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Il y a 60 ans

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Lue : 1894 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/02/2013

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En me retournant sur ma jeunesse, à 80 printemps, comme on dit, j’ai souvenir de mes premières expériences. A mon époque, nous les filles étions tenues serrées, ignorantes des choses de l’amour.

J’étais en pension dans un établissement tenu par des religieuses. Une seule de nous n’était plus vierge, elle trouvait son plaisir le soir, au lit en se touchant. Elle était fière de nous dire ensuite qu’elle venait de jouir. Bien sûr nous étions étonnées.

Plus tard, j’allais passer quelques jours chez une copine pendant les vacances de l’été. Le dernier soir, j’étais seule dans la chambre quand le frère de la copine est venu me voir. Je lui plaisais beaucoup, il me voulait. Pour le prouver il m’embrassait sur la bouche. C’était agréable, sans plus. Il insistait pour coucher avec moi ce que je refusais fermement. Il insistait tel point qu’il est venu dans le lit, tout près de moi pour me toucher. J’avais beau dire que je ne voulais pas, il m’a baisée. Il me faisait mal, trop mal : je l’ai rejeté. Malgré mon refus, il m’avait dépucelée.

Plus tard, j’avais presque 20 ans quand un garçon plus sage me faisait la cour comme ça se faisait à l’époque. Je n’accordais que des baisers sur la bouche. C’était agréable. Je l’ai laissé faire quand, assis sur un banc public il a mis sa main entre mes jambes. J’y prenais plaisir. Je ne me suis que mollement défendue quand il venait sur ma sage culotte. Nous nous aimions, nous devions nous marier d’ici deux mois.il m’a supplié de me faire l’amour.

Comme à l’époque, je faisais comme les autres fiancées : je me donnais à lui. Je regardais avec curiosité une queue grossie. Je voulais bien la prendre dans ma main, je n’osais pas le faire. Quand il a enlevé ce qui protégeait mon sexe, je l’ai accepté. Il m’a baisé cette première fois sans que je sente un plaisir quelconque. Ce n’était que pour lui faire plaisir.

Quelques temps après notre union devant le maire, il m’a faite jouir pour la première fois. Je chavirais dans le plaisir. J’aimais me faire baiser, j’aimais qu’il me branle pour me faire jouir. Un soit il m’a forcé à me toucher pour que je me branle.

Je n’osais pas toucher mon sexe devant lui et même seule. Il a pris ma main l’a posé sur ma chatte. Je touchais mon clitoris avec répugnance. Je n’ai commencé à bouger un doigt que sous sa pression. J’ai senti le même plaisir qu’avec lui, avec un petit plus, je me caressais exactement comme il fallait. J’ai joui ainsi, seule devant lui qui se caressait la queue comme je le lui faisais.

La sodomie qu’il m’imposait plus tard devenait plus active de ma part. J’aimais quand il posait sa pine sur l’anus, je me branlais. Ensuite je lui demandais de la mettre totalement dans le cul. C’était réellement bon. J’aimais être sur le dos, lui sur le côté, ma main sur mon con, sa queue contre mon anus. Quand mon plaisir montait je lui demandais de ma la mettre. Que de jouissances folles.

Un jour, nous étions en vacances, quand je lui ai demandé d’acheter un gode. J’avais honte d’aller choisir ce que je voulais avec lui. Il est venu vers moi, dans la rue où j’attendais pour me montrer rapidement les deux godes : un moyen et un gros. Le gros était destiné à me baiser et le moyen à m’enculer. Le salaud, il me donnait envie en pleine rue. Nous avons vite rejoint l’hôtel.

Je me souviens encore de la folie que nous avions cet après-midi-là. Nous étions à peine dans la chambre que j’étais nue, le ventre plein d’envie. Je crois que je l’ai presque violé quand je l’ai déshabillé moi-même. Sa queue bandait, je le lui prenais pour la sucer. Elle avait un peu goût à l’urine, pile comme j’aime. Tranquillement il sortait ses achats du paquet. Et je mouillais, mouillais sans cesse. Il me faisait coucher, me donnait les deux godes. J’allais me baiser devant lui pour la première fois.

Le petit gode m’attirait, j’allais le mettre dans la vulve quand il me donnait l’autre, un énorme que je pensais avoir des difficultés à entrer. Il se touchait la pine, commençait à se branler devant moi, comme j’aimais. Je posais le bout sur mes lèvres qui s’écartaient lentement. Je pouvais me baiser. Je commençais à jouir presque avant de la mettre. Je l’enfonçais au fond, je la lâchais, elle revenait comme pour sortir seule, je la reprenais en main pour la mettre encore dans le ventre.

D’après lui je criais fort. Je ne m’en souviens pas du tout. Par contre j’ai encore en mémoire l’orgasme. J’en ai voulu encore. Il m’a obligé à me baiser encore devant lui. J’allais jouir quand il a mis l’autre gode juste sur l’anus. Je m’ouvrais plus que les autres fois quand il m’enculait. Il me la mise dans l’anus avec mon consentement. Les queues se croisaient dans mon ventre, c’était bon, je jouissais plusieurs fois de suite. Je lui ai demandé de me donner sa queue dans la bouche. Il venait sur moi, les cuisses écartées, Je sentais ses testicules sur mes seins. Il posait sa queue sur ma bouche, ses mains la guidaient pour que je la lèche à sa convenance. Je continuais à me baiser, j’avais pris l’autre gode pour continuer à être enculée. Je menais ainsi les deux fausses queues et sa pine. Il jouissait dans ma bouche. J’avalais tout ce qu’il me donnait.

Il est sorti de moi, je retirais les godes. Je les avais encore en main quand j’ai eu envie de m’amuser avec son cul à lui. Il acceptait que je lui écarte les jambes. Je voyais l’intérieur de ses fesses pour la première fois. Il était poilu vers son anus. J’y mettais un doigt, comme il me faisait. Je l’entrais facilement. Je goûtais mon doigt, donc son cul. Pas rebutée j’allais l’enculer comme il m’avait fait il y a un long moment.

Il ne voulait pas que j’aille par-là, c’était mal le connaitre. Moi je le voulais. Et ce que femme veut…. Je gagnais quand j’enfonçais très lentement le gode. Je devais lui faire du bien puisqu’il bandait. L’amusant est que sa queue suivait les même va-et-vient que le gode. Je le lui enfonçais le plus possible quand il jouissait sur mon visage alors que je ne touchais pas du tout sa bite.

Nous allions au restaurant de l’établissement. J’avais « oublié » de mettre une culotte. Nous étions assis parmi les autres. ? Je lui disant que j’avais envie de me branler, là, dans la salle du restaurant. Il me regardait effrayé. J’avais encore plus envie. Je passais ma main sous la nappe, la relevais un peu, écartais les cuisses avant d’arriver sur le clitoris. Un jeune me regardait rougissant. Je lui montrais ma chatte en entier que ma main me faisait du bien. Je sentais la nappe bouger près de moi : lui aussi avait sorti sa queue pour l’astiquer. Nous avons joui ensemble, moi dans ma main, lui sur la nappe. Le jeune qui nous regardait avait tourné les yeux. Je crois bien qu’il se touchait aussi.

C’était il y a 60 ans. Je dois avoir les godes dans une malle au grenier. Il faudra que vois une dernière fois avant de ……
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Histoire de fabrissa

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