Il trouve sa fille dans un club 1

Paul fête la promotion de son meilleur ami, Raymond. Ils arrosent ça abondamment dans un bar avec quelques femmes pas trop farouches, l'heure tourne, les esprits se chauffent. Raymond propose à Paul quelques heures de débauches dans un club qu'il frequente régulièrement. Paul, très fidèle, est un peu retissant, mais l'alcool aidant, il accepte sous les demandes pressantes de son ami. Le club à la particularité que tous les participants sont masqués pour un anonymat parfait. Cela arrange bien Paul. Les deux arrivent dans le club, Ils règle le droit d'entrée, et se dirigent vers le vestiaire, ils déposent leur veste, on leur offre deux masques. Ils prennent place à une table, la lumière tamisée semble donner plus d'intimité. Une piste de danse se trouve au centre ou quelques couples, très dévêtus, évoluent en se frottant l'un contre l'autre.


Paul regarde les mains baladeuses parcourir les corps des femmes consentantes. Soudain son regarde se bloque sur une fille au corps parfait, elle porte un corsage transparent, qui laisse voir sa poitrine généreuse, la coquine n'a pas besoin de soutien-gorge, une mini-jupe ultra-courte n'arrive pas à cacher ses cuisses bien galbées. Elle danse avec un vieil homme bedonnant. L'homme, très entreprenant, lui caresse les fesses en ondulant du bassin. Paul donne un coup de coude à Raymond et lui dit :

-Oh la vache, tu as vu le morceau Raymond !

Raymond souriant lui répond :

-Oh oui, c'est un super coup, je l'ai deja sauté plusieurs fois, c'est une habituée de la boite !

Paul réplique :

-Oh putain, il faut que je me la fasse !

Raymond lui répond en souriant :

-Je te conseil de lui offrir le champagne, la coquine à une fine gueule !

Paul ne quitte pas des yeux la bombe sexuelle, il serre les poings lorsqu'il voit le vieil homme lui passer la main sous la jupe. La femme semble aimer ça, car elle se blottit contre lui en soupirant profondément. Enfin la danse cesse, Paul rapidement s'avance vers la fille et lui propose un verre. Bien que les visages soient dissimulés, la fille regarde du pied à la tête Paul, puis répond :

-Pourquoi pas, faisant connaissance devant un verre !

Le vieil homme, largué, cherche une autre proie en marmonnant.

Paul fait prendre place la jeune fille à sa table, elle salue Raymond, puis Paul commande une bouteille. pendant qu'ils dégustent lentement leur verre, Raymond pose sa main sur la cuisse de la fille, qui, automatiquement, elle ouvre les jambes. Paul ne reste pas inactif, il se place juste à côté de la jeune femme et lui aussi, lui caresse la cuisse. La femme dit sans se formaliser :

-Je crois que nous allons bien nous amuser nous trois !

Les mains passent à l'intérieur des cuisses, la jeune fille ne porte pas de culotte, pour le plus grand bonheur des deux lascars. Les doigts fébriles glissent sur la fente imberbe de la femme, cela la fait frissonner. Pour Paul, c'est sa première infidélité, il semblr un peu gauche. La femme saisit au travers du pantalon la verge grossissante de Paul et commence un branlage d'experte. Raymond retire sa main et observe son ami en souriant, il lui dit :

-Profites-en, bobonne n'est pas là, éclate-toi, c'est une superbe baiseuse cette nana !

La femme répond en riant :

-J'aime la bite, et je ne m'en prive pas !

Elle cesse de branler, et extirpe du pantalon la queue tendue de Paul, la décalotte, elle se penche, ouvre la bouche et gobe le gland. Paul pousse un gémissement bruyant, il se cabre en serrant les dents. La femme lui fait une fellation monstrueuse. La bouche suce et tète le sucre d'orge avec gourmandise, Raymond replace sa main sur la chatte de la femme, et lui triture le clito sans ménagement. La chatte en ébullition laisse échapper un filet continue de cyprine. La femme souffle comme un dragon en tétant le gland volumineux. Soudain, elle recrache le manche, enjambe Paul, lui saisit la queue et s'empale jusqu'à la garde en se laissant tomber de tout son poids sur la verge raide comme un bout de bois. La coquine le chevauche férocement en geignant fortement, son corps monte et descend sur le membre gorgé de sang. La femme s'accroche au cou de Paul et accélère la cadence. Raymond lui pétrit les seins avec rage. La femme gémit de plus en plus fort, à chaque descente de son corps sur la verge, Paul lui tire sur les hanches pour l'empaler totalement. La femme se cambre en gémissant comme une bête, elle pousse un long râle rauque et jouit. Les couilles et le pantalon de Paul sont noyés de jus. La femme descend de sa monture aussi rapidement qu'elle y est montée. Elle saisit la main de Paul et l'entraine dans une alcôve garnit d'un épais matelas. Elle retire avec art les vêtements de Paul, qui rapidement se retrouve nu devant cette inconnue.

