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Gourmande 2

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Lue : 2274 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2012

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Consolatrice des grosses comme des petites bites

Un jour donc j’ai pu comparer…voir, toucher … un modèle différent…

Commençons par le début. Le lundi soir et le jeudi, après le travail, pour garder la forme, entretenir notre corps, Robert pratique dans un club d’athlétisme la course à pied et moi, Simone, je fais des longueurs de bassin à la piscine olympique de la ville. Ce lundi il y a foule à la piscine, toutes les cabines côté femmes sont occupées, la caissière m’envoie côté hommes. J’essaie une clenche, la porte s’ouvre, j’entre à reculons, je pousse le loquet, je me retourne et me trouve en face d’un homme nu occupé à se frotter les cheveux vigoureusement, les deux bras levés, les mains sur sa serviette qui cache son visage. Mais c’est un homme et quel homme. Enfin ce que je vois en baissant les yeux ne permet pas le doute. Sous l’hirsute toison brune au bas de son ventre, sur l’épais coussin de ses testicules, pend une verge molle, au repos, de dimensions impressionnantes, longue, large, épaisse, un truc incroyable. Du jamais vu, de l’inimaginable. Je ne réussis pas à détacher mes yeux de cet attribut sans doute hors du commun. Force est de le constater, une queue comme celle-là, ça existe! C’est époustouflant, incroyable, sidérant. Mais…mais…
-Mais que faites-vous dans ma cabine? dit la face sortie de la serviette.

Il voit mon regard planté sur son sexe, fasciné comme l’oiselet devant un serpent. Son sexe fait un bond, prend des dimensions nouvelles, s’allonge, épaissit encore et se redresse. C’est une arme, une menace, je veux fuir, dans mon trouble je ne trouve pas le loquet, me heurte à la porte et sens sur mon épaule une main qui me retient
-N’ayez pas peur, je ne vous ferai aucun mal. Excusez-moi, j’ai dû oublier de verrouiller la porte. Vous pouvez vous retourner, ma serviette cache l’instrument qui vous fait fuir. Pour me faire pardonner, je vous invite à prendre un verre avec moi au bar de la piscine.

Ce type ne manque pas d’aplomb. Je le regarde. Le visage est agréable, agrémenté d’une fine moustache soignée, souriant, peut-être ironique. Il a des cheveux bruns, j’aurais pu le deviner à la vue de ses poils pubiens. Il sort de l’eau, c’est un sportif qui s’entretient ; en somme un bel homme doublé d’un charmeur.
-Allez m’attendre au bar, je vous rejoins immédiatement.

Je sors, je me dirige vers le bar. C’est idiot. Pourquoi boire un coup avec un type qui m’a peut-être tendu un piège? Pourquoi lui obéir aussi facilement? Je ferais bien mieux de trouver une autre cabine et d’aller nager. Est-ce l’effet de sa grosse queue sur mon cerveau chamboulé, est-ce sa réaction, ce bond surprenant du gland vers le plafond quand l’homme m’a vue? Dans ma tête ça fait crac boum huhu! J’en tombe assise sur un tabouret de bar, le souffle court, le pouls accéléré. Ciel, que m’arrive-t-il? Pourquoi suis-je si émotive? Pourquoi ce tremblement nerveux dans les mains.

-Je me présente, Abel, je vous prie encore d’excuser ma distraction. Que prenez-vous?
-Simone, chevrote ma voix. Vous êtes pardonné, il arrive à tout le monde d’être distrait. Il ne fallait pas vous croire obligé de m’offrir un verre.
-Mais c’est avec le plus grand plaisir! Cela me donne l’occasion de faire la connaissance d’une très charmante personne.

Après un échange de banalités courtoises, il ose aborder le sujet glissant.
-Vous m’avez regardé comme si j’étais anormal. Vous n’êtes pas la première.

Il s’explique. Il est célibataire, a une bonne situation. Plusieurs fois, amoureux d’une belle jeune fille, il a failli s’engager dans une vie de couple. Mais à l’apparition de son sexe, chaque partenaire a fui, qui pour ne pas rater son train, qui pour réparer un oubli, chacune trouvant un prétexte pour cacher son épouvante. Ce n’est pas tout d’être bien membré. Une fois une veuve a bien voulu passer l’épreuve, il l’a pénétrée non sans mal, elle a beaucoup gémi mais progressivement les rapports ont été moins douloureux, le vagin s’est adapté à la verge, la dame a semblé prendre goût à une relation charnelle suivie puis elle a disparu sans au revoir, sans doute conquise par un pénis moins exigeant. A trente ans il vit seul. Il est très malheureux. Son histoire fait pitié. J’en suis émue aux larmes. En moi, le saint-bernard se réveille. Avec Robert j’avais découvert ma vocation particulière de consolatrice des affligés. Il croyait avoir un sexe trop petit pour satisfaire une femme. Je m’étais donné pour mission de lui prouver qu’on pouvait l’aimer malgré la taille réduite de son organe, je m’étais investie à fond, je l’avais poussé à me prendre et depuis je vivais avec lui un bonheur quasi parfait sur le plan sexuel. Et aujourd’hui je découvre une détresse presque égale chez un sujet doté d’une verge trop grande pour être acceptée par les femmes. C’est une fatalité. Imprudente je questionne:
-Abel, pourrais-je t’aider?

Car au cours de confidences aussi intimes nous sommes rapidement passés de vous à tu. Il va me demander de lui dénicher une femme au vagin élargi, pourquoi pas une mère de famille nombreuse. Sa réponse me terrifie.
-Tu es certainement la personne sincère, attentive aux souffrances des autres qui pourrait me rassurer. Tu as des capacités d’écoute formidables, tu es réceptive et ton corps est certainement fait à l’image de ton esprit ouvert et de ton cœur généreux.

Il y a une demi-heure nous ne nous connaissions pas. Il m’a apitoyée et déjà me confie la tâche de lui venir en aide. Il sait toucher la corde sensible en flattant. Baratin? Déclarations sincères? Suis-je condamnée à voler au secours des déshérités comme Robert et de ceux que la nature a trop bien servis. Mais actuellement j’ai un mari; la donne a changé. Esprit ouvert, cœur généreux, peut-être. Corps réceptif: là j’ai un doute sérieux sur mon degré de capacité d‘accueil. J’ai vu son organe quasi monstrueux, il n’a rien de rassurant au repos, en semi érection il fait peur. Quand monsieur sera dans de bonnes dispositions saurai-je résister à la terreur et ne pas fuir comme les autres filles. Dans ce cas j’augmenterais son désespoir. Mais, je me surprends à envisager de tenter de l’accueillir. Je suis folle à lier! Mon bon cœur me perdra. Abel me fixe, vais-je le désespérer ici et maintenant, sans rien essayer. Je pourrais faire un geste, pendant un temps limité, dans des conditions fixées d’avance. Ma réponse tarde, son espoir grandit, ma résistance à l’envie de calmer ses angoisses faiblit.
-Bon, suis-moi, je vais voir ce que je peux faire.
Robert ne reviendra pas avant une heure, notre domicile est proche. Abel le trouve coquet. Il attend. J’impose mes conditions.

-Voilà: je vais te rendre un service purement technique. Nous disposons de peu de temps avant le retour de mon mari. Nous convenons de faire une tentative d’union charnelle. Tu te présenteras à l’entrée de mon sexe, tu chercheras à me pénétrer. Si tu y parviens, tu sauras que l’exercice est techniquement réalisable et tu pourras affronter avec vaillance les autres candidates, leur faire savoir que tu ne les estropieras pas nécessairement. Si la pénétration se révèle impossible, tu reconnaîtras que j’ai fait preuve de courage et de bonne volonté. Quoi qu’il advienne, je te prête mon corps à l’essai, mais mariée je suis, mariée je veux rester; je n’aime qu’un homme, le mien. Ne nourris aucun espoir de me conquérir. L’appartement a une entrée principale et une porte de service. En cas d’alerte tu devras l’utiliser en suivant cet itinéraire. D’accord?
-Et comment! Je ne te remercierai jamais assez
-Alors en tenue, cher Abel. Que j’examine de plus près ton défaut: l’excessif développement de tes organes sexuels; montre-moi ton épouvantail.

