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holga femme ordinaire 1/2

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Lue : 743 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/03/2022

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Pour la compréhension de mes histoires, « mari volage et cocu » et « ça a commencé au ciné », je me dois de présenter ce couple, qui y apparaît, voici comment cela s’est déroulé, comme à chaque histoire récente, je modifie les endroits où cela se passe.

Voici une aventure qu’il m’est arrivé, il y a moins d’un an, jamais je n’aurais imaginée que cela puisse arriver, j’employais très souvent des extras lors de fêtes avec des copains, et ce, depuis une bonne dizaine d’années, l’homme avait un emploie, mais elle, non, leur tarif demandé était à mes yeux trop bas, alors j’arrondissais très au dessus, ce qui fait que j’étais très bien servie et quand il arrivait que ces fêtes se décident à la dernière minutes, ils répondaient présents.

Physiquement, son mari n’est pas du genre à être harcelé par les femmes, il aidait la sienne le WEEK-END, sans que je lui demande, mais je le payais quand même, il ne restait jamais les bras croisés, souvent, très souvent, il me matait quand je ne le regardais pas, quand je m’adressais à lui, il perdait ses moyens.

Avec sa femme à force, on avait sympathisé et par la force des choses, avec lui aussi, des gens charmants, lors d’une discussion entre femmes, nous nous faisons des confidences, je lui parle de son mari que j’intimide, elle m’apprend qu’il parle de moi très souvent, elle me rassure en disant que cela ne la dérange pas.

Sa femme, à la mode, celles des mormons, c’est le genre repousse mec, je la tutoie, mais elle, elle n’y arrive pas et me vouvoie, même depuis des années, lors d’une fête suivante, nous rigolons de lui en douce, je m’amuse de cela, nous rediscutons et après hésitations, elle me demande de lui faire un électro choc.

La fée électricité n’a rien à voir là dedans, ils ont une piscine, on échafaude un plan, je prétexte que mon mari a mis trop de produit dans la nôtre et que je ne peux pas m’y baigner, ça pue trop le chlore, devant lui, elle me propose la sienne, disant que l’après-midi, son fils n’est pas là, il va chez un copain faire du VTT.

j’accepte, je me baigne donc aux heures où ils se baignent aussi, bain bronzette, je chahute avec eux pareillement dans le bain, je me frotte par maladresse voulue, lui, il reste à distance, je remarque aussi qu’elle se frotte à moi, je mets ça sur le compte du jeu, il se dépêche toujours de sortir avant nous, pour cacher son short de bain sûrement très serré, je suis en bikini qui sèche très rapidement, vu le peu de tissus.

Ils emmènent leur enfant chez des copains pour faire du VTT, et vont le chercher le soir à tour de rôle, quand l’un va le rechercher, je reste donc avec l’autre qui me crème, ils ont deux fois 20 minutes d’aller-retour.

Sur la serviette, de connivence avec elle, peu avant qu’elle ne parte, je demande, puis-je emprunter ton homme pour une corvée, ils disent oui tous les deux, c’est pour être crémé dans le dos dis-je, il ne savait pas quoi répondre, sa femme lui dit, « aller, ne dit pas que ça va te déplaire », pour donner le change disait-elle, quand c’est lui qui s’en allait, c’est elle qui me crémait.
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Le vendredi, sa femme partie, je lui dis, tient, fait aussi les jambes et les cuisses, aller, il faut que le produit pénètre pour être efficace, j’ai une autorité sur eux, comme si j’étais leur patronne, avec les copains, nous étions leur 14 ou 15e mois dans l’année.

La semaine suivante, après le bain à trois, c’est le ventre que je lui donne en plus, ou là, je me trémousse, vous voulez que j’arrête, dit-il, je dis, surtout pas, continu au contraire, le couple se raconte la journée, car quand je lui accorde du terrain, sans que je lui dise, elle fait comme lui.

La semaine suivante, je lui demande, « fait aussi la poitrine, au-dessus du maillot », moins réticent, il ne se posait plus de question, je dirais qu’il était guéri, il me mettait la crème partout. Sa femme voyait une différence, il me parlait presque normalement et chahutait dans la piscine, au lit, sa femme me disait qu’il avait repris du tonus.

Je lui dis, que si on continue, ça risque de déraper, elle répond, « ça ne serait pas bien grave », et puis quoi encore dis-je en rigolant, ce n’est pas la première, qui me dit cela, en maillot, cette copine n’est pas laide, petits seins, mais niveau corps, ça va, elle aurait besoin de passer au coiffeur, visagiste, esthéticienne.

