Initiation militaire. Oui mon lieutenant!

"Allez tout le monde se déshabille !".
C'est la voix d'un militaire qui donne cet ordre, nous sommes en 1981, je fais mes classes et je n'en mène pas large.
"Vous enlevez tout ! et vous faites la queue en attendant votre tour !".
Comme à chaque fois que cela m'arrive, j'ai horreur de montrer mon corps aux autres, j'ai peur qu'on se moque de mon petit sexe au repos.
Après quelques minutes, j'entends des murmures derrière moi, je me retourne et vois un gradé qui discute à mon sujet avec les autres bleus.
Tout ce que j'arrive à déceler, c'est ; "Il ne doit pas le savoir ! Je pense !".
Au moment de passer tous les tests, un soldat infirmier regarde mes pieds et me dit :
"Reviens là ! C'est bien ce que je pensais ! Tu es à la limite du pied plat !".
"Eh alors ?".
"Ben, c'est la réforme ! Mec !".
"Ah non, je dois rester ! Il le faut !".
Il me regarde étonné.
"Ok, mais c'est limite ! Tu vas souffrir !".
Je passe aux vaccins et reçois mon paquetage, puis alors que je vais me rhabiller, le gradé regarde ma fiche et m'appelle par mon nom.
"Soldat .....! Restez comme ça, suivez-moi, je dois vous poser des questions ! Y a un truc qui ne va pas dans votre dossier !".
Je le suis en portant mes affaires devant moi.
On entre dans un bureau, il ferme derrière nous et me fait assoir nu devant son bureau.
"Bon...., qu'est-ce que vous faites là ?".
"Comment ça mon Lieutenant ?".
"Oui, je vois que vous avez été réformé pour soutien de famille, mais vous avez demandé à annuler cette réforme, pourquoi ?".
"Euh, je me suis battu avec mon père, il fallait mettre de la distance entre nous, il avait bu et j'ai refusé qu'il me frappe sous l'effet de l'alcool".
"Ah, je comprends, mais ça suppose un souci avec l'autorité aussi, je vais tester ça !".
Il s'approche et me demande.
"Tous ces portraits tatoués sur vos bras, vous savez ce que ça signifie pour nos psychologues ?".
"Non, mon lieutenant !".
"Vous êtes un homosexuel refoulé".
"Qu.. Non !".
"Penchez-vous sur le bureau, je vais vérifier un détail !".
"Mon lieutenant ! Non !".
"Vous voulez un mois de trou ?".
"Non ! Mon lieutenant !".
Je me baisse en m'allongeant nu sur le bureau froid.
Il crache entre ses doigts et m'enduit l'anus de salive, puis il en insère deux, puis trois au fur et à mesure qu'ils se lubrifient.
"Vous avez eu des rapports homosexuels, ça se voit !".
"Non, mon lieutenant!! Je vous assure que ce n'est pas vrai !".
"Alors vous vous insérez des objets dans le cul !".
"Euh...".
"Répondez! Il faut obéir !".
"... oui, c'est ça !".
"Bon, on va vous aider alors !".
Il passe devant moi et se défait la braguette pour me présenter une bite épaisse de longueur normale.
"Vous allez me mettre en forme et je m'occuperai de votre cul après".
Il pointe son sexe devant ma bouche, il force le passage, je me retrouve avec son gros gland entre les lèvres, malgré moi, je trouve cela très agréable.
Je me surprends à utiliser ma langue pour le lécher pendant qu'il glisse dans ma gorge.
A présent, je m'aide de ma main pour mieux le sucer.
"Tu aimes me faire ça ?".
"Oui, mon lieutenant ! Mais c'est la première fois!".
"Je m'en doutais ! Je repère les pédés comme toi de très, très loin ! Allez continues de me bouffer la bite !".
Je suis puceau et malgré mon attirance pour les filles, je ne regrette pas que ma première fois se passe avec un homme.
Au bout de 10 minutes de fellation, il quitte ma bouche et salive à nouveau entre mes fesses.
Son gland commence son écartèlement, je porte mon bras devant ma bouche pour le mordre.
"Ca va bien se passer ! Vous allez voir !".
