ACCUEIL > En groupe > Récit : Il ne débandait pas

Il ne débandait pas

+16

Lue : 3929 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/05/2014

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je vais tellement souvent à Paris que je me suis mise en presque ménage avec une jolie fille rencontrée dans un restaurant. Notre première nuit était houleuse. Elle voulait que je lui fasse une foule de choses. Je n'ai rempli mon contrat qu'en partie. Nous devions nous revoir la semaine suivante. Mais les événements ont fait que nous nous sommes revue deux ou trois jours après. Elle devenait une maîtresse habituelle.

Elle est grande, brune, visage ovale, longs cheveu descendant vers les hanches. Des mains habiles à prendre une queue à lui faire tout ce qui est agréable. Son sexe attirait et mes mains, et mon sexe, sans parler de ma bouche. Ses goûts se précisaient au fur et à mesure de nos rapports. Elle était une fille exigeante sur certains points. Nos nuits devenaient de plus en plus courtes. Je revenais souvent l'après-midi pur 'finir' le travail : un cunnilingus de plus ne la gênait pas du tout.

Un soir je la trouvais avec une autre fille aussi sexy qu'elle. Au restaurant, elles semblaient s'accorder parfaitement. Par soucis de préserver son amie, nous restions à deux chez elle. Ce soir-là, elle était plus chaude que les autres fois. Elle avouait qu'elle avait passé une bonne partie de l'après-midi à s'amuser, ce sont ses termes, avec sa copine. Je lui demandais si elle ne voulait pas faire l'amour aussi avec son ami et moi.
Elle me sautait au coup :
Oui, j'aimerai beaucoup te partager.
Me partager ?
Oui, ta bite une fois dans l'une une fois dans l'autre ;
Je veux bien essayer ;

Quelques jours après elles étaient deux à m'attendre. La partie restaurant était vite enlevé. Par contre au retour chez elle, je devenais la cible de leurs cajoleries.
Elles m'embrassaient à deux, me caresser ensemble le torse et le ventre. J'avais deux mains qui se disputaient le bas ventre.
Le plus excitant était les caresses qu'elles échangeaient sans pudeur devant moi. J'avais l'impression que mon absence aurait été la bienvenue. Leur nudité était un prétexte à échanger des petites caresses sur le corps de l'autre. Je restais troublé, ma queue bandée sans oser me toucher ou les toucher.

Elles devaient avoir envie l'une de l'autre quand elles se caressaient l'intérieur des cuisses. Je suivais la grimpe des mains vers le but ultime. Je ne saurais dire qui la première touchait le sexe de l'autre. Je sais en tout cas que les doigts ne restaient pas immobiles sur les chattes. Elles se masturbaient avec en train. Elles arrivaient au point suprême en jouissant presque ensemble.
Je leur proposer de participer à ma façon à leur petit amusement.
Oui, mets là nous au cul.
A toutes les deux ?
Oui, une bite en moi et ta langue dans l'autre.

Elles s’entendaient fort bien pour se divertir. Ma maîtresse en titre me donnait sa raie pour que j'y passe ma langue, son amie tendait ses fesses en direction de ma pine. Elle la passait rapidement vers son vagin pour y récolter un peu de cyprine avant de la mettre sur son anus.

Elle avait un cul magnifiquement fait pour la sodomie, juste ouvert comme il faut. J'entrais en elle, je la limais, je pouvais lécher l'autre cul. En serrant bien les dents je résistais à l'orgasme. Les deux filles, elles prenaient leur plaisir sans restriction.

Je ne pouvais tenir plus longtemps. J'éjaculais dans ce cul longuement. Il me semblait que j'étais vide.
Les deux bouches m'ont remis en état. Je bandais encore.
Baises nous maintenant !.
Comment, les deux à la fois.
Oui.

Elles se sont mise une couchée sur le dos, l'autre dessus, sur le ventre. Leurs corps se touchaient. Je mettais ma bite entre les deux filles. Elles savaient bien comment me faire passer d'un sexe à l'autre. Je sentais la légère différence entre les intérieurs. Elles se caressaient également se donnant encore un plaisir supérieur.

Je me suis payé de culot le soir où je suis venu avec un copain ; je savais qu'il n'osait pas trop se payer d'autre femme que le sienne qui, d'après lui baisait passablement.
J'étais certain de lui faire plaisir.

Il était surexcité en voyant deux filles nues, bien engagées dans un rapport lesbien. Il était encore plus satisfait quand nous avons pu enculer les deux filles qui faisaient un 69. J’étais moi-même étonné de voir grossir sa bite dans de telles proportions. Elle partait du début de son cul, montait là-haut avec au milieu des couilles extraordinaires. Elle était devenue si grosse qu'elle faisait peur aux deux filles. Et pourtant, il arrivait à enculer le cul choisi sans dommage sinon que l'orgasme donné était encore plus violent. Ce devait être la présence de deux filles qui lui donnait ses nouvelles capacités. Il était drôlement long à jouir, pour le grand plaisir de ses dames. Il restait presque toute a nuit bandé. Il se faisait sucer, il baisait, il enculait, il se faisait branler, rien n'y faisait, il bandait toujours. Il me demandait même de le branler. Pris dans le désir collectif, je prenais sa bite dans la main. Une file venait lui lécher les couilles. Ma main faisait comme je me faisais. J'arrivais péniblement à le faire jouir. Heureusement pour moi, j'étais léché par la langue d'une fille, il m'aurait rendu la caresse. Avec le temps, je me demande si je n'aurais pas pu me laisser masturber par cet homme.
16 vote(s)


Histoire de baiserjouir

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Il ne débandait pas


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :