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Une liaison fatale

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Lue : 1606 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/03/2021

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Il est dix sept heures, quand je sors du tribunal. Je viens de perdre mon divorce, pour relation extraconjugale.
Assise à la terrasse du café, en face le palais de justice, je vois mon mari sortir, se diriger vers sa voiture, ou l’attend sa secrétaire. Sans un regard pour moi, il monte dans sa voiture.

Mais revenons un an en arrière.
L’histoire se passe lors d’un séminaire, ou je présente une étude de marché, concernant les produits de recyclage.
La journée se termine autour d’un somptueux buffet.
Je téléphone au directeur de ma société, pour lui dire que tout c’est bien passé, et que le vote de demain, devrait être en nôtre faveur. Faut dire que j’ai présenté un dossier en béton. Je ne vois pas qui m’empêcherait d’avoir le marché.
A part peut être les deux représentants italiens, Gino et Luigi, de loin les plus coriaces. Justement, ils me rejoignent au bar.
Tout en remplissant ma coupe, ils me félicitent pour mon exposé, le trouvent très convainquant.
Je les remercie, et trinque avec eux.

Minuit approche, et les invités commencent à partir. C’est là que Luigi propose de poursuivre la soirée ailleurs. Mais ou.
Je leur demande, en toute amitié, s’ils veulent venir dans ma chambre.
Ils acceptent. Toutefois, je leur demande de patienter un petit quart d’heure, le temps de prendre une douche.

Au bout de vingt minutes, on sonne à la porte. Juste le temps d’enfiler un peignoir, et je leur ouvre.
Luigi porte le champagne, Gino les coupes. On s’installe, assis sur le lit. Ils me félicitent encore et encore, m’assurent qu’ils voteront pour moi.
« Pan...» Le bouchon de la deuxième bouteille vient de sauter.
Çà commence à faire un peu trop pour moi, mais reste lucide, même si je n’arrête pas de parler, et de rire, pour n’importe quoi. Je sais que quand j’ai bu, je deviens vulnérable.
Et ils s’en aperçoivent. Luigi me prend par les épaules, et me couche sur le lit, tandis que Gino s’occupe de dénouer la ceinture du peignoir.
Je leur demande d’arrêter, que c’est pas bien ce qu’ils font. En vain. A moitié dans les vapes, je me laisse aller.
Calmement, Gino quitte mon peignoir. Je me retrouve entièrement nue devant eux. J’entends leurs sifflements admiratif, quand ils découvrent mon superbe corps.
Une bouche parcours mon corps, me couvre de baisers, suce mes seins. Je sens mes bouts durcir.
Une autre bouche, part de mes pieds, remonte lentement sur mes cuisses, puis vers mon intimité. Malgré moi, j’écarte les jambes. La langue, que je trouve dure, lèche ma fente, écarte mes lèvres intime, puis pénètre ma chatte. Je sens les lèvres aspirer mon clitoris. Autant de caresses qui me donne un intense plaisir.
Luigi se dresse, excite mon petit bouton de sa queue tendue. Lentement, il pénètre ma chatte. Je ne peux retenir un soupir de plaisir. Gino se met à genoux, devant mob visage. Je vois sa queue balancer devant mes yeux. Je la saisit à pleine main, l’engloutis dans ma bouche. Tout mon corps est parcouru d’un agréable bien être. J’atteins rapidement l’orgasme, au même moment ou Gino éjacule dans ma bouche. Je garde cette queue en moi, jusqu’à la dernière goutte.
C’est au tour de Luigi.
Il se retire en grognant, et comme Gino, écarte mes lèvres de son énorme queue. Lui aussi jouit dans ma bouche.
J’ai tout avalé, même si ce n’est pas mon plat préféré
Mon corps savoure la moindre caresse, ma chatte, la moindre pénétration, ma bouche savoure les queues qu’elle suce. Même mon petit trou s’est adapté à la sodomie.
Pendant que je leur taille une pipe, l’un suce mes seins, fait rouler les bouts entre ses doigts, tandis que l’autre, branle ma chatte, doigte mon clito totalement décalotté.
Je me cambre à la moindre caresse, me tord comme un ver.
Je pensais avoir fait le tour de cette nuit magique, quand Gino s’allonge sur le dos. Il me saisit par les hanches, et me force à m’empaler sur sa queue. Luigi, à l’affût, se place derrière moi, taquine mon petit trou de son énorme gland. Le petit orifice se dilate sous la pression de la bite. Les deux queue sont en moi. Même si une légère douleur se fait ressentir, le plaisir est là. C’est au cours de cette double pénétration, que j’atteins le dernier orgasme de la nuit. Le quel c’est... je n’ai pas compté.

Il est quatre heures du matin, quand Gino et Luigi, quittent la chambre. Mon corps a résisté à cette nuit torride. Il a besoin de repos, même s’il en voulait encore.
Je parvient à m’endormir. Mais la nuit sera courte.

Je me lève vers huit heures. Je prends une douche, admire mon corps dans le miroir. Je caresse mes seins, mes hanches, ma petite chatte encore humide. Il ne s’en faudrait pas beaucoup, pour que j’appelle mes deux amants d’une nuit. Mais il faut que je me reprenne. J’enfile un peignoir, et prépare mon petit déjeuner.
C’est la que j’aperçois une feuille plier en deux. Je lis le mot qu’elle contient.
« J’espère que tu ne te tromperas pas quand tu voteras. Plus de détail sur ton téléphone»
Je cherche mon portable dans mon sac, rien. Je le trouve sur un petit meuble, appuyé sur un bibelot, en direction du lit. Le chiffre un, apparaît sur l’icône vidéo. Tremblante, je mets sur lecture. Je m’attends au pire, sens le piège. A mon insu, ils ont filmé nos ébats de la nuit. Les images sont terrible.
On m’entends hurler de plaisir quand j’atteins l’orgasme, ou encore les supplier de me baiser. On voit quand j’avale leur sperme, quand je nettoie leur queue. Ils me demande de les comparer à celle de mon mari. Je leur dis n’importe quoi.

Le vote commence dans une heure. Il faut que je discute avec les deux représentants italien. Je les trouve à la cafétéria de l’hôtel. Je leur demande de explications, leur fait remarquer que c’est de la corruption, du chantage.
Ils le reconnaissent. Puis Gino me tend une enveloppe, me précisant que mon vote est écrit à l’intérieur. Je l’ouvre, et, forcément, c’est le nom de leur société qui apparaît.

Luigi me demande pourquoi je me suis offerte si facilement, sans concession. Que j’aurais pu négocier pour avoir leurs voix. Je lui réponds que ce n’était pas le but, que j’avais envie de me faire baiser, tout simplement.
Puis Luigi revient sur la nuit torride qu’on a passé au lit. Il raconte les cris que je poussais quand je jouissais, le nombre de pipe que je leur ai tailler. Les six orgasmes que j’ai eu. Il a tenu une vrai comptabilité. Il me dit que j’étais intenable au lit, que je n’arrêtais pas bouger. Il me demande si j’ai aimé cette partie à trois. Je dois lui avouer que c’est la première fois que je jouis comme ça, en prenant autant de plaisir.
Ils me demandent si c’était mieux qu’avec mon mari. Mais ils seraient trop fier si je faisais une telle comparaison, même si c’est vrai que c’était meilleur. Faut reconnaître qu’ils avaient ce qu’il fallait, là ou il fallait. Ce qui ne m’empêche pas de leur en vouloir, pour le coup qu’ils m’ont fait.

Malgré leur chantage, c’est ma société qui emporte le projet. Je les regarde, leur fait un large sourire. Beau perdant, mais déçu, ils me félicitent, espère me rencontre lors d’un prochain séminaire. Je leur avoue que j’aimerais bien aussi.
Puis regagnent leur chambre, pour préparer leurs valises.
Après les signatures de contrats, j’en fait de même, et appelle un taxi.

Dans le TGV qui me ramène vers le sud, je visionne la vidéo.
Je me trouve belle, entièrement nue dans les bras de mes deux amants. Je vois leur queue pénétrer ma chatte, mon petit trou. Je vois leur bite se relayer dans ma bouche.
Tout bien considéré, c’est vrai que je n’ai jamais connu ça avec mon mari. Je baisse le volume quand je cris de plaisir, pour ne pas alerter les passagers. Je ne pensais pas être aussi bonne au lit. Faut dire que mes amants étaient à la hauteur. Ils ont su réveiller la salope qui sommeillaient en moi.

Arrivée chez moi, mon mari m’accueille à bras ouvert. Je lui dis que je prends une douche, de m’attendre au lit, que j’ai une grosse envie de câlin.. Il me dit qu’il va me baiser comme jamais il m’a baisée, qu’il allait me montrer d’autres choses.
S’il savait tout ce que j’ai appris cette nuit, dans les bras de mes amants italiens.

Je sors de la douche, et trouve mon mari planté au milieu du salon, mon portable à la main. J’ai compris. Comme une conne, j’ai oublié d’effacer la vidéo.
Mon mari rentre dans une colère folle, en voyant les images qui défilent devant ses yeux. Il veut des explications.
Mais comment expliquer ma faute. La vidéo parle d’elle même. Je ne peux pas mettre ça sur le compte de l’alcool, j’étais parfaitement lucide et consentante. Je n’ai aucune excuse.

De colère, mon mari quitte la villa. Je m’affale sur le canapé.
Mon époux revient une heure plus tard, un dossier sous le bras. C’est une demande de divorce.
Il me dit que je peux garder la villa, en attendant que tout soit réglé.

Et voila, je suis assise à la terrasse d’un café, en face le palais de justice. J’attends que les parents viennent me chercher.
Sans un regard, mon mari monte dans sa voiture, ou l’attend sa secrétaire, et s’en va.

En attendant, j’habite provisoirement chez mes parents.
Je passe beaucoup de temps au travail, pour oublier. Des amis me sortent souvent, pour me changer les idées. Amis, qui, d’un claquement de doigt, n’hésiteraient pas à venir dans mon lit. Mais de ce côté là, j’ai décidé de faire un break.
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Histoire de Aurore34

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