C'est nouveau pour moi cette poussée naturelle contre mon anus, cela me change des objets inertes et froids sur lesquels, je m'empale.
"Arhhhh! Mon lieutenant ! C'est gros, j'ai pas l'habitude !".
"Mais non, vous verrez, après vous me demander d'aller plus vite et plus fort, vous verrez !".
Son gland passe mon œillet en m'arrachant un râle étouffé, il sort de mon anus et salive son sexe ainsi que ma collerette.
En revenant entre mes fesses, je le sens me pénétrer d'une traite jusqu'à sentir son ventre contre moi.
"Arhhhhhhhhhhh, mon lieutenant !".
Il ne se soucie pas de moi et entame un mouvement ample et patient.
Je râle de moins en moins, au fil des allers et retours dans mon cul, puis je commence à gémir de plaisir, c'est vraiment meilleur que mes phallus inertes.
"Mon lieutenant, c'est... c'est...".
"C'est quoi, allez, parlez !".
"C'est bon ! Encore ! Plus fort, plus vite !".
"Vous voyez que j'avais raison !".
Il se déchaine alors comme un dingue, je dois me retenir de ne pas crier, pour ne pas que les autres sachent que je me fais enculer par le lieutenant !
"Oh, .... vous avez un cul de rêve ! Je vais vous le remplir assez vite, je pense ! Vous êtes fait pour vous faire enculer !".
Il me besogne malgré tout un bon quart d'heure en me procurant mon premier orgasme anal avec un vrai sexe d'homme.
Puis il annonce :
"Arhhhhh,...je te remplis le cul petite salope ! Hummmm!".
Je découvre ce moment magique ou un homme est pris de spasmes dans tout le corps parce qu'il déverse en vous toute son éjaculation de sperme, et cette douce sensation d'écoulement profond dans l'anus. Je ne cesserai dès lors de rechercher ce plaisir.
Il s'affale sur moi en finissant de se vider dans mon cul, puis lentement, il se retire et me dit :
"Bon, de temps en temps, je vous ferai venir, il faut entretenir ce cul ! Ca doit pas se refermer ! Il est prometteur. Compris ?".
"Euh, oui, mon lieutenant !".
"C'est bien, vous respectez mon autorité, vous faites des efforts ! On garde ça entre nous, c'est un ordre ! Vous aurez aussi quelques privilèges, vous verrez ! Mais il faudra obéir!".
"Oui, mon lieutenant !".
"Rhabillez-vous et rejoignez votre escadron !".
J'ai obéis et rejoins les autres, puis nous sommes rentrés au pas vers nos baraquements.
A chaque fois que mon pied frappait le sol, je sentais le sperme qui cherchait à sortir de mon anus, je n'ai pas pu éviter le pire, et en me rendant aux toilettes, j'ai constaté pour la première fois que mon slip était souillé par le sperme d'un autre homme au niveau de mon anus.
Par chance, cela n'a pas traversé pour tacher mon pantalon.
Les autres m'ont demandé pourquoi, j'étais resté aussi longtemps avec le lieutenant. Je leur ai parlé de mon histoire de famille et de ma réforme annulée sur ma demande, ils m'ont pris pour un fou, d'autres ont compris ma démarche et l'ont respectée.
L'excuse a marché, c'était le plus important !
Le lieutenant me faisait venir jusqu'à 12 fois par mois.
Ma première longue histoire a donc été avec un homme.
Puis, un jour, vers le quatrième mois, il m'a demandé de lui faire confiance.
Il m'a emmené chez un autre militaire.
En arrivant, je suis attendu par 6 hommes, Le lieutenant leur dit :
"Voilà ma dernière recrue !".
"Ouh là, c'est du lourd, t'as fait fort Robert ! Il a l'air prometteur !".
L'un d'eux me fait boire un verre d'alcool, puis peu à peu, je me retrouve nu.
C'est le lieutenant qui commence en me demandant de le sucer, deux autres viennent profiter de mes talents buccaux.
je continue d'avaler de l'alcool, sur l'insistance des invités, je perds peu à peu toute inhibition.
Je sens un contact froid sur mon anus, c'est un autre qui m'enduit de gel lubrifiant.
Puis, je suis pénétré par un sexe de belle taille, je découvre que je jouis plus vite quand je suce en me faisant enculer.
