ACCUEIL > En groupe > Récit : Ibis

Ibis

+11

Lue : 2373 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/12/2015

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Nous avons joué ce soir à ***, et comme il y a un second concert demain, l’orchestre a réservé des chambres à l’Ibis du coin, tous les autre hôtels étant complets.

La chambre est confortable, le lit est vaste, et je me couche avec plaisir.
Je suis crevée, mais je ne trouve pas le sommeil tout de suite. Il est plus de minuit, car nous avons mangé un morceau et bu un coup après le concert. Du coup, je suis un peu pompette.

Je mets la télé et je zappe sur les chaînes. Il y a Canal +, et comme c’est samedi, il y a un film de cul. Ça me fait toujours de l’effet, même si je me lasse assez vite. Pourtant, mes doigts descendent vers ma fente et je commence à me caresser lentement. Le plaisir monte doucement devant les gros plans d’une femme prise par deux hommes, devant et derrière. . J’ai mis le son très bas, car je ne voudrais pas que les voisins se rendent compte de ce que je regarde.

Justement, des voisins il y en a : je les entends clairement discuter, puis, après un silence, certains bruits me parviennent dont l’origine ne laisse guère de doute. Une femme geint et halète, poussant parfois de petits cris. Mon attention pour le film s’estompe, et, excitée par ce nouveau sujet, je me lève pour m’approcher de la cloison. Je colle une oreille au mur, les sons se font plus précis. Je m’aperçois alors qu’une porte de séparation existe entre les chambres, comme souvent dans ce type d’hôtel, pour permettre le rapprochement des familles : les enfants d’un coté, les parents de l’autre. Comme toujours, il y a deux portes permettant à chacun de s’enfermer de son coté.

J’ouvre la porte de mon coté, et colle à nouveau mon oreille à la seconde porte. Les sons deviennent plus clairs, elle semble vraiment apprécier les caresses qu’elle reçoit ! J’ai baissé mon pantalon de pyjama et ma main a repris le chemin de mon entrecuisse. J’essai de m’imaginer leur position. Appuyée sur la porte, l'oreille collée, je me caresse de plus en plus vite, et le plaisir monte.

Patatras ! La seconde porte s’ouvre brutalement et je tombe en avant au milieu de leur chambre, entravée par mon pantalon sur les pieds. La porte, sans doute pas verrouillée de leur coté, a cédée sous ma pression.
Je suis par terre cuisse ouvertes, morte de honte, prête à pleurer ou à inventer n’importe quoi pour me justifier !

