Il est mon venin

Ce soir là nous nous étions donnés rendez vous au resto indien de la vieille ville.
Il était le premier arrivé comme à son habitude, il regardait le menu affiché à l’extérieur.
Ses cheveux en bataille mal coiffé, j’adorais l’observer ainsi en imaginant son appétit augmenté en voyant les plats indous.

Il m’avait dis viens en jupe et sans culotte avec des DIM up … je m’étais exécutée, obéissante avec cette sensation excitante de soumise.

Au fur et à mesure que je m’approchais de lui je me sentais fébrile une chaleur douce m’envahissait le bas ventre et j’avais une grande envie de sexe.
Il se retourna, et son doigt sur ses lèvres, il s’approcha pour m’embrasser sans un mot
Ses mains encadrant mon visage, sa bouche s’écrasant sur la mienne
Un baiser d ‘amoureux qui mélange douceur et fougue. L’union de nos lèvres et de nos souffles … La caresse de nos langues qui se frôlent qui s’enroulent à n’en plus en finir …

Tu vas bien ma chérie ?
Allez viens j’ai très faim !

Tout le long du repas ses yeux se fixaient sur le moindre de mes mouvements, mes seins se gonflaient à son simple regard sensuel.
On devinait mes tétons dressaient sous mon chemisier, je savais que çà le rendait fou.

Je vais aux toilettes dis-je

Je sentais ma chatte humide, je sentais des contractions dans le bas de mon ventre
J’avais envie de lui
J’avais envie de le rendre fou
De le voir bander dans son pantalon

Apres avoir fais pipi je mis mes doigts dans ma chatte pour me caresser en douceur, pour imprégner mes doigts de ma mouille…

Au retour de ce petit intermède, je m’assis
Et sans qu’il puisse dire un mot je lui fourrais mes deux doigts dans la bouche
Délicatement il me les suça, ses yeux étaient brillants et sans même le voir je savais qu’il bandait
J’adorais cet état autant que lui
Apres avoir ôter mes doigts de sa bouche
J’ai pu lire sur ses lèvres

Je vais te baiser salope

A ces mots une vague de chaleur m’envahi, mes tempes explosaient de désir de lui, de ces mots.

Je mouillais comme une femme en chaleur, mes seins étaient douloureux.

Apres avoir payé, nous voilà arriver à l’hôtel, pendant le trajet dans le taxi mon chéri avait fouillait ma chatte qui lui avait inonder les doigts
Ensuite il les fourra au fond de ma bouche et me dis au creux de l’oreille

T’es ma salope ce soir je vais te faire souffrir …

La tête me tournait par ces mots ces baisers ces doigts qui me fouillaient je n’avais pas réellement notion de ce qu’il m’avait préparer
J’étais dans une sorte de transe
D’urgence de lui de le sentir
J’avais envie de sa queue par toutes les cotés
Je voulais baiser avec mon amant

Dans la chambre d’hôtel, la porte à peine fermé il m’attrapa violemment et me bloqua le visage contre le mur, prisonnière je n’avais guère de place pour me rebeller
Mais en même temps cela me plaisait assez
Ses mains relevèrent ma jupe pour découvrir mon cul de chienne en demande de bite
Ses doigts caressaient mes fesses avec une infinie douceur alors qu’il me maintenait de son autre main assez violemment
Ma tête bascula en arrière sa bouche venait dans mon cou m’embrassai me lécher me mordre

Je sentais que ça coulait entre mes cuisses, il relâcha sa pression mais je en bougeais pas ses doigts vinrent ramasser mon nectar entre mes cuisses pour l’étaler entre la raie de mon cul.

Je sentais son souffle court dans mon cou
Moi-même j’avais du mal à trouver de l’air
Instinctivement je me cambrais pour lui offrir mon petit trou
J’avais envie qu’il me fouille plus profondément

Et là contre tout attente il me dit sèchement

Déshabille toi
Je te veux totalement nue

Pendant qu’il pianotait sur son tel, je m’exécutais contrarie qu’il s’occupe de regarder son mobile A moitié en colère je m’assi nue sur le bout du lit

Qu’est ce que tu fais ?

Rien

Ce soir je veux jouer ma chérie et tu sera à moi tu sera mon objet tu veux ?

Il vient m’embrasser amoureusement …

Comment résister même sans savoir ce qu’il m’avait préparé …

A partir de ce moment là j’étais sa soumise sa chose plus rien ne pouvais nous arrêter
« No limit » unis comme deux amants fous d’ivresse .Allumes le feu je plongerais dans le brasier …

Il m’attacha les bras à la poutre du plafond

Allez t-il abuser de ma condition de prisonnière pour jouer avec moi, allez t-il m’offrir comme nous en avions si souvent parler ….. À qui ….comment ….