Les hommes parlent de moi en termes vulgaires, mais me disent que je dois être fier de ce que je suis.
J'ai donc connu ainsi ma première pluralité avec 7 hommes.
Ils ont joué de mon cul à leur guise pendant des heures, j'ai été attaché, enculé, maculé de sperme, masturbé analement et j'ai adoré çà .
Ils ont tous éjaculé deux fois, j'étais devenue la pute du lieutenant et j'aimais ça !
A chaque fois qu'il me baisait , le lieutenant me rallongeait mes perms! Ce jour-là, j'ai eu une semaine entière !
Comme raison, je disais que le gradé utilisait mon métier d'art à son compte personnel, en échange de permissions.
Les autres m'enviaient, ils étaient loin de se douter de ce que je devais subir pour cela.
Il me restait 8 mois à faire avant la libération, le lieutenant m'a organisé d'autres rencontres ou j'étais toujours le centre d'intérêt.
Le nombre d'hommes a augmenté, jusqu'à atteindre la quinzaine, dont la moitié était des civils.
Certains m'ont laissé leur carte de visite, afin de me revoir, je n'habitais qu'à 25 km de la caserne!
C'était l'avant-dernière orgie, cette fois-là, il me restait 5 semaines.
Après ma semaine de perm, le lieutenant m'a enculé à huit reprises, je crois, pendant les 3 semaines avant ma libération, puis il m'a proposé une dernière fête, seul 8 hommes, en plus du lieutenant, ont pu se libérer.
Comme d'habitude, on buvait toujours un peu, je prenais les devants en me mettant nu avant qu'on me le demande.
C'était devenu un plaisir, savoir que j'allais être baisé faisait disparaitre ma gêne.
J'avais 2 hommes dans la bouche, et un autre sous moi dans le cul, quand j'ai senti que le lieutenant se plaçait derrière moi.
J'ai eu un regard affolé qui a fait sourire celui qui était profondément enfoncé dans ma gorge.
J'ai alors senti un écartèlement extrême au niveau de mon anus, accompagné de plusieurs poussées qui me déchiraient.
Puis, d'un coup, dans un déchirement, la bite du lieutenant a rejoint celle de son ami dans mon cul.
Je laisse échapper un hurlement.
"Arrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh!".
"Tu es prêt ! C'était le moment ou jamais !".
Les deux queues se mouvent lentement en me faisant crier d'orgasme anal.
J'ai beaucoup plus de mal à sucer les autres hommes.
Celui qui est sous moi, craque et se déverse dans mon cul.
Le lieutenant se retire pour le laisser se dégager, un autre prend sa place et mon amant revient dans mon cul lui aussi.
"Tu veux qu'on arrête ?".
"Non, mon lieutenant, c'est très fort, mais c'est tellement bon ! Merci mon lieutenant !".
"C'est le meilleur de tous ceux que tu nous as amené ! Y a pas de doute !".
J'ai ainsi vécu mes premières doubles pénétrations anales multiples.
Quand il m'a laissé en nous garant dans un coin tranquille et sombre, le lieutenant a oublié tout protocole et m'a dit :
"Tu vas me manquer Pascal ! Profites bien de ta vie ! Tu es quelqu'un de bien ! Je ne parle pas qu'au niveau du sexe !"
"Merci...Euh...lieutenant !".
Après un moment de silence, j'ajoute :
"Je peux vous poser une question mon lieutenant !".
"Vas-y Pascal !".
"Il y en a eu d'autres comme moi ?".
"Oui, mais t'es le plus doué ! Tu vas être dur à remplacer ! J'ai testé 2 autres jeunes là, mais ils ne sont pas comme toi !".
"C'est-à dire ? Mon lieutenant !".
"Quand je t'ai vu la première fois, j'ai été étonné par ton corps, tu es très féminin, et quand je t'ai baisé, j'ai vu que tu prenais du plaisir naturellement avec ton cul ! Tu aimais être soumis aussi ! Tu es fait pour ça ! Je n'ai fait que te révéler ! Les autres sont moins enthousiastes et moins sensibles ! Toi, tu étais demandeur de nouvelles expériences, de nouveaux plaisirs ! Tu es ce que tu es, sans le savoir".
