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Hard discount partie 2

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Lue : 1299 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/03/2019

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HARD DISCOUNT
Partie 2
Le lendemain matin, après une douche et un petit déjeuner copieux pour tenir jusqu’à midi, j’ai traversé la ville, qui dormait encore, pour rejoindre le magasin. Quand je suis arrivé, il y avait déjà, effectivement, des véhicules sur le parking. Bien sûr, devant c’était fermé, mais je savais qu’il fallait passer par derrière. Le lourd battant était entrouvert. Je me suis trouvé face à Cathy, la blonde qui aimait se faire prendre en levrette, Marion, la brune qui m’avait accueilli et Barbara. Elles étaient en survêt, et moi aussi, comme me l’avait conseillé Christophe. J’ai eu une pensée pour lui, qui était en ce moment même en d’autres lieux, après m’avoir conseillé. Il y avait un roulement, d’une journée sur l’autre, il fallait quatre personnes pour accueillir la marchandise, même s’il en arrivait dans par la suite dans la matinée, pour gérer le stock. On n’était pas encore bien réveillés. Sur une table, le café chauffait dans la cafetière, et un sac de croissants attendait que l’on pioche dedans. Marion a allumé une cigarette. Cathy et elle se la sont passées, dans un geste qui marquait leur complicité, avant que Barbara ne s’approche avec des pailles. Il y en avait trois, et je suis demandé à quoi correspondait ce rituel, qui apparemment, ne me concernait pas. Il y en a une pour chacune. La plus courte était celle de Marion, qui a souri.
—Alors ce sera mon tour !
Je me suis demandé à quoi elles faisaient allusion.
Le camion est arrivé un quart d’heure plus tard. Il glissait dans la nuit vers nous quand Barbara m’a soufflé :
—Les filles sont friandes des livreurs…C’est vrai qu’ils sont plutôt bien de leur personne…Il y en a parfois deux, mais le plus souvent un seul. Pour éviter les frustrations, on a mis au point ce système qui fait que l’heureuse élue peut disposer du livreur s’il est seul…S’ils sont deux, le problème ne se pose plus…En fait le système est truqué. Je m’arrange toujours pour perdre… Je peux avoir suffisamment de queues par ailleurs pour leur laisser ces types… Ca les met de bonne humeur pour la journée.
Par chance, ils ont été deux à descendre du camion. Et effectivement, ils étaient plutôt beaux garçons. Il y avait un type d’une cinquantaine d’années, brun, mince, avec un visage en lame de couteau, et un autre, plus jeune, mais qui lui avait les cheveux déjà quasi intégralement blancs, beaucoup plus grand, près de deux mètres. La réaction des filles, à les regarder, était tout aussi intéressante. Elles étaient dans un mélange entre fascination et excitation. Marion a fait un commentaire à l’oreille de Cathy, qui a gloussé, et à son tour a soufflé quelque chose à l’oreille de son amie.
Le brun s’est approché, il a souri aux filles. Il avait une tablette à la main qu’il a tendue à Barbara. Ce n’était visiblement pas la première fois qu’il venait. Les deux filles ont avancé jusqu’au camion. Le livreur blond a grimpé à l’intérieur de celui-ci, et leur a tendu les colis, qu’elles ont amené à l’intérieur. Le brun et Barbara examinaient ceux-ci, tandis que Barbara cochait sur la tablette au fur et à mesure. L’espace d’un instant, j’ai douté de la réalité de ce que j’avais imaginé, et même des paroles de Barbara, quant bien même celle-ci les avait prononcées. Ce n’était qu’un moment de livraison tout ce qu’il y avait de plus classique.
Pourtant, le dernier colis amené, et la signature de Barbara tracée sur la tablette, le blond ayant rejoint le brun, les choses ont changé en quelques secondes. J’ai compris que je ne rêvais pas aux attitudes des uns et des autres, à cette attente qui s’est affichée, sur le visage des deux filles, mais aussi, sur celui des deux hommes, et cela d’une manière soudaine. Leur masque d’indifférence s’est effacé, une fois le travail fait, laissant place à leur envie, masquée jusqu’à ce moment. Marion et Cathy se sont calées devant lui, et, ont attrapé l’une de leurs mains, pour l’amener dans leurs pantalons de survêtement…J’ai été troublé de remarquer leurs deux mains bouger ensemble, grosse bosse agitant le tissu, la main de la fille guidant celle de l’homme. On ne voyait rien, mais c’était encore plus fort d’imaginer.
Du coin de l’œil, j’observais Barbara. Elle semblait hypnotisée par le spectacle qui s’offrait à elle. Elle s’était fourrée la main dans la culotte et elle se masturbait avec vivacité. J’ai repensé aux images de son sexe la veille. Je m’étais levé avec une belle érection, qui avait diminué alors que je partais au travail, j’étais de nouveau tout dur. La journée allait être longue…
Elles ont poussé de petits cris pendant que les hommes les caressaient, guidés par leur main. J’imaginais sans mal les gros doigts masculins, et ceux plus fins mêlés pour une caresse intime, qui parcouraient leurs chairs les plus intimes, frôlant et frottant leurs muqueuses…Elles les ont ramenées à la surface, avant de venir s’accroupir devant les deux hommes. Sans surprise, la queue qu’elles ont extirpée de leurs pantalons était gorgée de sang, dure et épaisse…Avec une avidité qui se lisait sur leur visage, elles sont venues les caresser de leur bouche, chacune avec sa technique propre, l’une faisant aller et venir sa bouche sur sa queue, pendant que l’autre elle baladait sa langue sur le membre de son partenaire d’un moment. On voyait bien, et c’était sans doute le plus excitant, que l’une comme l’autre n’étaient pas des novices. Elles étaient impressionnantes d’habileté.
Barbara est venue s’accroupir entre elles…C’était elle le chef, et elle avait droit à un traitement de faveur...Si elle en avait envie, je l’ai compris à ce moment là, elle prenait un tribut sur le plaisir de chaque couple…Sa présence a suffi pour que les deux filles lâchent les queues. Barbara en a masturbé doucement une, prenant l’autre dans sa bouche…Ca n’a d’ailleurs pas semblé déranger le moins du monde les deux filles, qui, le temps qu’elles lui ont laissé le champ libre, se sont caressées mutuellement, la main fourrée dans la culotte de l’autre, s’embrassant à pleine bouche. Barbara a ensuite inversé, prenant dans sa bouche la queue qu’elle venait de masturber, et vice-versa. Au bout de quelques minutes, ayant pris son du, elle s’est redressée, laissant le champ libre aux deux filles, qui sont revenues récupérer les queues que les caresses, manuelles et buccales, de Barbara avaient encore dilaté…Elles se sont calées sur une technique commune, sortant simplement la langue pour venir tourner sur le gland de leur amant, en même temps qu’elles continuaient de se masturber mutuellement. Sans grande surprise, le sperme a jailli, d’abord d’une queue, puis de l’autre, arrosant leur visage de traits blancs dont la source semblait ne jamais devoir se tarir. Les filles ont joui, sans doute autant parce qu’elles se faisaient maculer de sperme que parce que leurs doigts s’agitaient sur leurs parties intimes congestionnées et qui réclamaient une délivrance.
Les types se sont rhabillés, les couilles vides et la queue ramollissante. Ils avaient sans aucun doute un emploi du temps serré et de la route à faire. Ils sont pourtant restés quelques instants supplémentaires, le temps pour eux de regarder les deux filles, qui face à face, faisaient le show, en lapant le sperme éparpillé sur le visage de l’autre et l’avalant, faisant une pause en échangeant des baisers profonds, langue et lèvres maculées de semence.
L’entreprise a repris son fonctionnement le plus normal. J’avais déjà compris son fonctionnement binaire, entre travail intense et pause consacrée au sexe, comme une respiration.
On pouvait sans doute la critiquer, la trouver autoritaire, mais une chose était sûre : la patronne mettait la main à la pâte autant sinon plus que ses employés. Ensemble, on a ouvert les cartons, et disposé les marchandises dans la réserve, avant d’aller vérifier les rayons et de remplir ceux-ci.
On a fait une deuxième pause sur le coup de huit heures. Emily et Anna venaient d’arriver. Apparemment, elles étaient unies par une passion qui ne craignait pas de s’exprimer au grand jour. Pendant qu’on discutait, elles s’embrassaient à pleine bouche, les mains glissées sous les vêtements de l’autre.
Si elles étaient déjà en tenue, c’est avec la même absence de pudeur qu’elles se sont changées, faisant tomber leurs survêtements pour des tailleurs, veste et jupe ou veste et pantalon. J’ai été troublé par leurs corps. Cathy, Marion et Barbara n’avaient, d’ailleurs pas plus qu’Emily et Anna, des corps de mannequins. C’étaient des silhouettes de filles de tous les jours, avec des imperfections, quelques kilos en trop autour de la taille, des hanches trop marquées, une croupe très forte, de la cellulite, mais c’était justement cela qui me plaisait…
Les premiers clients sont arrivés…Barbara m’a prise à part.
—Je dois recevoir d’ici quelques minutes madame S…Tu la connais ?
—Je crois que oui…Elle est au conseil municipal, adjointe au maire en charge du sport, ce n’est pas ça ?
—Je vois que tu es bien renseigné…On doit signer un partenariat aujourd’hui pour sponsoriser les équipes de volley, de foot et de hand de la commune…On verse de l’argent, mais c’est surtout nous qui faisons une bonne affaire…Notre nom sera partout, des terrains aux tenues, et c’est la meilleure manière de marquer les esprits…Nous y gagnons plus qu’elle n’y gagnera…Je me suis renseigné sur madame S…Elle est divorcée, et elle aime beaucoup le sexe…Ca serait une manière de nous la mettre définitivement dans la poche que de lui offrir ce qu’elle aime le plus…Christophe devait s’en charger, mais comme il n’est plus là…Ca te dit ?
J’ai dit oui sans hésiter. Depuis mon arrivée dans le magasin, je sentais que je me métamorphosais à vitesse grand V, emporté dans un tourbillon, découvrant un univers où le sexe avait une part essentielle, et ça me plaisait. J’étais jeune et j’avais envie de corps féminins, comme toute personne de mon âge, mais ça n’avait jamais été ma priorité. Avoir ces filles près de moi, voir ces rapprochements faisait monter en moi des envies qui ne demandaient qu’à s’exprimer. Les heures passées à travailler sur mes sites me semblaient soudain aussi lointaines que vaines.
L’élue est arrivée sur le coup de neuf heures moins le quart. Je ne l’avais jamais vue ailleurs que sur les journaux ou les bulletins municipaux. Elle m’avait parue être une jolie femme, mais les photos sont souvent trompeuses…Elles l’étaient en un sens, parce qu’elle était dix fois plus séduisante dans la réalité que sur les photos. Brune, grande, fine, elle savait s’entretenir et valoriser ses charmes au maximum. Elle avait un joli visage, que ses cheveux coupés courts mettaient en valeur. Elle portait une jolie robe noire à la fois fluide et suffisamment collante pour mettre en valeur ses charmes, et des bottes hautes, luisantes, couleur fauve. Elle s’est approchée de moi, j’étais à l’accueil. L’odeur de son parfum m’a entouré, capturé, ensorcelé. Elle avait un très beau sourire et je me suis dit que je n’aurais pas à regretter les quelques moments que je passerais avec elle, sur la demande de Barbara.
—Bonjour, j’ai rendez-vous avec madame F…
-Je vous y conduis.
J’ai marché à côté d’elle, conscient de l’épaisseur et de la chaleur de son corps, tout près de moi.
—Vous êtes nouveau ici ?
—J’ai démarré ce matin…
Elle m’examinait du coin de l’œil, paraissant prendre soudain conscience de moi, je n’étais plus une simple silhouette, et son regard changeait. Il y avait de l’intérêt dans ces yeux, et la nature de cet intérêt me semblait se préciser très nettement, en concordance avec les propos de Barbara, dont j’avais un instant douté. A tort.
J’ai frappé à la porte du bureau de Barbara. Celle-ci était à son ordinateur. Elle s’est levée, venant vers nous avec un immense sourire dont je voyais bien qu’il était en partie de commande.
—Madame S…Je suis enchantée de vous revoir…Rentrez…Les contrats sont prêts….Je vous présente David, il vient d’être engagé chez nous…Il a beaucoup de qualités…De celles que vous appréciez…
Elle s’est installée sur l’un des deux fauteuils. J’ai eu un instant d’hésitation, mais Barbara m’a fait discrètement signe de m’installer sur l’autre.
