Il trouve sa fille dans un club 2

La nuit de Paul est agitée. Il se tourne et se retourne dans son lit en ruminant. Marthe sa femme sait que quelque chose ne tourne pas rond, elle lui deamnde :

-Paul, qu'est-que tu as, tu sembles nerveux !

Paul pousse un gros soupir et répond :

-Je ne peux plus garder ça pour moi, écoute, c'est extraordinaire et affreux à la fois ce qui nous est arrivé !
Avec Raymond pour fêter sa promotion, nous nous sommes rendus dans une boite sous un anonymat parfait, car le masque était obligatoire. Pour nous défouler, comme j'avais ta permission de minuit, j'en ai profité. J'ai invité une fille, à notre table un canon et verre après verre, Raymond et moi nous avions pris un pied d'enfer avec cette baiseuse hors pair, nous l'avons déglingués comme des malades, la salope hurlait tellement lorsqu'elle jouissait, que je lui ai retiré son masque. Je suis tombé par terre, c'était Cloé notre fille que nous baisions !


Marthe sursaute, et réplique, tu as couché avec ta fille !

Paul honteux répond :


- Oui, mais j'ignorais que c'était elle, je dois dire que c'est un coup terrible, maintenant, elle me hante, je ne pense qu'à son cul, je n'avais jamais remarqué comment elle etait bien foutue la salope, rien que d'y penser, je bande touche ma chérie !

Marthe saisit la queue de son mari à travers le pyjama et la presse fortement, elle dit :

-J'ai trouvé, dans sa table de nuit, un bon gode et un plug anal, je doit avouer que je m'en sers souvent !
Mon Dieu que de jouissance exceptionnelle avec ses engins !

Marthe ajoute :

-Vous l'aviez prise à deux notre petite salope ?

Paul se racle la gorge et répond :

-Oui, je dois dire qu'elle adore la double pénétration la cochonne !

Marthe se plaque contre son mari sans lâcher sa verge, elle lui dit :

-Raconte mon chéri, donne tous les détails, je veux savoir !

Plus Paul raconte, plus Marthe mouille, la coquine se fait câline, elle dit en souriant :

-Vous l'aviez fait jouir du cul, dit raconte !

Paul ne peut que dire la vérité :

-Oui, elle jouit du cul comme une malade, j'ai même cru qu'elle mourait, c'est pour cela que je lui ai arraché le masque !


Marthe demande :

-Et ta petite femme, elle n'a pas droit à une double ELLE !

-Quoi, tu veux que Raymond et moi ensemble te, te, te ?

-La fille y a eu droit, pourquoi pas la maman, moi aussi, je veux me faire trouer le cul ?


Paul fronce les sourcils et dit :

-Mais tu es comme ta fille, une sacrée salope !

Marthe le serre très fort et répond :

-Je suis peut-être pire qu'elle !

Paul lui arrache la nuisette et lui enfonce son manche tendu dans les entrailles jusqu'à la garde. Sa femme se cabre en poussant un long râle, lui demande :

-Baise-moi comme tu l'a baisé, fais-moi jouir comme elle mon chéri !

-Oh, mais tu ne la jalouse pas un peu ta fille, grosse cochonne !

Elle repond en plantant ses ongles dans la peau de Paul en disant :

-Tais-toi et baise-moi, oh putain comme je suis chaude, imagine que c'est ta fille que tu démontes, vas-y, vas-y je n'en peux plus !

Paul excité comme jamais ramone la chatte de sa femme comme un beau diable, sa queue puissance entre et ressort du temple en prenant de la vitesse. Les râles de Marthe sont affreux, elle s'agite sous les assauts redoutables de son mari. Soudainement, elle s'arqueboute en hurlant :

-Je jouiiiiiiiiiiiis !

Elle s'accroche à son mari en l'implorant :

-Encore mon chéri, baise-moi encore, raconte-moi comment elle jouissait Cloé, fais-moi hurler comme elle !

Paul ne comprend plus rien, il se demande ce qui se passe dans la tête de sa femme. Brusquement, il la retourne sur le ventre, lui écarte les fesses avec force, et place sa queue contre l'anneau ridé, qui au contacte du gland se met à palpiter. Il pousse comme un fou, sa bite s'enfonce d'un seul coup jusqu'aux couilles dans le rectum, c'est avec rage qu'il l'encule en vociférant des :

-Tiens, tiens, sale pute, prends ça dans le cul, goute bien à ma queue, oui, je vais faire venir Raymond pour te démonter comme une chienne !

Sodomisée comme jamais, Marthe, souffle comme un animal en grognant :

-Oh mon chéri, c'est trop bon, plus fort, plus fort, fais-moi mal !

Rapidement, Marthe explose sous les assauts répétés de Paul, le lit est trempé de la cyprine abondante que la chatte en feu de Marthe expulse avec force à chaque jouissance.