Ecartes les jambes, montres moi ta chatte de soumise

Je sentais que ça coulait le long de mes cuisses, son visage s’approcha de ce filet de mouille pour venir le boire
Jusqu’à remonter à la source
Ses mains glissaient de mes chevilles jusqu’en haut des cuisses, entre la limite du bas et de ma peau
Le contact du nylon sous ses doigts me faisait sentir bourgeoise allumeuse et des que ses doigts effleures ma peau je me sentais femme sans défense.
Sa langue s’immisça au fond de mon antre où il sait y percer tous les secrets
Ou tout lui appartient
Ses doigts vicieux s’ajoutaient à sa langue fouineuse
Je voulais mettre mes mains dans ses cheveux lui enfonçait le visage comme je l’aimais faire sur mon minou en chaleur
Mais ces cordes m’en empêchaient, je rageais comme je jubilais d’être à sa merci
Il savait me rendre folle il savait accentuer mes rythmes cardiaques à chaque coup de langue
Le creux de mon ventre me brûlait

Il s’arrêta, me fis signe de me taire
Et à ce moment précis lorsque la porte s’ouvrit
Et que j’ai vu notre invité surprise
Un cri de rage resta coincé au fond de ma gorge
J’avalais difficilement ma salive
Je le haïssais
Je le maudissais
Notre invité était une ravissante femme beaucoup plus jeune que moi

Mon amant maudit, mon poison, mon venin s’assit au coin de la chambre dans la pénombre
Je le devinais à peine
Il me regardait je le savais
Voyez t-il mon regard assassin, ma haine …

De là le temps s’arrêta
Le fille enleva ses vêtements comme si elle me faisait un strip rien qu’à moi
Ses yeux étaient aguicheurs
Je la détestais, je n’aimais pas son corps
Je n’aimais pas ses seins
Rien en elle ne m’attirait
Elle me semblait vulgaire

Mais bizarrement autant la situation m’horrifier, faisait monter une rage démoniaque
Je ne disais rien et même je voulais aller plus loin
Puisque que mon amant avait décidé de me rendre dans cet état de rage
Je décidais de rester muette et placide

Quitter mon corps, non ce n’est pas moi qui suis attachée qui vais me faire bouffer la chatte par cette pimbêche pendant que mon amant se caresse comme le pire des salops.

Elle se mit près de moi caressa mes seins du bout de sa langue
Délicatement timidement
Sa langue descendit sur mon nombril
Et ses doigts entrepris un voyage autour de mon minou encore humide des coups de langue de mon amant
Elle titilla mon clitoris je gémissais je tremblais légèrement

Il faut que je me contrôle
Je ne veux pas lui montrer que je prends du plaisir

Et pourtant cette situation que je redoutais qui m’as fait tant râler lorsque nous en parlions
Je la vivais là maintenant avec lui
Et j’y prenais du plaisir délicieusement érotique.

Sa langue de fille sexy venait aspirer mes lèvres, mon clitoris
En délicatesse et tendrement
Elle était douce avec sa bouche et sa langue

Je fermais les yeux et je me laissais faire mes jambes s’écartaient de plus en plus à chaque coup de langue
Ses mains s’accrocher sur mes hanches pendant que ses mouvements de langue s’accentuaient
Elle la rentrait, la sortait
Aspirer… lécher… sucer… frôler…souffler …
C’était des vagues successives de nouvelles sensations
Je gémissais à chaque nouvel assaut de cette partenaire que je détestais

De là mon amant s’approcha nu
Mon regard le fusilla
Lorsqu’il s’installa devant moi
Et donc dos à cette femme qui avait les fesses relevées
Il posa ses mains sur ses fesses sans bouger
Son regard dans les miens

Je criais ; je vais te tuer
Salop

Et me répondit
Encore chérie

Il attendait mon accord visuel pour continuer ses caresses

Et elle qui continuait à me lécher alors qu’elle sentait la queue de mon mec sur son cul ….

Alors qu’avec ses doigts elle me fouillait la chatte
Dans un gémissement je lui soufflais

Je te hais sale con

Ses mains entrepris d’écarter les fesses de ma partenaire
Il cracha sur son petit trou
Et y passer un doigt
Elle se cambra un peu plus
Et sa langue me baiser encore plus fort
Quand il lui fourra un doigt dans l’anus elle gémit au fond de ma chatte qui coulait abondamment

Il lui mit deux doigts
Sa bouche pinça mes lèvres gonflaient de désir et de haine
Il commença des va-et-vient
Et à chacun des ses mouvements elle me pénétrait plus loin
Et cela nous arrachait des cris à chacune
Lui il bandait comme un fou
Sa queue devait lui faire mal à ce salop

Mes yeux ne le quittaient pas pendant qu’il fourra ses doigts dans le cul de ma bouffeuse de chatte !
A ce moment là notre union était parfaite était délicieusement perverse

Apres un dernier cri la nana s’effondra certainement emplis de crampes dans les bras la langue devait lui faire mal aussi : bien fait !

Elle se remit debout face à moi elle m’embrassa sur la bouche doucement
Et quitta la chambre d’hôtel

Mon amant me détacha toujours bandant

Allongée sur le dos, sans défense vide de ma haine de ma jouissance il enfonça sa queue
Au fond de moi
Bougea à peine tout en me regardant
Puissamment
Passionnément
Nous avions que notre brûlure, notre cicatrice serait vivante à jamais

Ses grands coups de reins aussi bien violents sauvages que tendres nous amenèrent tous les deux dans un état de petit mort ….