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La rencontre : ma femme et son amant

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Lue : 1698 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/01/2019

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Nous sommes fin juillet, il fait chaud, et il n’y a pas grand monde dans les rues de Lyon à l’heure du déjeuner, Beaucoup de Lyonnais sont en vacances. Catherine, mange seule un sandwich, sur un banc en bordure de Saône, à l’ombre d’un arbre.
Catherine a 45 ans, 160 cms, 58kg, de grands yeux verts, c’est une très jolie femme de 45 ans, mariée depuis 20 ans, avec deux grands fils. Elle aime son mari, mais la passion est un peu retombée. Lui est toujours très amoureux et un peu trop pressant parfois. Il lui a proposé des expériences nouvelles pour sortir de la routine, mais elle a trouvé ça ridicule, et l’a envoyé balader en lui disant : » si je ne te suffis plus, tu peux aller voir ailleurs .

Pour l’instant, Catherine pense à ses collègues en vacances, regarde deux amoureux en train de s’embrasser et se caresser de plus en plus sensuellement, ça lui donne quelques chaleurs, et elle se dit qu’ils devraient se trouver un lieu mieux adapter aux ébats qu’un banc public.
Tout à coup elle sursaute, un homme lui demande si il peut s’asseoir à côté d’elle, car c’est le seul coin d’ombre. Elle accepte, et il engage la conversation, (le temps, les vacances, ses collègues en vacances ce qui fait qu’il est seul comme elle au moment du déjeuner). Après vingt minutes, il se lève en lui disant : Je dois partir, je me prénomme Vincent et vous charmante dame ?
Catherine charmant monsieur dit-elle avec un petit sourire.

Quelques jours plus tard, rue de la République, Catherine rentre en flânant en direction de son bureau, quand un homme lui glisse doucement à l’oreille
Bonjour charmante dame on se promène ?
Elle sursaute, surprise et se retrouve nez à nez avec Vincent, qui lui fait la bise en l’invitant à boire un café.
Comme elle refuse car elle n’a vraiment pas le temps, il lui propose de déjeuner ensemble le lundi suivant . Après une brève hésitation elle dit ok. Il lui propose de se retrouver au pont sur le Rhône pour aller manger sur une péniche en terrasse. Et il lui refait la bise et s’éclipse en lui disant à lundi jolie dame. Et elle répond à lundi charmant monsieur.

Le lundi suivant comme convenu, ils se retrouvent pour déjeuner. Il a réservé une table tranquille sur une péniche. L’ambiance est décontractée, ils parlent de leurs vies respectives. Ils se sentent en confiance, ils racontent des détails privés, voire très privés. A la fin du repas, au moment de partir, il lui prend la main, le regarde droit dans les yeux, et lui dit :
Catherine, j’ai envie de toi, de t’embrasser de te déshabiller, de te caresser.
Elle va rétorquer, mais il lui met un doigt sur la bouche et dit encore :
Je serai vendredi à l’hôtel de Bretagne rue Dubois, chambre 25. Nous aurons 2H devant nous.
Je ne te demande pas ton tel, je ne te donne pas le mien. Je t’attendrai. Si tu viens nous prendrons du plaisir, si tu ne viens pas sache que j’aurai passé de très bons moments en ta charmante compagnie.
Là-dessus il se lève, contourne la table, l’embrasse tendrement sur la bouche, et s’en va sans se retourner.
Elle reste là, quelques instants, surprise, confuse, et troublée. Vendredi, l’hôtel chambre 25.
Les jours de la semaine passent, elle n’arrête pas de penser à la proposition de Vincent. Elle espère le rencontrer un midi pour discuter avec lui, mais il a disparu. Un jour elle se dit j’y vais et puis elle se dit non ce n’est pas bien. Ou alors j’y vais pour discuter et elle ne sait plus quoi penser.

Nous sommes vendredi, elle a pris sa décision , elle va aller discuter avec Vincent.
Ce matin elle est partie vite de la maison, elle a peut parler au travail.
A midi elle sort, va sans hésiter à l’hôtel, regarde avant de rentrer si personne ne la voit.
Elle rentre d’un pas hésitant, la dame de la réception lui fait un sourire avec un clin d’œil, elle s’engouffre dans l’ascenseur appuie sur le 2.
La chambre 25 est juste en face l’ascenseur, la porte est entre ouverte, elle frappe doucement, Vincent est là, il l’attend avec un sourire éclatant, une chemise blanche ouverte et un pantalon de toile blanc lui aussi.

Il lui prend son sac, le pose sur une commode, en la remerciant d’être venue. Il s’approche veut la prendre dans ses bras et l’embrasser mais elle se dérobe en lui disant qu’elle veut discuter.
Elle lui tourne le dos les mains appuyées sur le tour de lit. Il s’approche doucement, se colle à elle et la prenant dans ses bras. Il lui parle doucement, lui dit que si elle est là c’est qu’elle a envie de lui. En même temps il l’embrasse tendrement dans le cou, le lobe de l’oreille. Il sent doucement ses résistances fondre.
Sans lui laisser le temps de penser lentement il commence à défaire les pressions de sa robe, qui s’ouvre sur le devant. Elle ne dit rien, elle respire de plus en plus fort, une fois la robe ouverte, il lui caresse délicatement le ventre, et remonte sur ses épaules ou d’un léger mouvement il fait glisser le léger vêtement au sol.
Dans le même temps il lui dégrafe son soutien-gorge, et passe ses mains sous ses seins à la peau douce et soyeuse.
Elle se laisse aller contre son torse, elle savoure ses caresses et ses paroles. Il descend lentement vers le bas de son ventre, la caresse doucement par-dessus sa culotte. Le frôlement de cette main la fait mouiller, elle se sent fondre. L’autre main lui effleure les seins et le cou.
Elle n’y tient plus, elle se retourne, lève la tête, lui sourit, et leurs lèvres se touchent tendrement, puis de plus en plus fort, leurs langues et leur salive se mêlent.
Avec fébrilité elle lui enlève sa chemise, et défait la ceinture de son pantalon. Son sexe sort tendu et vient taper contre son ventre. Elle le prend dans sa main et la masturbe doucement. Lui met sa main dans sa culotte et son doigt passe entre ses lèvres humides.

Il la pousse vers le lit, elle s’assied sur le bord, elle le prend dans sa bouche, fait un mouvement de va et vient pendant que sa langue tourne autour de son gland. Puis elle descend en le léchant jusqu’aux parties, qu’elle embrasse, et remonte pour le pomper de nouveau.

A ce rythme-là, il pense qu’il ne va pas tenir longtemps, et il préfère jouir dans son sexe.
Il la repousse tendrement, l’allonge sur le lit, l’embrasse sur la bouche et descend en la couvrant de baisers jusqu’à son sexe. Il passe les mains sous ses fesses pour lui enlever sa culotte, Elle lève légèrement les reins pour lui faciliter la tâche. Il pose sa bouche sur le sexe offert, insinue sa langue entre les lèvres ouvertes par l’envie, et remonte vers le clitoris tout gonflé de désir.
Elle lui prend la tête et le tire vers elle, elle a trop envie d’être pénétrée par ce sexe dure et large. Il remonte doucement en la caressant, elle écarte les cuisses en repliant le genou sur son ventre, elle prend le sexe dans sa main et le présente à l’entrée de sa chatte en feu. Il la pénètre lentement dans un soupir de plaisir mutuel.
Elle colle son bassin au sien, frotte son clitoris à son pubis. Il la regarde, dans les yeux, lui dit qu’elle est belle quand elle fait l’amour. Elle rougit
Ils ne bougent plus, il est planté dans son ventre brûlant et humide. Ils s’embrassent longuement, il lui caresse les seins et les bras qu’elle a mis au-dessus de sa tête (comme si elle était attachée au bois de lit).
Après quelques instants, il se met à bouger. Il commence à aller et venir, d’abord doucement puis de plus en plus fort.
Il lui demande ce qu’elle veut
Elle lui dit : fais-moi jouir défonce moi, j’adore sentir ta grosse queue bien raide au fond de ma chatte, fais-moi mouiller.
Il va de plus en plus fort, elle écarte les cuisses encore plus, ils sont en sueurs.
Il lui dit qu’il va jouir, qu’il va la remplir, qu’elle mouille comme une chienne, qu’il veut l’entendre gémir de plaisir.
Et tout à coup ensemble ils jouissent. Il éjacule par longs jets brûlant au fond de sa grotte, elle sent le sperme gicler sur les parois de son intimité au moment ou elle jouit comme une folle en râlant et gémissant de plaisir.
Ils ne bougent plus reprennent leur souffle, il se glisse à côté d’elle l’embrasse tendrement. Elle sent leur plaisir couler le long de ses fesses.
Ils ne parlent pas. Après le plaisir elle a des remords, elle lui dit qu’elle était venu pour discuter et non pour faire l’amour, mais qu’elle avait passé quand même un très bon moment.
Puis elle se leva pour aller prendre une douche.
En sortant de la douche, enroulée dans une serviette qui lui arrive au-dessus des cuisses ,il la regarde, lui dit qu’elle est vraiment ravissante et excitante.
Elle voit son sexe raidir à nouveau quand il lui demande de venir s’asseoir sur le lit
Elle lui dit qu’elle n’a pas le temps qu’elle doit retourner au travail
Elle contourne le lit pour ramasser ses vêtements, et au moment où elle se baisse, elle sent deux mains la prendre par la taille et la pousser doucement vers un fauteuil, ou instinctivement elle pose ses mains pour ne pas basculer en avant. Elle sent contre ses fesses le sexe dur de Vincent, elle sait aussi que dans cette position elle est très vulnérable, elle va réagir et essayer de se dégager, mais il est plus rapide, son désir est si fort, que sa main droite quitte la hanche de Carine, il prend son sexe et d’une main ferme le pose à l’entrée de sa grotte encore toute humide de leurs ébats précédents. D’un coup de reins il s’enfonce dans son ventre et la tenant avec force. Elle essaye encore de se dégager, la serviette tombe à terre, de voir sa croupe, et son sexe qui entre et qui sort de sa chatte amplifie sa soif de jouissance. Il la besogne avec force, elle ne bouge pas se laisse faire (elle pense plus vite il aura fini mieux ce sera), il passe la main gauche sur son ventre descend sur son clitoris qu’il caresse. Il sent sa maîtresse réagir. Elle commence à bouger les fesses, à se frotter à lui comme une chienne en chaleur, il la baise de plus en plus fort en la traitant de salope de pute. Elle lui répond : « oui baise moi, fais-moi jouir, je suis ta chienne « . Et tout à coup dans un dernier coup de rein il éjacule et elle jouit en même temps.
Ils sont en sueur, ils ont les jambes qui tremblent, tellement la jouissance fut intense. Elle se redresse doucement, se retourne, l’embrasse, laisse couler le long de ses cuisses leurs plaisirs s’assoit sur le fauteuil, et prend délicatement son sexe dans sa bouche. Il est encore un peu raide. Elle le lèche et le nettoie du sperme et de sa mouille qui le recouvrait. Une fois terminé, il n’a pas bougé depuis leurs orgasmes, elle se lève, l’embrasse à pleine bouche, pour lui faire partager leurs jus et elle lui dit en souriant : maintenant ta chienne s’en va.
Elle s’habilla et sorti de la chambre sans se retourner
Il eut juste le temps de lui dire à la semaine prochaine même jour même endroit.
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Histoire de leno2189

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Commentaires du récit : La rencontre : ma femme et son amant

Le 22/12/2022 - 06:01 par nudemum
Pour un début c'est encourageant

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