"Et je suis quoi, mon lieutenant ?".
"Une salope, tu as besoin de te faire soumettre, tu es prêt à tout pour notre plaisir ! Tout en y prenant, toi aussi, ton pied, j'ai tort ?".
Je me tiens le bas ventre, une légère douleur m'incommode.
"Non, ouhhhhh, mon lieutenant ! Il faut que je rentre !".
"Qu'est-ce qui se passe, ça va pas ?".
"C'est tout le sperme qui veut sortir, mon lieutenant !".
"Ha, je vois, t'auras pas le temps ! Sors de la voiture, je vais t'essuyer avec des mouchoirs !".
Je sors en baissant mon treillis et serrant l'anus, le lieutenant me courbe sur le capot, s'approche et met un mouchoir sous mes fesses en disant :
"Vas-y ! Lâche tout !".
Le liquide sort en plusieurs écoulements, un peu bruyants, me libérant de ma gêne.
Mon anus s'ouvre énormément suite à ce phénomène.
Je m'attends à ce que le lieutenant m'essuie, mais au lieu de cela, il m'enfonce sa large queue d'une traite et m'encule comme une pute.
"Oh, Pascal, il va me manquer ton cul ! Qu'est-ce que j'ai aimé t'enculer !".
"Arhhhh, merci mon lieutenant !".
"Pourquoi merci ?".
"Merci, de m'avoir dépucelé et d'avoir révélé la salope que je suis ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"Tu vas continuer alors ?".
"Oh, oui mon lieutenant ! Arhhhhhhhhhhhh! J'en ai besoin maintenant ! Vous m'autorisez à contacter vos amis ?".
"Oh putain, c'est bon ! ahh, oui, bien sûr, et qui sait, je viendrai peut-être, si je peux !".
"Arhhhhhhhhhh, mon lieutenant ! Je jouis encore, arhhh, ce serait génial de vous revoir, arhhhhhhhhhhh!".
Je regarde le mouchoir posé sur le capot de la voiture, il est maculé d'une dose énorme de foutres mélangés.
Au lieu de me dégouter, cela m'excite, et je jouis de sentir mon tout premier amant proche de rajouter sa semence dans mon cul.
Il se déverse en râlant comme un forcené.
"Oui, mon lieutenant ! Remplissez-moi le cul ! Arhhhhhhhhhhhhhh!".
On apprécie les derniers moments de plaisir de cette délicieuse sodomie, puis il me dit qu'il me reverra deux jours avant mon départ.
Depuis longtemps, je sais que les permissions dont je bénéficiais, n'étais pas le but de mon envie de me faire baiser, j'aimais ça et j'y serais allé sans ces récompenses !
Je suis alors entré dans ma vie d'adulte, toujours puceau, hétéro sexuellement, mais surtout bien dépucelé analement.
J'avais rencontré ma première petite amie, un mois avant le service militaire, un an après notre flirt, nous avons repris notre relation et j'aurai donc mes premiers rapports sexuels hétéros. Elle n'avait jamais eu de rapport avant moi, mais elle me disait que j'étais un très bon amant !
Nous avons été très amoureux, mais incompatibles caractériellement.
Puis j'ai rencontré la femme de ma vie, 3 ans plus tard.
Tout cela sans cesser de rencontrer des hommes mûrs, j'étais devenu accro au sexe anal et buccal masculin, une vraie salope mâle.
J'ai failli basculer dans l'homosexualité, tant ma timidité m'empêchait de passer le cap avec des filles.
C'est beaucoup plus simple avec des hommes ! Mais j'ai tenu bon !
Mais en sortant de l'armée, les premiers temps ont été difficiles, le sexe entre hommes me manquait.
J'ai commencé par contacter un des hommes des orgies et il est passé me prendre pour baiser, je l'ai revu 4 fois, dont 2 avec quelques autres participants et le lieutenant !
Parallèlement, j'ai commencé à fréquenter des lieux chauds, sur des conseils de certains d'entre eux, ils m'ont renseigné sur de nouveaux lieux, dont 2 cinémas, 2 Sex-Shops, des jardins, et des petits bois, environ une dizaine d'endroits.
Ma double vie débutait.