J’ai quand même eu le temps de les voir sur le lit : ils ne sont pas deux, mais trois : deux hommes et une femme, trente-cinq quarante ans, elle sur le dos, largement ouverte sous la langue de l’un des hommes, à genou devant elle. Elle suce l’autre, debout à coté du lit.
Mais cela ne dure qu’un instant : l'homme le plus proche saute vers moi, me relève et me soutient gentiment. Il me demande si je me suis fait mal. Je bredouille une explication idiote, qu’il fait semblant de croire. C’est un type grand et mince, genre kabyle, glabre, avec un membre long et fin qui est encore raide et luisant. Les deux autres se sont interrompus, et nous regardent. L'autre homme s’est relevé du lit. il est plutôt trapu, brun, pas très grand, avec une bite courte mais énorme, en pleine érection. Une perle de liqueur séminale la décore. Elle, brunette aux cheveux courts, a toujours les cuisses ouvertes et me regarde curieusement. Sa vulve est rasée ne laissant qu’un ticket de poils pubiens au dessus de lèvres rouges et luisantes.
L’arabe me conduit titubante jusqu’au lit, et m’assois sur le bord. Il me pousse légèrement et je bascule vers l’arrière, la tête sur le ventre de la brune. Je bredouille que je dois partir, que je ne voulais pas les déranger, mais avant que j’ai pu m’exprimer clairement et me relever, une main frôle ma fente et l’arabe dit aux autres : « elle est vraiment mouillée, on ne peut pas la laisser comme ça ! ». Il caresse doucement mes lèvres d’un doigt, tandis que de l’autre main il pétrit mes seins, chacun à tour de rôle. Je n’ai jamais pu résister longtemps à ce genre traitement, alors je ferme les yeux et m’abandonne, rouge de honte et de plaisir mêlés. Pendant ce temps, le petit brun s’est replongé dans les cuisses de la femme, qui recommence à geindre doucement, puis de plus en plus fort. Les doigts sur mon clitoris se font plus insistants, je me cambre en résistant au plaisir qui monte, qui monte. J’essaie d’attraper sa bite, mais elle est trop loin, alors je me laisse aller. Mon bassin ondule et sursaute au grès du plaisir, de plus en plus vite, de plus en plus fort ! Je sens que ça viens, et puis tout s’arrête ! La main m’a quittée, ainsi que l’arabe, qui a cédé sa place au lécheur. Il me relève les cuisses, et je sens sa langue fouiller ma fente et titiller mon clitoris avec une technique parfaite. Mon angoisse est oubliée, et mon plaisir recommence à monter, d’autant que ma tête est agitée par les soubresauts du ventre de la petite brune, que l’arabe baise maintenant avec ardeur. Ses jambes sont sur les épaules du type, et en tournant la tête, je peux voir le dard long et fin qui la pénètre. Elle mouille abondamment, et son clitoris est rouge et gonflé, saillant entre les lèvres. Elle me regarde aussi, les yeux mi-clos et la bouche entr’ouverte. Je suis de plus en plus excitée, et je ne maitrise plus grand-chose.

La langue se retire de mon sexe trempé, et il relève mes jambes jusqu’à mettre ma fente ouverte saillante au bord du lit. Il les tient écartées en s’appuyant des deux mains sur mes mollets, et je sens son dard presser à l’entrée. Ça me semble vraiment trop gros, mais une poussée ferme du bassin et je suis prise. Sa bite est vraiment énorme, avec un gland qui me tire des cris chaque fois qu’il passe pour entrer ou sortir. Il a bien compris que c’est ce passage plus étroit à l’entrée du vagin qui, tirant et repoussant le clitoris tour à tour, me fait perdre les pédales. Maintenant, il accélère, et je plante mes ongles dans ses fesses en le tirant vers moi en cadence. Pourvu qu’il me laisse jouir avant lui ! Je sens que ça monte, ça monte, Haa, Haaa, Haaaaa.. oui, ça vient, continue, Haa , Haaaa, Haaaaa, oui encore…Haa, Haaa, Haaaaa, Ha Ouiiiiiiiiiiii… Je tourne brutalement sur le coté pour fuir le contact qui devient insupportable sur mon clitoris, mais il me tient bien, en râlant, s’enfonçant à fond quatre ou cinq fois malgré mes cris : arrêêête…arrêêête…, il envoie tout au fond de mon vagin. Je me relâche, et il s’affale sur moi, haletant. Il est lourd, mais je suis bien, apaisée. Il reste ainsi quelques instant, puis se relève, me regarde et prend un kleenex sur la table de nuit, qu’il me tend. Je m’essuie la chatte. Je me rends compte alors que les deux autres nous observent les yeux entr’ouverts, se caressant mutuellement. La honte que j’avais oubliée me reprend, et je me tourne sur le ventre en m’allongeant, cachant mes yeux sous mon bras pour masquer mon trouble. Le grand Kabyle me passe la main sur les fesses, il bande doucement sous les caresses de la brune assise à ses cotés. Mon baiseur s’est assis sur le bout du lit, un peu sonné. Les câlins sur le dos m’ont toujours fait de l’effet, et je me concentre sur eux en oubliant ma gêne. Je m’assoupirais presque, si les caresses ne devenaient pas plus précises, s’attardant sur l’intérieur de mes cuisses en remontant de plus en plus haut. Il pousse un peu pour les écarter, et je me laisse faire : le désir est en train de revenir. Les doigts s’insinuent vers ma fourche, et glissent sur mes lèvres trempées. Je recommence à onduler doucement du bassin, il ne peut avoir aucun doute sur l’effet qu’il me fait. Je me retourne sur le dos, pour lui faciliter la tâche. Il continue ses caresses, j’ouvre un peu plus, ça devient vraiment bon, je tressaute du bassin à chaque titillement sur mon clito. J’aimerai bien maintenant qu’il me prenne, sa longue queue me fascine entre les doigts de la fille. Il a du deviner, car il vient sur moi et m’entraîne en tournant pour que je le chevauche. La brune s’est rapprochée de moi et me pelote les seins, en se caressant la chatte. Je me pose assise sur cette longue queue, et je l’absorbe doucement toute entière. Elle tape sur le fond du vagin et me fait un peu mal, je suis obligée de me maintenir en suspens. Je monte et descend avec délice, mais c’est trop dur et je me laisse aller contre sa poitrine, soulevant les fesses pour lui donner la possibilité d’aller et venir lui-même. Il va d’abord doucement, puis de plus en plus vite, je sens le plaisir approcher et je lui renvoie des coups de reins en réponse. Il ralentit, puis reviens progressivement à ses coups de boutoir rapides et profonds.