La semaine d’après je passe à la vitesse supérieure, j’avais pris goût à ces séances, sa femme partie, je lui fais faire les fesses en baissant mon maillot sous le fessier, je lui demande de me faire le dos, mais avec mes bretelles de soutif défait.

Je lui dis, « profitons en avant que ton gars ne soit là, va y fait moi le dos, j’adore être massée », me sachant volontaire, il se dit, « ce n’est pas moi qui abuse, c’est elle qui me le demande », plusieurs fois, je fais, « humm j’adore, continu, plus fort les fesses, je ne suis pas en sucre ».

Je me retourne en pressant mon haut de maillot sur la poitrine, je ne demande rien, lui non plus, mon maillot est juste posé, mon slip est baissé, mes yeux sont fermés, le ciel éblouit, il remonte mon slip pour m’étaler la crème sur la cuisse, ses mains sont prés de la source de plaisir, il n’en profite pas.

Le lendemain, c’est elle qui m’étale la crème, mais je sens bien qu’elle est en mode caresse, étant bi, cela ne m’est pas désagréable, de la voir en maillot de bain, ça me donne une meilleure image d’elle, vous en êtes ou avec mon mari me demande t’elle, je lui dis qu’il m’a fait les fesses hier et que de plus en plus, ça ressemble à des caresses.

Je lui explique comment cela, c’est passé, tournez vous sur le ventre Mme me dit-elle, et contre toute attente, dès que j’y suis, elle me baisse le slip de bain en disant, « comme ça ».

Surprise, je fais, « non, c’est moi qui me l’avais baissé », elle me crème les fesses, ou plutôt elle me les caresse, elle voit mes bras devenir chair de poule et dit, attendez, je m’installe mieux, se mettant à califourchon, elle me tripote les fesses, heureusement que personne n’arrive dis-je, oui Mme, j’adore vous masser, elle découvre légèrement mon anus, qu’elle écarte de plus en plus
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Vous êtes très belle Mme, j’aimerais être comme vous, grâce à vous, le soir, je suis comblée me dit-elle, je réponds, je suis là pour ça, ce n’est pas un travail déplaisant que de se faire étaler de la crème, je vous fais travailler gratis, vous faire cela est un véritable plaisir dit-elle, pour lequel des deux, dis-je.

Elle ne répond pas et défait la bretelle derrière de mon soutif, me crème, et me dit en tournant autour du pot, qu’elle aimerait voir mes seins, je fais celle n’ayant pas entendu, je sens quelque chose venir, sans le montrer, finissant l’endroit ou étaient les bretelles, se relevant, elle me dit, « là, tournez vous Mme", je tiens mon haut de maillot qui cache succinctement mes seins.

Je peux les voir, Mme, dit-elle, je plisse les yeux et dis, à une condition, vous enlevez aussi le vôtre, ho, je, ils ne sont pas aussi beaux que les vôtres dit-elle, je lui dis que c’est moi qui juge, je profite de mon ascendant sur elle pour lui dire, « aller, on ne discute pas, retire moi ça », elle s’exécute timidement en disant « oui Mme », j’en fais de même.

Je tends le bras pour attraper le tube, mon soutif tombe volontairement, mes seins sont à sa vue, attendez, j’ai les mains grasses, je peux vous en mettre Mme me dit-elle, je lui redis, heureusement que personne ne nous voit, elle m’étale la crème sur les seins, puis me les malaxe, en clair, elle me tripote.

Disant, qu’est-ce qu’ils sont beaux, qu’il y a du monde au balcon, qu’elle comprend son mari, je lui dis, c’est toi ou lui que je dois chauffer, petit sourire sans réponse, ne s’arrêtant pas de malaxer, je ne dis plus rien, je la regarde qui regarde ce qu’elle fait, je commence à onduler légèrement mon bassin.

Voyant l’effet qu’elle me fait, elle me pince légèrement les tétons, mes bras étant sur les cotés, je lui pose mes mains sur les cuisses et lui caresse ensuite, effet immédiat, frisson et chair de poule, à moi dis-je en me levant, aller sur le dos, docilement, elle s’y met, je me mets à califourchon sur elle, puis je lui tripote les seins, pinçant les tétons, les miens sont constamment en érection, excitée, ils durcissent, les siens sont plats, mais quand on l’excite, ils prennent forme et durcissent aussi .

Je vois que tu apprécies, dis-je, elle aussi commence à onduler, je profite de sa docilité pour lui « ordonner » de se mettre à genoux, tête sur la serviette, le cul en l’air en somme, ho Mme dit-elle, mais elle s’exécute, je pousse plus loin le jeu en lui disant de s’écarter les fesses, que je vois son petit trou, hoooo Mme, heureusement qu’il n’y a personne dit-elle.