Paul n'est pas de reste, il effeuille la jeune fille, puis, admire le corps sublime de cette créature du diable. Il l'enlace et les deux basculent sur le matelas, le masque empêche les baisers sur les lèvres, mais Paul se défoule sur les seins. Il aspoire à tour de rôle les mamelons qui deviennent énormes, la femme pâme de bonheur entre les bras de Paul. La bouche avide parcourt chaque parcelle de peau, la langue s'attarde sur le nombril en le fouillant. La bouche arrive enfin sur le pubis gonflé, l'embrasse férocement. La langue s'insère entre les grandes lèvres et part à la recherche de la boule de tous les plaisirs. La femme se cambre en poussant un gémissement, lorsque Paul lui aspire le clito. Le bougre le dévore sans se poser de questions. La femme agite son bassin en grognant de plaisir, sa chatte est noyée de cyprine. Paul aspire tout le jus qui s'y échappe et le déguste en geignant doucement. Soudain, il chande de position, il se met tête bêche sur la femme, qui rapidement lui saisit la queue et l'enfourne le plus loin possible dans sa bouche, Paul est aux anges, jamais sa femme ne lui aurai fait un truc pareil. Il plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante et la fouille le plus profondément possible avec sa langue. L'inconnue gémit comme une bête blessée, elle agite sa croupe comme une forcenée.

Elle se tend comme un pont en pleine tempête et jouit en remplissant la bouche de Paul avec son jus suave. Paul est au bord de l'explosion, bande comme un cheval, il prend place entre les cuisses de la femme et lui plante sa bite dans le ventre avec force. Empalée jusqu'à la garde, la femme s'accroche à Paul en geignant. Le bougre la pilonne comme un soudard, sa queue entre et ressort du ventre de la donzelle en prenant de la vitesse. Le gland large et épais qui lui laboure les parois du vagin la fait couiner de plaisir. Le rythme devient infernal, la femme s'accroche à son amant en grognant fortement :

-Oh putain, c'est bon, continue, mon salaud, continue !

Les coups de reins sont violents, à chaque enfoncement de la verge dans son ventre la femme sursaute. Paul ne retient plus les chevaux, il defonce sa proie comme un malade. Soudain, il se raidit, rugit comme un fauve et remplit le ventre de la femme avec sa semence épaisse. Il continue de la démonter, elle devient comme folle, elle s'agite en hurlant comme une hystérique. Elle pousse un cri de jouissance. Paul la bascule sur lui. Raymond se place derrière la femme et lui enfonce sa bite dans le cul, et la sodomise brutalement. La femme prise en double gémit comme une damnée, soudain, elle pousse un hurlement inhumain de jouissance. Paul prend peur, il arrache le masque de la femme, il craint le pire. Il reste tétanisé un instant avant de dire en baissant son masque :


-Cloé, c'est toi mon Dieu !

La femme regarde l'homme en disant :

-Oh papa, non pas toi, pas toi !

Elle sort rapidement de l'alcôve en récupérant ses habits, s'habille et s'enfuit.

Paul est dévasté, il n'en croit pas ses yeux, il, vient de baiser sa fille. Une fois rentré, il croise le regard de sa fille, elle rougit comme une pivoine. Il lui fait les gros yeux, mais ne souffle mot à sa femme de ce qui vient de se passer. Cloé est tremblante, elle attend que sa maman soit à la cuisine pour dire à son papa :

-Ne dis rien à maman, je t'en supplie papa !

Paul la regarde sans répondre en serrant les dents, et se dirige vers la salle de bain, il rumine tout en prenant sa douche, tout se bouillent dans sa tête. C'est inimaginable, sa fille se donne comme une pute, il est détruit par le comportement de sa petite princesse comme il l'appelle.