Puis il arrête tout d’un coup, et je sens quelque chose entre mes fesses : le brun que j’avais oublié a repris vigueur, et il est en train de me forcer l’anus doucement avec un doigt mouillé de salive. Dans ma position, tenue par les épaules, je ne peux rien faire et ça glisse tout seul. Quelques va et viens, encore un peu de salive, et cette fois ce n’est plus son doigt : je me souviens de la taille de son gland, et je prends peur. Il pousse lentement, tandis que l’autre recommence à me pilonner. Chacune de ses pénétrations me procure un plaisir décuplé par ce qui rentre petit à petit dans mon cul. Tout à coup, le sphincter est franchi, et les deux bittes sont à fond en moi. Je n’ose plus bouger, sentant que le moindre mouvement précipiterait l’orgasme. Ils recommencent tous les deux à me pistonner lentement, et je sens un immense frisson incontrôlable me parcourir. Tous mes muscles tremblent, mes dents claquent, je bredouille et crie en même temps un ouiiiiiiiii interminable, je ne sais plus où je suis, je n’en finis plus de tressauter, de vibrer, tandis qu’ils accélèrent tous les deux pour jouir en même temps dans mes deux trous. Je me sens inondée de sperme, écrasée et prisonnière, mais comme c’est bon ! La brune, elle aussi, est arrivée au bout de son plaisir de voyeuse et râle en contractant le bassin et les cuisses serrées sur sa main.

Ils se sont étendus à mes cotés, et je me lève pour m’essuyer. Je déteste sentir le sperme couler de mes fesses, et je prends un kleenex sur la table de nuit. C’est bizarre, je ne ressens plus aucune gêne, je ne me cache même pas. D’ailleurs, ils ne me regardent plus, reposant tous trois les yeux mi-clos. Je récupère mon pantalon de pyjama que j’avais piteusement perdu pour me relever de ma chute, et je me dirige vers la porte fatale pour rentrer dans ma chambre. Je n’ose rien dire, mais la fille m’appelle : « tu n’ vas pas partir comme ça ! Viens boire un verre au moins ! » Je me retourne et j’hésite, mais au point ou j’en suis ! Et puis finalement, ils ont l’air plutôt sympa ! Je reviens donc vers eux, et nous commençons à causer, eux toujours à poil, moi dans mon pyjama de pilou. Ils me demandent ce que je fais là, mon prénom, puis expliquent que eux, ils sont sortis en boîte et qu’ils ont voulu finir la nuit en beauté…

Ils m'offrent un jus d'orange du petit frigo-bar, et nous causons gentiment.
Nous sommes apaisés, et la nuit s'achèvera dans mon lit d'un sommeil réparateur.
Je ne les ai jamais revus, nous n'avons pas échangé nos adresses, mais ça reste un souvenir excitant.
11 vote(s)


Histoire de fields

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Ibis


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :