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Informatique et prostituées

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Lue : 1055 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/03/2021

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Je suis arrivé tôt ce matin, comme tous les matins. J’aimais bien avoir le temps de me caler et démarrer la journée dans le calme. Mes deux collègues, Daniel et Max me rejoignaient d’ailleurs dans la foulée. On venait tous les trois de trois ateliers différents, et de lieux différents, mais on nous avait mis là dans ce centre de formation, le centre des métiers on l’appelait, qui avait besoin d’informaticiens pour gérer son réseau. On avait d’ailleurs de quoi faire, entre gérer le réseau auquel on était rattachés, le réseau interne, et tous les problèmes matériels…Si on arrivait tôt, c’était une sorte de confort, car on démarrait très lentement mais très rapidement, les demandes affluaient, les problèmes se posaient, et on devait courir dans tous les sens, avant que les choses ne se tassent, en fin d’après-midi. On avait beau se dire que le lendemain serait mieux…Hé bien le lendemain ne l’était pas…C’était un peu la fameuse loi de Murphy, celle qui parle de l’emmerdement maximum…Forcément, il y avait toujours quelque chose qui partait de travers…Mais bon, on était plutôt stoïques…On prenait les choses avec calme. On avait appris en tout cas. Au début, on avait eu pas mal de stress, mais ça s’était tassé, parce qu’on gérait mieux.
On avait une tradition: généralement le matin, quand ils étaient là tous les trois, j’allais chercher des croissants et du café à la cafétéria de l’établissement. Elle était tenue par des gens qui après une longue période de chômage, essayaient de remettre un pied dans le milieu du travail.
Mais ce matin-là, ça ne s’est pas passé comme d’habitude.
On occupait un vaste bureau, qui était divisé en deux avec une cloison séparatrice qui masquait aux trois-quarts ce qui se passait de l’autre côté, avec juste un passage entre les deux. Le premier local servait pour l’accueil, le deuxième était l’endroit où, autour de tables, on avait installé nos ordinateurs et tout notre matériel, en cercle.
Je suis donc repassé dans la salle d’accueil, et la porte s’est ouverte.
Et je me suis trouvé nez à nez avec une blonde ravissante. Un très joli visage, sans aucun doute rehaussé par le maquillage, mais qui, même nu devait être plaisant à regarder. Des traits bien dessinés, une bouche marquée de rouge, de grands yeux bleus, et une chevelure d’un blond assez pale, qui semblait authentique. Elle faisait partie de cette population en réduction d’année en année, les blonds naturels.
Elle était enveloppée par un imperméable, serré à la taille, qui masquait tout de son corps et ses vêtements, même si, au-delà du genou, là où on s’arrêtait le manteau, on distinguait une jambe bien galbée, enveloppée de nylon. Elle avait des escarpins noirs, avec des talons très fins et très hauts, qui la cambraient.
Même si je ne voyais rien de son corps, vu sa stature, j’imaginais qu’elle était aussi bien en chair que grande. Je visualisais, mais je me trompais peut-être, des seins et des fesses, des hanches, des cuisses. Quand elle a desserré la ceinture qui tenait le trench fermé, j’ai pu constater que, pour une fois, ce que j’avais visualisé était très proche de la réalité.
Là où j’ai été encore plus surpris, c’est que je me suis rendu compte qu’elle était accompagnée de deux copines, qui la suivaient de quelques secondes et de quelques mètres. Il y avait une brune, la plus petite des trois elle aussi très maquillée, pour souligner un visage anguleux, mais qui n’en était pas moins séduisant, et une fille rousse, grande aussi, mais plutôt fine.
Toutes les trois se présentaient identiquement, enveloppées dans des trench-coats, avec ce que l’on voyait de leurs jambes gainé par du nylon, des bottes noires, luisantes, à talon aiguille pour l’une, pour l’autre des chaussures lacées avec également des talons très fins…
Pour le moment, j’étais le seul à les voir.
La grande blonde qui m’a semblé avoir la plus forte personnalité, et être la porte-parole du groupe a parlé. Elle a désigné le plateau qu’elle portait, bien garni. Ce n’était sans doute pas le petit-déjeuner que j’aurais été chercher à la cafétéria. Il venait de l’extérieur, et il était vraiment appétissant. Comme elles, sans doute. Les viennoiseries qu’il y avait dessus étaient encore chaudes, craquantes, et elles dégageaient une bonne odeur, des croissants, des pains au raisins, des chocolatines bien épaisses, du vrai travail d’artisan. Elles étaient accompagnés par trois tasses et un pot de café odorant. C’est vrai que l’appétit passe par tous les sens, et que c’est souvent l’odeur qui donne envie de manger, autant que l’aspect.
