holga femme ordinaire 2/2

Chaque soir, je tiens mon mari au courant de la situation, nous l’analysons pour comprendre leur goût, leurs préférences, mon mari a été surpris quand je lui ai dit qu’en maillot, elle n’a rien à voir habillé en guenille, petits seins, mais pas vilains, notre verdict et on ne s’était pas trompé, femme soumise et lui tendance dominant, (tendance, ce n’est pas maître.), il aime conduire les ébats.

Pour elle, c’est très soumise, plus que je pensais, là où mon mari avait raison, il me disait que ce n’est pas elle, qui m’a demandé à ce qu’il m’étale de la crème, mais lui, qui lui a dit de le faire, pour ainsi ne pas risquer qu’on se fâche ensemble, c’est ce qu’il me semble également au fil des semaines.

Nous pensons tous les deux, qu’elle est au courant de ce que l’autre fait, quand il va chercher leur gamin, mais lui non, par contre, elle qui ne donnait pas l’impression d’être coquine, elle m’étonne, nous pensions qu’elle nous a surpris libertiner ou qu’elle a pu penser, que comme je ne suis pas pudique, je suis libertine.

Mais par la suite, très gênée et ne voulant pas me le cacher, elle m’a avouée m’avoir surprise dans la chambre d’amis, avec le cousin que je présente dans (mari volage et cocu 7), elle s’est cachée lorsqu’on est arrivés, elle était revenue chercher son sac oublié le matin, sans me prévenir, on discutait sexe et on a laissé libre cours à nos envies, elle a tout entendue, elle a eu peur que je me demande ce qu’elle faisait la, gêné d’avoir entendue ce qu’on disait, elle est restée caché dans l’autre chambre.


Il faut dire que lors de fête, lorsqu’on plaisante, s’amuse, marie étant nature, suite a une discussion sur le sujet, pour faire bisquer certains copains, elle venait derrière moi, et me prenait les seins à pleine main en disant, regarde les, je suis sûr que leur slip souffre, ils aimeraient être à ma place, les copains répondaient, ils ne souffrent plus nos slips, ils sont mort.

Le lendemain, sa femme reste, c’est à lui d’aller chercher le fiston, aujourd’hui encore, le soleil n’est pas au rendez-vous, après notre baignade tous les 3 où on chahutait toujours autant et où les mains de tous, étaient plus baladeuses, je rigolais intérieurement de la situation, lui se cache de sa femme pour me toucher, elle se cache de lui pour me toucher, et je me cache de l’un quand je touche l’autre.

Une fois, son mari partit et suffisamment loin, je lui dis, « aller on reprend là où on était la dernière fois », elle va pour parler, mais je la coupe en disant, « on ne discute pas », je lui retire son maillot, on ne cache rien dis-je, retire ta main, autoritaire, mais j’y vais crescendo, haaaa mais, qui c’est qui commande, comme elle ne répond pas, je lui repose la question plus autoritaire et elle fini par dire, « c’est vous Mme ».

Je lui caresse les seins, les malaxe, petits seins mais mignon et réceptif, je descends pour lui sucer, hooo Mme fait-elle, je suce les deux seins, puis je lui malaxe à nouveau, ils sont à qui, ces petits seins, j’attendais qu’elle dise « à moi Mme », mais contre toute attente, elle me répond, « à vous Mme », afin de l’encourager, je lui dis, « bonne réponse ».

Une main reste sur son sein, l’autre lui caresse le ventre et descend, elle ondule faisant des « ho Mme », ma main descend encore, elle va entre ses cuisses, « hooo non Mme », je lui dis, tu as déjà joui sous les doigts d’une femme, elle me dit, « non Mme, vous êtes la première femme que, qui, je ….. » , alors écarte dis-je », sans répondre, elle s’exécute et je lui frotte le clito en la regardant dans les yeux qu’elle ferme.

Je lui dis de me regarder, je suis la première personne qui pose les mains sur elle depuis longtemps, son mari mis à part l’effet d’une main nouvelle sur un corps, n’a nulle pareil pour une excitation démesurée, elle s’abandonne à moi, elle m’appartient.

Pendant que je frotte son clito, je lui dis, je te pose des questions et tu y réponds, « oui Mme », tu as honte là ?, « oui Mme », mais tu as envie que je continue ?, « oui Mme », tu sais que tu m’excites aussi ?, « tant mieux Mme », tu sais tout ce dont j’aimerais faire de cochon avec toi ?, « je, je jouis, haaaa …… ».

J’attends que son esprit revienne, et quand c’est le moment, je lui mets mon majeur dans la chatte, elle a un sursaut, « hoooo oui encore Mme, c’est bon, c’est bon, encore », je profite de son état pour lui annoncer la couleur, disant, si tu veux je te prends en main, ça te plairait d’être ma salope, ma pute, mon jouet sexuel, « haaa encore oui tout ce que vous voulez Mme, je suis a vous », tu me donneras du plaisir et je t’en donnerais aussi dis-je.

Je te ferais baiser par des inconnus, dans la discrétion bien évidemment, personne ne le saura, sauf moi, ça te plairait de te faire baiser ainsi, « oui Mme, tout ce que vous aurez envie », bien sûr, je profiterais aussi personnellement de toi, ça… Je ne finis pas ma phrase, elle jouit à nouveau, en hurlant plus que la première fois, je lâche le minou et lui embrasse les seins, elle reprend son souffle et je lui dis, « comme tu vas être ma pute.

Cette femme a une libido, refoulée par ses manques de féminités qui repoussent les hommes, ou du moins, ne les attire pas, me sachant active, je soupçonne qu’elle a cherché à rentrer dans mon cercle libertin, ce qui est presque chose faite.

Je me donne entièrement à toi maintenant lui dis-je, elle me retire mon maillot, m’embrasse les seins, me caresse, elle quitte mes seins et m’embrasse le ventre, elle descend et contourne par les hanches, elle embrasse les cuisses, les jambes, puis remonte lentement par l’intérieur des cuisses qu’elle me fait écarter, j’ai un soubresaut de plaisir en sachant ce qui va m’arriver.

Elle me fait languir en tournant autour de la source de plaisir, puis finalement, l’attrape à pleine bouche, me faisant gémir, je comprends aussitôt que soit, elle m’a menti, soit c’est une bisexuelle qui a longtemps refoulé son homosexualité, cette deuxième possibilité est la vraie, étant toujours à son désavantage, elle n’a jamais eu d’aventure, elle n’a jamais suscité l’envie à celles qui auraient pu lui plaire.

Comme à chaque fois, un nouveau partenaire excitant d’avantage, je ne tarde pas à jouir dans sa bouche ou elle m’aspire littéralement, faisant durer mon plaisir et me remettant sur le chemin du prochain orgasme, elle me fait rouler le clito sur ses lèvres, retourne m’aspirer, et avant que je recommence à gémir, elle me fait mettre à genoux, tête sur la serviette.

Mes fesses sont à portée de langue, elle donne des grandes lichettes de la chatte à l’anus ou elle s’attarde plus, je ne sens qu’une seule sur ma cuisse maintenant, je l’entends gémir aussi, je m’aperçois de ses gestes saccadés, elle se masturbe en même temps, savoir cela augmente mon excitation, je l’encourage à continuer de me bouffer, pour lui dire que je vais bientôt repartir (à jouir), mes paroles l’excitent.

J’entends sa respiration qui s’accélère, son souffle qui manque, sa main tenant ma cuisse, pour bien me presser contre sa bouche, me serre encore plus, l’orgasme me prend, je hurle de plaisir, sa bouche ne bouge plus, elle est immobile sur mon sexe, elle jouit encore.

Complètement lessivées, toutes les deux, nous nous étalons sur la serviette en se tenant la main, notre souffle repris, nous filons dans la piscine, continuer de nous caresser, découvrir le corps de l’autre.

Elle me dira plus tard, que quand elle nous a vu la première fois, (marie et moi.), son mari lui a dit, « qu’est-ce qu’elles sont belles », il lui posait plein de questions, de son côté, elle a eu envie de nous, son homosexualité est devenue plus forte, il faut dire qu’avec mes 2 autres anciennes copines, nous n’étions pas farouche.

Traverser la salle à manger en string et soutif, pour aller s’habiller dans la chambre, lorsque les copains et leurs femmes, en avance, étaient à l’apéro, ça ne me dérangeait pas, et les copines non plus, alors se mettre complètement nue, quand il n’y avait que des femmes, encore moins.

La semaine, son mari n’a pas avancé dans la relation, n’ayant pas plus loin, avec elle, nous avons recommencé à chaque fois, le lundi, en chahutant dans la piscine, avec son accord à elle, sur ce que je comptais faire pour faire avancer le smilblic, en chahutant dans l’eau, elle fait celle qui a décousue sa bretelle de soutif, et nous dit qu’elle va le réparer.

Dans l’eau, quand je chahute avec, à un moment donné, je lui mets la main dans le short et la lui attrape à pleine main, en mimant les mots il me dit, « héééé, non, arrêtez », voulant me rendre la pareil, il met sa main entre mes cuisses et s’excuse, je lui dis, « pas maintenant, tout à l’heure, on sera plus tranquille », il retire sa main et lui fais un croche pied dans l’eau en le poussant, puis j’attrape à nouveau son sexe.

Madameeee dit-il sans se pousser, je lâche la bête, car sa femme arrivait, elle nous dit qu’elle ne se baigne plus, qu’elle va profiter d’aller chercher son fils, en faisant quelques courses avant, une fois sa voiture hors de vue, il me dit, attendez, vous, je me « sauve" (pas facile, dans une piscine de 15 m²).

Il me poursuit, il fait la baleine pour aller sous l’eau me baisser le slip, bien sûr, je me débats en rigolant, il me fait un croche-pied, comme je lui avais fait avant pour le défaire complètement, il me laisse m’échapper, mais c’est pour défaire son short, le voilà nu aussi.

Il me rattrape facilement, passant sa main entre mes cuisses pour me soulever, m’immobilisant, il me plaque en douceur sur le bord de la piscine, j’oppose une simili résistance, puis se collant derrière moi, son sexe bien dur, est sur le mien, il me dit en respirant très fort, « tu la sens ma bite là, hein ça te plaît », il me tutoie, je suis étonnée, mais je fais comme si de rien était.

M’agrippant les seins faisant glisser son sexe sur le mien, il me dit, « ho putain, tu me fais bander », grand moment de solitude, il se rend compte de ce qu’il dit, après un blanc d’une minute environ, voyant que je ne dis rien, il continu, « t’aimes ça me faire bander », il attend encore ma réaction, puis recommence en me dégrafant le soutif.

Me voyant toujours docile, me laissant tripoter les seins et frotter son sexe contre le mien, il continue en disant, « ça te plaît, tu vas voir », je ne le reconnais plus, c’est sa voix, mais est-ce l’excitation, qui lui fait me tutoyer sans s’en rendre compte, cela ne me dérange pas, comme je suis excitée aussi par les allers venus de son sexe, ainsi que ses mains sur mes seins, je me cramponne au bord pour bien profiter.

Sors de l’eau, je vais m’occuper de toi, dit-il, j’adore son ton autoritaire, que je découvre, je vais sur la serviette, pour me sécher, il arrive, s’essuie, il n’a pas un corps qui nous fait rêver, sexe normal, je n’ai pas le temps de faire l’inventaire, il m’attrape sans ménagement, m’allonge sur le dos, et me bouffe la chatte, en moi-même, je me dis qu’il ne perd pas de temps.

Il m’approche de l’orgasme, puis arrête pour me pénétrer avec son doigt, l’excitation m’empêche de dire quoi que ce soit, de peur qu’il arrête tout, « t’aimes ça dit moi, hein dit le ? » , je réponds oui, à sa deuxième demande, je me rapproche à nouveau de l’orgasme, il retire son doigt et dit, « sur le vente maintenant », m’aidant pour aller plus vite.

Il se repositionne et dit, « met toi le cul en l’air, tête sur la serviette », il a ses coudes sur la serviette, il est allongé derrière moi, j’ai le fessier en l’air, à sa vue, allongé aussi, disant, « ho putain qu’il est beau ton cul ».

