmation quand je suis arrivé sur son anus. Son gémissement est devenu bien plus fort, et elle m’a jeté, dans un souffle :
—J’éprouve beaucoup de plaisir par là…Tu peux y mettre tout ce que tu veux, ta langue, tes doigts, ta queue.
—C’est un bon programme,j’ai acquiescé.
J’ai commencé à faire glisser ma langue de haut en bas et de bas en haut dans sa raie, la faisant gémir de plaisir. Elle avait sans doute chié peu de temps avant, et s’était essuyée mais pas lavée, car son anus avait un goût âcre, mais plaisant, que j’ai pu mieux expérimenter quand je suis venu directement dessus. Elle ne mentait pas, car je l’ai sentie totalement s’abandonner à ma caresse, alors que je travaillais la chair qui s’assouplissait, et que je faisais glisser la pointe de ma langue sur la muqueuse que j’ai sentie devenir plus souple. J’ai suivi les plissements qui la constituaient, avant de revenir au centre de la muqueuse et de pousser ma langue à l’intérieur. J’ai senti l’étroitesse du canal anal, mais aussi qu’elle venait de passer à un stade supérieur du plaisir. Je l’ai travaillée de la langue, en y mettant toute mon ardeur, autant pour lui donner du plaisir que pour faire s’ouvrir sa muqueuse anale. Elle se tordait littéralement de plaisir sur la table, en même temps que je sentais sa muqueuse s’ouvrir, jusqu’à me donner à voir des parois rosaçées.
—Viens, maintenant !
Elle n’en pouvait plus, mais moi non plus.J’avais trop envie de la pénétrer. J’ai été pécher un préservatif dans une poche. J’avais pris l’habitude d’en avoir toujours sur moi, et plusieurs, depuis que je côtoyais des MILFs amoureuses.
Je me suis enveloppé de latex,et j’ai approché mon gland de sa muqueuse anale. Son sexe, je n’avais pas à m’en occuper, elle avait fiché deux doigts dedans, qu’elle faisait aller et venir en elle, remplaçant une queue qui ne viendrait pas, occupée ailleurs. J’avais une envie irrésistible de la prendre, et j’ai poussé, rentrant facilement en elle, parce qu’elle était bien ouverte. Je suis rentré aussi loin que je le pouvais. Elle était très excitée, ses doigts , quand ils rentraient en elle, projetaient à l’extérieur des jets de mouille qui se faisaient plus abondants de minute en minute. La pression de son conduit anal autour de ma queue me procurait énormément de plaisir… Je ne sais pas combien de temps ça a duré…On était un peu hors de tout. Suffisamment en tout cas pour qu’elle explose plusieurs fois en criant, et que moi aussi, incapable de me maitriser plus longtemps, je remplisse le préservatif de sperme. Les jets de semence contre ses parois anales l’a faite exploser une fois ultime, la plus violente d’entre toutes, avant qu’elle ne reste immobile, épuisée, sur la table, le ventre trempé de ses propres sécrétions.
Je me suis rhabillé. J’allais passer dans la pièce à côté, pour poser les quelques prospectus que j’avais en trop, quand elle m’a dit :
—Je veux encore des moments comme celui-ci.
—Je crois qu’on y arrivera.
Je suis rentré à la maison déjeuner.
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Histoire de JamesB

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