Je pouvais sans doute en dire autant des trois filles. Leur corps était masqué, mais, au-delà de leurs jolis visages maquillés, elles avaient chacune un parfum différent, et il était troublant. Je comprenais bien, de toute façon que leur séduction était tout aussi calculée que maîtrisée.
C’est vrai qu’il y a eu un moment où je me suis sans doute senti décalé par rapport à la situation. Elle a voulu recadrer ce qui se passait en me disant:
—Un de vos amis nous a chargés de vous remercier pour ce que vous faites pour tout le monde. Personne ne vous dit jamais merci. Nous sommes là pour ça.
Elles ont glissé dans la salle à côté, où mes collègues commençaient à mettre en place les machines. Eux aussi ont été surpris.
—On a des admirateurs secrets…Je ne m’en serais pas vraiment douté…Ils veulent nous dire merci, de manière indirecte…
Les filles se sont imposées dans l’espace de la pièce. Mes deux potes les regardaient.
Il y a eu un moment où tout s’est figé, puis tout a été très vite. Ca se passe souvent comme ça, un moment où tout se fige, de calme, avant l’explosion.
Dans des gestes identiques, mais un rien décalés, elles ont, l’une après l’autre, défait la ceinture qui, à leur taille, tenait leur trench fermé, et elles en ont écarté les pans, avant de le faire glisser sur le sol.
L’expression sur le visage de mes deux camarades m’a fait rire, mais je ne valais sans doute pas mieux.
Quelques secondes seulement avant qu’elles ne se dénudent, j’avais pensé que dessous, elles ne devaient absolument rien porter. J’avais à la fois raison et tort. Elles étaient nues dessous, mais elles avaient des bas stay-up qui gainaient leurs jolies jambes bien galbées.
Trois filles différentes, trois corps différents, mais chacune débordait de charme.
Il y a eu un nouveau temps de latence. Plus tard en y repensant, et en analysant à postériori, je me suis rendu compte que les trois filles avaient, rapidement, analysé la situation, et que chacune avait été vers celui dont elle avait compris qu’elle lui plaisait le plus.
On dit souvent que les prostituées n’embrassent pas. Pourtant la blonde a écrasé son corps contre moi. J’ai senti ses formes et sa chaleur. Elle, elle a senti mon érection, sans aucun doute. Elle est venue prendre ma bouche, et a glissé sa langue entre mes lèvres, à la rencontre de la mienne. Une langue souple est venue caresser la mienne, tournant autour, la frottant. Elle avait du savoir-faire, c’était une évidence.
Elle a glissé sa main le long de mon ventre pour venir chercher ma queue. Le matin, comme pas mal d’hommes, je crois, je me réveillais avec la bite dure et le désir au ventre. Selon le temps dont nous disposions, nos envies, on prenait quelques minutes pour faire quelque chose, ma compagne et moi. Parfois, quand elle me trouvait très dur, elle me masturbait, si elle avait envie de s’impliquer plus, elle me caressait avec sa bouche, et quand on avait vraiment le temps, le samedi et le dimanche matin, on partait pour un rapport plus complet.
Ce n’était pas systématique, mais c’était vrai que le matin, je me réveillais souvent avec le désir au ventre.
Ce matin, ma copine et moi, on n’avait rien eu le temps de faire…Et là, cette pulsion que j’avais refoulée, rentrée en moi, elle explosait maintenant, au contact de ce corps de femme.
Elle m’a défait, et elle m’a trouvé bien dur. Elle m’a caressé doucement, en me soufflant à l’oreille:
—Maitrise-toi, il faut que tu tiennes aussi longtemps que possible…Tu auras plus de plaisir…
—C’est bien mon intention, je lui ai répondu.
Elle m’a masturbé un moment, avant de me dire:
—Tiens, pose-toi là.
C’est comme ça qu’on s’est retrouvés tous les trois la queue à l’air, assis sur nos fauteuils de travail, qui cette fois avaient une autre destination, que de nous donner une position de travail confortable pendant que nous étions devant les écrans.
Je suppose que vous avez, comme moi, entendu parler des lap dance. Vous savez, c’est cette pratique qui m’a toujours semblé un peu cliché que pratiquent certains stripteaseuses, en particulier, pour un client. Si on m’avait proposé ça, en me demandant à choisir entre plusieurs pratiques, je ne suis pas sûr que c’était ce que j’aurais choisi. Mais mis au pied du mur, j’ai découvert combien ça pouvait être agréable, alors que la blonde tournait sur moi, autour de moi, et entre mes cuisses qu’elle m’avait fait ouvrir, venant se frotter à moi de son corps, de ses fesses, de ses seins…Effectivement, je me retenais pour ne pas jouir, tellement c’était excitant. Ses fesses caressant ma queue dilatée, ses seins venant frôler mon visage…J’ai remarqué que faire ça l’excitait aussi, son sexe, d’abord totalement clos, s’est ouvert et épanoui.
On était dans un moment totalement coupé de la réalité.
C’est à ce moment, alors qu’elle frottait ses fesses contre mon visage que j’ai pensé que le temps passait. Tout le monde arrivait dans le centre. Et je n’avais pas fermé la porte. Je me suis levé, sans qu’elle comprenne vraiment pourquoi, et, la queue à l’air, je suis parti bloquer la porte.
Quand je suis revenu, les deux autres filles ajustaient des préservatifs sur la queue de mes deux camarades. L’une après l’autre, elles sont venues s’empaler dessus, guidant la queue vers leur sexe, et l’avalant. Moi j’avais envie d’autre chose. La fille m’a fait un signe, une capote dans la main. Elle a compris ce que je voulais, et elle s’est pliée en deux devant un écran d’ordinateur, m’offrant sa croupe généreuse, que sa position ouvrait sur son anus, et le charnu de sa vulve, entre ses cuisses. Je me suis approché, et j’ai baladé ma queue gainée de latex sur la chair généreuse de ses fesses, avant de poser mon gland dilaté là où s’amorçait le sillon qui fendait sa croupe en deux. Je suis descendu, sentant le lisse de son sillon, cassé à un moment par le dessin de sa muqueuse anale. Elle m’a soufflé:
—Si tu as envie, tu peux me sodomiser.
mais je suis descendu jusqu’à son sexe et j’ai poussé ma queue entre ses lèvres. Je me suis glissé en elle, la sensation de la délicatesse de sa vulve m’entourant et me donnant du plaisir, tout comme cette chaleur intense, propre aux vulves féminines. Je me suis mis à bouger en elle.
Bien qu’elle soit une fille payée, je l’avais bien compris, pour donner du plaisir à des hommes, elle ne restait pas indifférente au va-et-vient de ma queue en elle, et je sentais qu’elle coulait autour de mon sexe.
Ca ne serait pas forcément venu naturellement, mais comme elle me l’avait suggéré, l’idée a tourné dans ma tête, et je suis sorti de son vagin, et je suis venu appuyer mon gland dilaté contre sa muqueuse anale. Je n’ai pas été vraiment surpris de sentir que ça pouvait rentrer facilement. Ce n’était certainement pas la première fois qu’elle se faisait sodomiser et le préservatif dégoulinait de ses sécrétions intimes, qui facilitaient la pénétration. J’ai glissé dans le conduit plus étroit, et je me suis mis à la fouiller avec plus d’énergie. Elle m’a jeté, voix cassée, et souffle court:
—C’est bon, continue comme ça…Je jouis que par le cul…
J’ai plus ou moins perçu qu’elle amenait sa main sur son sexe, pour se masturber et joindre les deux zones de plaisir en une seule. Quand j’ai commencé à jouir en elle, crachant jet de sperme après jet de sperme, elle s’est cambrée, lâchant un gémissement chaque fois que mon sperme venait, à travers le latex, taper contre ses muqueuses.
J’avais été dans ma bulle, je me suis tourné vers les deux autres couples. Sans l’avoir cherché, on avait joui quasiment en même temps, et chacun se rajustait. Les filles ont emballé leurs atours dans leur trench et elles se sont éclipsées avec un:
—A bientôt.
qui n’était sans doute pas une réalité, nous laissant le plateau. On avait faim, après ce moment inattendu, qui nous avait ouvert l’appétit. On n’en a pas laissé une miette.
On n’avait pas remarqué le mot, sous l’assiette.
Vous nous rendez service. Personne ne vous dit merci. C’est ma manière à moi de vous témoigner ma reconnaissance, en espérant que vous passerez un bon moment.
Le mot n’était pas signé.

Et c’est vrai qu’on s’est mis au travail avec plus de dynamisme, et le sentiment d’avoir cassé la routine.
C’est plus tard, dans le couloir, j’allais dépanner quelqu’un, que mon chemin a croisé celui d’un enseignant que j’avais dépassé quelques fois. On prenait souvent le café ensemble entre midi et deux.
Il m’a fait un clin d’oeil et un sourire.
J’ai continué ma route vers la salle où je devais intervenir.
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Histoire de JamesB

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