Tu croyais me l’attraper et que ça me laisserait de marbre, ho putain la belle rondelle, ho putain, son doigt m’effleure l’anus, je frémis en position attente, ho putain redit il, les » ho putain » ne sont pas naturel, à ce moment-là, j’étais sûr qu’il me testait et j’ai eu raison

Son doigt rentre doucement, il me dit, « tu aimes ce que je te fais et comment je te parle", je ne réponds pas, je gémis et bouge le fessier, oui, tu aimes ce que mon doigt te fait dit-il, je ne réponds toujours pas, il me dit, tu sais que j’aime ça ce coté là, toi aussi apparemment, t’aimes et tu ne veux pas le dire, alors je vais continuer, tu aimes qu’on soit cochon, je me trompe ?.

Non, j’ai raison, alors je continue en prenant plus de libertés, « la bourgeoise qui se fait fourrer le cul par un manœuvre, c’est ça que t’aimes, c’est réciproque, doigter une femme comme toi, surtout aussi belle, belle et sa.lo.pe, hein, tu es salope, tu aimes aussi que je te parle comme ça.

Je suis dans un autre monde, celui de l’extase, je bouge mon cul, je gémis, je lâche des râles de plaisir, il continu disant, une bonne putain, hein salope, il accélère la cadence, il se cramponne, il me doigte de plus en plus vite, je m’approche à nouveau de l’orgasme, je gémis de plus en plus fort, je vais te faire du bien, hein salope, tu aimes ça qu’on te bourre le cul espèce de morue, ho putain ma bite, elle va exploser toute seule.

Regardez-moi la, elle jouit cette salope, en effet, je jouis, lui n’est pas loin, il se retient, quand je suis soulagé, il me dit, « sur tes seins, sur tes seins que je veux cracher », il retire son doigt et m’aide encore à me retourner, très vite, il se met à genoux, ses fesses sur mon ventre et dit, « branle moi salope, je veux que tu me fasses juter sur tes seins.

Je lui attrape les bourses d’une main et de l’autre, je le masturbe, juste en équilibre avant l’explosion, il râle, souffle, après deux faux départs pour jouir que j’ai retenu, au troisième, je laisse tout partir, il me dit, « oui salope, vide bien, continu, tu as du métier".

On s’affale sur les serviettes, pour reprendre notre souffle, une fois qu’il a un peu récupéré, il va chercher de l’essuie-tout, puis m’essuie, je lui demande une autre feuille pour peaufiner le nettoyage, il se met à côté de moi et me dit, « Mme, je m’excuse pour tout à l’heure, je ne pensais pas du tout ce que je disais, je… » .

Il est à côté de moi, à terre, je lui dis, « tout à l’heure, c’était un moment magique, dans ces moments-là, on peut tout dire, tout faire », il y aura-t-il d’autres moments magiques demande t-il, je réponds que rien ne s’y oppose, à une condition, il me regarde et dit, « laquelle ? ».

Puis attendant ma réponse, je lui dis, ta femme, je veux qu’elle prenne soin d’elle, coiffeur, salon esthétique, enfin tous les trucs de femmes qui attirent les hommes, il me dit que comme maintenant elle travaille, ils ont changés de crédit et rembourses plus pour payer moins longtemps, je lui dis, « c’est moi qui m’occuperai d’elle dans ce domaine ».

Mme, c’est gênant dit-il, je lui dis qu’il me remboursera en nature, il va pour parler et je lui dis que ce n’est pas négociable, ce jour où j’écris, sa femme sait ce qu’on a fait, mais elle ne sait pas qu’il me traite, ni qu'il me met des fessées.

Lui, il ne sait pas que sa femme est devenu ma chose, nous avons passé un test tous les 3, sans qu’eux ne sachent pour l’autre, depuis, il me baise de temps à autre, suivant mes envies et possibilités.

Quant à elle, c’est mon esclave sexuelle, je suis son coach pour tout ce qui est, esthétique, manière de marcher, de se tenir, de parler ainsi que de se vêtir, elle fait tout ce que je lui demande, dans le respect de l’hygiène et de la discrétion.

Habillée sexy, coiffée, maquillée légèrement, avec un bon mois à apprendre à se tenir et à marcher, je l’ai fais passer devant des copains, des collègues à elle et même de son mari, aucun ne la reconnu, car pour son entourage, je lui ai dis de changer, de façon crescendo.

Ses apparitions coquines sont dans les histoires citées au tout début d’Holga, femme ordinaire ½.
Pour info : le H d’Olga (holga) est voulue.