J’en ai pris plein les mirettes. Quand elle s’était calée sur le fauteuil, la robe, relativement courte, avait glissé sur ses jambes, remontant jusqu’à dévoiler la quasi intégralité de celles-ci. Elle avait vraiment de très belles jambes, fines et cependant bien galbées. Elle portait des bas stay-up, dont l’attache serrait le haut de sa cuisse. Au-delà, et parce que la robe était vraiment remontée très haut, on pouvait distinguer un simple slip blanc, qui était tendu à l’extrême par son sexe, le tissu dessinant son intimité d’une manière extrêmement précise, marquant à la fois le gonflement de sa vulve et la fente qui l’ouvrait en deux. J’ai eu du mal à arracher mon regard de cette vision, avec la quasi certitude qu’elle s’offrait et était consciente de s’offrir…
Ma queue était douloureuse de désir. Tout ce qui s’était accumulé depuis le matin. J’étais jeune et plein de sève, celle-ci ne demandait qu’à s’exprimer…
Le jolie maire adjointe a attrapé les textes et pris le temps de les parcourir. Pendant qu’elle les lisait, Barbara m’a fait un signe de la tête en direction de ses jambes. Je me suis dit que c’était de la folie. Pas si tôt, pas si vite. Barbara devait pourtant la connaître mieux que moi.
Mes hésitations n’ont pas duré bien longtemps d’autant que j’avais envie d’elle, autant parce qu’elle était très attirante que pour libérer les pulsions qui me rongeaient depuis le matin. J’ai posé ma main sur la botte, comme une sorte d’antichambre, un répit avant de vraiment venir sur elle. J’ai senti le contact froid du cuir vernis…Elle n’a pas bougé, et m’a laissé, alors qu’elle lisait soigneusement le contrat, prendre un premier contact avec sa chair. J’ai perçu sa chaleur au bout de mes doigts, en même temps que l’électricité du nylon qui la couvrait.
Barbara s’est levée et elle a contourné le bureau. Elle m’a défait et a mis ma queue à nu. Je crois bien que je n’avais jamais été aussi dur. Elle m’a masturbé doucement. Alors qu’elle ne pouvait pas ne pas voir, pas plus qu’elle ne pouvait pas ne pas sentir ma main, qui remontait sur elle, à présent sur son genou.
L’adjointe a attrapé le contrat, et l’a paraphé, comme je l’avais fait la veille.
—Il y a toujours une manière officielle de conclure un contrat, et une autre officieuse…Regardez ce que je vous propose…Une belle queue…Qu’en dites-vous ?
Elle avait une attitude étrange…Une manière sans doute de contourner le désir, de ne pas céder à celui-ci immédiatement…Elle a paru découvrir la queue, disant :
—Comme elle est belle !
Elle me semblait pas, par contre, ou du moins elle ne le manifestait pas, réaliser qu’il y avait ma main sur elle, et que celle-ci progressait, à présent sur sa cuisse.
Barbara a dégagé sa main pour lui laisser le champ libre. La belle brune a empaumé ma queue. Elle semblait dans une phase d’hésitation, de transition. Elle a paru se ressaisir, promenant sa main douce et chaude sur ma queue. Sensation autre que la main de Barbara, et la différence entre les deux a fait monter mon excitation d’un cran. Tout comme de sentir contre mes doigts, au-delà du nylon, sa chair nue, délicate et émouvante.
Barbara aurait pu nous laisser, mais son plaisir, je l’avais compris le matin, tenait en grande partie au voyeurisme, et elle voulait tout voir, se repaître de notre spectacle. Je me comprenais aussi, petit à petit, et je savais que j’éprouvais, en retour, un étrange plaisir à être sous son regard…Mais aussi à la voir se tripoter sous mes yeux et éprouver du plaisir…Comme la veille, elle était nue sous son collant, et sans gêne, elle est venue frotter son sexe, déjà bien congestionné, bien ouvert…
Mes doigts sont venus se positionner sur le slip de l’adjointe. J’ai été assailli par les sensations. Le relief de son sexe, le creux au milieu, et la sensation d’une humidité déjà présente, mais qui s’est accrue au fil des minutes, alors que je la caressais…Le tissu, d’abord sec, s’est imprégné du jaillissement de ses sécrétions vaginales, d’abord sur un point unique, puis en s’élargissant. Il est devenu transparent, laissant voir sa chair. J’ai pourtant fini par tirer le slip sur le côté, découvrant le gonflement de sa vulve et ses lèvres qui, sous l’effet de l’excitation, s’étaient dégagées. Son sexe s’était entrouvert, laissant voir l’intérieur d’une muqueuse rose et trempée d’humidité. Je me suis mis à masser ses lèvres…Elle s’est basculée en arrière dans le fauteuil, poussant son ventre vers moi…
—Oui, oui…masse-moi les lèvres…Et le clito aussi…
J’ai tourné sur ses lèvres, mes doigts trempés par ses jus, à présent très abondants. Puis je suis remonté sur son clitoris. Il était encore caché sous la peau le recouvrant, je l’ai décalotté, faisant apparaître le bouton de chair déjà gonflé, qui a encore gonflé sous la pulpe de mon doigt. Du coin de l’œil j’observais Barbara, qui se masturbait avec ardeur, son sexe béant d’excitation, arrosant les parois internes du collant de ses sécrétions vaginales.
Tout occupé à la caresser, je n’avais pas vraiment prêté attention à la sensation de sa main autour de moi. Sensation qui l’a emporté et qui m’a fait me détacher d’elle, et m’abandonner à la joie simple de sentir sa main me caresser dans un mouvement de va-et-vient qui faisait croitre la chaleur qui brulait dans mon ventre. Barbara a compris que si elle n’interrompait pas le processus, j’allais jouir. Or, elle voulait proposer plus à la maire adjointe. Elle a écarté sa main, brisant le charme qui devait me conduire à jouir.
—Je vous propose de venir vous asseoir sur sa queue. Je pense qu’elle vous procurera beaucoup de plaisir.
Ca aurait sans doute gêné certains d’être traité ainsi comme un objet, ou une machine à plaisir, au contraire, j’en éprouvais pas mal d’amusement. Barbara s’est penchée en arrière et elle a attrapé sur son bureau un coffret. Une fois celui-ci ouvert, je me suis rendu compte qu’il contenait une multitude de préservatifs emballés. Elle en a attrapé un, l’a défait et en a extrait un morceau de latex tout huileux, qu’elle a fait coulisser sur ma queue. Prenant l’élue par la main, elle a guidé celle-ci, qui est venue, retroussant sa robe, finissant par en accrocher les pans dans la ceinture qui ceignait sa taille. Elle avait la culotte tirée sur le côté, dans son aine, et le sexe dilaté, ouvert, n’attendant qu’un membre qui vienne se glisser dedans. Barbara a attrapé ma queue et l’a amenée contre les lèvres de la blonde qui descendait sur moi. La queue est partie sur le côté, mais elle l’a ramenée sur l’ouverture, et cette fois ça a été parfait…Centimètre par centimètre, la magnifique élue a accueilli ma queue dilatée en elle, jusqu’à l’absorber totalement, sous le regard émerveillé de Barbara. Elle s’est assise et a fermé les yeux, se tendant et soupirant.
—Mon Dieu, comment vivre sans queue !
Au moins les choses étaient clairement dites…
Les moments qui ont suivis ont été vraiment très bons…J’ai perdu la distance que j’avais pu mettre avec elle, et on a été simplement un couple faisant l’amour…Avec l’assistance d’une troisième personne…Pendant que la ravissante brune se faisait monter et descendre sur ma queue, perdant peu à peu la tête, Barbara tournait autour de nous, prédatrice qui venait se repaître de nos corps, sortant un sein de son décolleté et le léchant, en suçant le téton, descendant là où nos sexes faisaient jonction, baladant sa langue sur les muqueuses de la femme ou sur ma queue quand elle sortait de la gaine chaude…Entre ses cuisses, sous le collant, sa main fouillait son sexe sans relâche…A un moment, ma queue est sortie de la vulve de la fille…Elle l’a attrapée, et a fait aller et venir sa bouche dessus…L’ajout des sensations, l’une après l’autre, la chatte de la maire adjointe puis la bouche de Barbara…J’ai failli jouir tellement c’était bon…Elle m’a soufflé :
—Retiens-toi…C’est à elle que tu dois donner du plaisir…Pas à moi…Moi, ce sera en fin de journée…
L’information s’est gravée en moi, alors qu’elle me refourrait dans la vulve de la maire adjointe. Son clitoris était sorti de se gaine, il dardait, étrangement long, vision aussi excitante qu’obscène. En même temps qu’elle continuait de se faire monter et descendre sur moi elle frottait son clitoris, condition siné qua non pour son plaisir. Ses doigts ont été remplacés par ceux de Barbara…C’est sans doute cette différence entre la caresse qu’elle se donnait et celle de Barbara, qui a adopté un rythme plus lent pour frotter son clitoris gorgé de sang qui a déclenché sa jouissance…Sans gêne, indifférente à ce qui nous entourait, elle s’est mise à crier en enfilant une série d’orgasmes qui l’ont secoué son corps et arrosé ma queue d’un torrent de sécrétions vaginales. Barbara s’est figée, le doigt sur son clitoris, la main sur son sexe, jouissant elle aussi…C’était trop pour moi, et j’ai craché mon sperme dans la capote, déclenchant un nouvel orgasme chez la femme politique.
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Histoire de JamesB

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