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Initiatrice imposante

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Lue : 2311 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/07/2013

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Comment accélérer le dépucelage ? J’entrais dans mes seize ans. Bien bâti, avant-centre de l’équipe de foot, je pouvais en paraître cinq de plus. Je n’en étais pas moins timide et timoré avec les dames. J’avais une copine Irma, blonde et petit bijou. Coquine avérée cependant car convoitée tant par ceux de mon âge que par des vieux cochons. Elle était mon tourment. Je la baisais comme un manche. Cette garce délurée par ses piques me l’avait fait entendre. Elle accusait une expérience remarquable pour son âge. Je m’en ouvris un jour à Gaspard mon voisin, grand ami de mon père. Nous allions souvent tous les trois tâter le goujon à la rivière. Bienveillant il me dit que nous avions tous passé par cette cruelle initiation. Gentille garçon le chagrin et la trahison me seraient sûrement dévolus.


Gaspard ce jour-là me faisait la leçon dans sa cuisine auprès de sa femme, Monique. Celle-ci était une garce notoire que les types du quartier baisaient souvent. Elle n’avait rien d’extraordinaire or que d’être très grosse et accoutrée de façon par trop indécente. Il y avait un effet comique que Gaspard me mit en garde contre les femmes eu égard à sa situation. Monique par des reparties ironiques me confirmait dans ce paradoxe. Elle appuya cependant que la petite Irma me ridiculisait. Plus tard je sus d’elle que Tonio, le garagiste, un notoire vicieux et qui tripotait Monique avait aussi attrapé en son atelier un jour ma pauvre Irma. Par les détails celle-ci n’avait point été forcée.


J’étais dans une extrême confusion. Pressé de jalousie, je pris pour de l’amour mes élans vers ma Irma. Je voyais partout traîtres et rivaux. Je trouvais moins compliqué de percer une défense avec un dribble que de m’assurer de la fidélité de mon amie. Nous abordions aux mois chauds de l’Eté. Bientôt j’en vins à me confier à Monique plutôt qu’à son bonhomme. Je découvrais pour le coup que celui-ci était un parfait imbécile ainsi que le sont souvent les cocus. Monique elle-même admit qu’il faudrait peut-être me débarrasser d’une amie si jolie et coquette et qui me procurerait que tourments. N’était-elle pas bien placée pour évoquer cela ? Je devinais quelques sadismes dans ses regards de compassion.


Ce fut le jour où j’avouais qu’Irma me déniait au lit tout talent que Monique crut devoir porter le fer au cœur dans ma plaie béante. Elle me souffla que cette garce avait sûrement trouvé mieux et qu’elle s’autorisait ainsi des comparaisons peu flatteuses pour moi. Ce fut ce jour qu’elle évoqua à demi la liaison coupable avec Tonio. Je n’en voulus rien croire. J’étais bouleversée. Ce gros que je croisais des fois à la pétanque et que je méprisais, il m’était inconcevable de l’imaginer besognant entre les cuisses de ma belle Irma. Je n’oserais plus croiser le regard de cet imbécile. Il n’est pas sure que je ne lui sauterais à la gorge. Monique cependant poursuivait d’inoculer son poison.


Confidente elle s’était de cette façon immiscer en ma vie. Je n’avais pas conscience qu’elle avait décidé de m’ajouter à son fourni tableau de chasse. Je savais que deux, trois copains de foot l’avaient culbuté déjà dans le pré. La garce n’était point farouche. De notoriété elle vous pompait la queue d’un homme jusqu’à la moindre goutte. On pouvait ensuite obtenir l’un l’autre trou. Elle arborait des robes courtes qui lui montraient ses lourdes cuisses. Elle se baissait et sans pudeur révélait son cul. On la vit même des fois sans la culotte au grand dam des administrés. Cela n’était pour moi que grivoiserie et je n’étais pas le dernier à rire des mécomptes de mon Gaspard.

A présent ses questions étaient plus insidieuses. Monique voulait savoir le détail de ma vie amoureuse. Je lui concédais que j’avais connu peu de filles. J’avais été déniaisé il y a un an par ma tante. J’en avais été plus choqué que ravi. Le sexe en fait me répugnait. Je ne concevais qu’on put l’associer aux élans nobles de l’amour tel que je l’entendais. Elle déclara dans un grand rire que j’étais nigaud et que j’avais beaucoup à apprendre. Il me fallait me déprendre vite de ce romantisme. Nous étions ce jour-là dans sa cuisine. Sa poitrine débordait largement de sa robe. Elle surprit mon regard. Je rougis. Cette nuit j’haïssais Irma songeant en même temps aux seins de Monique.


Cette dernière avec l’instinct du chasseur attendait son heure. Elle ne fit rien pour presser la chose. L’occasion fait toujours un larron. Il y eût cette fameuse après-midi. J’avais convenu après un match de tennis d’aller rejoindre Gaspard et mon père près de la rivière. Ce dernier me dit de passer voir Monique car elle avait au frais dans le frigo un bon pack de bière. Flanqué de ma mobylette je fis un détour par leur pavillon qui fermait le bout de la ruelle. La porte principale en étant fermée, je dus passer par la porte de derrière donnant dans une autre rue. Il faisait une chaleur de fournaise. A seize heures hommes et bêtes se terraient sous la torpeur.