Je réponds que je ne ferais pas ce genre de demande, s’il y avait un risque d’être surprise, je lui dis de tirer plus sur les fesses pour bien voir, et quand elle le fait, je tente le coup, bien, je vois qu’il ne m’a pas menti dis-je.

Quoi dit-elle, je réponds, « ton mari, par un subterfuge, j’ai réussi à lui faire dire que c’était ce qu’il préférait avec toi, il m’a dit, la sodo », lâchant ses fesses, elle va pour se retourner, Disant, « Hooo Mme, non, je, ce n'est pas »
Je la coupe en disant, « ce que je vois de ta rondelle, c’est qu’elle est souvent sollicitée, alors inutile de dire le contraire, tu ne vas quand même pas me mentir, il te sodomise très souvent, ose me dire le contraire, ça me contrarierait, je pensais qu’entre nous, il y avait la confiance".

Non Mme, mais comprenez qu’il aurait pas du, je la coupe encore, en disant, là n’est pas la question, réponds moi, combien de fois la sodo par rapport à la baise, ne voulant pas rentrer dans les détails, la sodo, c’est très souvent, je lui dis, ce que je sais, ça ne reste que dans ma tête, ça ne sortira pas ailleurs qu’a tes oreilles, pour info, ton mari ne m’a rien dit, c’est moi qui en voyant ton anus, je l’ai tout de suite vu.

Hooo Mme, vous m’avez eu, je lui réponds, « inutile de me cacher ces choses-là, tu te ridiculiserais et je penserais que tu ne me fais pas confiance, je serais très contrariée, alors qu’en me disant la vérité… Oui Mme, je vous dirais toujours la vérité, nous allons dans l’eau après avoir remis nos maillots, puis ressortons sécher.

Après quelques minutes de séchage, il arrive, par habitude, je sais que quand on entend des chiens gueuler, lorsqu’une voiture passe dans le chemin menant chez eux, son mari arrive, il roule sûrement plus vite qu’elle, sauf dans le chemin empierré, mais plein de trous.

On a largement le temps de se remettre bien, je lui dis, « la prochaine fois, c’est moi qui te tripote, d’accord », le oui Mme comme à chaque fois, je reste 5 mn quand ils arrivent, je dis, voilà, je vous laisse en famille, à demain, je fais un léger sourire à son mari sans qu’elle ne le voit, et je lui en fais un à lui, sans qu’elle le voit non plus.

Le lendemain, comme la nuit porte conseil, voulant éviter d’aller plus loin avec eux, je voulais leur dire que mon eau de piscine est opérationnelle, mais ça n’aurait pas été correcte de ma part, je les apprécie beaucoup tous les deux pour leur serviabilité et gentillesse, j’y retourne donc, à savoir aussi que le jeu ne me déplaisait pas non plus.

C’est elle qui va chercher son gars, les chiens qui aboient sont un repère de leur éloignement, je dis, aller, au boulot, en me mettant sur le ventre, il est moins timide, il va pour prendre le tube, mais je lui dis, non, aujourd’hui le soleil, il est derrière les nuages, alors masse moi plutôt.

Il est sur le côté pour me masser, je lui dis de se mettre à califourchon, pour eux, je suis leur patronne, celle qui leur rend des services quand ils ont des soucis avec de la paperasserie, celle qui les prend en extra et qui les recommande à d’autres, celle qui parfois les dépanne et où ils remboursent en temps de travail.

Ils m’apprécient beaucoup et c’est réciproque, nous sommes habitués à mon tutoiement et à leurs vouvoiements, il refuse de se mettre à califourchon, par respect, autoritaire, je fais, « aller, aller, pas de mondanité, mets toi à califourchon, aller », après des « mais Mme, non Mme », il finit par s’y mettre.

Ha voilà, c’est mieux comme ça, mais assis toi, force pas sur tes genoux, aller pose, encore, aller, à un moment, il est bien, mais remonte un peu, je lui dis non, remets toi bien, je veux sentir ton poids, il s’y met finalement, aller dis-je, dégrafe et masse, moi, je m’évade (mon esprit).

Une fois le dos fait, il descend et se met à genoux sur la serviette, j’écarte les jambes, aller les fesses, mets tes genoux, entre mes jambes dis-je, aller descend le maillot, il me les malaxe, je lui demande s’il aime, il me sort un « Mme, je », je lui dis que moi, j’adore, je sens que petit à petit, il m’écarte la raie, hummmm oui, j’adore, heureusement que ta femme n’est pas là hein, coquin.

Il cesse en disant, « excusez moi Mme, je ne sais pas ce qui m’a pris », t’inquiète pas dis-je, moi, c’est tout voir, tout entendre, mais rien dire, et je ne t’ai pas dit d’arrêter, aller, continu, il balbutie et masse mes fesses normalement, puis s’enhardit à nouveau, ce n’est pas désagréable lui dis-je, pour toi non plus, je pense.

Balbutiement d’excuses à nouveau où je lui dis, on se connaît depuis combien de temps, vous me connaissez tous les deux, je ne suis pas le genre à me fâcher pour un rien, si tu faisais quelque chose qui me déplairait, je te le dirais directement, je ne partirais pas en faisant la tête, nous ne sommes pas que des employeurs/employés, plus des amis qui se rendent des services.

Il me dit que si je me fâchais, ça le peinerait beaucoup, que sa femme et son fils le tueraient, t’inquiète dis-je, pour me fâcher, il faudrait que tu me masses avec des orties ou de l’huile bouillante, je serais bête de me fâcher pour des caresses, caresses que j’apprécie beaucoup, soit dit en passant, et toi aussi, tu apprécies, ne dit pas le contraire.

Il recommence avec mes fesses, les écartant, je fais, hummmm j’adore, et tu voudrais que je me fâche, faudrait que je sois folle, après quelques petites minutes de ce traitement, je lui dis, « aller, on retourne le steak », je me mets sur le dos, le soutif est juste posé.

Je prends une revue et me la mets sur le visage, pour ne pas avoir le soleil, et surtout pour ne pas l’intimider, aller à califourchon, faisons nous plaisir dis-je, c’est toi le patron.

Il me mate les seins, c’est certain, mais je trouve qu’il passe trop de temps sur mon ventre, masse ce qui est plus haut et si du tissu gène, vire le dis-je, il me dit, « Mme, c’est …. » , oui, tu as bien compris, il l’enlève, tu les trouves moches dis-je, « ho non Mme, ils sont magnifiques au contraire, mais je… » , Aller masse, profite en.

Prenant sûrement sa respiration, il les attrape en disant, ils sont magnifiques Mme, vous le savez, vous m’avez souvent surpris à les regarder, ils sont très beaux et vos tétons qui sont dressés, je peux, je lui réponds, ne demande pas, sert toi, (dans le sens où il pouvait me les tripoter, pincer), il se recule, se couche sur moi et me les embrasse, il suce les bouts tel un bébé affamé.

Le sers toi était dans le sens de malaxer, mais là, ce n’est plus l’homme timide qui agit, c’est celui excité, je ne peux le blâmer, on ne peut pas allumer un feu et rouspéter que ça brûle.

Il a raison quand il dit que je l’ai surpris souvent à me mater, comme beaucoup d’autres, mon mari l’avait du coin des yeux, à me mater la poitrine, je l’avais surpris à me mater le décolleté, je montrais des grues (oiseaux) qui passaient au-dessus de nous, mais il était plus intéressé par le contenu de mon soutif.

Lors de fêtes, je ne voulais pas les faire rester trop tard inutilement, eux et d’autres, à attendre qu’on ait fini pour qu’ils débarrassent, lavent, rangent, alors ils revenaient le lendemain matin, ça les arrangeaient aussi, alors mon mari, le matin, il m’avait « obligée » à aller leur donner mes directives en peignoir.

Peignoir fermé pour celles qui s’occupaient de la vaisselle et peignoir que je laissais s’entrouvrir dans certaines positions pour lui qui rangeait chaises et tables, rien que la bosse de son pantalon, me renseignait sur son état, comme dit maintes fois, mon mari adore jouer ainsi, et comme cela m’amuse et m’excite un peu, je l’avoue, je le taquinais.

Un vendredi soir, je rentrais du boulot, il avait préparé les tables pour le lendemain midi et il ne trouvait pas les pieds des parasols, qui habituellement sont au grenier de la grange qui est à 3.60 m du sol, ce n’est pas possible, dis-je, j’enfile des sabots et en robe courte, je monte à l’échelle que je fais bouger exprès.

Il s’empresse de la tenir, je lui dis, suis moi, je ne me suis pas tourné pour regarder ce qu’il faisait, mais j’ai ma petite idée qui m’a été confirmée en voyant arrivé là-haut, son short déformé, mon mari avait déjà descendu ce qu’on cherchait, il m’a dit, attendez, je descends le premier pour vous tenir l’échelle, je lui ai dit merci.

A suivre
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