Dans ma chambre je me déshabille vite devant lui. Il est aussi pressé et aussi rapide que moi.
De me voir nue suffit à transformer instantanément sa grosse nouille tombante en un redoutable gourdin, encore plus grand, massif et lourd que je ne l’ai imaginé. Vraiment je suis dingue d’accepter ce rôle. Pourquoi ai-je cette vocation de sauver, de redonner courage et joie de vivre. Et l’autre vaniteux se prend en main, s’astique le manche comme s’il n’était pas déjà assez long et volumineux. Je suis mariée, mais les dimensions de l’homme de ma vie n’ont rien de commun avec cette massue masturbée par ce pauvre Abel. Donc, il y a peu de chance que notre activité de couple ait préparé mon vagin à recevoir facilement ce long et gros machin du malheureux jeune homme. Plus je le regarde, plus je tremble.
-Tu crois que nous pourrons? Veux-tu me préparer, m’enduire de salive pour faciliter le glissement de ma mentule dans ton con vaillant
-Oui, mais tu devras également provoquer la lubrification de ma chatte. Tu sais ce qu’est un soixante-neuf? Oui. Couchons-nous donc en position et ne traînons pas.

Il a vite trouvé ma foufoune, a poussé quelques exclamations, m’a complimentée, puis il est passé aux travaux pratiques de façon plutôt habile pour un homme si peu expérimenté en raison de la fuite systématique de ses partenaires confrontées au monstre que je vois de près maintenant. Il lèche admirablement les abords, envoie tantôt sa langue chargée de salive à l’entrée du puits pour amorcer ma production de cyprine, tantôt un ou deux doigts pour prendre la mesure de la profondeur dudit puits et pour étudier l’élasticité de ses parois tout en pompant mes fluides. Il suce, lèche, pénètre, remue, additionne les doigts pour m’élargir, grogne de satisfaction en constatant que je me prête à ses variations dans ce jeu de préliminaires indispensables au succès de notre dessein. J’apporte zèle et compétence pour préparer sa matraque. Je le tiens dans mes deux mains placées en anneaux successifs autour de la longue colonne de chair palpitante.et j’accorde à l’impressionnante pointe qui dépasse de mes mains des lapements, des coups de langue en cercles autour de la couronne supérieure de ce sceptre royal. Je vais me décrocher les mâchoires si je le prends en bouche. C’est si facile avec Robert que ma bouche contient entièrement. Courage, il le faut. Mes lèvres passent, mes dents doivent racler la surface. J’enfourne un peu, je défourne, j’aspire de l’air et je recommence
-Oui, c’est bon, continue, un peu plus.

Sait-il ce qu’il réclame, le pauvre démesuré; je suis au bord de l’étouffement et il prétend s’enfoncer encore. Au fond de ma gorge sa queue chatouille ma luette et il reste encore des centimètres de tube à l’extérieur de mes lèvres. Je frappe sur ses cuisses pour qu’il cesse de pousser dans mon gosier. Heureusement, je n’oublie pas l’heure.
-Stop, si tu veux pénétrer mon vagin, il faut s’y mettre.

En position du missionnaire, il frappe à la porte, en vain. Je tire sur les lèvres de mon sexe, rien n’y fait. Il est trop gros. Quand il force le passage, je crie de douleur. En levrette il passe la tête au prix d’horribles douleurs et de plaintes pitoyables. Il y a un mieux, j’ai le sentiment de m’élargir un peu, mais encore trop peu. Il se couche sur le dos, tient son énorme pique dans une main, la dirige vers le ciel, m’attend. Je l’enjambe, je lui fais face, je m’accroupis jusqu’à toucher le nœud de mes lèvres. Quatre mains les saisissent et écartent la fente. Abel me parle d’un losange rose. Un centimètre, deux, trois, mes chairs cèdent sous la pression. La hampe s’infiltre lentement, s’enfonce millimètre après millimètre dans le manchon qui glisse lentement vers le bas. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Je fais des cercles autour du pivot qui m’envahit. Mais la pénétration est de plus en plus difficile. Le foret a atteint la profondeur à laquelle Robert parvient les jours de grande forme, la suite n’a jamais été visitée, explorée. Là s’arrête les chemins de randonnée ordinaire d’une queue vigoureuse mais ordinaire dans mon corps d‘épouse heureuse. Tout reste à faire. S’il y a des peintures rupestres au-delà de cette limite, elles n’ont jamais été effacées par les frottements d’un pénis, foi de Simone. Après Abel entrera en terra incognita, à la façon des grands explorateurs du XV siècle. Je redoute l’invasion brutale de ces détroits aux bords rapprochés, aux aspérités non polies, je redoute surtout le passage en force d’un bélier impitoyable et les douleurs qu’il pourra engendrer dans ces contrées inconnues et insoumises jusqu’à ce jour.

Le temps me paraît interminable, la douleur est de moins en moins supportable. Parfois je me soulève le long du mât pour la soulager. Mais Abel entend aller au bout et plaque ses mains sur mes hanches et il ajoute au poids de mon corps l’effort de ses muscles pour m’encorner complètement, pour s’enfoncer jusqu’à la matrice. Il me perfore, me troue et finit par comprendre que quelques millimètres perdus en remontant permettent d’en gagner d’autres en redescendant. Je vais pleurer, Abel pousse un cri de victoire, il a heurté le fond du gouffre, m’a envahie, enfilée, embrochée comme une volaille. Il est fou de joie et se moque de mes tourments. Et maintenant ses mains me repoussent vers le haut puis me laissent retomber, m’empaler et il me possède encore et encore. Monsieur a atteint les limites et entreprend après la perforation de me labourer, de me fouiller, de me sabrer avec le vague espoir de m’approfondir encore si c’est possible. Mon vagin devient machine à masturber, bien vite machine à traire et les jets de sperme agissent sur mes brûlures comme un onguent apaisant. Cette fois je m’arrache à son emprise, je remonte la longue tringle qui m’a fouillée.

Ouf, je suis meurtrie mais délivrée. Je le crois. Abel me culbute sur le dos, m’écarte les cuisses, se repositionne et me prouve que désormais, dans n’importe quelle position il pourra me prendre. Son pieu infernal a craché ses énormes réserves de sperme gras et glisse grâce à son jus un peu plus facilement dans mon vagin écorché. Sans pitié, sans considération pour le don que je lui ai fait, le sauvage pompe, me bourre, va et vient en longs mouvements et malgré moi m’envoie au septième ciel. J’ai eu mal, très mal, mais je jouis, je jouis, je joui hihihi, je hurle de plaisir cette fois, je passe un temps fou dans la ouate des nuages de volupté extraordinaire. Et la brute heureuse me remercie d’un premier et interminable baiser à pleine bouche pendant qu’il me farcit le sexe d’une nouvelle et surabondante portion de spermatozoïdes. Il était temps de le délivrer de la pression de réserves accumulée.
-Oh! Toi alors, tu as été merveilleuse!
-Oui, mais vite, c’est fini, il faut te sauver ou mon mari va te casser. A propos, tu mesures combien ainsi déployé?
-Vingt-quatre.

Toilette, départ précipité. 24, c’est le double de 12... Sans compter la différence énorme de diamètre. Et ce qui me trouble le plus, c’est cet orgasme fantastique qui n’en finissait plus
Pourvu que mon coureur à pied soit fatigué ce soir. Je ne supporterais pas une autre union, même avec sa petite queue. Mais, mon Robert, je l’aime. Si. Abel, un accident, un excès de générosité. Car j’aime mon mari. Je l’aime! Abel: un détonateur. Robert va en profiter! Grâce au travail d’Abel, Robert me fera mieux jouir et il en tirera une juste fierté. Mais le voilà.
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Histoire de Veilleur

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