Monique s’adonnait à sa façon au rite du bronzage. Elle s’allongeait sur un gonflable jeté sur la pelouse. Elle n’avait cure de s’y foutre des fois à poil au su de son voisin, un sexagénaire vicelard dont elle disait qu’il avait droit aussi à se rincer l’œil voire à se palucher comme tout mâle. Il n’est pas dit que celui-ci n’ait obtenu un jour davantage. En tout cas ce jour je la découvris sous l’ombre d’un arbre. Elle n’avait pu supporter la morsure redoutable du soleil. J’eus un frémissement me parcourant le corps quand j’entrevis sa forme immense et blanche dans la pénombre verte. Elle balançait en l’air son pied de façon indolente. Je croisais son regard mi-clos.


Pour le coup la chère n’était point nue. Elle était affublée d’une robe légère mais transparente couleur saumon. Elle se redressa riant sur un coude et me dit que les canettes étaient au frigo et qu’elle aimerait m’entretenir de quelque chose d’important. Tandis que j’extirpais du frigo les boissons, j’étais troublé de l’érection qui dardait dans mon short. J’eus peur qu’elle s’en aperçut. J’attendis un peu allumant la radio et faisant mine d’écouter le Tour de France. En parti calmé je revins vers elle. Elle avait dessus sa couche changée un peu sa position. Elle avait les cuisses ouvertes et de sa main caressait son sexe à travers la culotte. L’érection repartit de plus belle.


Trop tard pour rebrousser chemin. J’étais trop heureux qu’elle ne se releva continuant à exhiber sa moule lisse et épilée que je découvrais pour la première fois. J’affectais un ton détaché et que n’autorisait la situation. Elle répondait par un silence empli de lointains gémissements. La garce prenait son pied devant moi. Je fus tenté moi-même d’extirper le sexe et de me branler. Puis elle se redressa. Je ne pensais pas que ce corps si massif put faire preuve d’une telle souplesse. Son regard se porta droit sur le short qui me trahissait. Elle eût un sourire de triomphe. N’était-elle l’objet de cet hommage. Elle retira sa culotte à présent importune. Elle avait un regard de défi.


Sans proférer nulle parole je m’assis près d’elle l’admirant. Elle s’allongea sur le dos. Je pouvais à loisir en détail parcourir les centimètres carré dès son sexe lové entre les cuisses. J’eus du trouver ce spectacle répugnant. Ma queue révélait le goût étrange du vice. J’étais conscient de ce bouleversement et de cette révolution. Ce fut comme si j’étais tombé dans les bras de Satan. J’hésitais à me relever et à m’enfuir loin de ce lieu de perdition. Nous étions sous l’arbre fatal de la connaissance dans un jardin qui n’était point d’Eden. Un serpent se tordait devant moi. La bête du démon. J’étais soulevée par une force irrépressible et concupiscente. Il me parut plus doux d’y céder que de m’y refuser.


Je ne sais comment je fus en un instant sur elle. Ma main avait aboli le court espace et adhérait à présent au lisse et chaud de cette chair. Mes doigts palpaient son sexe, sa cuisse. Ce ventre énorme se soulevait d’impatience. Elle se leva aussi promptement retirant mon short et ma culotte. Mon sexe que je savais énorme disparut entre les lèvres de sa bouche. Je découvris pour une première la fellation dont j’avais entendu tant parler. Irma m’avait avec mépris refusé toujours ce plaisir. Je fondais, les doigts de pieds écarquillés. Nos bouches se mêlèrent. J’étais assuré de pécher et de plonger dans la boue immonde. Il ne serait plus temps de revenir voire de se sauver. Je nageais maintenant entre ses cuisses. La mer était chaude.


L’on perd ainsi la notion du temps. La volupté n’a pas de nom. J’avais cœur de remporter ce match, ce corps à corps. Je n’avais cure d’Irma, de Gaspard, de mon père voire et du voisin qui matait. De puissance animale, cette garce manifestait sa jouissance par ses soubresauts. Fort de mon harpon je voulais terrasser la bête. Sur le point de ramener Moby Dick à la raison. Je voulais faire preuve de ma valeur d’amant. J’avais entendu la leçon. Je devais fendre l’armure. J’étais fier de faire jouer des muscles et d’infliger la vigueur d’un vit. Elle se tourna offrant son cul. Ce fut l’initiation à l’acte insane de sodomie. Ainsi perdis-je mon innocence. L’éjaculation fut de délivrance. Monique gisait à mes côtés. le regard brillant.


Il me fut reproché que la bière fut chaude et imbuvable. J’eus trouvé presque normal d’annoncer à Gaspard que j’avais baisé sa femme mais c’eût été embêté le pauvre vieux pour si peu. J’étais encore dans la stupeur d’avoir découvert chez moi quelque chose d’inconcevable et de monstrueux. N’étais-je pas pire qu’Irma ? J’étais tombé dans les rets de Monique. Je ne concevais pas pourtant d’y retourner. J’avais faim pourtant de sa chair. Elle s’était ainsi aliéné ses amants. Ceux-ci me parurent moins ridicules. J’avais l’air et les façons sournoises d’un cambrioleur qui aspire à retourner aux lieux du crime. J’eus ce jour-là des gestes obséquieux vers Gaspard et dont j’eus honte.


Monique voulut parfaire mon éducation. J’appris vite entre ses bras. Je rompis sans drame avec Irma ce dont tous me félicitèrent. Ils applaudirent à mon courage et à mon faux sang-froid. Pouvait-il imaginer que je m’étais offert âme et corps à une autre sorcière. Je baisais celle-ci régulièrement. Tout cet été j’occupais le fond du jardin. L’avant-centre de l’équipe de foot s’y démenait et n’avait de cesse de marquer des buts dans une cage vide où se trouvait un gardien complaisant. Tout le monde eût été étonné de notre couple étrange. Une grosse et vulgaire avec un long et gracile adolescent. Cela dura deux ans. Mon départ dans un autre lycée de région m’affranchit du sortilège.
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